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Foi - Page 897

  • Ecriture et Tradition : un miracle peut en cacher un autre…

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      imagesCA479HOR.jpg Que Jésus rendît d’un seul mot la vue à Bartimée qui mendiait au bord de la route, ce fut un grand miracle, assurément. Et pourtant, saint Marc nous en rapporte un autre plus grand encore, mais moins apparent, en relatant les circonstances de celui-là, sur lequel s’articule la péricope (Mc 10, 46-52) ... 

       Car enfin, oserait-on dire, le miracle dont bénéficia Bartimée ne devrait guère nous surprendre.

       Est-ce si extraordinaire pour « celui qui a façonné l’oeil » (Ps 93[H. 94], 9) de lui rendre son bon fonctionnement ? Cet aveugle avait foi en Jésus : on le voit par son comportement, et Jésus lui-même nous en donne confirmation, quand il lui dit « Ta foi t’a sauvé. » (Mc 10, 52) Or le Seigneur ne dit-il pas encore ailleurs : « Tout est possible en faveur de celui qui croit. » (Mc 9, 22 [Gr.23]) ?

       Si nous sommes surpris par ce miracle-là, c’est que nous méconnaissons lourdement que l’être est dans les mains de Dieu, c’est que nous mesurons à notre aune, c’est que nous faisons bon marché de la toute-puissance de Dieu, de la divinité du Christ, de l’amour qu’il nous porte, du poids véritable et réel de ses paroles. Bref, c’est que nous nous disons chrétiens mais sommes bien loin de l’être ! 

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  • Des perles sur "benoît-et-moi"

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    Nous sommes redevables de nombreux "emprunts" effectués sur "benoît-et-moi", un site remarquable dont le succès est dû au travail assidu de notre amie Béatrice qui ne ménage ni son temps ni ses efforts. Nous vous invitons à rendre visite à ce site, et à y découvrir notamment ces mises en lignes récentes :

  • Trois messages de l’Immaculée

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    sml304418a1231014b1c6.jpgComme chaque année le 8 décembre en la fête de l’Immaculée, le pape a couronné la statue de Marie, place d’Espagne à Rome et, comme d’habitude, Benoît XVI n’a pas parlé à la foule pour ne rien dire comme font les politiciens et les sermonneurs du dimanche . Ecoutons sa voix modeste et timide qui s’adresse à chacun plutôt qu’à tous (source et traduction : benoît et moi):

     «C'est toujours une joie spéciale de se rassembler ici, sur la Piazza di Spagna, en la fête de Marie Immaculée. Se retrouver ensemble - Romains, pèlerins et visiteurs - au pied de la statue de notre Mère spirituelle, nous fait nous sentir unis au nom de la foi. Il me plaît de le souligner en cette Année de la foi que l'Eglise toute entière est en train de vivre. Je vous salue avec une grande affection et je voudrais partager avec vous quelques réflexions simples, suggérées par l'Evangile de cette solennité: l'Evangile de l'Annonciation.

    Tout d'abord, nous sommes toujours frappés, et cela nous laisse songeurs, par le fait que le moment décisif pour le destin de l'humanité, le moment où Dieu s'est fait homme, est entouré par un grand silence. La rencontre entre le messager divin et la Vierge Immaculée passe totalement inaperçu: personne ne sait, personne n'en parle. C'est un événement qui, s'il arrivait à notre époque, ne laisserait pas de traces dans les journaux, dans les revues, parce que c'est un mystère qui se passe dans le silence. Ce qui est vraiment grand passe souvent inaperçu, et le silence tranquille est plus fructueux que l'agitation frénétique qui caractérise nos villes, mais qui - toutes proportions gardées - se vivait déjà dans les grandes cités comme Jérusalem alors. Cet activisme qui nous rend incapables de nous arrêter, de rester tranquilles, d'écouter le silence dans lequel le Seigneur fait entendre sa voix discrète.

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  • L'évangile de l'Enfance et sa dimension historique

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    Le message du pape lors de l'Angelus du dimanche 9 décembre (ZENIT.org) :

    Dans le temps de l’Avent, la liturgie met en avant, de manière particulière, deux figures qui préparent la venue du Messie : la Vierge Marie et Jean-Baptiste. Aujourd’hui, saint Luc nous présente ce dernier, et il le fait avec des caractéristiques différentes des autres évangélistes.

    « Les quatre évangiles mettent au commencement de l’activité de Jésus la figure de Jean-Baptiste et le présentent comme son précurseur. Saint Luc a anticipé le lien entre les deux figures et leurs missions respectives, en les situant dans les deux récits de l’enfance. Déjà dans leur conception et dans leur naissance, Jésus et Jean sont mis en relation entre eux » (L’enfance de Jésus, p. 29).

