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Politique - Page 726

  • USA : des signes d'espoir malgré les progrès de la culture de mort ?

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    Dans "Spirit and Life", le Président de Human Life International commente la décision prise aux USA concernant le remboursement obligatoire de la contraception et de la stérilisation volontaire dans toutes les offres d'assurance maladie. (http://www.hli.org/)

    Notre traduction :

    "Nous avons commencé ce mois d'août août par un véritable lundi noir. Tôt dans la journée, nous avons appris avec stupeur l'annonce du Ministère de la Santé et des Services humains que le remboursement de la contraception et de la stérilisation volontaire dans toutes les offres d'assurance maladie serait obligatoire. Peut-être a-t-on cru que cette annonce passerait discrètement inaperçue aloirs que tous les pays se concentraient sur la question de la dette. (cliquer sur "lire la suite")

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  • La crise financière

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    En 2000, le représentant du Saint-Siège intervenait en ces termes lors de la Xème session de la CNUCED (Coonférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement)

    "...Un autre problème préoccupe les spécialistes:  l'accroissement disproportionné du secteur financier, comparé à l'ensemble de l'économie, qui, par le jeu d'une spéculation échappant à tout contrôle, rend plus difficile la recherche de prix équitables et rémunérateurs pour les biens produits et fait baisser les bénéfices provenant de l'activité industrielle.

    Devant cette situation, ce qui est requis, c'est un effort extraordinaire pour mobiliser les ressources nécessaires vers des objectifs de croissance économique et de développement commun et redéfinir les priorités et les échelles des valeurs pour des choix économiques et politiques capables de construire, par un travail solidaire, un développement dans un sens intégralement humain (Centesimus annus, nn. 28-29).

    Pour ce qui est du problème de la spéculation, les responsables politiques sont appelés à fixer des normes de sorte que les finances ne soient pas laissées en proie à un dynamisme sauvage. Une activité financière dérèglementée ne permet ni la fixation de prix équitables et rémunérateurs ni l'établissement d'investissements stables et durables avec la formation de relations synergiques entre capitaux locaux et étrangers.

    Le Saint-Siège est conscient que les innovations technologiques ont permis l'apparition d'un nouveau type d'économie - extrêmement compétitive et à haute intensité en matière de connaissance - et que le processus de globalisation, par l'unification des marchés, de l'espace et de la communication, a renouvelé et donné une impulsion sans précédent au monde de la production et des finances ainsi qu'au commerce des biens et des services. Le développement, la lutte contre la pauvreté et le commerce sont désormais étroitement liés entre eux.

    Toutefois, les choses qui en principe apparaissent comme des facteurs de progrès peuvent engendrer, et de fait produisent déjà des conséquences ambivalentes ou franchement négatives en particulier au détriment des plus pauvres (Jean-Paul II, Osservatore Romano, 21.9.1999, p. 9). La mondialisation doit être au service de la personne humaine et si elle ne vise pas le développement de tout homme et de tout l'homme, elle deviendra une nouvelle technique d'asservissement...

    http://www.vatican.va/roman_curia/secretariat_state/documents/rc_seg-st_doc_20000217_cnuced-unctad_fr.html

  • Syrie : sommes-nous victimes de la désinformation ?

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    C'est, en tout cas, l'opinion de Pierre Piccinin, qui accuse une organisation par laquelle transitent les informations qui alimentent les Agences de Presse :

    "Celle qui revient et revient, systématiquement, depuis des mois, dans tous les médias, dans tous les communiqués concernant la Syrie, dans tous les quotidiens et sur toutes les chaînes de radio et de télévision. Celle qui est devenue, peu à peu, quasiment la seule source sur les événements qui touchent la Syrie. C’est l’Observatoire syrien des droits de l’homme (l’OSDH).

    Je me suis immédiatement intéressé à cet OSDH. Il ne m’a pas fallu bien longtemps pour découvrir que, derrière cette étiquette aux apparences honorables, comme peuvent l’être des associations telles qu’Amnesty International ou la Ligue des droits de l’homme, se cache une organisation politique, basée à Londres, dont le président, Rami Abdel Ramane, opposant de longue date au régime baathiste, est très connu en Syrie où l’on sait les rapports étroits qu’il entretient avec les Frères musulmans, dont il serait lui-même membre.

