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Foi - Page 682

  • 11.000 fidèles au pèlerinage de Pentecôte, ce lundi, à Chartres

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    Sous la bannière de Notre-Dame de Chrétienté, 11.000 marcheurs catholiques ont bravé les kilomètres et les ampoules, sur les 104 km qui relient Notre-Dame de Paris à Notre-Dame de Chartres, dans le cadre du pèlerinage de Pentecôte, ce lundi 16 mai. Des figures aux traits tirés, des godillots crottés, des mollets fourbus et des pieds crevassés et endoloris. Les stigmates de la fatigue et des douleurs musculaires se lisaient sur la plupart des 11.000 catholiques traditionalistes qui ont participé, ce lundi 16 mai, au pèlerinage de Pentecôte, organisé par Notre-Dame de Chrétienté, entre Paris et Chartres. Lu sur le site de l’ Echo républicain d’Eure et Loire :

    « Partis samedi 14 mai, de la capitale, les marcheurs ont repris la route très tôt, ce lundi 16 mai, pour boucler les derniers kilomètres d'un périple de 104 km à travers champs. Après un pique-nique à Saint-Prest, les fanions des premiers chapitres sont arrivés à Chartres en début d'après-midi, puis sur le parvis de la cathédrale, où se trouvaient le poste de secours, pour bander les plaies, et l'oreille bienveillante des prêtres confesseurs, pour panser les âmes.

    Peu avant 15 h 15, les différents chapitres, par processions, ont pris place dans la cathédrale, pour assister à une messe dans sa forme dite extraordinaire, c'est à dire selon le rite romain, en latin. Pour la première fois à Chartres, les pèlerins ont pu admirer, parmi les reliques célébrées, l'anneau qui aurait appartenu à Jeanne d'Arc.

    Sous les voûtes de la cathédrale, seuls 2.000 pèlerins ont trouvé place, tandis que la plupart des 9.000 autres suivaient la cérémonie devant l'édifice, sur un écran géant qui a retransmis, jusqu'aux alentours de 17 h 30, un office marqué par une liturgie très codifiée, telle qu'elle se pratiquait jusqu'aux années 60.

    Sébastien Couratin »

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    Ref. 11.000 fidèles au pèlerinage de Pentecôte, ce lundi, à Chartres

    «…une liturgie très codifiée, telle qu'elle se pratiquait jusqu'aux années 60 » ?  Sauf erreur, en 2007 un certain Benoît XVI a redonné droit de cité à cette liturgie traditionnelle, jamais abandonnée, et qui se développe désormais officiellement en parallèle avec la forme « ordinaire » issue des réformes de Paul VI (1970).  

    Voir la vidéo de la messe de clôture ici: http://livestream.com/satstream/ndc2016?t=1463406589743

    JPSC      

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  • Le pape François au journal « La Croix » : les racines de l’Europe sont plurielles

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    Extraits de l’interview que François a accordée à Guillaume Goubert, directeur de « La Croix » et à Sébastien Maillard, envoyé spécial de ce journal à Rome :

    La Croix : Dans vos discours sur l’Europe, vous évoquez les « racines » du continent, sans jamais pour autant les qualifier de chrétiennes. Vous définissez plutôt « l’identité européenne » comme « dynamique et multiculturelle ». Selon vous, l’expression de « racines chrétiennes » est inappropriée pour l’Europe ? 

    Pape François : Il faut parler de racines au pluriel car il y en a tant. En ce sens, quand j’entends parler des racines chrétiennes de l’Europe, j’en redoute parfois la tonalité, qui peut être triomphaliste ou vengeresse. Cela devient alors du colonialisme. Jean-Paul II en parlait avec une tonalité tranquille. L’Europe, oui, a des racines chrétiennes. Le christianisme a pour devoir de les arroser, mais dans un esprit de service comme pour le lavement des pieds. Le devoir du christianisme pour l’Europe, c’est le service. Erich Przywara, grand maître de Romano Guardini et de Hans Urs von Balthasar, nous l’enseigne : l’apport du christianisme à une culture est celui du Christ avec le lavement des pieds, c’est-à-dire le service et le don de la vie. Ce ne doit pas être un apport colonialiste. 

