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Santé - Page 143

  • Les dix qui font trembler Planned Parenthood

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    , sur Nouvelles de France, présente "Les 10 qui font trembler Planned Parenthood" aux Etats-Unis :

    "PJ Media a établi la liste des 10 « ennemis » que « redoute le plus » Planned Parenthood (PP), l’organisation pratiquant le plus d’avortement aux États-Unis. Arrivent en 10e position, Steven Ertelt, fondateur et rédacteur en chef de LifeNews.com, en 9e position, l’infirmière et blogueuse « pro-vie » Jill Stanek, en 8e position, les Prêtres pour la vie dirigés par le Père Franck Pavone, en 7e position, les machines à ultrasons qui permettent à la femme de voir de ses yeux qu’elle porte en elle une vie humaine distincte de la sienne, en 6e position, tous les Crisis pregnancy centers (l’alternative « pro-vie » à PP, une menace pour son très rentable business construit autour de la pratique de l’avortement), en 5e position, la Susan B. Anthony List, fondée en 1991 et présidée par Marjorie Dannenfelser, qui soutient les élus pro-vie, en particulier les femmes, et qui n’est pas pour rien dans l‘évolution récente du Congrès, derrière Abby Johnson, 32 ans, ex-directrice d’un centre d’avortement récemment convertie au catholicisme. C’est aujourd’hui la militante pro-vie la plus sollicitée des États-Unis…

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  • Bioéthique : liens du jour

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    Sur genethique.org :

    Faut-il tout connaître de son bébé avant sa naissance? 28/03/12

    "Le bouleversement anthropologique" du dépistage prénatal 28/03/12

    Blog de J. Smits :

    Italie: une jeune fille découvre son bébé avorté

  • Euthanasie : les mauvais arguments de la RTBF

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    Est-ce un hasard? Au moment où la Marche pour la Vie contraint les médias à rouvrir le dossier de l'avortement, le Soir, puis la RTBF, réactivent le débat sur l'euthanasie, présentant cellle-ci comme si elle constituait un droit auquel ni les médecins ni les institutions hospitalières ne pourraient s'opposer. Or, contrairement à ce que laisse entendre la RTBF, l'euthanasie n'est pas un droit. C'est la demande d'euthanasie qui en est un. La loi - même si nous ne l'approuvons pas - dépénalise l'euthanasie effectuée dans certaines conditions très strictes et sur demande expresse du patient, de telle sorte que le médecin puisse échapper aux poursuites judiciaires. 
     
    Cf. www.belgium.be, santé, soins de santé, fin de vie. On y trouve notamment ceci :
    Devoir du médecin
    "La loi ouvre un droit à la demande d’euthanasie, pas à l’euthanasie : le médecin n’est donc pas obligé de pratiquer l’euthanasie.
    C’est au patient qu’il revient de trouver un médecin qui accède à sa demande
    (voir la suite sur le site www.belgium.be)

  • Les dérives de l'avortement légalisé en Grande-Bretagne

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    "Même dans un pays où l'avortement est aussi facile d'accès qu'en Grande-Bretagne, une enquête menée par le Daily Telegraph révèle que 20 % des cliniques spécialisées trichent pour « rendre service » à des femmes voulant mettre fin à leur grossesse, soit en falsifiant des données, soit en accordant des certificats signés en série par des médecins qui ne les ont même pas vues en consultation. C'est ce qui ressort d'une enquête officielle menée à la demande du Secrétaire à la Santé."

    Jeanne Smits rend compte des résultats de cette enquête et les commente ici : leblogdejeannesmits

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 26 mars 2012

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    images (4).jpgSommaire

     

  • Encore la démission du pape

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    « Une certaine émotion a été provoquée par deux articles publiés récemment en Italie qui envisagent l’hypothèse d’une démission de Benoît XVI, démission dont le but serait, entre autres, d’influer sur le choix de son successeur.

