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Santé - Page 144

  • Pourquoi ces exclusives médicales ?

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    A ce propos, un ami nous fait part de ses réflexions qui pourraient ouvrir un débat :

    La médecine officielle refuse qu'on soigne et guérisse des gens, si ce n'est pas en son nom et avec son autorisation. Toute guérison qu'elle n'a pas autorisée sera considérée comme une guérison illégale, non obtenue avec son autorisation. En France, même les officines qui vendent des plantes médicinales ne sont pas autorisées par la médecine officielle. Et surtout par sa branche chimico-pharmaceutique toute puissante, qui ne veut pas voir baisser ses bénéfices plantureux. La médecine officielle est bien ingrate, car elle n'existerait pas sans les médecines traditionnelles à base de plantes ou de pouvoirs guérisseurs. Pouvoirs dont on ne comprend pas comment ils fonctionnent, mais dont on peut au moins constater qu'ils fonctionnent. Pourquoi la science purement matérialiste de la médecine officielle rejette-t-elle ce qu'elle peut elle-même constater comme efficace ? Le simple fait qu'elle ne ne puisse l'expliquer est-il un motif de rejet ? Cela ressemble au débat sur les EMI (ndlr expériences de mort imminente) à RTL-TVI. Les matérialistes n'osent plus aujourd'hui traiter de dérangés ou d'affabulateurs les gens qui leur racontent leurs expériences de mort imminente. Mais comme ils ne peuvent les expliquer, ils refusent de les considérer. En fait, ils refusent d'admettre tout ce qui risque de les dépasser. Ils refusent d'admettre qu'ils ne soient pas omniscients, et de perdre ainsi un peu de leur prestige. Ou plutôt ils refusent tout ce qui risque de mettre à mal leur dogme du « tout est matériel, et rien n'est spirituel en l'homme ».

  • Des liens, parce que l'actualité a ses droits...

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    Le “vaccin” contraceptif double le risque du cancer du sein chez les jeunes femmes (J. Smits)

    Le déclin des taux de natalité causerait un déséquilibre en Asie (Friday Fax)

    Le patriarche des maronites craint « l’hiver arabe » - Vini Ganimara

    Une église caillassée Mardi Saint dans le Karnataka - Riposte catholique

    La France séduit les adeptes du tourisme religieux - Le Figaro

    Sur genethique.org :

    Procréation: "la technique au détriment de l'éthique" 06/04/12

    Une thérapie pour pallier le handicap intellectuel génétique 06/04/12

    Le Chili refuse l’avortement thérapeutique 06/04/12

    Le "droit à l'avortement eugénique" soumis à l'avis de la CEDH 05/04/12

    Vers un avortement post-natal? 05/04/12

    Sur Benoît-et-moi :

    Qui contrôle le passé contrôle le futur : Enorme battage médiatique en Italie, autour d'un film qui relate de façon totalement partisane un épisode tragique marquant le début des "années de plomb". Article de Rino Cammilleri, pour La Bussola (6/4/2012)

    Le vrai visage du Christ : Le sculpteur espagnol Juan Manuel Miñarro a réalisé une statue du Christ en grandeur nature à partir des découvertes scientifiques du Linceul de Turin et du Saint Suaire d'Oviedo. Elle est actuellement exposée dans la cathédrale de Málaga.

    Pour quoi un Pape voyage-t-il? : José-Luis Restan met en perspective le récent voyage de Benoît XVI (spécialement à Cuba) avec ceux de Jean-Paul II, en Pologne, et à d'autres endroits vivant sous des régimes de dictature. Le Pape se rend partout où il <peut> annoncer l'Evangile, et "confirmer ses frères dans la foi".

    La foi, c'est aussi simple que cela : C'est croire, " sans 'si' et sans 'mais' " à ce tombeau vide. Et c'est ce que Benoît veut nous faire redécouvrir. Très belle réflexion de Vittorio Messori qui voit aussi un élément très positif dans la fréquentation croissante des sanctuaires. (6/4/2012)

  • L'eugénisme serait-il devenu un droit de l'homme ?

