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Histoire - Page 169

  • Soeur Marie-Emilienne, une "Juste parmi les Nations"

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    yadvashemjustes.jpgElle a agi « avec la bénédiction de l'Église » Source : ZENIT.ORG

    Soeur Marie Émilienne (au siècle, Marie-Rose Hermantier ) a été reconnue « Juste parmi les Nations », lors d’une cérémonie officielle à Jérusalem, au mémorial de la Shoah de Yad Vashem, rapporte le site « Terra Santa » qui a aussi recueilli les propos du P. David Neuhaus, sj, vicaire patriarcal pour les catholiques de langue hébraïque.

    Avec les années qui nous séparent désormais de la Seconde Guerre Mondiale, il est de plus en plus rare de voir réunies durant cette toujours émouvante cérémonie, la personne sauvée et la personne qui a permis le sauvetage. Ce fut pourtant le cas à Yad Vashem mardi dernier. Sr Émilienne est arrivée au bras de Gaby. Et elles sont restées côte à côte durant la célébration dans la pénombre de la Chambre de la mémoire où Sr Marie Émilienne a ravivé la flamme du souvenir.

    Gaby avait deux ans et demi, Sr Marie-Émilienne 21 quand leurs destins se sont croisés.  Les parents de Gaby, David et Héla-Zissa Hochman, émigrés de Pologne en France en 1923 fuyaient devant l’avancée Allemande. En septembre 1943, ils confièrent leurs deux filles à l’Œuvre de secours aux enfants (OSE), une association juive d’entraide qui les cacha dans ce couvent servant aussi de refuge à la Résistance.  Hélas, la maman, fut arrêtée par la Gestapo en voulant aller rendre visite à ses filles. Déportée à Auschwitz, elle y fut assassinée le 2 novembre 1943.

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  • Voyager au "Pays des Cèdres" avec l'Ordre Libanais Maronite du 16 au 23 avril

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  • Les "coulisses du Vatican"

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    Voulez-vous explorer les coulisses du Vatican? C'est ici (sur "Radio Vatican") :

    Les coulisses du Vatican
    ›  les coulisses du Vatican, le conservatoire de la pierre des Musées du Vatican
    ›  le chœur de la basilique Saint-Pierre
    ›  la Garde suisse pontificale
    ›  le conseil pour la promotion de la nouvelle évangélisation
    ›  le comité pontifical des sciences historique
  • La trajectoire la plus incroyable dans l'Allemagne du XXe siècle

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    « Mon frère, le pape », par Georg Ratzinger et Michael Hesemann (source : ZENIT.ORG)

    En parlant avec Mgr Georg Ratzinger, Michael Hesemann s’est forgé deux convictions essentielles : d’un côté, il y a un « secret de famille » qui explique  la trajectoire impressionnante des deux frères Ratzinger ; de l’autre, la providence de Dieu, dès avant la naissance de Joseph, a posé les fondations qui l’ont mené jusqu’au Siège de Pierre.

    Il raconte à Zenit  « la carrière la plus incroyable de l’Allemagne du XXe siècle, à l’occasion de la publication du livre en anglais.

    Zenit – Quelle a été votre votre expérience personnelle avec Mgr Ratzinger : comment avez-vous transcrit ses souvenirs ?

    M. Heseman – Lorsque Benoît XVI a été élu et a annoncé qu’il viendrait en Allemagne pour la Journée mondiale de la jeunesse à Cologne, un de mes éditeurs m’a demandé d’écrire une biographie du nouveau pape. N’ayant que deux semaines pour mener à bien ce projet, je n’étais pas en mesure de faire une recherche en profondeur, mais cela m’a donné l’idée de faire un jour l’interview de Georg Ratzinger, premier témoin de la carrière la plus incroyable de l’Allemagne du XXème siècle – celle du fils d’un gendarme de campagne devenu le chef spirituel de plus d’un milliard de catholiques. Ce n’était encore qu’une idée et j’étais certain que, tôt ou tard, quelqu’un de bien plus proche de lui ferait ce travail et écrirait un livre avec lui. J’ai attendu longtemps, mais rien ne s’est passé.

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  • Un acte d'héroïsme au Pays de Liège

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    C'est Lily Portugaels qui, dans la Gazette de Liège, retrace "La belle histoire des Goffin"

    "Il y a 200 ans, un mineur ansois et son fils sauvaient 70 de leurs compagnons prisonniers de la mine. Hubert Goffin fut décoré pour cet acte héroïque.

    Chronique

    A Liège, dans le passé, on était souvent, par tradition, mineur de père en fils. Des familles entières travaillaient parfois dans la même bure (puits). A 41 ans, Hubert Goffin est déjà père de sept enfants. Il est lui-même le troisième enfant d’un père mineur et d’une mère botrèsse (botteresse, hotteuse de charbon). Il ne sait ni lire, ni écrire, s’exprime plus souvent en wallon qu’en français mais sa réputation d’excellent ouvrier l’a fait nommer contremaître.