    Cette organisation aide à comprendre que Jean, comme fils de Zacharie et d’Elisabeth, tous deux de familles sacerdotales, est non seulement le dernier des prophètes, mais il représente aussi le sacerdoce de l’Ancienne Alliance tout entier et, en cela, il prépare les hommes au culte spirituel de la Nouvelle Alliance, inauguré par Jésus (cf. id. p.35-36).

    En outre, Luc démytifie toute lecture mythique qui est souvent faite des évangiles, et il situe historiquement la vie du Baptiste : « L'an quinze du principat de Tibère César, Ponce Pilate étant gouverneur de Judée … sous le pontificat d'Anne et Caïphe » (Lc 3, 1-2). C’est à l’intérieur de ce cadre historique que se situe le véritable grand événement, la naissance du Christ, que ses contemporains ne remarquent même pas. Pour Dieu, les grands de l’histoire servent de décor pour les petits !

    Jean-Baptiste se définit comme la « Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers » (Lc 3, 4). La voix proclame la Parole mais, dans ce cas-ci, la Parole de Dieu précède, dans la mesure où c’est elle qui descend sur Jean, fils de Zacharie, au désert (cf. Lc 3, 2). Il a donc un grand rôle, mais toujours en fonction du Christ. Saint Augustin fait ce commentaire « Jean est la voix, mais le Seigneur, au commencement, était le Verbe. Jean est une voix dans le temps ; le Christ était au commencement la Parole éternelle. Enlève la Parole, que devient la voix ? Vidée de tout sens, elle n'est que vain bruit. Sans la Parole, la voix frappe l'oreille, elle n'édifie pas le cœur » (Discours 293, 3). C’est à nous que revient la tâche, aujourd’hui, d’écouter cette voix pour laisser à Jésus, la Parole qui nous sauve, un espace dans notre cœur pour l’accueillir.

    En ce temps de l’Avent, préparons-nous à voir, avec les yeux de la foi, dans l’humble grotte de Bethléem, le salut de Dieu (cf. Lc 3, 6). Dans notre société de consommation, où l’on est tenté de chercher la joie dans les choses matérielles, le Baptiste nous enseigne à vivre de manière essentielle, afin que Noël soit vécu non seulement comme une fête extérieure, mais comme la fête du Fils de Dieu, venu apporter aux hommes la paix, la vie et la véritable joie.

    Confions à Marie, Vierge de l’Avent, notre chemin vers le Seigneur qui vient, pour être prêts à accueillir, dans notre cœur et dans toute notre vie, l’Emmanuel, le Dieu-avec-nous.

  • Sénégal : convertir au Christ serait-il devenu illégal ?

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    C'est ce que l'on pourrait penser à la lecture de cette "sénégalaiserie" publiée dans SudOnLine (via l'"Observatoire de la Christianophobie" :

    On en apprend tous les jours, décidément… Stupeur, donc, avant-hier, à la lecture de la «une» du Populaire : «le pasteur brésilien convertissait des enfants au christianisme». Le surtitre en rouge (faut bien que ça saigne) nous annonce qu’il a été «arrêté (la veille) à Mbour et déféré au parquet de Thiès avec son assistante». Bien sûr, je panique. A mon âge, découvrir un matin de décembre, à quelques jours de la Nativité, qu’adorer le Christ est un crime sévèrement puni par la loi, ça m’en bouche un coin.

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  • La Translation de la Sainte Maison de Lorette

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    Du site "Marie de Nazareth", une synthèse rédigée par F. Breynaert :

    Le rayonnement de ce sanctuaire italien est si grand que le calendrier liturgique catholique romain propose une mémoire liturgique pour célébrer la "Translation de la Sainte Maison de Lorette", le 10 décembre.

    Le mot "translation" signifie "transport" : l'actuel sanctuaire, construit au XV° et XVI° siècle, abrite une maison, "la sainte Maison", dont les pierres sont une relique de la maison de la Vierge Marie de Nazareth.

    Sixte V (pape de 1585 à 1590), fit graver en lettres d'or sur façade de la Basilique à peine achevée : « Maison de la Mère de Dieu où le Verbe s'est fait chair ».

    Il est tout à fait saisissant d’entrer en ce lieu, de se prosterner là, et de penser qu’entre ses pierres, quand la Vierge prononça son Oui, le Verbe s’est fait chair dans son sein virginal, et qu’il a vécu parmi nous.

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  • Banneux, 23-24 mars 2013 : la 8ème marche des mères de famille

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    Une invitation adressée aux mères de famille

    marchedesmeresweb1.jpg

    Cette année nous aurons la joie de découvrir la magnifique région de Banneux, Pays des Sources au cœur des Ardennes Bleues

    Notre Marche nous conduira jusqu’au sanctuaire de Banneux, où nous pourrons venir trouver réconfort et soutien auprès de la Vierge des pauvres.