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    Cour européenne des droits de l'homme : avortement et eugénisme (ZENIT.org)

    La question de l'existence dun « droit à l'avortement eugénique » par Grégor Puppinck

    « La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) est actuellement saisie d’un nombre sans précédent d’affaires relatives à l’avortement. Parce que les principes jurisprudentiels adoptés par cette Cour s’imposent aux 47 Etats membres, les prochains mois seront décisifs pour le respect de la vie et de la dignité humaine. L’ECLJ, qui intervient comme tierce partie dans plusieurs de ces affaires[1], souhaite attirer l’attention sur ces affaires très importantes », explique le directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ), Grégor Puppinck dans cet article (cf. aussi Zenit du 3 avril 2012).

    ***

    Parmi les affaires que la Cour européenne doit actuellement juger, citons le cas d’une mère polonaise qui se plaint des difficultés rencontrées pour obtenir que sa fille mineure puisse avorter[2] ; il y a aussi le cas d’une femme décédée durant une grossesse en raison (prétendument) de l’objection de conscience exercée par les médecins[3]. Dans une autre affaire, une femme devenue stérile suite à un avortement se plaint de ne pas avoir été correctement informée des risques encourus[4]. Dans deux autres cas soumis à la Cour, des femmes ayant donné naissance à des enfants handicapés se plaignent de ne pas avoir été en mesure d’avorter[5]. Enfin, sur un sujet proche, la Cour est également saisie d’une affaire mettant en cause l’interdiction, par le législateur italien, de diagnostic préimplantatoire[6].

    L’ECLJ a rendu ses observations le 2 avril dans le cas d’Anita KRŪZMANE contre la Lettonie dans lequel une mère se plaint de ne pas avoir été en mesure d’avorter sa fille trisomique. Elle prétend en particulier que son médecin aurait manqué à une obligation de lui prescrire un test de dépistage de la trisomie. Invoquant un lien de causalité directe entre l’absence de test de dépistage et la naissance de sa fille trisomique, la requérante prétend avoir subi une atteinte dans le droit au respect de sa vie privée, laquelle vie privée comprendrait –d’après la requérante- le droit de décider d’avorter. En résumé, il s’agit de savoir si l’eugénisme est devenu un droit de l’homme.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 30 mars 2012

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  • Les dix qui font trembler Planned Parenthood

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    , sur Nouvelles de France, présente "Les 10 qui font trembler Planned Parenthood" aux Etats-Unis :

    "PJ Media a établi la liste des 10 « ennemis » que « redoute le plus » Planned Parenthood (PP), l’organisation pratiquant le plus d’avortement aux États-Unis. Arrivent en 10e position, Steven Ertelt, fondateur et rédacteur en chef de LifeNews.com, en 9e position, l’infirmière et blogueuse « pro-vie » Jill Stanek, en 8e position, les Prêtres pour la vie dirigés par le Père Franck Pavone, en 7e position, les machines à ultrasons qui permettent à la femme de voir de ses yeux qu’elle porte en elle une vie humaine distincte de la sienne, en 6e position, tous les Crisis pregnancy centers (l’alternative « pro-vie » à PP, une menace pour son très rentable business construit autour de la pratique de l’avortement), en 5e position, la Susan B. Anthony List, fondée en 1991 et présidée par Marjorie Dannenfelser, qui soutient les élus pro-vie, en particulier les femmes, et qui n’est pas pour rien dans l‘évolution récente du Congrès, derrière Abby Johnson, 32 ans, ex-directrice d’un centre d’avortement récemment convertie au catholicisme. C’est aujourd’hui la militante pro-vie la plus sollicitée des États-Unis…

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  • Bioéthique : liens du jour

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    Sur genethique.org :

    Faut-il tout connaître de son bébé avant sa naissance? 28/03/12

    "Le bouleversement anthropologique" du dépistage prénatal 28/03/12

    Blog de J. Smits :

    Italie: une jeune fille découvre son bébé avorté

  • Euthanasie : les mauvais arguments de la RTBF

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    Est-ce un hasard? Au moment où la Marche pour la Vie contraint les médias à rouvrir le dossier de l'avortement, le Soir, puis la RTBF, réactivent le débat sur l'euthanasie, présentant cellle-ci comme si elle constituait un droit auquel ni les médecins ni les institutions hospitalières ne pourraient s'opposer. Or, contrairement à ce que laisse entendre la RTBF, l'euthanasie n'est pas un droit. C'est la demande d'euthanasie qui en est un. La loi - même si nous ne l'approuvons pas - dépénalise l'euthanasie effectuée dans certaines conditions très strictes et sur demande expresse du patient, de telle sorte que le médecin puisse échapper aux poursuites judiciaires. 
     