    Vous avez posé un geste fort en ramenant des réfugiés de Lesbos à Rome le 16 avril dernier. Mais l’Europe peut-elle accueillir tant de migrants ? 

    Pape François : C’est une question juste et responsable parce qu’on ne peut pas ouvrir grand les portes de façon irrationnelle. Mais la question de fond à se poser est pourquoi il y a tant de migrants aujourd’hui. Quand je suis allé à Lampedusa, il y a trois ans, ce phénomène commençait déjà.

    Le problème initial, ce sont les guerres au Moyen-Orient et en Afrique et le sous-développement du continent africain, qui provoque la faim. S’il y a des guerres, c’est parce qu’il y a des fabricants d’armes – ce qui peut se justifier pour la défense – et surtout des trafiquants d’armes. S’il y a autant de chômage, c’est à cause du manque d’investissements pouvant procurer du travail, comme l’Afrique en a tant besoin.

    Cela soulève plus largement la question d’un système économique mondial tombé dans l’idolâtrie de l’argent. Plus de 80 % des richesses de l’humanité sont aux mains d’environ 16 % de la population. Un marché complètement libre ne fonctionne pas. Le marché en soi est une bonne chose mais il lui faut, en point d’appui, un tiers, l’État, pour le contrôler et l’équilibrer. Ce qu’on appelle l’économie sociale de marché. 

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  • Le cardinal Kasper et les diaconesses

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    Lu sur le site « réinformation tv » 

    La question posée par le pape François de créer une commission pontificale sur le sujet – si c’en est un… – d’éventuelles diaconesses, fait couler beaucoup d’encre et de salive. Le cardinal Walter Kasper, le célèbre théologien allemand et proche du pape, dont les vues ont provoqué bien des débats, estime que cette question divise l’Eglise en deux. 

    « Je pense qu’il va y avoir maintenant un débat féroce. Sur ce sujet, l’Eglise est divisée en deux », a-t-il effectivement déclaré vendredi dans un entretien accordé au quotidien italien La Repubblica. 

    Le débat sur les diaconesses

    La question pourtant reste pour l’heure imprécisée. S’agit-il d’envisager l’ordination de femmes « diacres » – diaconesses – ce qui, selon l’enseignement millénaire de l’Eglise, est strictement inenvisageable, non pour une simple question de discipline, mais à la nature même de l’Eglise ? Ou de revenir à certaines pratiques antiques, que le pape assimile au « faire », c’est à dire à certaines fonctions de service, en quoi consistait plus spécialement le diaconat dans les premiers temps de l’Eglise, mais sans lien direct avec l’ordination ?

    Le porte-parole du Vatican, le P. Federico Lombardi a tenu à rappeler vendredi que cette commission serait chargée d’examiner le rôle des diaconesses telles qu’elles ont pu exister dans les premiers siècles du christianisme.

     « Il faut être honnête : le pape n’a pas dit qu’il avait l’intention d’introduire une ordination diaconale des femmes », a-t-il insisté au micro de Radio Vatican.

    Le propos semble clair. Mais il faudrait sans doute veiller alors à user d’un autre mot, afin d’éviter la confusion.

    Or cette confusion est savamment entretenue par les uns, bêtement par les autres. Le cardinal Kasper ne saurait (malheureusement ?) être rangé dans cette seconde catégorie. Pourquoi donc s’évertue-t-il à couper, d’une certaine façon, l’herbe sous le pied d’une future commission qui n’est pas même encore constituée, en introduisant une question dont, le porte-parole du Vatican l’affirme, il ne saurait être question.