    C’est cette même organisation, l’OSDH, qui multiplie les vidéos sur Youtube, montrant, soi-disant, des « dizaines de milliers de manifestants », dans toutes les grandes ville de Syrie, alors que, si l’on examine ces vidéos, on ne peut compter que quelques dizaines de personnes, filmées en plans rapprochés, qui, certes, donnent une impression de masse, mais ne trompent pas l’œil un tant soit peu critique.

    Ainsi, depuis plusieurs mois, c’est une « réalité imaginaire » que les médias diffusent à propos de la Syrie, une réalité revue et corrigée par une source unique sur laquelle personne, semble-t-il, n’a jugé utile de s’interroger.

    Cette image d’une Syrie en pleine révolution et d’un parti Baath au bord du gouffre ne correspond en aucun cas à la réalité du terrain, où le pouvoir contrôle la situation et où la contestation s’est considérablement réduite.

    Mais, au-delà de cette désinformation relative au cas syrien, il y a plus grave : de manière générale, les leçons de Timisoara, de la Guerre du Golfe ou des événements de Yougoslavie n’ont toujours pas porté. Et les médias, même les plus fiables, continuent de se laisser prendre au piège des dépêches hâtives, sans prendre davantage le temps d’en vérifier ni le contenu, ni l’origine, au risque de servir à leurs lecteurs une « réalité virtuelle », de leur construire un monde de conte de fées...

    Quand les médias ne remplissent plus leur devoir d’information, c’est la démocratie qui est en danger.

  • USA : La liberté de conscience des médecins menacée par l'administration de B. Obama

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    Nous lisons sur RADIN RUE : http://www.radinrue.com/breve5982.html sous le titre : "Obama s'attaque à la liberté de conscience des médecins"

    L’Eglise Catholique des Etats-Unis s’offusque avec force contre de nouvelles restrictions imposées aux médecins dans leur liberté de conscience. L’administration de Barack Obama, sort ainsi un nouveau projet gouvernemental, qui va obliger tous les hôpitaux américains, c’est-à-dire également catholiques, de pratiquer des interventions de stérilisations et de distribuer des produits anticoncéptifs.

    CardinalDiNardo.gifLa nouvelle directive législative passe outre le minimum même de la conscience personnelle, en tendant à rendre obligatoire le remboursement de la contraception et de la stérilisation volontaire dans toutes les offres d’assurance maladie elle cloisonne les hôpitaux catholiques qui ne « s’enferment » pas uniquement aux personnes partageant la foi catholique, bien au contraire il s’agit d’institutions de santé très importants surtout pour ceux qui ne peuvent pas se permettre le luxe de soins en cliniques privées. Ainsi le cardinal Daniel DiNardo, président le département de la Défense de la Vie au sein de l’Episcopat américain a publié hier un communiqué dans lequel il explique que les nouvelles dispositions empêchent les non-catholiques de fréquenter les institutions hospitalières catholiques.

    Dans ce texte du Cardinal on peut ainsi lire que l’Eglise catholique réfute le projet du qui exige des partenaires de la santé notamment dans les établissements privés couvrent la stérilisation chirurgicale féminine et tous les médicaments et des dispositifs approuvés par le FDA comme les contraceptifs, y compris les médicaments qui peuvent attaquer un enfant à naitre par l’implantation dans l’utérus de la mère. Pour palier aux régles de la conscience nos institutions pourraient agir librement seulement envers un catholique, pour respecter sa conscience, ce qui veut dire que seuls les catholiques pourraient alors fréquenter nos institutions, a continué le Cardinal DiNardo.

  • Go for New Belgium

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    Un site consacré à la Belgique et à sa nécessaire unité est ouvert; il mise sur le plus grand nombre d'inscriptions (http://www.go-for-new-belgium.net/inscriptions__.ws) pour changer le cours des évènements...

    Pour y accéder : http://www.go-for-new-belgium.net/bienvenue__.ws

  • Dix raisons d'espérer un avenir pour la Belgique

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    Le Vif publie aujourd'hui un dossier qui démontre en dix points pourquoi la Belgique a un avenir devant elle.