    Les auteurs de ces articles sont Giuliano Ferrara, qui a publié le sien le 10 mars dans le quotidien "Il Foglio", dont il est le directeur :et Antonio Socci, dont l’article est paru dans le quotidien "Libero", le 11 mars :Ferrara n’est pas croyant, Socci est catholique militant. L’un et l’autre sont connus pour leur sincère admiration envers le pape Joseph Ratzinger. Mais, au-delà des bonnes intentions des deux journalistes, l’hypothèse qu’ils ont esquissée ne paraît pas fondée. Tout d’abord parce que ceux qui ont eu l’occasion de rencontrer Benoît XVI, y compris après la publication des deux articles, n’ont pas du tout eu l’impression d’avoir en face d’eux un pape envisageant de démissionner. Bien au contraire. Que ce soit par sa capacité à saisir les liens qui lui est nécessaire pour tout acte de gouvernement, ou par la vision non limitée dans le temps en fonction de laquelle il assure, toujours "s’il plaît à Dieu", la direction de l’Église universelle. Ensuite parce que rien n’est plus étranger à l’histoire et à la personnalité de Ratzinger que l’idée qu’il pourrait recourir à des manœuvres, même avec de nobles intentions, en ce qui concerne sa propre succession. Cette hypothèse-là est, au point de vue canonique, “subversive”. Pour un souverain pontife, la seule manière légitime d’influer sur le choix du futur pape est de créer des cardinaux. Et si l’on parcourt la liste de ceux qui ont été choisis par Benoît XVI entre 2006 et aujourd’hui, on ne peut pas y discerner une volonté claire d’hypothéquer le futur conclave, celui-ci devant, dans la "mens" de Ratzinger comme dans celle de tout bon croyant, être confié avant tout au Saint-Esprit.

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  • La présidence de la COMECE sera "marxiste" !

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    Source : communiqué de presse de la COMECE (23/03/2012)

    Le Cardinal Marx est le nouveau Président de la COMECE

    « Nous nous trouvons à un moment décisif pour l’avenir de l’Europe »

    C’est la déclaration faite par le Cardinal Reinhard Marx après son élection comme nouveau Président de la Commission des Episcopats de l’UE. L’archevêque de Munich & Freising a été élu par ses pairs le 22 mars 2012 pour un mandat de 3 ans à la tête de la COMECE. Il sera assisté de quatre vice-présidents : Mgr Gianni Ambrosio (évêque de Piacenza-Bobbio, Italie), Mgr Virgil Bercea (évêque d’ Oradea Mare, Roumanie), Mgr Jarecki (évêque auxiliaire de Varsovie, Pologne) et Mgr Jean Kockerols (évêque auxiliaire de Bruxelles-Malines, Belgique).

    Le Cardinal Marx est membre de la COMECE depuis 2006 et en préside la Commission pour les Affaires sociales. Il est également vice-Président de la COMECE depuis 2009. Il a déclaré : « Concernant la crise économique et financière qui frappe notre continent, je suis persuadé que l’Union européenne dispose des moyens et du potentiel pour surmonter cette situation. Une crise globale exige une réponse commune. Il nous faut donc retrouver le sens d’une action collective et responsable. C’est à cette condition seulement que nous parviendrons à résoudre nos problèmes communs. Nous nous trouvons en effet à un moment décisif pour l’avenir de l’Europe. »

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  • Les suites psychologiques de l'avortement

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    Nous avons fait écho, hier au débat sur l'avortement qui s'est déroulé dimanche dernier sur la Première (RTBF) dans le cadre de l'émission "Et Dieu dans tout ça". La question des suites psychologiques de l'avortement y a été abordée. La synthèse de presse de généthique.org vient utilement compléter la réflexion à ce sujet :

    Dans le quotidien Libération, deux tribunes consécutives relatives au rapport du Pr  Israël Nisand sur la sexualité des mineurs ont été publiées en mars 2012. Dans une première tribune, du 1er mars 2012, deux sociologues, Mmes Bajos et Ferrand, et trois médecins, Mmes Meyer, Moreau et Warszawski, affirmaient que ce rapport est "moralisateur" quant à la question de l'IVG. Suite à celle-ci, le Pr Israël Nisand et Brigitte Letombe, gynécologues, et la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié une réponse dans ce même quotidien, le 9 mars 2012 (Cf. Synthèse de presse du 09/03/12). Ils faisaient part de leurs observations, liées à leur expérience clinique, selon lesquelles des femmes restent douloureusement marquées après avoir eu recours à l'avortement.

    Le 20 mars 2012, Libération a publié de nouvelles réactions. Pour Mmes Bajos, Ferrand, Meyer, Moreau et Warszawski, "affirmer que le recours à l'avortement augmente les troubles psychiques est une assertion fausse, réfutée par les recherches scientifiques".

