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liturgie - Page 91

  • Peut-on digitaliser les sacrements sans rendre infranchissable la distance entre l’homme et son Dieu ?

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    Confinement prophylactique oblige dans la lutte contre la pandémie du coronavirus, la "consommation" virtuelle de liturgies s’est multipliée, à l’initiative du clergé, alors que les églises demeurant ouvertes, dans le respect des conditions sanitaires prescrites pour l’adoration du Saint-Sacrement exposé avec la présence d’un prêtre, se comptent sur les doigts d’une main. La prudence explique-t-elle tout dans cette faveur du virtuel ? Une réflexion du diacre namurois Olivier Collard sur le site « diakonos.be » :

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    " Pendant le confinement, nous avons assisté à un foisonnement d’initiatives et de propositions liturgiques plus ou moins heureuses, allant de la messe retransmise en direct par internet, plus ou moins interactive, aux rameaux bénits jusque dans notre salon, par la magie des ondes, en passant par diverses propositions de liturgies domestiques.

    Récemment, un théologien de l’Université catholique de Louvain exigeait que l’on accepte enfin de reconnaître la validité du sacrement de réconciliation donné par téléphone.  De plus en plus de fidèles considèrent à présent que les nouvelles technologies sont non seulement à même de pallier l’impossibilité de participation physique aux célébrations mais constituent un mode plus actuel et plus attractif de rejoindre les fidèles et de participer à la liturgie.  D’autant que depuis la bonne vieille messe télévisée du dimanche matin de nos grand-parents, les technologies ont beaucoup évolué et permettent aujourd’hui à tout un chacun de proposer une expérience spirituelle interactive à distance avec une grande facilité.

    Des caméras sur les autels: voyeurisme et consumérisme ou proximité pastorale et lien ecclésial?

    Si certains dénoncent la désacralisation rampante liée à cette virtualisation de la liturgie, voire une certaine forme de voyeurisme nourri par le désir de vouloir tout voir et tout comprendre quand la caméra s’invite jusque sur l’autel, d’autres considèrent que voir sur nos écrans d’autres personnes prier peut nous inciter à la prière personnelle, tandis que d’autres encore considèrent que les technologies actuelles permettent une proximité identique, sinon plus intime avec le célébrant et une participation quasiment aussi efficace et fructueuse au mystère célébré.

    Alors que certains mettent en avant l’avantage de pouvoir facilement maintenir un lien ecclésial à distance, d’autres mettent en garde contre un cléricalisme de mauvais aloi centré sur la messe du prêtre, contre le maintien d’une attitude consumériste du fidèle et contre le danger du shopping spirituel due à l’ubiquité des nouvelles technologies.  Le recours excessif aux nouvelles technologies en période de crise et la dépendance consumériste qu’elles peuvent induire pourrait-il devenir une occasion manquée de développer la dimension missionnaire et la responsabilité de chaque chrétien?

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  • Les célébrations du Lundi de Pâques sur les écrans et à la radio

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    https://www.egliseinfo.be/horaires/%2523internet%20all-celebration

  • Les offices de Pâques sur les médias

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    Sur KTO :

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    10h00 : Messe de la Résurrection en direct de la grotte de Lourdes

    11h00 : Messe de la Résurrection célébrée par le pape François, en direct de Rome

    12h00 : Bénédiction Urbi et Orbi donnée par le pape François, en direct de Rome

    18h30 : Messe de la Résurrection célébrée par Mgr Michel Aupetit, en direct de Saint-Germain-l’Auxerrois 

    En Belgique :

    https://www.egliseinfo.be/horaires/%2523internet%20all-celebration

  • Nous savons que le Christ est vraiment ressuscité !

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    Goûtons, encore et encore, à la joie pascale durant ces jours de l'octave. Cette belle séquence grégorienne (XIe siècle) nous y aidera :

    Victimæ paschali laudes
    immolent Christiani.

    Agnus redemit oves:
    Christus innocens Patri
    reconciliavit peccatores.

    Mors et vita duello
    conflixere mirando:
    dux vitae mortuus,
    regnat vivus.

    Dic nobis Maria,
    quid vidisti in via?

    Sepulcrum Christi viventis,
    et gloriam vidi resurgentis:

    Angelicos testes,
    sudarium, et vestes.

    Surrexit Christus spes mea:
    praecedet suos in Galilaeam.