    Le 28 février 1812, Hubert et son fils Mathieu (12 ans), coiffés d’un chapeau en cuir bouilli sur lequel est fixée, à l’aide de terre glaise, une chandelle pour les éclairer, extraient du charbon à 170 mètres de profondeur. Hubert voit tout à coup de l’eau qui dévale d’une hauteur de 70 mètres, et s’engouffre dans les galeries. Immédiatement, il appelle son fils et alerte tous ses compagnons. Le panier ou "cuffat" qui remonte la houille et les mineurs, est justement au fond. Hubert grimpe dedans y entraînant son fils. A ce moment dans la pagaille qui s’installe, Hubert se rend compte qu’il est le seul à pouvoir prendre les mesures qui s’imposent et à organiser les secours. Il décide de rester cède sa place à un compagnon. Mathieu sort aussi du panier. Il veut rester près de son père.

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  • Dom Reginald Grégoire, RIP

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    "Il était surnommé « le moine des saints ». Le religieux bénédictin belge Réginald Grégoire est décédé dimanche 26 février dans son ermitage de San Silvestro in Montefano, en Italie, près de la ville d’Ancône. Sa disparition a été annoncée par l’Osservatore Romano. Agé de 77 ans, il était né à Bruxelles. Il a été professeur universitaire dans plusieurs établissements italiens, notamment à Pise, Pavie et Urbino ainsi que dans diverses universités pontificales. Il a travaillé aussi à la Secrétairerie d’Etat entre 1957 et 1983.

    Il était un fin connaisseur de l’histoire de la vie consacrée au Moyen-Age et s’est intéressé tant au monachisme bénédictin qu’aux chanoines réguliers de la réforme grégorienne. Ses publications dépassent les 650 unités et concernent surtout les disciplines historiques, médiévales et hagiographiques."

    Source : Marie, étoile de l'évangélisation

  • Le "Jésus" de Jean-Christian Petitfils

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    arton1049.jpg"Pas de révélation dans cette étude scrupuleuse ; plutôt une confirmation de ce que le croyant sait déjà mais a peut-être oublié. Une bonne raison alors de se plonger dans cette passionnante vie de Jésus racontée par un historien dont la plume claire et élégante nous met au cœur de l’action afin de mieux nous réinterroger sur notre foi..."

    Lire la suite ici : http://www.dimanche.be/Jesus.html

  • Un "buzz" révélateur dans l'Hexagone

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    Les propos politiquement et culturellement "incorrects" d'un député du Nord lui ont valu un lynchage médiatique orchestré par les lobbies LGBT; à découvrir ici : libertepolitique.com

  • La laïcité dans le droit de l’Union européenne et de ses Etats membres

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    Laicite.jpgDans le cadre des lunch-débats qu’elle organise à l’Université de Liège, l’Union des Etudiants catholiques (Cercle « Ethique sociale ») a invité Mgr Piotr Mazurkiewicz a débattre de « La laïcité dans le cadre des institutions de l’Union européenne ».

    Monseigneur Mazurkiewicz est le Secrétaire général de la Commission des Episcopats de la Communauté européenne (COMECE). Il est aussi professeur ordinaire d’Ethique politique à la faculté  des Sciences politiques de l’Université de Varsovie.

    La rencontre aura lieu le mardi 28 février 2012 à 18h00 au bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er étage: salle des professeurs (accès par la grande entrée de l'immeuble) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours à l’avance par tel . 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org

    Dans la perspective de ces échanges, voici quelques réflexions sur la notion de laïcité telle qu’elle s’est développée au cours des siècles et qui est loin de faire l’unanimité même au sein de l’Europe, la moindre des difficultés n’étant pas celle de savoir de quoi l’on parle exactement :

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  • BXL, 11 février : "Alexandre Soljenitsyne, le courage d'écrire"

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    Ce samedi 11 février à 12 h à la Librairie Quartiers Latins
    En collaboration avec les Éditions des Syrtes,

    Georges Nivat, professeur et traducteur, spécialiste du monde russe

    Alexandre Soljenitsyne
    Le courage d’écrire
    Entretien mené par Pierre Mertens, écrivain

