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Défense de la Vie - Page 188

  • La médecine et l'éthique

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    images (6).jpgSur le site de Liberté Politique, notre compatriote, le Docteur Ph. Schepens, membre ordinaire de l’Académie pontificale pour la Vie et ancien membre du comité directeur (1995-2004), Secrétaire général de la Fédération mondiale des médecins pour le respect de la vie humaine, s'attarde sur les défis éthiques de la médecine :

    "La médecine moderne fut fondée au 4ème siècle avant J.C. par Hippocrate. Les hommes et leurs familles ont toujours mis leur vie et la santé en toute confiance entre les mains de leur médecin. Cela a été et n'est possible que parce Hippocrate donna à ses disciples la mission de se tenir uniquement au service des êtres humains qui confient leur corps et leur santé entre leurs mains. La santé de la personne humaine est la loi suprême du médecin. Les médecins avaient, et ont toujours à suivre le fameux serment d'Hippocrate...

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  • Meurtre et avortement, un traitement différencié dans la confession ?

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    embr2.jpgLe 18 août, nous avons fait mention de l’autorisation donnée aux prêtres  par l’archevêque de Madrid, le Cardinal Antonio Maria Rouco Varela, de confesser eux-mêmes le péché de l’avortement (voir ici : http://www.belgicatho.be/).

    Les commentaires que nous avons livrés, et qui reproduisaient pour l’essentiel les informations provenant du diocèse de Madrid, permettent de se faire une idée assez précise du sens voulu par l’Eglise dans la démarche propre au pèlerinage, qui est, pour rappel, celle de la conversion, du retour au Christ, par rapport à la blessure qui demeure dans le cœur de celles et de ceux qui, d’une façon ou d’une autre, ont été concernés par l’avortement.

    En rapport avec cet article, nous avons reçu le commentaire suivant, que nous reproduisons tel quel :

    « Qu'est-que c'est encore que ce truc ? L'avortement est un crime et donc peut être absous par un confesseur quelconque? Sinon le meurtre et l'assassinat seraient-ils moins graves qu'un avortement ? Je souhaiterais une réponse. »

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  • Euthanasies à Bayonne : communiqué de presse de l'évêque de Bayonne, Lescar et Oloron

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    source : http://www.eglise.catholique.fr/

    "Accusé d'avoir délibérément provoqué la mort de plusieurs patients en fin de vie, un médecin urgentiste de l'hôpital de Bayonne vient d'être mis en examen.

    Comme on pouvait s'y attendre, cette triste affaire est « instrumentalisée » par des personnes ou des lobbies qui tentent de relancer le débat sur la légalisation de l'euthanasie.

    Or, il n'est pas concevable qu'un médecin, dont la vocation est de soigner les personnes qui lui sont confiées, puisse s'arroger le droit de supprimer un patient (malade incurable en fin de vie, personne âgée ou handicapée, etc.) au nom d'une compassion mal comprise (« j'ai trop souvent vu la pitié s'égarer » écrivait Antoine de Saint-Exupéry...).

    Certes, la confusion qu'entretiennent certains médias est telle que beaucoup de nos concitoyens se disent ou se croient favorables à l'euthanasie, alors qu'ils sont simplement (et tout à fait légitimement) opposés à l'acharnement thérapeutique.

    Moralement inacceptable, l'euthanasie, qui consiste à mettre fin à la vie d'un malade, est parfaitement illégale en France. L'acharnement thérapeutique (c'est-à-dire « l'obstination déraisonnable » par laquelle un malade est artificiellement maintenu en vie au prix d'actes inutiles et disproportionnés) est également interdit par la « loi Léonetti » du 22 avril 2005, qui impose au corps médical la prise en charge des malades en fin de vie et l'obligation de soulager leurs souffrances, mais la mise en oeuvre de cette loi se heurte, en particulier, à l'insuffisance des centres de soins palliatifs, dont le développement devrait être une des priorités des pouvoirs publics en France.

    D'une façon générale, la banalisation de l'euthanasie, et a fortiori, sa légalisation, est une « évolution » (ou plutôt, une terrible régression) à laquelle nous nous opposons au nom même du droit de chacun de vivre et de mourir dignement."
     
     
    + Marc Aillet,
    évêque de Bayonne, Lescar et Oloron,

    le 15 août 2011

  • Euthanasies à Bayonne : communiqué de presse de l'Alliance pour les Droits de la Vie

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    Communiqué de presse

    Paris, le 12 août 2011

    Les soupçons d’euthanasie qui pèsent  sur un médecin urgentiste de l’hôpital de Bayonne et les premières réactions à sa mise en cause par la justice appellent la réaction de l’Alliance pour les Droits de la Vie. Pour son président, le docteur Xavier Mirabel : « Les premiers éléments dont nous disposons suggèreraient qu’il s’agit  d’une dérive d’un médecin – ou d’une équipe- qui préfère administrer la mort à une personne âgée, arrivée aux urgences en fin de vie, plutôt que de lui prodiguer les soins appropriés auxquels elle a droit, et notamment le droit d’accès aux soins palliatifs, tel qu’il est prévu par la loi. Si ces faits sont confirmés, nous dénonçons fermement un triple scandale :

    • d’abord l’administration d’une mort violente par injection d’un poison  mortel à des personnes vulnérables ;
    • ensuite la pratique qui consiste à régler de cette façon une surcharge d’activité hospitalière ou un déficit de lieux d’accueil appropriés ou de soins palliatifs ;
    • enfin, les réactions de ceux qu’un pareil drame conduit à réclamer l’euthanasie, notamment celle des personnes âgées en fin de vie.

