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Culture - Page 204

  • Liège, 10 décembre : Grand concert de Noël de RCF Liège "Des mystères au Mystère, le chemin de Marie"

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    Grand concert de Noël de RCF Liège

    Plus de 100 choristes, sous la direction de Patricia Saussez, interpréteront « Des mystères au Mystère, le chemin de Marie », un agencement de chants du frère André Gouzes, op.,

    dans l’église collégiale saint-Jacques à Liège,
    le dimanche 10 décembre 2017 à 15h30


    Ce concert-méditation du temps de l’Avent revisitera les mystères de la vie du Christ, à contempler à l’école de Marie. Le rosaire, une prière qui existe depuis le XIIe siècle, est un « trésor à redécouvrir ».

    Ce concert sera dense : une grande variété de chants a capella, introduits par un duo d’instruments et ponctués d’écrits du fr. Dieudonné Dufrasne osb.

    Réservations souhaitées - réductions en prevente

    Cliquez ici pour accéder à la billeterie en ligne

    Catégorie ordinaire: 15 EUR (Prévente 12 EUR)
    Première catégorie: 25 EUR (Prévente 20 EUR)
    Catégorie étudiant: 12 EUR (Prévente 10 EUR)

    Il est aussi possible d'acheter ses tickets chez RCF Liège, rue des Prémontrés 40, 4000 Liège, Contact: +32 (4) 237 00 71, entre 9h00 et 17h00 ou par email: accueil.liege@rcf.be 

    Le chœur « Chant des Sources » compte une centaine de choristes dont une vingtaine de liégeois. Liège sera le 3ème concert de leur nouvelle tournée.

    Toutes les informations sur le concert: cliquez sur ce lien

  • Défendre un féminisme qui considère la femme entièrement

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    De Vincent Tremolet de Villers sur Figaro Vox (lefigaro.fr) :

    Marianne Durano: «Défendre un féminisme qui considère la femme entièrement»

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN- Le féminisme doit être repensé en profondeur: tel est le point de vue de Marianne Durano, professeur et journaliste à la revue Limite*. Une vision iconoclaste qui trace les contours d'une véritable anthropologie.

    Ancienne élève de l'Ecole Normale supérieure, agrégée de philosophie, Marianne Durano est professeur en lycée. Elle est rédactrice à la revue Limite et publie prochainement un essai sur le corps féminin aux éditions Albin Michel.

    Vous défendez dans la revue Limite l'idée d'un féminisme intégral. Que signifie cette expression? Féminisme n'est-il pas un mot qui se suffit à lui-même?

    Limite se veut une revue d'écologie “intégrale”. Tout comme l'expression “écologie intégrale”, “féminisme intégral” est en effet un pléonasme. Néanmoins, si nous parlons d'écologie intégrale, c'est pour dénoncer une forme de schizophrénie entre, d'une part, les tenants de l'écologie environnementale, et d'autre part les tenants de l'écologie “humaine”. De la même manière, le féminisme médiatique est pris dans des contradictions qui rendent nécessaire l'adjectif “intégral”: on ne peut pas défendre les femmes tout en niant la différence des sexes, lutter pour l'égalité salariale sans prendre en compte la spécificité de la grossesse, proclamer “mon corps m'appartient” sans dénoncer le trafic d'ovules et d'utérus qu'implique l'extension des PMA, etc.

    Le féminisme intégral que nous défendons intègre tous ces combats et veut défendre les femmes intégralement, sans nier leurs spécificités et leurs vulnérabilités particulières. En effet, “intègre” signifie aussi bien “honnête” qu'”entier”. Il s'agit tout d'abord de faire preuve d'honnêteté et de cohérence intellectuelle, en dénonçant toutes les aliénations dont les femmes sont victimes: lutter contre la culture de viol et par conséquent dénoncer l'omniprésence de la pornographie ; lutter contre la prostitution et contre les mères-porteuses, qui sont les deux faces d'un même marché des corps ; défendre la santé et l'autonomie des femmes également quand elles choisissent d'arrêter leur contraception chimique ; être intégralement “pro-choix” et donner à celles qui le veulent les moyens de garder l'enfant qu'elles portent ; défendre la dignité des salariées et des mères au foyer, etc. Le féminisme intégral considère la femme dans son entier: il n'évacue pas ses hormones et son utérus du champ politique, sous prétexte qu'ils seraient un facteur d'aliénation, ou en alléguant une égalité abstraite et désincarnée entre les sexes.

    Enfin, notre féminisme est intégral, parce que nous pensons qu'il faut transformer intégralement et radicalement les valeurs de notre société capitaliste, technocrate et concurrentielle, pour que les femmes puissent y trouver leur place sans avoir à se renier pour devenir des self-made men comme les autres.