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  • Le pape François et les diaconesses : rectification du Vatican

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    Lu sur le site web de « Famille chrétienne » :
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    « Le pape François « n’a pas dit qu’il avait l’intention d’introduire une ordination diaconale des femmes ». C’est la mise au point du directeur du Bureau de presse du Saint-Siège sur Radio Vatican, le 13 mai 2016, au lendemain de l’audience des religieuses de l’Union internationale des supérieures générales (UISG), durant laquelle le pape a exprimé son souhait de constituer une commission pour se pencher sur le rôle des diaconesses dans les premiers siècles du christianisme.

    Évoquant l’emballement médiatique qui a suivi les propos du pape, le père Federico Lombardi a répondu sans détour : « Il faut être honnêtes : le pape n’a pas dit qu’il avait l’intention d’introduire une ordination diaconale des femmes, et il a encore moins parlé d’ordination sacerdotale des femmes. Au contraire, en parlant de la prédication au cours de la célébration eucharistique, il a fait comprendre qu’il ne pensait pas du tout à cela. »

    Durant son dialogue avec les religieuses, le pape a en effet souligné que s’il n’y avait « aucun problème » qu’une femme prêche lors d’une liturgie de la Parole, cependant lors d’une célébration eucharistique « il y a un problème liturgico-dogmatique », les femmes n’étant pas ordonnées. Il a aussi mis en garde contre la « cléricalisation » des laïcs. 

    La question du diaconat des femmes n’est pas nouvelle et fait référence aux « diaconesses », qui « accomplissaient certains services dans la communauté » de l’Eglise des premiers siècles, a ajouté le père Lombardi avant d’évoquer « diverses études historiques » sur le sujet, dont le « document important » de la Commission théologique internationale en 2003. « Le pape dit qu’il pense à constituer une Commission qui reprenne ces questions pour les voir avec une plus grande clarté ». 

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  • Famille Chrétienne fête son 2000ème numéro et l'offre en accès libre

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    Famille Chrétienne publie sa 2000e livraison ce samedi 14. A cette occasion elle offre l'accès libre à ce numéro (clliquer sur l'image ci-dessous) 

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  • Les chrétiens, indésirables au Soudan

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    De Sylvain Dorient sur le site web « aleteia »

    soudan.jpg"Depuis le début de l’année 2016, des lieux de culte ou de réunion chrétiens ont été arbitrairement fermés par les autorités soudanaises. Deux pasteurs sont détenus depuis la fin de l’année 2015. Rien de neuf selon Tut Kony, pasteur du Presbytère de l’Église évangélique du Sud Soudan qui assure : « Pratiquement tous les pasteurs sont passés par les geôles du gouvernement soudanais ». Selon lui, les destructions d’églises à Khartoum, la capitale du pays, s’inscrivent dans la même logique : c’est leur façon d’appréhender la minorité chrétienne, conclut-il, fataliste.

    Discriminations entre « Arabes » et « Africains »

    La République du Soudan du Sud s’est officiellement détachée de la République du Soudan le 9 juillet 2011. Elle abrite une majorité de chrétiens et d’animistes alors que le Nord du pays est surtout habité par des musulmans sunnites. Les deux groupes se sont souvent affrontés par le passé et le gouvernement du pays a progressivement laissé l’islam radical régenter la vie de toute sa population. Il a notamment donné autorité aux tribunaux islamiques soudanais, dont les méfaits ont été dénoncés internationalement avec le cas de Meriam Yahia Ibrahim Ishag. Cette jeune Soudanaise qui avait embrassé la foi de sa mère chrétienne orthodoxe plutôt que celle de son père, musulman, a épousé un chrétien. Elle a été condamnée pour « apostasie » : musulmane par son père, elle ne pouvait pas quitter cette religion, et devait être pendue. Cette peine était assortie de cent coups de fouets pour « adultère » : en tant que musulmane, elle n’avait pas le droit d’épouser un chrétien. Grâce à la mobilisation internationale, elle a finalement été libérée en 2014.