    Pour le collectif "Les filles des 343", composé de militantes féministes, il n'existerait pas de lien entre avortement et souffrances psychiques. Pour ce collectif, avorter est une "décision qui doit être respectée", et la pression mise sur les "épaules" et les "ventres [des femmes] contribue à les rendre [...] malheureuses". Selon un groupe de médecins, gynécologues et obstétriciens, qui publient également un article dans Libération, "Nul ne peut se prévaloir du monopole du psychisme des femmes", et c'est le "regard condescendant, culpabilisant de la société relayé par trop de médecins [...] qui produit tant de ravages". Ils affirment qu'ils continueront résolument "à oeuvrer pour que cet acte [l'IVG] soit, comme c'est souvent le cas, un acte structurant de leur vie".Suite à ces réactions,  le Pr Israël Nisand, Brigitte Letombe et Sophie Marinopoulos ont publié une tribune le 22 mars 2012 dans Libération. Selon eux, à la question de savoir si "l'IVG constitue ou non un moment bénéfique dans la vie d'une femme", la réponse est "négative". En faisant "croire que l'IVG n'aurait aucune conséquence psychique sur les femmes", l'objectif majeur est ici de "protéger le droit à l'IVG". Or, "la meilleure IVG, surtout pour une jeune femme, est celle que l'on a pu prévenir". Ils ajoutent qu'en publiant ce rapport sur la sexualité des mineurs, l'objectif est également de "trouver des solutions qui permettraient d'inverser la courbe, croissante depuis vingt-cinq ans, des 90 000 IVG par an chez les moins de 25 ans".

  • Une journée internationale de la trisomie 21

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    La Fondation Jérôme Lejeune nous fait parvenir le communiqué reproduit ci-dessous. Dommage que nous ne l'ayons pas reçu un peu plus tôt pour mobiliser en temps voulu nos amis présents sur les réseaux sociaux.

    Pour la première fois en 2012, la Journée internationale de la trisomie 21 a été reconnue par une résolution de l’ONU instituant la "Journée mondiale de la trisomie 21" le 21 mars. Cette date du 21/03 est hautement symbolique : elle fait référence aux 3 chromosomes 21 à l'origine de la maladie. Le but de cette Journée est de sensibiliser et d’informer sur la trisomie 21.

    A l’occasion de cette Journée, la Fondation Jérôme Lejeune est partenaire d'une campagne pour sensibiliser sur la trisomie 21 et interpeler la société.

    Cette campagne soulève une interrogation fondamentale à propos de la place accordée à la personne trisomique, et plus largement à la personne handicapée et aux plus faibles.

    « Trisomique, et alors ? »

    Cette campagne est portée par un groupe de parents d’enfants trisomiques souhaitant faire entendre un message fort de sensibilisation et véhiculer une image positive auprès de la société. La campagne « Trisomique… Et alors ? » vise à démystifier la trisomie 21 et à interpeler le grand public sur le regard posé sur celle-ci, afin de permettre une réelle intégration des personnes qui en sont atteintes.

    La question du regard porté sur la trisomie 21 est une question de société de première importance, et il devient plus que jamais urgent d’y répondre, aussi bien pour les malades, les familles que pour la société tout entière. Interpeler sur cet enjeu, informer et former sur la réalité de cette maladie sont indispensables en France.

    Des annonceurs et d’autres acteurs ont permis la réalisation de cette opération : un bel élan de générosité témoignant d’une mobilisation possible et d’une volonté partagée de faire changer le regard sur la trisomie 21.
    Plus d’informations : www.trisomiqueetalors.com

    La Fondation Jérôme Lejeune invite toutes les personnes souhaitant s'associer à cette cause, au moins le temps d'une journée, à remplacer leur photo de profil sur les réseaux sociaux par une des affiches de la campagne. Les visuels sont disponibles sur la page Facebook ou sur le site de la Fondation.

    Par ailleurs, à l’occasion de cette Journée mondiale de la trisomie 21, la Fondation Jérôme Lejeune rappelle que la recherche en vue d’un traitement de la déficience intellectuelle de la trisomie 21 a considérablement avancé : cinq essais cliniques sont actuellement en cours dans le monde : cf Information Presse du 1er mars 2012  : « Traiter la trisomie 21 : l’ère des essais cliniques »

    Contact  E-influence
    François JEANNE-BEYLOT
    francois@inmediatic.net

    A propos de la Fondation Jérôme Lejeune : fondation scientifique de recherche médicale pour le traitement des déficiences intellectuelles d’origine génétique, reconnue d’utilité publique, et 1er financeur en France de la recherche thérapeutique sur la trisomie 21, la Fondation Jérôme Lejeune développe ses propres programmes de recherche et finance chaque année des dizaines de projets de recherche en France et dans le monde. Elle poursuit trois missions : chercher un traitement, soigner les patients et défendre la vie et la dignité des patients.

