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Eglise - Page 1661

  • Le carême ? Très tendance !

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    Dans la Dernière Heure de ce jeudi :  "Le carême, cette période de 40 jours de jeûne de partage et de prière qui a débuté hier (mercredi des Cendres), séduit de plus en plus de jeunes chez nous.

    Combien ? Impossible à déterminer avec exactitude mais ce qui est certain, nous confirme l’informateur religieux Eric De Beukelaer, c’est que le carême est devenu tendance.

    “C’est même vintage pour reprendre une expression à la mode”, sourit M. De Beukelaer, ancien porte-parole des évêques de Belgique, toujours responsable du séminaire Saint-Paul.

    Découvrir la suite dans ce quotidien

    Un autre article insiste sur l'importance des réseaux sociaux dans ce regain.

  • Un grand théologien pour notre temps : Louis Bouyer

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    Aux éditions ARTEGE - nouveauté

    L'oeuvre considérable de Louis Bouyer (1913-2004) n'avait jamais jusqu'à ce jour été rendue accessible à tous.
    Ce pasteur luthérien converti au catholicisme, prêtre de l'Oratoire est, l'un des plus grands théologiens du XXe siècle selon Henri de Lubac ou Hans Urs von Balthasar.
    L'auteur, son ami de longue date, nous fait parcourir, d'une plume alerte, les intuitions théologiques de celui qui a brillamment défendu le rôle de l'Écriture et des pères de l'Église dans la théologie. Dans le sillage du père Bouyer, qui n'a pas hésité à s'aventurer dans les domaines des sciences et de la culture littéraire, l'auteur livre ici les clés de lecture d'une œuvre puissamment originale.
    Tout un chacun peut, où qu'il en soit dans sa foi, trouver là des intuitions pour mieux la comprendre et l'approfondir.
    Pour la première fois accessible à tous, vie et oeuvre d'un des théologiens les plus féconds du XXe siècle : Louis Bouyer, Jean Duchesne 130 pages – 13,50 euros.

    On peut feuilleter un extrait du livre ici

  • Bienvenue au "Forum Catholique Romain"

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    Pendant de longues années, l’Église belge a menée une politique visant à éviter tout point doctrinal qui n’était pas en vogue. Les banalités qu’elle a proposées en lieu et place des vérités de la foi, ont fortement contribué à la destruction de la connaissance de la foi parmi la population catholique encore pratiquante. Dans l’enseignement catholique non plus, le trésor de la foi n’a pas été transmis convenablement. Il en résulte que les jeunes, malgré de longues années d’éducation dans des écoles catholiques, n’ont plus la moindre notion des vérités essentielles de la foi et qu’ils n’ont plus envie de gaspiller leurs loisirs dans des églises seulement peuplées d’une génération en voie de disparition qui, d’après ces jeunes, croit encore à des « racontars moyenâgeux ».

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  • Le testament de Shahbaz Bhatti

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    Comme le signale le Salon Beige, le site "Notre-Dame de Kabylie" a mis en ligne le testament spirituel du ministre catholique pakistanais assassiné.

    C'est à découvrir ici

  • Quand l'Eglise perd son âme

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    egliseperdsoname.jpgEric de Beukelaer, Quand l’Église perd son âme Réflexions sur les erreurs, fautes, et péchés… commis au nom de l’Église au cours de son histoir, aux Editions Fidélité. (14,95 €, sortie le 23 mars)

    "Eric de Beukelaer, ancien porte-parole de la conférence épiscopale belge, signe ici une réédition revue et augmentée de son livre l’Église de Judas. Il développe dans cet ouvrage la part d’ombre de l’Église : « Comment expliquer que des chrétiens en arrivent à trahir — au nom de Jésus — le Christ et son Évangile, c’est-à-dire jouer la part de Judas ? »

    L’auteur démonte quelques-uns des mécanismes qui poussent les fils de l’Église à l’erreur, à la faute ou au péché, comme symptôme d’un mal-être plus profond. L’auteur prend un peu de distance et réfléchit sereinement pour aider un large public à dépasser les lieux communs et à faire la part des choses entre « émotions confuses et arguments objectifs ». Les chapitres évoquent successivement : une Église pétrie d’humanité ; une religion meurtrière ; une institution pour le meilleur et pour le pire ; la confusion des deux règnes ; la dérive gnostique et la perversion sectaire ; un langage exclusif et doctrinaire ; les boucs émissaires de la peur, et enfin la tension qui fait vivre.

