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Santé - Page 145

  • Une journée internationale de la trisomie 21

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    La Fondation Jérôme Lejeune nous fait parvenir le communiqué reproduit ci-dessous. Dommage que nous ne l'ayons pas reçu un peu plus tôt pour mobiliser en temps voulu nos amis présents sur les réseaux sociaux.

    Pour la première fois en 2012, la Journée internationale de la trisomie 21 a été reconnue par une résolution de l’ONU instituant la "Journée mondiale de la trisomie 21" le 21 mars. Cette date du 21/03 est hautement symbolique : elle fait référence aux 3 chromosomes 21 à l'origine de la maladie. Le but de cette Journée est de sensibiliser et d’informer sur la trisomie 21.

    A l’occasion de cette Journée, la Fondation Jérôme Lejeune est partenaire d'une campagne pour sensibiliser sur la trisomie 21 et interpeler la société.

    Cette campagne soulève une interrogation fondamentale à propos de la place accordée à la personne trisomique, et plus largement à la personne handicapée et aux plus faibles.

    « Trisomique, et alors ? »

    Cette campagne est portée par un groupe de parents d’enfants trisomiques souhaitant faire entendre un message fort de sensibilisation et véhiculer une image positive auprès de la société. La campagne « Trisomique… Et alors ? » vise à démystifier la trisomie 21 et à interpeler le grand public sur le regard posé sur celle-ci, afin de permettre une réelle intégration des personnes qui en sont atteintes.

    La question du regard porté sur la trisomie 21 est une question de société de première importance, et il devient plus que jamais urgent d’y répondre, aussi bien pour les malades, les familles que pour la société tout entière. Interpeler sur cet enjeu, informer et former sur la réalité de cette maladie sont indispensables en France.

    Des annonceurs et d’autres acteurs ont permis la réalisation de cette opération : un bel élan de générosité témoignant d’une mobilisation possible et d’une volonté partagée de faire changer le regard sur la trisomie 21.
    Plus d’informations : www.trisomiqueetalors.com

    La Fondation Jérôme Lejeune invite toutes les personnes souhaitant s'associer à cette cause, au moins le temps d'une journée, à remplacer leur photo de profil sur les réseaux sociaux par une des affiches de la campagne. Les visuels sont disponibles sur la page Facebook ou sur le site de la Fondation.

    Par ailleurs, à l’occasion de cette Journée mondiale de la trisomie 21, la Fondation Jérôme Lejeune rappelle que la recherche en vue d’un traitement de la déficience intellectuelle de la trisomie 21 a considérablement avancé : cinq essais cliniques sont actuellement en cours dans le monde : cf Information Presse du 1er mars 2012  : « Traiter la trisomie 21 : l’ère des essais cliniques »

    Contact  E-influence
    François JEANNE-BEYLOT
    francois@inmediatic.net

    A propos de la Fondation Jérôme Lejeune : fondation scientifique de recherche médicale pour le traitement des déficiences intellectuelles d’origine génétique, reconnue d’utilité publique, et 1er financeur en France de la recherche thérapeutique sur la trisomie 21, la Fondation Jérôme Lejeune développe ses propres programmes de recherche et finance chaque année des dizaines de projets de recherche en France et dans le monde. Elle poursuit trois missions : chercher un traitement, soigner les patients et défendre la vie et la dignité des patients.

    Il y a 50 ans, un chercheur français, le Pr Jérôme Lejeune, découvrait la cause de la trisomie 21. Plus de 15 ans après sa généralisation, le dépistage prénatal conduit quant à lui à un taux de 96% d’enfants trisomiques avortés. En 2012, alors que l’ère des essais thérapeutiques est arrivée, un choix politique s’impose pour favoriser l’accueil des enfants handicapés, mettre fin à la discrimination et promouvoir la recherche thérapeutique.

    www.fondationlejeune.org

  • Sur la mort cérébrale et le don d'organes

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    Jeanne Smits aborde, de façon approfondie, cette problématique délicate. On pourra trouver les trois parties d'un entretien avec le Dr Paul Byrne en cliquant sur les liens suivants :

    « Mort cérébrale » et don d’organes : « l’une des racines de la culture de mort »

    « Mort cérébrale » et don d’organes : « l’une des racines de la culture de mort » (II)