    « Ce ne sera plus le moment de parler de diversité » 

    Peu avant la partition du Soudan, le président soudanais Omar el-Béchir l’envisageait dans un discours demeuré célèbre : « Ce ne sera plus le moment de parler de diversité ». Il promettait alors d’inspirer la Constitution du Soudan de l’islam et de faire de l’arabe la langue officielle. Il prenait aussi publiquement la défense de policiers filmés sur YouTube fouettant une femme : « Si elle est fouettée conformément à la Charia, il n’y aura aucune investigation. Pourquoi y a-t-il des gens qui ont honte [de cette vidéo ndlr] ? C’est la Charia ». 

    Divisions entretenue par le gouvernement 

    Contrairement aux discriminations savamment entretenues par le gouvernement soudanais, plusieurs ethnies dans le pays comprennent des pratiquants des deux religions. Comme les Noubas, majoritairement chrétiens mais dont une partie est musulmane. Il arrive même que dans une même famille les deux religions soient représentées, un symbole de coexistence que le gouvernement soudanais s’évertue à écraser. Les chrétiens ne sont pourtant pas en mesure de constituer une menace pour la stabilité du pays si l’on en croit les statistiques officielles : ils représenteraient 3% de la population de la République du Soudan.

    Ref. Les chrétiens, indésirables au Soudan

    JPSC

  • France : grand pèlerinage de Pentecôte organisé par Notre-Dame de Chrétienté

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    Comme chaque année, Notre Dame de Chrétienté organise son pèlerinage traditionnel. Plus de 10 000 pèlerins se mettent en route pour rejoindre Chartres depuis Paris. Des centaines de bénévoles et de prêtres mais aussi une organisation logistique permettent le bon déroulement de ce qui est devenu aujourd’hui l’un des plus grands pèlerinages d’Europe.

    Bande-annonce du Pèlerinage de Pentecôte de Notre-Dame de Chrétienté des 14 - 15 - 16 mai 2016:

    JPSC

  • A propos des «diaconesses»: une mise au point utile de l’agence Zenit

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    diaconesses.jpg« Le pape François envisage une commission pour plancher sur le rôle des « diaconesses » dans l’Eglise primitive: “Oui, c’est vrai, c’est confirmé”, indique le vice-directeur de la Salle de presse du Saint-Siège, Greg Burke, alors que la nouvelle a très vite circulé sur les réseaux sociaux.

    Le pape François en a en effet dit un mot spontanément à quelque 900 religieuses de l’Union internationale des supérieures générales (UISG) qu’il a reçues en audience ce jeudi matin, 12 mai 2016, au Vatican, et les « tweets » sont partis sur les cinq continents. 

    L’étude voulue par Jean-Paul II

    Le « diaconat » féminin primitif n’était pas un ministère en vue du sacerdoce, mais un service institué, notamment, pour assister les femmes catéchumènes lors du baptême. 

    Une enquête historique a été menée en 2003, à la demande de saint Jean-Paul II, par la Commission théologique internationale, mettant en évidence la différence entre “diacre” et “diaconesse”, dans un document intitulé : « Le diaconat. Evolution et perspectives ». 

    Pour sa part le directeur de la salle de presse du Saint-Siège, le P. Federico Lombardi a annoncé que le service de communication du Saint-Siège étaient en train de réécouter l’enregistrement des paroles du pape François pour pouvoir offrir un texte écrit. Il a confirmé la nouvelle concernant l’idée de la commission. 

    Radio Vatican en italien rapporte : « Le pape François a rappelé que l’ancien rôle des diaconesses n’est pas encore très clair, et il s’est dit disponible pour faire examiner la question par une commission d’étude. »

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  • Le martyrologe des chrétiens de Syrie s'écrit jour après jour

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    Lu sur le site de l'Eglise Orthodoxe Russe :

    LA LISTE DES CHRÉTIENS TUÉS À L’OUEST DE LA SYRIE A ÉTÉ PUBLIÉE

    Après la libération de la ville de Karyatein, à l’ouest de la Syrie, les noms de 21 chrétiens tués par les extrémistes ont été publiés. Les victimes avaient entre 25 et 73 ans.