    Scimus Christum surrexisse
    a mortuis vere:
    tu nobis, victor Rex, miserere.
    Amen. Alleluia!

    À la Victime pascale, les chrétiens offrent un sacrifice de louanges.

    L'Agneau a racheté les brebis ;

    le Christ innocent a réconcilié les pécheurs avec le Père.

    La mort et la vie se sont affrontées en un duel admirable

    le guide de la vie, bien que mort, règne vivant.

    Dis-nous, Marie, ce que tu as vu en chemin.

    J'ai vu le tombeau du Christ vivant et la gloire de sa résurrection,

    Les anges témoins, le suaire et les vêtements.

    Christ, notre espérance, est ressuscité, il précèdera les siens en Galilée.

    Nous savons que le Christ est vraiment ressuscité des morts.

    Toi, Roi vainqueur, aie pitié de nous.

    Ainsi soit-il, Alleluia!

  • Suspension du culte public de l’Église alors qu'on célébre le mystère pascal : une pure coincidence ?

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    De l'Abbé Henri Vallançon, bibliste, sur le site de l'Homme Nouveau :

    Pâques 2020 : le retrait de la gloire de Dieu

    Pâques 2020 : le retrait de la gloire de Dieu

    Dans le malheur qui frappe actuellement notre monde, avec cette épidémie, nombre d’hommes d’Église ont tenté, ici ou là, des interprétations de la situation présente. Il est troublant de ne trouver presque jamais, venant de clercs, une tentative d’éclairage spécifiquement religieux de cette crise. Leurs propos dénoncent : le « système » dans lequel nous vivons, la difficulté à prendre conscience que les ressources ne sont pas illimitées, la course folle et trop rapide de notre monde, la machine financière, la crise écologique, l’égoïsme, l’individualisme, la recherche du profit, le consumérisme outrancier, le manque de solidarité, l’avidité du gain, les guerres et les injustices, le cri des pauvres et de notre planète gravement malade… Pour être sans doute réelles, ces causes invoquées ne visent que des facteurs socio-économiques. Venant d’hommes d’Église, détachés de responsabilités temporelles pour se consacrer aux choses de Dieu, cela ne revient-il pas à battre la coulpe des autres, sans faire retour sur soi et voir si notre propre responsabilité spirituelle de clercs n’est pas aussi concernée ? Ne nous exonérons-nous pas de l’effort que nous réclamons du monde ? Ne faudrait-il pas chercher dans l’épidémie actuelle un message de Dieu pour son Église ?

    L’inouï de cette crise

    Le coronavirus Covid-19 est à la fois très contagieux et faiblement mortel (la courbe de mortalité dans les pays atteints augmente à peine, si on la compare aux années antérieures à la même époque de l’année : il meurt habituellement 17 millions de personnes de maladie infectieuse par an dans le monde). Mais il interrompt le culte public de l’Église. N’est-ce pas là l’inouï de cette crise ? Personne ne conteste le bien-fondé de l’interdiction actuelle des rassemblements pour limiter la propagation du virus. Il faut bien faire tout ce qu’il est possible pour l’enrayer et les assemblées de fidèles dans les églises ne sont pas raisonnables à ce moment. Pas de messe publique à Saint-Jean-de-Latran, à Saint-Pierre de Rome, ni au Saint-Sépulcre à Jérusalem dans aucun des rites liturgiques – et Dieu sait qu’elles sont suivies par une foule dense –, ni dans la quasi-totalité des cathédrales et églises du monde. Quel événement spirituel majeur ! En deux-mille ans d’histoire de l’Église, cela n’est jamais arrivé. Au pire des persécutions, on célébrait dans les maisons. Là, non. Il faut remonter à la grande crise des années 167-164 avant Jésus-Christ, dont parle le livre de Daniel et les livres des Macchabées, pour trouver le dernier épisode de l’interruption du culte public de Dieu dans son peuple.

    Dans cette situation extrême, même les courants du christianisme les plus strictement attachés à l’observance de la loi de Dieu ne se distinguent plus des autres : les communautés catholiques traditionalistes ont aussitôt emboité le pas à la Conférence des évêques de France, sans mot dire ; le Saint-Synode permanent de l’Église orthodoxe de Grèce avait commencé par déclarer que la communion eucharistique n’était pas le danger mais le remède, avant de revenir huit jours plus tard sur ses déclarations, invitant chacun à rester chez soi. Tous ont fini par s’y résoudre : le culte public de l’Église est suspendu. Comment ne pas penser qu’il y a là un message que Dieu nous adresse ? Comment ne pas souligner en plus que cette suspension du culte public de l’Église a lieu précisément en cette période liturgique-là : la célébration du mystère pascal ?