    « Mort cérébrale » et don d’organes : IIIe partie

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 19 mars 2012

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    images (4).jpgSommaire

      Vlaanderen: steeds meer mensen adopteren kinderen met een handicap

      226 enfants adoptés en Belgique francophone en 2010

      Des grossesses à terme mais plus tardives

  • ObamaCare : L’opinion américaine n’est pas l’opinion européenne

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    Lu sur « Riposte Catholique » :

    « Le décret pris par le ministère fédéral de la Santé (HHS), en application de l’ObamaCare, et qui entend contraindre les institutions religieuses à inclure dans les polices d’assurance santé qu’elles contractent pour leurs employés, la contraception, la pilule abortive et la stérilisation, ne rencontre pas l’adhésion d’une majorité de l’opinion publique américaine, contrairement à ce que soutenaient les Démocrates.

    Deux sondages récents en donnent des indications fortes.

    Le premier sondage a été mené pour le The Wall Street Journal et NBC, par deux sondeurs : le Républicain Bill McInturff et le Démocrate Peter Hart.

    À la question de savoir si un employeur (au sens large) devait être obligé par la loi à payer le remboursement des moyens contraceptifs, une majorité des sondés répond favorablement : 53 % contre 33 %.

    Mais quand la question se précise, et qu’on demande à l’échantillon si l’Église catholique et les autres institutions religieuses devraient être obligées de rembourser la contraception, la tendance s’inverse : 45 % des sondés y sont opposés alors que 38 % se disent favorables.

    Quand les sondeurs ajoutent à la contraception une nouvelle question évoquant le remboursement de la pilule abortive pour ces mêmes institutions religieuses, alors l’opposition de l’opinion publique se renforce : 49 % sont contre et seulement 34 %. À noter que les femmes interrogés sont également majoritairement opposées : 46 % contre, 35 % pour, ainsi que les sondés qui se disent catholiques : 48 % contre, 36 % pour.

    Le second sondage, réalisé pour The New York Times et ABC, en février dernier, et uniquement sur un échantillon féminin, montre que 53 % des sondées sont opposées à l’obligation imposée par le gouvernement fédéral aux institutions religieuses, alors que seulement 38 % d’entre elles se disent favorables.

    Pour beaucoup d’analystes politiques non partisans, la manœuvre politique des Démocrates tentant de faire admettre que l’opposition au HHS Mandate était en fait une opposition à la « santé des femmes », a échoué. Électoralement, pour ces mêmes analystes, la décision du gouvernement Obama de lancer cette attaque frontale contre les institutions religieuses américaines, est tout sauf un coup de génie politique, et elle se traduit par une chute sensible de l’indice de popularité du Président : 41 % d’opinions favorables en mars, contre 50 % le mois dernier, avec le même pourcentage chez les sondés hommes ou femmes : ce qui veut dire pour Obama que chez ces dernières, la chute de l’indice de popularité est de 12 points entre février et mars. C’est ce qu’on appelle se tirer une balle dans le pied.» Référence : L’opinion américaine est majoritairement opposée au HHS Mandate du gouvernement Obama

     On serait curieux de voir quel serait le résultat d’un tel sondage en Europe occidentale (et singulièrement en Belgique). Au-delà de cette histoire d’assurance obligatoire imposée aux institutions privées se pose partout le problème de principe  de la clause de conscience qui est loin d’être un fait acquis en ces matières qui touchent à la liberté de la religion. Un bon sujet pour les cours de justices inter ou supranationales compétentes en matière de droits de l’homme…

  • Quel avenir pour la loi belge sur l’euthanasie ?