    Ce dossier, réalisé par Pierre Havaux, Olivier Rogeau et Laurence Van Ruymbeke, épingle les éléments qui rendent extrêmement improbable l'éclatement du pays : une scission bien trop compliquée, le coût d'une scission (plus élevé que celui d'une réforme de l'Etat), le fait que les séparatistes sont minoritaires, Bruxelles ("noeud gordien"), le rôle de la Belgique dans l'U.E., la présence des institutions internationales à Bruxelles, la dette publique, l'imbrication économique, l'attitude des marchés, le prestige du "made in Belgium".

    C'est évident et plein de bon sens. A consulter ici : http://levif.rnews.be/fr/

  • La "géopolitique" du Vatican

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    "Diplomatie" consacre son quatrième numéro à la "géopolitique du Vatican". N'ayant pas encore eu l'occasion d'en examiner le contenu, nous vous le signalons à titre documentaire avec les précautions qui s'imposent. Parmi les auteurs : François Mabille et Annie Lacroix-Riz.

    Une amie nous met en garde : "Il faut lire ce numéro de DIPLOMATIE sur la géopolitique du VATICAN avec beaucoup de recul et de sens critique car il y a bien au moins 5 mensonges par page, sans compter le ton hargneux de certains journalistes et tous les poncifs habituels concernant l'Eglise."

    (Extrait de la présentation sur le site de "Diplomatie" :

    "...il existe une géopolitique du Vatican, d’abord parce qu’il s’agit d’un État qui s’inscrit dans une réalité internationale, dont il lui faut progressivement accepter les règles. Créatrice de normes durant des siècles, l’Église est confrontée à l’avancée des règlementations internationales. À titre d’exemple, pour éviter d’apparaître dans la liste grise des États, le Vatican est tenu de mettre en place une transparence financière. Le Vatican n’a pas abandonné son goût pour le renseignement et l’influence, comme l’atteste le choix d’élire Benoît XVI qui fut, 24 années durant, à la tête de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Enfin, le Vatican est en conflit avec d’autres puissances, des conflits qui ne portent pas sur une lecture de la Bible, mais bel et bien sur qui contrôlera la population des catholiques.
    Approcher cette géopolitique recèle pourtant de nombreuses difficultés. Outre la difficulté d’accéder aux sources elles-mêmes et aux rares spécialistes de la question, les risques de simplification ou d’exagération sont nombreux. Autant d’écueils que la rédaction de Diplomatie a tenté d’éviter, en proposant une approche fondée sur la diversité des réalités, en toute indépendance.")

  • Rencontre entre les représentants des Eglises et la présidence polonaise de l'U.E.

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    La COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne) communique (1/8/2011)

    "La réconciliation, le changement démographique et la famine en Afrique étaient à l’ordre du jour de la rencontre des Eglises avec la Présidence polonaise de l’UE

     

     

    Dans le cadre des rencontres régulières entre les Eglises et chaque nouvelle présidence tournante de l’UE, une délégation de représentants des Eglises polonaises et européennes a été reçue ce 28 juillet 2011 à Varsovie par le Ministre polonais des Affaires étrangères, Radosław Sikorski. Ils ont procédé à un échange de vues sur une série de sujets liés à l’agenda politique de la Présidence polonaise.

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  • Comment et pourquoi le pape résiste-t-il aux attaques venant de toute part?

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    C'est la question qu'aborde Sandro Magister dans sa chronique de cette semaine. Il trouve un éclairage intéressant dans un débat qui avait opposé en 1999 le cardinal Ratzinger au cardinal français Eyt.

    Introduction de S. Magister :

    "Au cœur de l’été, les attaques contre Benoît XVI, en provenance de l’extérieur et de l’intérieur de l’Église, ont brusquement repris de la vigueur.