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  • Le grand silence du Samedi Saint

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    (source)

    Jour de passage entre le Vendredi Saint et le dimanche de Pâques, le Samedi Saint est célébré par l’Église comme le jour du silence de Dieu. Dieu est silence. Saint Jean de le Croix, le grand mystique espagnol, a contemplé dans le silence du carmel l’Amour silencieux de la Trinité : « Le Père n’a dit qu’une parole : son Fils. Il la dit toujours dans le silence, un silence sans fin. C’est dans le silence qu’elle peut être entendue. »

    Par ailleurs, le silence du Samedi Saint nous renvoie à tous les moments tragiques de notre histoire où Dieu semble se taire dans un silence incompréhensible tandis que des cris jaillis de notre âme montent vers Celui qui peut nous sauver : silence de Dieu au cours des maladies, des accidents, des injustices et en dernier lieu de la mort.

    La liturgie l’office des Lectures reprend en ce jour de deuil une homélie ancienne pour le grand et saint Samedi : « Aujourd’hui grand silence sur la terre ; grand silence et ensuite solitude parce que le Roi sommeille. »

    La mort de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs, comme l’indiquait sur le poteau de la croix l’écriteau rédigé par Pilate, est comparée au sommeil dans les profondeurs de la terre. Enseveli, le Fils de Dieu fait homme attend l’Esprit-Saint, Amour silencieux du Père et du Fils, que le Père va envoyer pour le relever de la mort au troisième Jour. En tant qu’homme, Jésus le Christ a attendu la résurrection comme les hommes croyants l’attendent au moment de leur décès. Jésus le Christ a attendu l’Esprit-Saint en mettant sa confiance dans le Père : « Père, en tes mains je remets mon esprit » (Lc 23,46).

    Lors de la création du monde en six jours, Dieu s’était reposé le septième jour, origine du sabbat, jour de repos en Dieu et à l’exemple du Créateur. Le Samedi Saint, jour de repos, « tout est accompli » (Jn 19,30).

    Dans les enfers

    La liturgie du Samedi saint célèbre aussi la descente du Christ aux enfers : « Il est allé prêcher même aux esprits en prison » (Première épître de saint Pierre, 3,19). Dans le silence tragique de la mort de ce Samedi Saint, l’Église se réjouit déjà de la rencontre du Christ avec les captifs de la mort symbolisés par Adam et Ève. Une belle icône orientale offre à nos yeux ce grand mystère de la résurrection du Christ qui prend par la main Adam et Ève qui représentent tous les défunts qui ont attendu la venue du Messie, pour les relever des ténèbres et les placer à la droite de son Père. Jésus ne ressuscite pas seul.

    Sur la terre

    Alors que la dépouille mortelle de Jésus repose dans le tombeau offert par Joseph d’Arimathie, membre du Conseil, homme droit et juste, la Vierge Marie attend dans la foi la résurrection de son Fils.

    Le Samedi Saint représente un passage difficile entre les ténèbres du Calvaire et la lumière de la Nuit pascale. La Vierge Marie veille en ce samedi méditant dans son cœur les paroles et les événements du fruit béni de ses entrailles, Jésus. C’est pourquoi la liturgie catholique aime à faire mémoire de la foi de la Vierge Marie précisément le samedi, jour de « passage », temps de l’attente dans l’espérance, afin d’inviter les chrétiens à imiter la foi de la Mère de Dieu, qui est aussi la foi de l’Église. Proche de nous, la Vierge Marie intercède pour les hommes dans les passages douloureux de leur existence.

    Marie est aussi celle qui prépare les venues du Seigneur dans l’Évangile : Annonciation, Noël, Cana, Calvaire et Cénacle lors de la Pentecôte. Femme de désir, habitée par la Parole révélée à Israël, Marie vit tournée vers Dieu, disponible comme l’humble servante du Seigneur.

    Aujourd’hui elle prépare par sa prière maternelle la venue du Christ glorieux à la fin des temps lors du Jugement dernier. Elle désire aussi que le Christ vienne maintenant inonder nos cœurs de la lumière de sa Résurrection.