    Au terme de ce parcours historique, l’auteur termine avec une conclusion qui ne se veut pas dans l’Histoire, mais « dans une lucidité tendue vers l’éternelle Lumière ».

    source : fidelite.be

  • Un quotidien autrefois catholique introduit bien curieusement le carême

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    Son chroniqueur religieux intitule son article : « Carême : pardon pour le mal fait par les pédophiles » D’après lui, le carême commencerait ce mercredi « sous le signe d’une demande de pardon pour le mal fait par certains membres de l’Eglise à des mineurs. » Et d’en remettre une couche en rappelant tout ce qui nous a meurtris durant l’année écoulée, photo de Mgr Vangheluwe à l’appui.

    En réalité, il y a bien une initiative venant des religieux de Belgique : une veillée de prière au Collège Saint-Michel. « Pour réagir face à la crise que connaît l’Eglise catholique de notre pays, nous, religieux et religieuses de Belgique, voulons prendre le chemin de la réconciliation pour Dieu et pour tous ceux envers qui du mal a été fait. » « Nous voulons prier Dieu pour les victimes d’abus, mais aussi pour les auteurs de ces méfaits. » dixit le porte-parole de l’Union des religieux flamands.

    De là à y voir le trait dominant (et exclusif ?) du carême pour tous les catholiques de Belgique, il y a un pas que le chroniqueur de service franchit allègrement en y amalgamant tout de go les célébrations du mercredi des cendres dans les cathédrales belges.

    Il est pourtant bien obligé de mentionner un communiqué de la Conférence épiscopale évoquant la célébration prévue à la paroisse Saint-Antoine de Padoue pour marquer la solidarité avec les communautés chrétiennes persécutées en Asie et en Afrique, ce qui n’a que très peu de rapport avec le titre de l’article.

    Un dernier paragraphe rappelle pêle-mêle les obligations (minimalistes) de carême et l’effort de solidarité avec les paysans philippins demandé par Entraide et Fraternité.

    Quant à un effort personnel de conversion sur le chemin de Pâques, il n’en est pas question, pas plus que de l’invitation lancée par le pape de vivre ce carême comme un renouveau de son baptême.

  • Plusieurs centaines d'anglicans rejoignent l'Eglise ce Mercredi des Cendres

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    "Une trentaine de groupes d'ex-anglicans, de toute l'Angleterre, se préparent à entrer dans l'Eglise catholique  ce mercredi des cendres. Ils pourront néanmoins conserver certains aspects de leur liturgie. 

    Ce n'est probablement qu'en fin de semaine prochaine qu'il sera possible de savoir exactement combien d'anglicans ont rejoint l'Église catholique en ce mercredi des cendres. Mais selon l'hebdomadaire catholique "Tablet", ce sont au moins 20 prêtres et environ 600 laïcs qui quitteront l'Eglise d'Angleterre pour entrer dans l'ordinariat  mis en place par le pape en novembre 2009, avec la constitution apostolique "Anglicanorum coetibus". Celle-ci permet aux anglicans de conserver certains aspects de leur liturgie.
    Les anglicans qui souhaitent devenir catholiques débuteront leur préparation avec l'ouverture du Carême. A une date ultérieure, qui sera fixée par l'ordinariat et l'évêque diocésain responsable pour les anglicans qui aspirent à devenir catholiques, ils seront accueillis dans l'Eglise et recevront le sacrement de la Confirmation. La cérémonie aura lieu, soit durant la messe du jeudi saint, soit durant la veillée pascale. A la Pentecôte, les pasteurs anglicans qui ont obtenu l'accord de la Congrégation pour la doctrine de la foi seront ordonnés prêtres catholiques." (Source : Catho.be)

  • Une attitude critique et responsable face aux informations...

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    Les catholiques sont appelés à « assumer une attitude critique » et responsable face aux informations, explique le P. Lombardi.

    Le P. Federico Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, est intervenu lundi 7 mars à Turin, à l'Institut social des jésuites, sur le thème « Eglise, communication et information », rapporte aujourd'hui l'agence catholique italienne SIR.

    Le P. Lombardi souligne la responsabilité des consommateurs des nouvelles : ils doivent « assumer une attitude critique qui permette d'équilibrer la mauvaise information ».