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    Raphaëlle d’Yvoire nous rappelle dans le journal « La Croix » que cette législation mortifère,  votée par la coalition laïque au pouvoir en 2002,  a aujourd’hui dix ans. Et que le cap  des mille cas annuels déclarés a été franchi en 2011. Extraits :

    Début 2002, le Parlement belge a adopté une série de « lois relatives à la fin de vie » . En plus d’une « loi sur les droits du patient » – permettant notamment de refuser l’acharnement thérapeutique – et d’une autre sur les soins palliatifs, députés et sénateurs ont voté cette année-là la loi sur l’euthanasie, en dépit de l’opposition, réitérée, de la Conférence des évêques de Belgique (…).Au terme de plusieurs années de débats, des balises avaient donc été placées : un texte n’ouvrant pas un « droit à l’euthanasie » mais « un droit à la demande d’euthanasie » et une dépénalisation concernant un geste pratiqué uniquement par un médecin, après avis d’un confrère indépendant, sur un patient majeur ou mineur émancipé, conscient, se trouvant dans une situation médicale sans issue, faite de « souffrances physiques ou psychiques constantes, insupportables et inapaisables », ou sur un patient irréversiblement inconscient, mais ayant rédigé une « déclaration anticipée » depuis moins de cinq ans.La loi a mis également en place une commission fédérale de contrôle et d’évaluation chargée de vérifier, sur la base des déclarations obligatoires des médecins, la conformité des procédures suivies et, en cas d’irrégularité, de demander des précisions, voire de transmettre le dossier à la justice.

    80 % des cas en Flandre

    Dix ans plus tard, les statistiques concernant les déclarations qui sont parvenues à la commission font état d’une progression régulière du nombre d’actes. Le cap des 1 000 cas annuels a été franchi l’an dernier : 1 133 cas enregistrés, soit 1 % du total des décès en Belgique en 2011.

    Les déclarations, rédigées en néerlandais dans plus de 80 % des cas, montrent que l’euthanasie est surtout pratiquée en Flandre. Mais certaines zones d’ombre subsistent : en dix ans, la commission de contrôle n’a pas transmis un seul dossier au parquet et elle précise, dans ses rapports réguliers aux chambres législatives, qu’elle « n’a pas la possibilité d’évaluer la proportion du nombre d’euthanasies déclarées par rapport au nombre d’euthanasies réellement pratiquées » .(…)

    Respect de la volonté des patients

    « Avec la législation actuelle, le curseur n’est plus fixé sur le respect de la vie mais sur “le respect de la volonté des patients” qui souhaitent évidemment mourir avec le moins de souffrances possible. À partir de là, chaque unité de soins palliatifs a un peu sa philosophie », explique le docteur Isabelle de Bock, un des quatre médecins de l’unité de soins palliatifs des Cliniques de l’Europe, à Bruxelles.(…) S’appuyant sur des enquêtes qui estiment que seules 50 % des demandes d’euthanasie sont accordées, certains médecins demandent désormais à aller plus loin, envisageant, par exemple, la prise en charge de patients qui ne seraient pas en phase terminale. Plusieurs propositions visant à élargir le champ d’application de la loi ont été déposées au Parlement depuis 2002. Les trois dernières datent de l’automne 2010 ; elles proposent d’étendre la loi aux mineurs et aux personnes devenues démentes ou incapables de s’exprimer.(…). L’article est ici : La loi belge sur l’euthanasie pose toujours question

    L’élargissement de cette loi n’est apparemment pas à l’ordre du jour. Ni son contraire d’ailleurs : un  plus grand respect de la vie et un renforcement des contrôles, sur lesquels il y aurait beaucoup à dire, si tant est qu’il faille « réformer » une loi intrinsèquement mauvaise.

  • Troisième Marche pour la vie à Bruxelles : un appel convaincant de l’Association pour la Famille

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    Action pour la famille soutient la Marche pour la vie organisée par un collectif d’étudiants qui partira le dimanche 25 mars à 14h du Mont des Arts (près de la statue du roi Albert I) à Bruxelles. Pour plus d’informations http://www.marchforlife.be

    Malgré les campagnes en faveur de l’usage des contraceptifs et des cours d’éducation affective et sexuelle dans les écoles, le nombre d’avortements ne cesse de progresser en Belgique. Selon les chiffres du dernier rapport de la commission d’évaluation sur l’interruption de grossesse, nous sommes passés de 13 474 avortements en 2003 à 19 421 en 2009, alors que le nombre de femmes en âge d’avoir des enfants est en diminution constante. Plus inquiétant encore : la proportion de jeunes femmes (moins de 25 ans) qui subissent une IVG ne cesse d’augmenter.