    Cf. www.belgium.be, santé, soins de santé, fin de vie. On y trouve notamment ceci :
    Devoir du médecin
    "La loi ouvre un droit à la demande d’euthanasie, pas à l’euthanasie : le médecin n’est donc pas obligé de pratiquer l’euthanasie.
    C’est au patient qu’il revient de trouver un médecin qui accède à sa demande
    (voir la suite sur le site www.belgium.be)

  • Les dérives de l'avortement légalisé en Grande-Bretagne

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    "Même dans un pays où l'avortement est aussi facile d'accès qu'en Grande-Bretagne, une enquête menée par le Daily Telegraph révèle que 20 % des cliniques spécialisées trichent pour « rendre service » à des femmes voulant mettre fin à leur grossesse, soit en falsifiant des données, soit en accordant des certificats signés en série par des médecins qui ne les ont même pas vues en consultation. C'est ce qui ressort d'une enquête officielle menée à la demande du Secrétaire à la Santé."

    Jeanne Smits rend compte des résultats de cette enquête et les commente ici : leblogdejeannesmits

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 26 mars 2012

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  • Encore la démission du pape

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    « Une certaine émotion a été provoquée par deux articles publiés récemment en Italie qui envisagent l’hypothèse d’une démission de Benoît XVI, démission dont le but serait, entre autres, d’influer sur le choix de son successeur.

    Les auteurs de ces articles sont Giuliano Ferrara, qui a publié le sien le 10 mars dans le quotidien "Il Foglio", dont il est le directeur :et Antonio Socci, dont l’article est paru dans le quotidien "Libero", le 11 mars :Ferrara n’est pas croyant, Socci est catholique militant. L’un et l’autre sont connus pour leur sincère admiration envers le pape Joseph Ratzinger. Mais, au-delà des bonnes intentions des deux journalistes, l’hypothèse qu’ils ont esquissée ne paraît pas fondée. Tout d’abord parce que ceux qui ont eu l’occasion de rencontrer Benoît XVI, y compris après la publication des deux articles, n’ont pas du tout eu l’impression d’avoir en face d’eux un pape envisageant de démissionner. Bien au contraire. Que ce soit par sa capacité à saisir les liens qui lui est nécessaire pour tout acte de gouvernement, ou par la vision non limitée dans le temps en fonction de laquelle il assure, toujours "s’il plaît à Dieu", la direction de l’Église universelle. Ensuite parce que rien n’est plus étranger à l’histoire et à la personnalité de Ratzinger que l’idée qu’il pourrait recourir à des manœuvres, même avec de nobles intentions, en ce qui concerne sa propre succession. Cette hypothèse-là est, au point de vue canonique, “subversive”. Pour un souverain pontife, la seule manière légitime d’influer sur le choix du futur pape est de créer des cardinaux. Et si l’on parcourt la liste de ceux qui ont été choisis par Benoît XVI entre 2006 et aujourd’hui, on ne peut pas y discerner une volonté claire d’hypothéquer le futur conclave, celui-ci devant, dans la "mens" de Ratzinger comme dans celle de tout bon croyant, être confié avant tout au Saint-Esprit.

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  • La présidence de la COMECE sera "marxiste" !