    Le P. Lombardi a aussi évoqué les réseaux sociaux qui, dit-il, « répondent à un besoin fondamental de relations », mais « il faut s'interroger sur la qualité qui caractérise ces nouvelles relations ».

    « Il faut accueillir les potentialités offertes par la technologie, sans oublier que son usage est lié à la formation de la personne, qui doit être éduquée à chercher la vérité et à devenir un sujet critique et responsable », ajoute le P. Lombardi.

    « Etre annonceurs de la Bonne nouvelle », c'est, pour le P. Lombardi, « offrir des messages valides dans un monde où les personnes sont mises en contact avec un fleuve irrépressible d'informations, de paroles et d'images, et où sélectionner les nouvelles est toujours plus difficile ».

    Le P. Lombardi rappelle que celui qui publie une nouvelle est appelé à la « responsabilité » et « doit se fonder sur un fait vrai et faire attention à la façon dont on dit les choses ».

    Il confie : « Ces dernières années j'ai appris qu'il n'existe pas de sujet dont on ne puisse parler, mais qu'il faut trouver la manière juste » de le faire. (ZENIT)

     

  • En Indonésie aussi...

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    Le 24 février, l'église orthodoxe Sainte-Catherine de Boyolali à Java en Indonésie a été attaquée par des islamistes, selon les informations transmises par le site de la métropole d'Hong-Kong du Patriarcat oecuménique dont dépend cette paroisse.

    Le recteur, le P. Méthodios, est en bonne santé. Dans le passé, il avait déjà été menacé, attaqué et frappé par des islamistes.

    La communauté paroissiale s'occupe également d'une école maternelle. L'année dernière elle est venue en aide aux victimes de l'éruption du volcan Merapi. Après cette attaque l'église a été fermée et est gardée par la police. (source : Orthodoxie sur INFOCATHO)

  • L'enseignement social de l'Eglise : Thème privilegié du dialogue entre foi et raison

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    sur lepost.fr

    Afin de préparer utilement et efficacement les échanges Parvis des Gentils, qui se dérouleront les 24 et  25 mars prochains à Paris, à l'initiative du Conseil pontifical de la culture, voici une tribune de Jean-Yves Naudet

    L’enseignement social de l’Eglise, avait dit un jour le cardinal Martino, est « le secret le mieux gardé de l’Eglise ». Au-delà de la formule, il y a là une part de vérité ; les chrétiens eux-mêmes connaissent souvent mal ce que l’on appelle aussi « Doctrine sociale de l’Eglise » et les croyants des autres religions, comme les agnostiques et les athées, encore moins bien. Pourtant, cet enseignement peut être un lieu privilégié du dialogue entre croyants et non croyants.

     

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  • Le pape à la télévision le Vendredi Saint

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    "Benoit-et-moi" consacre trois articles à cet évènement médiatique où Benoît XVI communiquera directement avec les téléspectateurs le Vendredi Saint, du jamais vu dans l'histoire de la papauté.

    Le Pape à la télévision, Vendredi Saint Il répondra aux questions des téléspectateurs sur la RAI (8/3/2011);

    Le Pape à la télévision (II) Sur Radio Vaticana, interviewe de Rosario Carello, le présentateur de l'émission "A sua immagine", au cours de laquelle le Pape répondra aux questions de téléspectateurs, le jour du Vendredi Saint. (8/3/2011);

    Le Pape à la télévision (III) Selon Luigi Accattoli, le Saint-Père veut atteindre ceux qui ne lisent pas ses homélies, n'ont pas lu "Lumière du Monde", et ne liront pas "Jésus de Nazareth" (8/3/2011).

  • Appel décisif des catéchumènes à Bruxelles, le 13 mars

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    image002.jpg13 mars 2011 : Appel décisif à la cathédrale des Saints Michel et Gudule de Bruxelles

    Le premier dimanche de Carême, l’évêque - ou son représentant - rassemble tous les futurs baptisés de son diocèse.

    Le dimanche 13 mars à 15h, à la cathédrale de Bruxelles, c’est le vicaire épiscopal, le chanoine Herman Cosijns, qui présidera cette célébration.

    Après un an ou deux de formation individuelle et/ou en groupes, le catéchumène participe à l’appel décisif.

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