    Les inscriptions ont déjà commencé : ne tardez pas ... inscriptions limitées…

    Cette année : c’est possible en un clic docs.google.com

    Infos complémentaires sur le site emmanuel.info

    N’hésitez pas à y inviter vos amies, connaissances… 

  • Profanations à la chapelle militaire de la base navale de Toulon

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    Nous lisons sur "juridique et culturel"

    Profanation anti-catholique sur la base navale de Toulon

    La base navale de Toulon est un centre industriel militaire qui emploie 20 000 personnes. C'est le premier port militaire d'Europe, il concentrerait environ 70 % des forces navales françaises. Vues les missions qui sont dévolues à l'armée, on pourrait croire à un environnement moral de haut niveau… 

    Via le Salon beige, voici un communiqué de Mgr Poignard, « vicaire général du diocèse aux armées françaises » :

    « J'apprends ce samedi soir que la chapelle militaire de la base navale de Toulon a été profanée. On s'en est pris aux trois grands symboles de notre foi : le St Sacrement (tabernacle renversé et brisé, les saintes espèces répandues sur le sol), le baptistère totalement brisé et l'ambon (la Parole de Dieu jetée à terre et piétinée).

    L'intolérance pénètre maintenant à l'intérieur des enceintes militaires : il y a de quoi être vraiment très inquiets.

    FAITES CONNAITRE CET EVENEMENT ODIEUX... » (...)

  • La laïcité doit être une religion comme une autre

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    Le-cardinal-Scola-nouvel-archeveque-de-Milan-appelle-les-Italiens-a-la-concorde_article_main.jpgLe 7 décembre, en Italie, on fête saint Ambroise, patron de Milan, et l'archevêque prononce traditionnellement un discours devant les autorités. Cette année, on célèbre le 1700e anniversaire de l'"édit de Constantin". Le Cardinal Scola a donc prononcé un discours sur le thème de la laïcité (source : Benoît et moi) :

    "Avec l'édit de Milan apparaissent pour la première fois dans l'histoire ces deux dimensions que nous appelons aujourd'hui "liberté de religion" et "laïcité de l'Etat". (…). Saint Ambroise n'a jamais hésité à appeler les chrétiens à être loyaux envers l'autorité civile, qui à son tour devait garantir aux citoyens la liberté à la fois personnelle et sociale » mais sur la base de références anthropologiques  généralement reconnues par tous, ajoute le cardinal.

    Toutefois dans les Etats démocratico-libéraux «l'évolution  n'a cessé de modifier l'équilibre sur lequel reposait traditionnellement le pouvoir politique », observe Scola. L'archevêque attribue cette évolution, «au modèle français de 'laïcité(en français dans le texte), qui a semblé à la plupart des gens la réponse adéquate pour assurer la pleine liberté religieuse, en particulier pour les groupes minoritaires. Il est basé sur l'idée de l'in-différence ‘, définie comme la ‘neutralité’ des institutions de l'État à l'égard du phénomène religieux et cela semble à première vue comme étant adapté à construire un milieu favorable pour la liberté religieuse de tous. Il s'agit d'un concept désormais largement répandu dans la culture juridique et politique européenne dans lequel, cependant, à bien y regarder, les catégories de la liberté religieuse et de la soi-disant ’neutralité’ de l'Etat se chevauchent de plus en plus, au point de finir par se confondre».

    Donc une "laïcité" qui a fini par devenir un modèle «mal disposé» à l'égard du phénomène religieux. Pourquoi? «Tout d'abord, l'idée même de "neutralité" s'est avérée très problématique, surtout parce qu'elle n'est pas applicable à la société civile, dont l'Etat doit toujours respecter la priorité, se limitant à la gouverner et ne prétendant pas la gérer.

    Respecter la société civile implique la reconnaissance d'un fait objectif: aujourd'hui dans les sociétés civiles occidentales, en particulier en Europe, les divisions les plus profondes sont celles entre culture laïque et phénomène religieux, et non pas - comme on le pense souvent à tort - entre croyants de différentes religions. En ignorant ce fait, la juste et nécessaire a-confessionalité de l'État en est venue à dissimuler, sous l'idée de "neutralité", le soutien de l'État à une vision du monde fondée sur l'idée séculariste et sans Dieu. Mais celle-ci n'est qu'une parmi les visions culturelles qui peuplent la société plurielle. De cette manière, l'Etat soi-disant "neutre", loin d'être tel, fait sienne une culture spécifique, celle séculariste, qui à travers la législation devient culture dominante et finit par exercer un pouvoir négatif par rapport à d'autres identités, surtout celles religieuses, présentes dans la société civile, tendant à les marginaliser, sinon à les exclure du domaine public».