    Ne nous voilons pas la face : que l’on soit pro-choice ou pro-life, nous devons admettre qu’il y a un problème de l’avortement en Belgique. Plusieurs décennies d’utilisation de plus en plus répandue et efficace de méthodes contraceptives nous montrent qu’elles sont impuissantes à enrayer cette tendance à la hausse.

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  • Le numéro 1513 de l'Homme Nouveau (10 mars 2012)

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    Au sommaire du numéro 1513 daté du 10 mars 2012 (commande) :

    Evénement : Présidentielles françaises : Un juste vote ?

    Quelques réflexions sur le programme de divers candidats à l'aune de la doctrine catholique.

    Dossier : Liturgie

    Des évêques réagissent au sujet des traductions liturgiques.

    Actualités : Aux frontières de l'humain.

    Un congrès s'est tenu à Rome sur la personne humaine à l'heure de la révolution biotechnologique. Éclairant !

    Kevin Ford, un jeune fermier en Amérique.

    La contraception accessible à tous : Un rapport demande l'accès gratuit à toute contraception pour les mineur(e)s. Il montre en effet que ces derniers ne l'utilisent guère.

    Culture : Le père Frederick William Faber, avocat de l'Église et chantre du Salut.

    Saint François d'Assise selon les écrits de Padre Pio.

    Figure spirituelle : Catherine Drexel, mère et servante des Indiens et des Noirs.

    Magistère : Le Pape invite les cardinaux à avoir saint Pierre pour modèle.

    Tribune : Le frère Marie-Angel, soldat du feu, soldat de Dieu.

  • L'avortement : un suicide sociétal, médical et familial

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    Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, revient pour libertepolitique.com sur la question de l'avortement. Il met en cause une pratique qui équivaut à un suicide sociétal, médical et des familles mettant la politique du pays en échec. A voir et à écouter ici : TV/Avortement-un-suicide-societal-medical-et-familial

  • BXL, 8 mars : le témoignage des parents de Giulia

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    image001.jpgGiulia est une enfant de 8 ans qui, d’après les pronostics et conseils médicaux, n’aurait pas dû naître. Elle n’aurait dû être qu’un « végétal », comme on entend trop souvent.

    Par leur adhésion libre au projet de la Vie, ses parents ont entamé avec elle un chemin d’espoir, parfois de souffrance, mais surtout de découverte d’un dessein qui les dépasse et les transporte vers plus haut.

    Frappée d’un handicap psycho-moteur très sévère, Giulia manifeste sa présence avec joie et ténacité en souriant à la vie. Autour d’elle, chaque jour offre son lot de surprises et de rencontres extraordinaires.

    Celle qui, par définition, devait mener une existence incertaine et imparfaite, devient alors facteur de certitude et de grâce.

      Vous êtes cordialement invités à partager cette chance en venant rencontrer ses parents lors de la conférence :

     « Vivants »

     qu’ils donneront ce jeudi 8 mars à 20.30 au Fanal, rue Joseph Stallaert 6, à 1050 Bruxelles.

     Merci de diffuser cette information autour de vous !

  • Le chemin de Compostelle

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    coquille_saint_jacques.jpgLes mois d'été approchent. Il est un chemin sur lequel beaucoup se risquent, en quête de spiritualité, et la plupart se retrouvent différents au terme de cette expérience. Certains esprits un peu étroits regretteront qu'il ne s'agisse pas d'une démarche toujours explicitement motivée de façon strictement religieuse et catholique. Mais si l'on faisait un peu confiance à l'Esprit qui souffle où il veut et quand il veut ?

    Pour "tout savoir" sur le chemin de Compostelle, ce portail : http://www.chemindecompostelle.com/

  • La rage de Gemma

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    Jeanne Smits rapporte cette terrible histoire d'une femme attendant des jumeaux dont l'un avait des problèmes cardiaques et dont elle voulut qu'on l'avorte. Mais voilà, le médecin a éliminé par erreur le foetus bien portant; alors, on a ensuite éliminé l'autre...

    A lire ici :Encore un bébé avorté par erreur : la folie espagnole

  • Quand une lycéenne dénonce les conditions dégradantes de la fin de vie

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    Une très jeune fille dénonce avec une éloquence émouvante la façon dont sont traitées les personnes âgées dans de très nombreuses institutions. Une indignation qui sonne juste. C'est ici : genevievejurgensen.blog50.com