    Il y a 50 ans, un chercheur français, le Pr Jérôme Lejeune, découvrait la cause de la trisomie 21. Plus de 15 ans après sa généralisation, le dépistage prénatal conduit quant à lui à un taux de 96% d’enfants trisomiques avortés. En 2012, alors que l’ère des essais thérapeutiques est arrivée, un choix politique s’impose pour favoriser l’accueil des enfants handicapés, mettre fin à la discrimination et promouvoir la recherche thérapeutique.

    www.fondationlejeune.org

  • Sur la mort cérébrale et le don d'organes

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    Jeanne Smits aborde, de façon approfondie, cette problématique délicate. On pourra trouver les trois parties d'un entretien avec le Dr Paul Byrne en cliquant sur les liens suivants :

    « Mort cérébrale » et don d’organes : « l’une des racines de la culture de mort »

    « Mort cérébrale » et don d’organes : « l’une des racines de la culture de mort » (II)

    « Mort cérébrale » et don d’organes : IIIe partie

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 19 mars 2012

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    images (4).jpgSommaire

      Vlaanderen: steeds meer mensen adopteren kinderen met een handicap

      226 enfants adoptés en Belgique francophone en 2010

      Des grossesses à terme mais plus tardives

  • ObamaCare : L’opinion américaine n’est pas l’opinion européenne

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    Lu sur « Riposte Catholique » :

    « Le décret pris par le ministère fédéral de la Santé (HHS), en application de l’ObamaCare, et qui entend contraindre les institutions religieuses à inclure dans les polices d’assurance santé qu’elles contractent pour leurs employés, la contraception, la pilule abortive et la stérilisation, ne rencontre pas l’adhésion d’une majorité de l’opinion publique américaine, contrairement à ce que soutenaient les Démocrates.

    Deux sondages récents en donnent des indications fortes.

    Le premier sondage a été mené pour le The Wall Street Journal et NBC, par deux sondeurs : le Républicain Bill McInturff et le Démocrate Peter Hart.

    À la question de savoir si un employeur (au sens large) devait être obligé par la loi à payer le remboursement des moyens contraceptifs, une majorité des sondés répond favorablement : 53 % contre 33 %.

    Mais quand la question se précise, et qu’on demande à l’échantillon si l’Église catholique et les autres institutions religieuses devraient être obligées de rembourser la contraception, la tendance s’inverse : 45 % des sondés y sont opposés alors que 38 % se disent favorables.

    Quand les sondeurs ajoutent à la contraception une nouvelle question évoquant le remboursement de la pilule abortive pour ces mêmes institutions religieuses, alors l’opposition de l’opinion publique se renforce : 49 % sont contre et seulement 34 %. À noter que les femmes interrogés sont également majoritairement opposées : 46 % contre, 35 % pour, ainsi que les sondés qui se disent catholiques : 48 % contre, 36 % pour.

    Le second sondage, réalisé pour The New York Times et ABC, en février dernier, et uniquement sur un échantillon féminin, montre que 53 % des sondées sont opposées à l’obligation imposée par le gouvernement fédéral aux institutions religieuses, alors que seulement 38 % d’entre elles se disent favorables.

    Pour beaucoup d’analystes politiques non partisans, la manœuvre politique des Démocrates tentant de faire admettre que l’opposition au HHS Mandate était en fait une opposition à la « santé des femmes », a échoué. Électoralement, pour ces mêmes analystes, la décision du gouvernement Obama de lancer cette attaque frontale contre les institutions religieuses américaines, est tout sauf un coup de génie politique, et elle se traduit par une chute sensible de l’indice de popularité du Président : 41 % d’opinions favorables en mars, contre 50 % le mois dernier, avec le même pourcentage chez les sondés hommes ou femmes : ce qui veut dire pour Obama que chez ces dernières, la chute de l’indice de popularité est de 12 points entre février et mars. C’est ce qu’on appelle se tirer une balle dans le pied.» Référence : L’opinion américaine est majoritairement opposée au HHS Mandate du gouvernement Obama

     On serait curieux de voir quel serait le résultat d’un tel sondage en Europe occidentale (et singulièrement en Belgique). Au-delà de cette histoire d’assurance obligatoire imposée aux institutions privées se pose partout le problème de principe  de la clause de conscience qui est loin d’être un fait acquis en ces matières qui touchent à la liberté de la religion. Un bon sujet pour les cours de justices inter ou supranationales compétentes en matière de droits de l’homme…