    Venant de l’extérieur il y a eu l’attaque frontale – d’une violence sans précédent – du premier ministre irlandais Enda Kenny, qui a accusé la hiérarchie catholique, jusqu’à ses plus hauts niveaux, de protéger les prêtres pédophiles des foudres de la justice terrestre. Kenny a mis au banc des accusés Joseph Ratzinger lui-même pour cette phrase remontant à l’époque où il était encore cardinal : "Des normes de conduite qui sont appropriées à la société civile ou au fonctionnement d’une démocratie ne peuvent pas être appliquées purement et simplement à l’Église".

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  • L'idéologie du terroriste norvégien n'est pas "catho-compatible"

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    Guillaume de Prémare et Patrice de Plunkett en font la démonstration sur le site "urgence com'catho" (vendredi 29 juillet 2011)

    "Après le carnage provoqué par Anders Behring Breivik, présenté par les médias comme « fondamentaliste chrétien », il convient de décrypter les motivations affichées par le meurtrier norvégien. Y a-t-il un lien entre le christianisme et ce déchaînement de violence aussi soudain qu’inattendu ? Sur quelles bases idéologiques Breivik s’appuie-t-il ? Comment ces bases idéologiques peuvent-elles être appréhendées au regard de ce qu’est le christianisme ? La prose de Breivik lui-même, contenue dans un manifeste de 1500 pages qu’il a publié sur Internet, donne des éléments concrets pour répondre à certaines interrogations brûlantes..."

    lire la suite  : http://www.urgencecomcatho.com/

  • Quand Jean Quatremer ausculte la crise belge...

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    Il y a une quinzaine de jours, J. Quatremer a accordé une interview à Paris-Match sur la situation de la Belgique. C'est peut-être la première fois qu'un Français analyse notre situation de façon aussi pertinente. Le texte de cette interview est disponible sur son blog : http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2011/07/la-crise-belge-auscult%C3%A9e.html#more Quand le matérialisme et le refus de la solidarité deviennent les valeurs dominantes d'une société, celle-ci a-t-elle encore un avenir devant elle?

    Extrait :

    "Si, par malheur, le nationalisme flamand parvient à faire exploser la Belgique, il est clair que cela ouvrira une période d'instabilité, en Belgique, bien sûr, mais aussi en Europe. Depuis 70 ans, la Belgique est, en effet, présentée comme un modèle de la cohabitation de deux communautés, celui qui doit inspirer l’Europe : une scission du royaume serait donc non seulement un échec belge, mais aussi un échec européen. D’autant que le combat de la N-VA ou du Vlaams Belang n’est pas seulement identitaire et nationaliste, il est aussi économique : ces deux partis rejettent la solidarité entre riches et pauvres, du moins avec les pauvres qui ne partagent pas leur culture, leur langue ou, dans le cas du Vlaams Belang, leur couleur de peau. On oublie trop souvent que le programme économique de la N-VA est proche du VOKA (le petit patronat flamand) et on peut se demander si les revendications sécessionnistes de la N-VA ne sont pas avant tout un cache-sexe qui vise à dissimuler la volonté de démanteler le modèle social belge et de rester entre soi. Bref, le nationalisme du XXIème siècle n’est pas expansionniste, il est juste petit bourgeois et égoïste. On retrouve, en Europe, ce même type de tensions, entre les riches du Nord et les pauvres du Sud : en Espagne, avec la Catalogne, ou en Italie, avec la Ligue du nord ou, plus largement, en Europe, avec la crise grecque, partout les riches refusent de payer pour les pauvres."

  • Guy Gilbert conseillera Dominique Baudis pour la défense des droits de l’enfant

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    nng_images.jpgDans le journal La Croix, cette information : le Père Guy Gilbert, a été nommé mercredi 27 juillet 2011 par le président de l’Assemblée nationale Bernard Accoyer et le président du Sénat Gérard Larcher pour siéger dans le collège « Défense et promotion des droits de l’enfant », sous la tutelle du  « Défenseur des Droits » qui remplace désormais le Médiateur de la République. Cette fonction a été confiée à Dominique Baudis, auquel le P. Gilbert apportera donc son concours en la matière. On doit, notamment, au curé des loubards la fondation, dans les années 70 d’un lieu d’accueil pour jeunes désocialisés, « la Bergerie de Faucon », dans les Gorges du Verdon. Près de 250 jeunes y ont été accueillis.