    Vivre et écrire, un même courage

    « Né en 1918, mort en 2008, Alexandre Soljenitsyne, qui est mathématicien, a toujours eu tendance à schématiser sa vie, à l’interpréter selon des lignes de force mathématiques. 1972 est une année charnière où il semble qu’il ait compris qu’il lui était donné, en tant qu’écrivain, de multiplier sa vie par deux. Il a alors cinquante-quatre ans, il est dans la force de l’âge, et il est au carrefour de deux œuvres, dont chacune aurait suffi à sa gloire. La première, le « premier massif », c’est la dénonciation de l’empire de la violence camouflé sous l’appellation de socialisme, le Goulag ; et cela va du récit parfaitement classique dans sa forme, et extrêmement moderne par la langue, Une journée d’Ivan Denissovitch jusqu’à la cathédrale d’écriture qu’est L’Archipel du Goulag. En 1972, cette première œuvre est achevée, il relit L’Archipel, et il le prépare pour une publication à l’étranger qui probablement signifiera pour lui un arrêt de mort. Il y est prêt, et c’est ce qui lui donne un courage joyeux, athlétique : il sait qu’il ne cédera pas au monstre étatique qu’il combat. C’est un exploit de vie autant qu’un exploit d’écriture, proche de l’acceptation du martyre. Et cet exploit est déjà derrière lui, il ne peut plus revenir en arrière. » (Georges Nivat)

    « (…) Et puis relisez – ou lisez enfin – l’auteur d’Une Journée d’Ivan Denissovitch, jusqu’aux louanges rendues à Biely et Chmeliov. Tout nous vante, ça et là, la beauté des choses à l’heure où l’humanité perd de son âme.
    Et surtout ceci : la joie de vivre, de survivre aux pires catastrophes. » (Pierre Mertens)

    Georges Nivat, né à Clermont-Ferrand en 1935, est un universitaire français, historien des idées et slavisant, traducteur spécialiste du monde russe. Professeur honoraire, il a dirigé l’Institut européen de l’Université de Genève. Il a été l’un des traducteurs d’Alexandre Soljenitsyne et a également collaboré avec la maison d’édition L’Âge d’Homme, dont il a dirigé la collection Slavica consacrée à la littérature russe et d’Europe orientale. 

    Librairie Quartiers Latins
    14, Place des Martyrs
    1000 Bruxelles
    www.cfc-editions.be
    Entrée libre.

  • Quand un écrivain noir pourfend les mythes africains

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    sanglot_homme_noir_maj.jpgAlain Mabanckou vient de publier "Le sanglot de l'homme noir". Il se démarque des idées reçues concernant le continent africain et cela mérite un détour.

    Le sanglot de l'homme noir

    Éditions Fayard, 2012

    Présentation de l'éditeur

    Je suis noir, et forcément ça se voit.
    Du coup les Noirs que je croise à Paris m’appellent « mon frère ». Le sommes nous vraiment? Qu’ont en commun un Antillais, un Sénégalais, et un Noir né dans le Xème arrondissement, sinon la couleur à laquelle ils se plaignent d’être constamment réduits?
    J’oublie évidemment la généalogie qu’ils se sont forgée, celle du malheur et de l’humiliation – traite négrière, colonisation, conditions de vie des immigrés...
    Car par- delà la peau, ce qui les réunit, ce sont leurs sanglots. Je ne conteste pas les souffrances qu’ont subies et que subissent encore les Noirs. Je conteste la tendance à ériger ces souffrances en signes d’identité.
    Je suis né au Congo Brazzaville, j’ai étudié en France, j’enseigne désormais en Californie. Je suis noir, muni d’un passe- port français et d’une carte verte. Qui suis-je? J’aurais bien du mal à le dire. Mais je refuse de me définir par les larmes et le ressentiment.
    A.M.

    Un long entretien avec cet auteur peut être écouté sur le site de RCF: Visages Alain Mabanckou, écrivain

    RCF
  • L'espace sacré dans le christianisme

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    Philippe_Maxence_Guide_des_ecoles_catholiques_pas_comme_les_autres.jpgPrésentation de ce livre sur le site de l'Homme Nouveau :

    La fin du vingtième siècle a été marquée par une contestation du sacré et une transformation de l’aménagement des églises. Si on assiste ces dernières années à un retour du sacré, une question subsiste : en quoi le sacré peut-il être chrétien ? Et comment envisager un espace sacré ?

    En puisant dans les ressources de la géographie confrontée aux religions et aux rites, Marc Levatois montre que le sacré chrétien est un sacré relatif, subordonné à la sainteté. Chemin vers Dieu, il ne renferme pas Dieu sur lui, à la manière des sanctuaires païens. Il est au service des personnes, seules appelées à la sainteté, dans l’Église, elle-même Corps du Christ. Cette conception fonde l'espace sacré dans le christianisme occidental, traditionnellement orienté et délimité. Enrichi par le symbolisme d'inspiration biblique et les rites de l’Église, il a une histoire complexe. Présent dès les premiers siècles de l’Église, il s'affirme au Moyen Age avant d'être remis en cause à partir de la Renaissance et surtout de la Réforme. Sa redécouverte ouvre de nouveaux champs de réflexion.

    Né en 1959, ancien élève de l’École normale supérieure, Marc Levatois est agrégé et docteur en géographie et enseigne en classes préparatoires littéraires. Il est l'auteur d'un premier livre remarqué, La messe à l'envers

    Pour le commander : hommenouveau.fr