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  • Vous avez dit : "ménage" ?

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    De Jean-Michel Beaussant sur le site de l'Homme Nouveau :

    « Ménages » à un puis « à trois »…

    De la formule « ménage d’une personne »introduite dans une enquête de l’Insee en passant par « la famille monoparentale » et autres avatars on en est arrivé au « trouple » reconnu en Colombie. Une (r)évolution significative d’une dissolution des mœurs encouragée, destructrice de la personne et de la famille.

    Selon la dernière enquête de l’Insee sur les familles (2013) publiée récemment, ce sont désormais les « ménages » d’une personne (sic) qui sont les plus nombreux en France (35 %), suivis des ménages de deux personnes (33 %) et des ménages de trois personnes ou plus (32 %), la part des grands ménages de cinq personnes ou plus ne cessant de diminuer : 1 sur 16 contre 1 sur 5 en 1999 (comme les ménages d’une personne). Autre évolution notoire, l’augmentation des familles monoparentales : une sur cinq contre une sur dix en 1999.

    Le ménage n’est plus le couple avec la famille classique et la famille n’est plus classiquement le couple et ses enfants. On constate les manipulations sémantiques de l’Institut statistique, transformant les mots et les définitions selon l’évolution des mœurs et l’idéologie dominante.

    Dans une même résidence

    Un « ménage » est désormais formé de l’ensemble des personnes qui partagent la résidence principale, sans qu’elles soient nécessairement unies par des liens familiaux. Mais les personnes vivant en collectivités sont considérées comme vivant hors ménage (étudiants, personnes âgées en maison de retraite, religieux…). Un ménage se réduit à une seule personne lorsqu’elle vit seule : « célibataire, veuf ou veuve occupants à eux seuls un logement ». On aurait naguère plutôt parlé de « foyer ». Aucune femme ni aucun homme ne pouvant concevoir un enfant tout seul, on saisit bien en outre ce que le concept de « famille monoparentale », c’est-à-dire de « monoparent », a de nominaliste, c’est-à-dire de (dé)construction, donc d’(invention) idéologique.

    L’évolution des comportements va de pair avec l’évolution idéologique dans une interactivité troublante. Si le nombre desdits ménages augmente (28,5 millions en 1993, soit + 4,2 millions depuis 1999) ce n’est pas à cause principalement des mariages et de la démographie française (toujours déclinante avec un vieillissement de la population), mais cela est dû pour moitié à la réduction de la taille des « ménages » (avec une raréfaction des familles nombreuses) et pour moitié à la croissance de la population due surtout à l’apport migratoire (25 % des bébés nés en 2016 ont au moins un parent né à l’étranger). Cette augmentation est donc portée essentiellement par ce que Paul Valéry appelait « la multiplication des seuls », notamment des célibataires de plus en plus nombreux dans notre « dissociété familiale », par la multiplication des couples ou des paires sans ou avec un seul enfant, ainsi que par la multiplication des ruptures et des divorces…

    À cause de la soi-disant libération sexuelle, de moins en moins de personnes vivent en couple à 35 ans. Ainsi le nombre des « ménages à un » ou desdites « familles monoparentales », c’est-à-dire le plus souvent et plus exactement des « sans famille constituée », ne cesse de croître régulièrement : + 87 % en 23 ans. La tendance devrait d’autant moins s’inverser que les travaux de plus en plus forcés des femmes leur donnent une indépendance financière qui ne les contraint plus à vivre en couple et les incite aussi à avoir moins d’enfants et plus tardivement.

    La famille reniée

    Après le « mariage » homosexuel dit « pour tous », on peut aussi s’attendre à d’autres monstruosités sémantiques reflétant tout autant un déni de la réalité familiale et dissimulant la promotion idéologique et subversive de modèles contre-nature. Pourquoi pas, au nom de l’amour de soi, un « mariage » narcissique avec soi-­même, justifiant ontologiquement le « ménage à un » et la « filiation monoparentale » pour les onanistes atrabilaires, avec accès à la GPA ou à la PMA selon les cas ? Ou pourquoi pas un mariage à trois ou à plusieurs de même sexe ou non, au nom du polyamour ? C’est précisément cette configuration-là que vient de reconnaître la Colombie, selon le récit d’Europe1 :

    « Ils sont trois hommes, s’aiment, mais la loi ne reconnaissait pas leur famille. Leur situation a changé depuis que la Colombie a officiellement légalisé leur foyer. »

    Gabrielle Cluzel commente ironiquement cette nouvelle dans Boulevard Voltaire (septembre 2017) :