    Le Samedi Saint, les cloches des églises se taisent. Puissions-nous consacrer du temps à l’adoration silencieuse du Christ Jésus en méditant dans notre cœur l’Évangile à l’exemple de la Vierge Marie.

    Le grand silence de Dieu...
  • Célébrations et Ostension du Saint Suaire sur vos petits écrans ce Samedi Saint

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    Sur KTO :

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    Samedi Saint à 17h, ostension exceptionnelle du Suaire de Turin

    « Samedi Saint, le Saint-Suaire sera exposé à la vénération des fidèles lors d’une prière en direct sur les réseaux sociaux et à la télévision » a annoncé Mgr Cesare Nosiglia, archevêque de Turin et évêque de Suse (Italie). Mgr Nosiglia, dirigera la liturgie dans la chapelle de la cathédrale où est conservée la précieuse relique pour demander la grâce de vaincre l'épidémie de Covid-19. Production CTV.

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    Samedi Saint
  • En communion par l'écoute avec les moines de Chevetogne

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    Du site du Monastère de Chevetogne :

    Communion par l’écoute en temps de confinement

    Communion par l’écoute en temps de confinementPar la transmission audio online (« webcast ») de leurs célébrations liturgiques, les moines de Chevetogne invitent tous ceux qui le désirent à y prendre part, chacun dans le lieu et la situation où il se trouve.

    En principe, tous les offices byzantins et tous les offices communs (célébrés par l’ensemble de la communauté, soit au rite byzantin soit au rite latin) sont transmis online et en direct. Sur le site du monastère, un calendrier liturgique  vous informe de l’horaire des offices, tandis qu’un petit haut-parleur [] indique si un office est transmis par le webcast. 
    Vous pouvez accéder à la transmission online en cliquant soit sur le petit haut-parleur, soit en vous rendant à la rubrique « Webcast » dans le menu « Offices ». Vous pouvez rejoindre le webcast aussi directement par ce lien: http://www.monasteredechevetogne.com/webcast ou, encore, par celui-ci: http://www.mixlr.com/chevetogne. Ce dernier site internet, qui assure les émissions audio de Chevetogne, vous donne aussi la possibilité de vous inscrire (« sign up ») afin d’être averti par email chaque fois qu’une émission commence.

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  • Les célébrations du Vendredi Saint (TV, radio, Internet)

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    Sur KTO :

    Vendredi Saint, le 10 avril

    Le Vendredi Saint, l’Église fait mémoire de la Passion du Christ et de sa mort sur la Croix. L’Eglise ne célèbre pas de messe mais l'Office de la Passion du Seigneur, centré sur le chant du serviteur souffrant et la proclamation de la Passion selon saint Jean. C’est aussi le temps de la vénération de la Croix par tous les fidèles.

    L’Eglise demande aux fidèles le jeûne et l’abstinence pour s’unir aux souffrances du Christ. Les chrétiens sont aussi invités à participer au Chemin de Croix.

  • Ce Samedi Saint : ostension exceptionnelle du Saint Suaire

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    El Santo Sudario - Photo de Musée du Saint Suaire (Museo della ...

    De Vatican News :

    Prière devant le Saint-Suaire lors du Samedi Saint

    Lors du Samedi Saint, l'archevêque de Turin et évêque de Suse, Mgr Cesare Nosiglia, dirigera une prière devant le Saint-Suaire dans la chapelle de la cathédrale où est conservée la précieuse relique pour demander la grâce de vaincre l'épidémie de Covid-19. Cette liturgie de prière et de contemplation sera retransmise en direct à la télévision et sur les réseaux sociaux.

    L'archevêque de Turin, Mgr Nosiglia, a présenté ce samedi midi cette initiative prise après avoir reçu des milliers de messages de la part de fidèles lui demandant de pouvoir prier durant la Semaine Sainte devant le Saint-Suaire. Le but est de demander au «Christ mort et ressuscité - que le Saint-Suaire nous présente d'une manière aussi vraie et concrète – la grâce de vaincre le mal comme il l'a fait lui, confiant dans la bonté et la miséricorde de Dieu».

    C'est ainsi que le Samedi Saint, à 17 heures en Italie, l'archevêque de Turin présidera une longue prière devant le Saint-Suaire. «Grâce à la télévision et aux réseaux sociaux, ce temps de contemplation mettra à disposition de tout le monde, dans le monde entier, l'image du Saint-Suaire qui nous rappelle la passion et la mort du Seigneur mais qui ouvre aussi notre cœur à la foi dans sa résurrection,» a expliqué Mgr Nosiglia.