    A l’heure où notre société réfléchit aux défis posés par la dépendance, nous demandons aux pouvoirs publics de réaffirmer solennellement qu’une personne âgée est digne d’être soignée jusqu’au terme naturel de sa vie. »

  • La culture de mort progresse encore aux Pays-Bas

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    euthanasie21.jpgSelon  le  blog de Jeanne Smits, « aux termes d'une enquête réalisée auprès de plus de 1.600 personnes âgées de plus de 50 ans à la demande de l'émission Hollandse Zaken (« Affaires hollandaises »), il apparaît que (…) plus d'une personne interrogée sur trois (37 %) se dit prête à imaginer de demander l'euthanasie si elle considère sa vie « achevée » sans être très malade ou dépressive ; 32 % disent : je ne le pense pas maintenant, peut-être y penserai-je plus tard ; seuls 20 % n'arrivent pas à se l'imaginer. 72 % des interrogés affirment qu'ils peuvent imaginer qu'ils « ne voudront plus » (vivre) s'ils sont frappés par une maladie grave ou par la dépression grave (…).

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  • Quand l'avortement sert à éliminer les filles

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    Friday-Fax-Header-French.jpgRecension d'un ouvrage : "La sélection contre nature : Le choix des garçons au détriment des filles et les conséquences d’un monde plein d’hommes"
    Première partie : La destruction des mythes concernant l’avortement sélectif en fonction du sexe
    "Une nuit de 1978, un étudiant d’un des programmes d’obstétrique les plus prestigieux rédigeait le rapport de son premier accouchement. A ce moment, il vit un chat d’un saut quitter une salle de l’hôpital, une « chose…mouillée de sang, mutilée » dans la gueule. Imperturbables, les médecins et infirmières continuaient à accomplir plus d’avortement que d’accouchements, certains au stade de six ou même sept mois de grossesse. Lorsque l’étudiant demanda enfin à l’infirmière pourquoi l’enfant avorté n’avait pas reçu un meilleur traitement, elle répondit d’un ton morne « parce que c’était une fille ».

    Le premier livre de Mara Hvistendahl, « Unnatural Selection, Choosing Boys Over Girls and the Consequences of a World Full of Men » [ Le choix des garçons au détriment des filles et des conséquences d’un monde plein d’hommes] abonde de descriptions similaires.

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  • Pressions des pays occidentaux sur les pays d'Amérique Latine pour leur imposer la libéralisation de l'avortement

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes procédures internationales de suivi des droits de l’homme utilisées comme menace contre les pays d’Amérique Latine
    NEW YORK, 5 août (C-FAM) – Les gouvernements des pays occidentaux utilisent les nouvelles procédures de la Révision périodique universelle (RPU) pour faire pression sur les pays d’Amérique Latine afin qu’ils libéralisent leurs législations sur l’IVG.

    Le Salvador, Costa Rica, le Chili, le Brésil, la Bolivie, Belize and l’Argentine font parties des pays récemment pris pour cibles grâce à la procédure RPU: les pays Européens ont recommandé à ces pays de reformer leur législation concernant les “droits” à l’avortement et à la contraception.

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  • Les jeunes "pro-vie" se sont fait entendre aux Nations Unies

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    C-Fam.jpgLa voix des jeunes proclamant la vérité sur la vie humaine se fait entendre aux Nations Unies (Friday Fax) Par Lauren Funk - NEW YORK, 29 juillet (C-FAM)
    Les voix enthousiastes de la jeunesse internationale pro-vie ont dominé les évènements organisés autour de la Rencontre de haut niveau sur la jeunesse aux Nations Unies, et ont attiré l’attention aussi bien des bureaucrates de l’ONU que des diplomates.

    « Je n’arrête pas de rencontrer tous ces activistes pro vie, ils sont partout… La plupart des personnes avec lesquelles je me suis entretenue sont pro vie », a affirmé une jeune employée de la UNFPA à un membre de la Coalition Internationale de la Jeunesse (International Youth Coalition - IYC) lorsqu’elle s’entretenait avec le public présent à la conférence.

