Victor Scribe présente le "petit traité des grandes questions historiques" :
La remise en cause des « mythes » historiques est devenue une pratique courante à une époque qui voit à la fois l’imposition d’une certaine « doxa » historique, au moins concernant certains sujets, et la diffusion, plus ou moins souterraine, d’informations contradictoires. Il y a quelques années la revue La Nef avait ainsi publié sous le titre éloquent de « Grands mythes de l’Histoire », un hors-série qui a connu plusieurs éditions. Ce fut ensuite Jean Sévillia qui chez un grand éditeur de livres d’Histoire destinés au grand public s’était lancé dans la réfutation de l’Historiquement correct, titre même de son livre, lequel vient d’ailleurs d’être renforcé par la publication d’un nouvel ouvrage au titre proche : Historiquement incorrect.