    «L'amour est plus fort: c'est l'annonce pascale que le Saint-Suaire nous amène à revivre et dont il remplit nos cœurs de reconnaissance et de foi, a-t-il poursuivi. Oui l'amour avec lequel Jésus nous a donné sa vie et que nous célébrons durant la Semaine Sainte est plus fort que la souffrance, la maladie, la contagion, les épreuves et le découragement. Rien ni personne ne pourra nous séparer de cet amour parce qu'il est fidèle pour toujours et qu'il nous unit à lui par un lien indissoluble.»

    L'archevêque de Turin a également rappelé les mots que le Pape François avait adressés dans son message à l'occasion de l'ostension de 2013: «c'est Lui qui nous regarde pour nous faire comprendre quel grand amour il a eu pour nous, nous libérant du péché et de la mort. Ce visage parle à notre cœur et nous communique une grande paix et c'est comme s'il nous disait : aie confiance, ne perds pas l'espérance, la force de l'amour de Dieu et du Ressuscité vainc tout».

    À l'issue de cette liturgie, sur les réseaux sociaux, seront retransmis un dialogue et une réflexion entre experts et témoins de la période si particulière que nombre de personnes vivent dans le monde.

    A voir en direct sur KTO :

    Samedi Saint à 17h, ostension exceptionnelle du suaire de Turin

    « Samedi Saint, le Saint-Suaire sera exposé à la vénération des fidèles lors d’une prière en direct sur les réseaux sociaux et à la télévision » a annoncé Mgr Cesare Nosiglia, archevêque de Turin et évêque de Suse (Italie).

    Dans son message pour l’ostension de 2013, le pape François avait écrit que, dans le suaire, « c’est le Christ qui nous regarde pour nous faire comprendre quel grand amour il a eu pour nous, en nous libérant du péché et de la mort », nous invitant à avoir confiance, à « ne pas perdre l’espérance ».Mgr Nosiglia, dirigera la liturgie dans la chapelle de la cathédrale où est conservée la précieuse relique pour demander la grâce de vaincre l'épidémie de Covid-19.

    Lire aussi :

    https://fr.zenit.org/articles/samedi-saint-le-saint-suaire-de-turin-au-coeur-dune-liturgie/? 

    http://x0wws.mjt.lu/nl2/x0wws/5kl0j.html?

  • Eglise du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) : l’église et le chantier de restauration restent ouverts

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    En cette période de confinement prophylactique prescrit par les autorités publiques pour circonscrire l’épidémie de coronavirus, les rassemblements de personnes sont interdits jusqu’à nouvel ordre. Les offices religieux n’échappent pas à ces mesures sanitaires préventives: l’église du Saint-Sacrement est naturellement tenue de les respecter, même si elle continue d’accueillir les actes de piété individuels. 

    Eglise ouverte

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    En effet, sauf décision contraire de la commune, les églises peuvent rester ouvertes pour la prière personnelle et le recueillement quand c’est possible. En tant qu’espaces publics, elles sont bien évidemment soumises aux mesures gouvernementales, dont le respect de la distance de sécurité.

    Moyennant le respect de ces conditions, l’église du Saint-Sacrement a choisi de rester ouverte à la dévotion individuelle des fidèles les mardis de 17h à 19h, jeudis de 10h à 12h et de 14h à 17h, vendredis de 12h à 14h, samedis, de 14h00 à 17h00 et dimanches, de 14h00 à 17h00.

    Le vendredi-saint 10 avril, à partir de 12h00 jusqu'à 15h00, l'église accueillera, dans les conditions sanitaires requises, les personnes désireuses d'accomplir un chemin de la croix. Une exposition sur le Saint-Suaire de Turin est également visible.

    La présence d’un prêtre est toujours assurée.

    Travaux de restauration

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    Par ailleurs, sous les conditions, notamment de distanciation et d’hygiène, exigées pour préserver la santé du personnel des entreprises, les travaux de restauration de l’église, qui ont débuté le lundi 2 mars dernier, se poursuivront sans interruption (sauf cas de force majeure) jusqu’à la date de clôture du chantier prévue le 11 décembre prochain.

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  • Semaine Sainte en confinement; feuillet du Jeudi Saint (9 avril) : Litanies

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