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    Source : communiqué de presse de la COMECE (23/03/2012)

    Le Cardinal Marx est le nouveau Président de la COMECE

    « Nous nous trouvons à un moment décisif pour l’avenir de l’Europe »

    C’est la déclaration faite par le Cardinal Reinhard Marx après son élection comme nouveau Président de la Commission des Episcopats de l’UE. L’archevêque de Munich & Freising a été élu par ses pairs le 22 mars 2012 pour un mandat de 3 ans à la tête de la COMECE. Il sera assisté de quatre vice-présidents : Mgr Gianni Ambrosio (évêque de Piacenza-Bobbio, Italie), Mgr Virgil Bercea (évêque d’ Oradea Mare, Roumanie), Mgr Jarecki (évêque auxiliaire de Varsovie, Pologne) et Mgr Jean Kockerols (évêque auxiliaire de Bruxelles-Malines, Belgique).

    Le Cardinal Marx est membre de la COMECE depuis 2006 et en préside la Commission pour les Affaires sociales. Il est également vice-Président de la COMECE depuis 2009. Il a déclaré : « Concernant la crise économique et financière qui frappe notre continent, je suis persuadé que l’Union européenne dispose des moyens et du potentiel pour surmonter cette situation. Une crise globale exige une réponse commune. Il nous faut donc retrouver le sens d’une action collective et responsable. C’est à cette condition seulement que nous parviendrons à résoudre nos problèmes communs. Nous nous trouvons en effet à un moment décisif pour l’avenir de l’Europe. »

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  • Les suites psychologiques de l'avortement

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    Nous avons fait écho, hier au débat sur l'avortement qui s'est déroulé dimanche dernier sur la Première (RTBF) dans le cadre de l'émission "Et Dieu dans tout ça". La question des suites psychologiques de l'avortement y a été abordée. La synthèse de presse de généthique.org vient utilement compléter la réflexion à ce sujet :

    Dans le quotidien Libération, deux tribunes consécutives relatives au rapport du Pr  Israël Nisand sur la sexualité des mineurs ont été publiées en mars 2012. Dans une première tribune, du 1er mars 2012, deux sociologues, Mmes Bajos et Ferrand, et trois médecins, Mmes Meyer, Moreau et Warszawski, affirmaient que ce rapport est "moralisateur" quant à la question de l'IVG. Suite à celle-ci, le Pr Israël Nisand et Brigitte Letombe, gynécologues, et la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié une réponse dans ce même quotidien, le 9 mars 2012 (Cf. Synthèse de presse du 09/03/12). Ils faisaient part de leurs observations, liées à leur expérience clinique, selon lesquelles des femmes restent douloureusement marquées après avoir eu recours à l'avortement.

    Le 20 mars 2012, Libération a publié de nouvelles réactions. Pour Mmes Bajos, Ferrand, Meyer, Moreau et Warszawski, "affirmer que le recours à l'avortement augmente les troubles psychiques est une assertion fausse, réfutée par les recherches scientifiques".

    Pour le collectif "Les filles des 343", composé de militantes féministes, il n'existerait pas de lien entre avortement et souffrances psychiques. Pour ce collectif, avorter est une "décision qui doit être respectée", et la pression mise sur les "épaules" et les "ventres [des femmes] contribue à les rendre [...] malheureuses". Selon un groupe de médecins, gynécologues et obstétriciens, qui publient également un article dans Libération, "Nul ne peut se prévaloir du monopole du psychisme des femmes", et c'est le "regard condescendant, culpabilisant de la société relayé par trop de médecins [...] qui produit tant de ravages". Ils affirment qu'ils continueront résolument "à oeuvrer pour que cet acte [l'IVG] soit, comme c'est souvent le cas, un acte structurant de leur vie".Suite à ces réactions,  le Pr Israël Nisand, Brigitte Letombe et Sophie Marinopoulos ont publié une tribune le 22 mars 2012 dans Libération. Selon eux, à la question de savoir si "l'IVG constitue ou non un moment bénéfique dans la vie d'une femme", la réponse est "négative". En faisant "croire que l'IVG n'aurait aucune conséquence psychique sur les femmes", l'objectif majeur est ici de "protéger le droit à l'IVG". Or, "la meilleure IVG, surtout pour une jeune femme, est celle que l'on a pu prévenir". Ils ajoutent qu'en publiant ce rapport sur la sexualité des mineurs, l'objectif est également de "trouver des solutions qui permettraient d'inverser la courbe, croissante depuis vingt-cinq ans, des 90 000 IVG par an chez les moins de 25 ans".