    Ils faisaient partie d’un groupe de 250 chrétiens, habitants de Karyatein, enlevés par les radicaux en août 2015. Une partie d’entre eux avait été libérés dans le courant de l’année, mais le sort de plus de 150 chrétiens reste inconnu jusqu’à ce jour. Selon les témoins, les rebelles n’ont pas permis aux chrétiens de quitter la ville, se servant d’eux comme de boucliers vivants.

    Ce cas tragique est loin d’être le premier. Après la libération des villes chrétiennes par les forces armées de l’état, on découvre souvent des fosses communes contenant les corps de chrétiens. Fin 2013, par exemple, à Sadad, en Syrie, les corps de 45 chrétiens assassinés, parmi lesquels des femmes et des enfants, avaient été mis au jour. Dans les villes qu’ils abandonnent, les extrémistes laissent derrière eux des églises et des sanctuaires chrétiens profanés ou détruits.

  • Ce jeudi à 18H45, à la cathédrale de Bruxelles : inauguration de la relique de saint Jean-Paul II

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    Lu ici :

    12/05/2016, Cathédrale Sts Michel et Gudule : RELIQUE DE SAINT JEAN-PAUL II - INVITATION A TOUS

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    A la veille du 35ème anniversaire de l'attentat commis contre Saint Jean-Paul II, aura lieu, à la Cathédrale des Saints Michel et Gudule, l'inauguration solennelle de la relique qui fut rapportée de Rome, au soir de la canonisation, par l'archevêque émérite Mgr Léonard.
     
    Le jeudi 12 mai à 18h45, une célébration comportant vénération, proclamation de quelques textes choisis du Saint, litanies, chants et prières se déroulera avec la participation de la communauté catholique Polonaise de Bruxelles. Elle sera trilingue: polonais, français, néerlandais.  Elle sera suivie par une célébration eucharistique présidée par le Recteur de la Mission polonaise et le Curé-doyen de la Cathédrale. La relique sera ensuite présentée aux fidèles pour une vénération personnelle.
     
    Soyez les bienvenus !
  • Le Magazine "Vérité et Espérance-Pâque Nouvelle": n° 98, printemps 2016

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    Le magazine trimestriel « Vérité & Espérance – Pâque Nouvelle » édité par l’association « Sursum Corda » (responsable de l'église du Saint-Sacrement à Liège) a publié sa livraison de printemps. Tiré à 4.000 exemplaires, ce magazine abondamment illustré parcourt pour vous l’actualité religieuse et vous livre quelques sujets de méditation (les articles mentionnés en bleu sont disponibles en ligne sur le blog de l’église du Saint-Sacrement: cliquez sur le titre de l’article).

    Au sommaire de ce numéro n° 98 (1er trimestre 2016) : 

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    Un passant, Simon de Cyrène

    Un océan de lumière

    Le Ciel, pour quoi faire ?

    Relire le testament de saint Jean-Paul II : « Mémoire et identité » 

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    Rome et le monde :

    Qu’est-ce que la « Miséricorde »

    Réforme liturgique : Mgr Bugnini se justifie, post mortem

    Le cardinal Müller fait le point

    Belgique 

    Inscrire la laïcité dans la constitution belge, pour quoi faire ?  

    Les Belges francophones plus religieux qu’on ne le croit

     

    Secrétaires de Rédaction : Jean-Paul Schyns et Ghislain Lahaye

    Editeur responsable: SURSUM CORDA a.s.b.l. ,

    Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 LIEGE.

    La revue est disponible gratuitement sur simple demande :

    Tél. 04.344.10.89  e-mail : sursumcorda@skynet.be 

    Les dons de soutien à la revue sont reçus  avec gratitude au compte IBAN:

     BE58 0016 3718 3679   BIC: GEBABEBB de Vérité et Espérance 3000, B-4000 Liège

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  • Congo: une évangélisation sans rupture

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      " Christus heri, hodie et in saecula" : Kristu azalaki, azali, akuya…

    JPSC