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  • USA : La liberté de conscience des médecins menacée par l'administration de B. Obama

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    Nous lisons sur RADIN RUE : http://www.radinrue.com/breve5982.html sous le titre : "Obama s'attaque à la liberté de conscience des médecins"

    L’Eglise Catholique des Etats-Unis s’offusque avec force contre de nouvelles restrictions imposées aux médecins dans leur liberté de conscience. L’administration de Barack Obama, sort ainsi un nouveau projet gouvernemental, qui va obliger tous les hôpitaux américains, c’est-à-dire également catholiques, de pratiquer des interventions de stérilisations et de distribuer des produits anticoncéptifs.

    CardinalDiNardo.gifLa nouvelle directive législative passe outre le minimum même de la conscience personnelle, en tendant à rendre obligatoire le remboursement de la contraception et de la stérilisation volontaire dans toutes les offres d’assurance maladie elle cloisonne les hôpitaux catholiques qui ne « s’enferment » pas uniquement aux personnes partageant la foi catholique, bien au contraire il s’agit d’institutions de santé très importants surtout pour ceux qui ne peuvent pas se permettre le luxe de soins en cliniques privées. Ainsi le cardinal Daniel DiNardo, président le département de la Défense de la Vie au sein de l’Episcopat américain a publié hier un communiqué dans lequel il explique que les nouvelles dispositions empêchent les non-catholiques de fréquenter les institutions hospitalières catholiques.

    Dans ce texte du Cardinal on peut ainsi lire que l’Eglise catholique réfute le projet du qui exige des partenaires de la santé notamment dans les établissements privés couvrent la stérilisation chirurgicale féminine et tous les médicaments et des dispositifs approuvés par le FDA comme les contraceptifs, y compris les médicaments qui peuvent attaquer un enfant à naitre par l’implantation dans l’utérus de la mère. Pour palier aux régles de la conscience nos institutions pourraient agir librement seulement envers un catholique, pour respecter sa conscience, ce qui veut dire que seuls les catholiques pourraient alors fréquenter nos institutions, a continué le Cardinal DiNardo.

  • Tragédie africaine : l'Ordre de Malte mobilisé au Kénya

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    Sur le site de l'Ordre de Malte :

    Plus de dix millions de personnes risquent de mourir de faim dans la corne de l’Afrique. La plus grave sécheresse depuis plus de soixante ans a provoqué ce que les Nations Unies ont défini la plus grande urgence humanitaire sur le plan mondial.

    Dans la phase initiale de l’urgence, l’Ordre de Malte est en train de travailler pour apporter de l’aide à plus de 20.000 personnes à Marsabit, région nord-orientale du Kenya. Plus de 17.000 personnes recevront de la nourriture, et des médicaments seront administrés à 3.000 d’entre elles. Plus de 1.200 femmes enceintes et 3.000 enfants sous-alimentés recevront la nourriture et les traitements particuliers dont ils ont besoin pour survivre. L’Ordre de Malte sera aidé dans la distribution de l’aide par la Diocèse de Marsabit et par les unités sanitaires qui en dépendent.

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  • Spina-bifida : progrès de la chirurgie foetale (suite)

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    Genethique.org rapporte ces succès étonnants de la chirurgie intra-utérine :

    Deux foetus souffrant d'un spina bifida ont récemment été opérés in utero avec succès, a annoncé, le 28 juillet 2011, l'Hôpital des enfants de Zurich. C'est une première européenne, de telles opérations n'ayant été conduites, jusqu'à aujourd'hui, qu'aux Etats-Unis.

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  • Jacob McMahon, le plus jeune prématuré d'Angleterre...

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    Notre source privilégiée en matière d'éthique, genethique.org, rapporte cet évènement qui bousculera quelques idées toutes faites sur la viabilité des prématurés :

    "Né le 22 février 2011 après 23 semaines de grossesse seulement, Jacob McMahon, le plus jeune prématuré d'Angleterre, a rejoint le domicile familial après avoir passé 5 mois à l'hôpital : il a survécu malgré les pronostics des médecins qui avaient conseillé à sa maman d'avorter peu avant sa naissance.

    Sara Fisher et Scott McMahon attendaient à l'origine des jumeaux. A cause d'une infection, l'un des bébés, une petite fille, est née au bout de 21 semaines et 6 jours et n'a pas survécu. Son jumeau étant resté dans le ventre de sa mère, les médecins avaient conseillé à ses parents d'avorter, ne croyant pas à la survie de l'enfant. Pesant seulement 0, 567 grammes, le petit Jacob est né quelques jours plus tard, 8 heures avant l'échéance donnée au couple pour décider d'un éventuel avortement. Rentré chez ses parents, l'enfant pèse aujourd'hui 3,26kg. "Cela me paraît surréaliste d'être à la maison, explique sa mère Sara. Nous n'avions pas parlé de ce jour là car nous avions peur qu'il n'arrive jamais [...]. Nous n'arrivons pas à croire que les médecins nous avaient demandé d'avorter. Ils nous avaient dit que j'avais une infection et qu'il ne pourrait survivre. Nous avions 24h pour nous décider à prendre ou non, une pilule qui arrêterait son coeur".

    http://www.genethique.org/revues/revues/2011/Juillet/20110728.2.asp