    Une société plurielle qui subit en fait l'hégémonie d'une culture laïciste: «Sous un semblant de neutralité et d'objectivité des lois, se cache et se répand - du moins en pratique - une culture fortement marquée par une vision sécularisée de l'homme et du monde, privée d'ouverture au transcendant. Dans une société plurielle, une telle culture est légitime en soi, mais seulement comme une parmi les autres. Si toutefois l'État la fait sienne, il finit inévitablement par restreindre la liberté religieuse». [...]"

    http://benoit-et-moi.fr/2012%28III%29/articles/la-lacite-a-la-française-est-nefaste.php

    Reste à savoir quelles sont les valeurs qui s'imposent à tous et sans lesquelles la vie en société est impossible: entre la contingence du contrat social et la loi naturelle, il faut choisir... 

  • France : la manifestation du 13 janvier confiée à l'Immaculée

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    imagesCASOYZYT.jpgDu Père Abbé de l’abbaye bénédictine de Triors, Dom Hervé Courau, aujourd’hui dans son homélie pour la fête de l’Immaculée Conception :

    "En ce jour de fête, nous voulons confier à Marie toute Pure les efforts de notre pays pour empêcher les lois qui ne cessent de défigurer la famille et la transmission de la vie. La France a un fond chrétien fort, elle a un fond de droiture qui se manifeste ces jours-ci face aux menaces de l'actualité : je pense bien sûr au projet de loi infâme, mais aussi aux orientations prises par le Sénat sur la bioéthique, qui évoquent le terrifiant précédent nazi. Aussi nous nous confions à l'Immaculée et nous lui consacrons la marche du 13 Janvier prochain.

    Devant Elle, je veux citer Dom Guéranger qui a œuvré avec tant d'intelligence surnaturelle à la proclamation de son dogme : Considérons l'état misérable du genre humain, au moment où le Christ va paraître... Tous les droits, hors celui du plus fort, sont oubliés ; la volupté, la cupidité, le larcin reçoivent l'encens. La famille est anéantie par le divorce et l'infanticide ; les nations même périssent par les guerres d'extermination. Le genre humain n'en peut plus, prêt à succomber dans une dissolution honteuse et sanglante. Les justes qu'il contient encore, et qui luttent contre le torrent et la dégradation universelle, ne le sauveront pas, car ils sont méconnus des hommes, et leurs mérites ne sauraient, aux yeux de Dieu, pallier l'horrible lèpre qui dévore la terre... Ô Marie ! Arche d'Alliance formée d'un bois incorruptible, revêtue de l'or le plus pur, aidez-nous (Année Lit. tome I, 3 & 8 Décembre), ce temps-ci est vraiment à vous. Notre prière rejoint la prière de l’Église, Gaudeamus"

    Source ici : La manifestation du 13 janvier confiée à l'Immaculée

    L’abbaye de Triors (dans la Drôme) a été fondée le 6 octobre 1984  par des moines venus de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault. Les quatorze premiers moines s'installent dès août 1984 dans un château du XVIIIe siècle qui est légué à la congrégation de Solesmes par la dernière propriétaire. De grands travaux commencent à partir du début des années 1990 pour transformer le prieuré en véritable abbaye bénédictine. L'abbatiale, commencée en 1990 et achevée en 1993 est dédicacée à l'Immaculée Conception le 5 octobre 1996. La communauté compte aujourd’hui 40 moines.

    L'abbaye a gardé les traditions liturgiques grégoriennes et dès 1988 a profité de l'indult envers le rite de Saint Pie V. Elle dépend à ce titre de la Commission pontificale « Ecclesia Dei » depuis 1988. L'abbaye a réalisé une discographie grégorienne complète de l'ensemble du cycle temporal du calendrier liturgique catholique.

  • Non, les religions monothéistes ne sont pas des vecteurs de violence

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    LE MONOTHEISME N'EST PAS PORTEUR DE VIOLENCE (VIS - Vatican Information Service)

    Le Saint-Père a reçu ce matin (7 décembre) la Commission théologique internationale, qui s'apprête à tenir sa session plénière, remerciant tout d'abord ses membres de leur message pour l'Année de la foi. Il exprime bien, a dit Benoît XVI à ses hôtes, "la manière spécifique qu'ont les théologiens de participer à l'élan évangélique de l'Eglise en servant fidèlement la vérité de la foi". Il reprend les thèmes du document intitulé "La théologie aujourd'hui, critères et perspectives." (...) Ainsi le document clarifie-t-il les critères d'une théologie authentiquement catholique, capable par conséquent de contribuer à la mission de l'Eglise.

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