Nous empruntons et traduisons ces réflexions parues dans la Bussola Quotidiana sous la plume de Marco Respinti au sujet des résultats des élections qui ont eu lier en Pologne dimanche dernier.
"Après les élections législatives de dimanche, tout semble incertain en Pologne saufs deux choses : la première est qu'il y a beaucoup à faire, la seconde est qu'il y a beaucoup à refaire.
Parce que, d'une part, dans un contexte général où moins de la moitié de l’électorat polonais est allé aux urnes, tous les partis sont de retour (et certains de façon spectaculaire, surtout à gauche) et toute majorité parlementaire sera très fragile ; le Parti libéral - Plateforme civique (OP)), sur lequel les yeux du monde étaient fixés n'a pas obtenu de victoire convaincante. D'autre part, parce que le monde catholique subit une amère déception. Avec près de 40% des voix, en fait, le Parti Libéral du Premier ministre sortant, Donald F. Tusk n'a pas obtenu un mandat en granit pour gouverner, et ce surtout parce que la participation n'était que de 48%. En revanche, son principal adversaire, le parti Prawo i Sprawiedliwość (PiS, Droit et Justice) - dirigé par Jaroslaw A. Kaczynski, et défini comme conservateur et «eurosceptique» - n'a recueilli que près d'un tiers des suffrages exprimés ; cela signifie qu'ils doivent se contenter d'un peu plus de 30% de moins de la moitié des suffrages exprimés. A présent, en gardant à l'esprit que le PiS est le seul parti dont les représentants au Parlement défendent explicitement la vie humaine depuis la conception jusqu'à la mort naturelle, et si l'on se souvient de l'énorme mobilisation populaire pour la défense de "principes non négociables" de ces derniers mois qui a tenté d'introduire au Parlement le débat visant à abolir totalement la loi en vigueur sur l'avortement et qui, après avoir échoué à l'assemblée, espérait obtenir un appui de l'électorat en en faisant un thème de campagne, on s'aperçoit évidemment que quelque chose ne fonctionne pas en Pologne dans le rapport entre la société et la politique, ainsi que dans les relations entre celle-ci et la hiérarchie ecclésiastique.
Les anciens gouvernements n’étaient certes pas des modèles de moralité. Ceux qui les remplacent font-ils mieux que donner des gages aux phénomènes d’identité meurtrière agitant le monde islamique. Démocratie ? Sanglante en tout cas.
Cet accord marque l’un des épisodes les moins glorieux de l’Histoire récente de l’Église catholique. L’Accord de Metz a été connu trop tard, et il reste encore bien des aspects inconnus à tirer au clair. Celui-ci est intervenu le 13 août 1962. On était à deux mois de l’inauguration du Concile Vatican II, lorsqu’a été stipulé dans cette ville française un accord entre le cardinal Tisserant et l’archevêque orthodoxe, Monseigneur Nicodème. On a découvert par la suite que ce dernier était un espion à la solde des Soviétiques. L’accord, en effet, prévoyait que le Kremlin permette d’envoyer au Concile quelques représentants de l’Église orthodoxe en échange de la promesse d’un silence total sur le communisme.
"Pauvres fans du gender ! Soyez logiques, allez jusqu'au bout de vos thèses. Pendant que vous y êtes, supprimez aussi les admirables différences complémentaires des grandes races humaines. Naître Asiatique ou Africain noir : intolérable, discrimination imposée par la nature. Proposez aux petits camerounais de devenir blancs, à la petite Chinoise de devenir noire. Hormones, chirurgie faciale et ça y est. Enfin libre de choisir ma race, ma physionomie. Et si un petit anglais veut le facies slave : no problem. Tout est possible (…)