    « Ce “trouple”, qui réunit un acteur, un éducateur physique et un journaliste, est “une reconnaissance que d’autres familles existent”, selon German Rincon Perfetti, avocat de l’association LGBTI (lesbiennes, gays, bisexuels, trans et intersexuels). Je sais, l’acronyme se rallonge, et ce n’est sans doute pas fini ; avec un peu d’imagination, on peut convoquer tout le clavier AZERTY : multisexuel, altrenativsexuel, polysexuel… »

  • Le sort des églises désertées

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    Lu sur InfoCatho, cet article d'un lecteur :

    Ces églises qui deviennent des mosquées

    Lorsque le diocese de Bourges a mis l’église St Eloi de Vierzon en vente, c’est une association islamique qui a fait une offre d’achat. Face à l’émotion provoquée, c’est ensuite une loge maçonnique qui s’est proposée d’acheter les locaux. Finalement, la ville a préempté : le maire communiste Nicolas Sansu a tenu promesse en signant en juin 2013 l’acte de vente de l’église Saint-Éloi, qu’il va transformer en salles d’activités sociales et sportives.

    • À Graulhet, en 2015, l’église a été transformée en mosquée. Elle s’appelle maintenant mosquée Al-Mohammadi, et appartient toujours à la mairie.
    • En 2015, Quai Malakoff, à Nantes, la chapelle Saint-Christophe a subi le même sort. Elle a été coiffée d’un minaret de 17 mètres de haut sous le nom de mosquée de Forqane.
    • Saint-Joseph de Clermont-Ferrand a été prêtée pendant 33 ans à la communauté musulmane de la ville qui a camouflé les symboles chrétiens derrière de nouvelles décorations. Devenue trop petite, les musulmans ont rendu les clefs en 2011 et ont construit une grande mosquée non loin.
    • A Lille la Chapelle des Sœurs Dominicaines est elle aussi devenue une mosquée après avoir été prêtée à titre gratuit en 1973 par l’Evêque de l’époque

    « ce qui arrive au Moyen Orient arrivera en Europe »

    Pour Isa Gürbüz, le responsable de l’Eglise orthodoxe syrienne en Suisse, « ce qui arrive au Moyen Orient arrivera en Europe », et il appelle les Chrétiens à la vigilance, car l’objectif de l’islam, c’est de prendre le pouvoir comme au Moyen Orient.

    Dans le journal zurichois Tages-Anzeiger, Isa Gürbüz qui parle en connaissance de cause, affirme que :

    « les musulmans sont en Europe pour prendre le pouvoir, comme au Moyen-Orient » et que « dans 20 ou 30 ans, il y aura en Europe une majorité de musulmans. La moitié des femmes européennes devra alors porter le hijab ».

    Gürbüz ajoute que c’est la version rigoriste et violente de l’islam qui s’exporte en Europe.

    « Ce que causent aujourd’hui les milliers de groupes terroristes de l’Etat islamique, des talibans ou d’al-Qaïda, est dans la continuité du génocide de 1915 » mené par l’Empire ottoman contre les minorités chrétiennes.

    A l’inverse, l’Eglise d’Allemagne demande que l’islam soit enseigné à l’école publique dans tout le pays afin d’éloigner les jeunes musulmans de la tentation fondamentaliste. L’évêque Heinrich Bedford-Strohm a déclaré au quotidien Heilbronner Stimme que l’enseignement de l’Islam dans les écoles donnerait aux jeunes musulmans une chance d’avoir une approche critique de leur religion.

    Dans la province hollandaise de Friesland, 250 des 720 églises ont été transformées ou fermées.

    En Allemagne entre 1990 et 2010, l’Eglise Évangélique a fermé 340 églises.

    L’an dernier, Dalil Boubakeur suggérait de convertir les églises vides en mosquées avant de se rétracter car il apportait des arguments contre les journalistes et intellectuels qui s’obstinent à nier qu’un remplacement est en cours.

    En janvier, la synagogue Or Torah de Marseille a été vendue à l’association musulmane Al Badr pour 400,000 euros. La synagogue était désertée en raison des agressions antisémites.

    • La mosquée Fatih Camii d’Amsterdam s’appelait encore Eglise Saint Ignatius en 1997.
    • Une synagogue de La Hague a été transformée en mosquée  Al Aqsa.
    • L’église St. Jacob, une des plus anciennes d’Utrecht, a été transformée en résidence de luxe.
    • A Maastricht, une bibliothèque a remplacé l’ancienne église des Dominicains.
    • La principale mosquée de Dublin est une ancienne église presbytérienne.
    • En Grande Bretagne, la cathédrale St Marks s’appelle maintenant « nouvelle mosquée de Peckham.
    • A Manchester, la mosquée de Disbury est une église méthodiste transformée.
    • Comme à Clitheroe, dans le Lancashire, où l’église anglicane Saint Pierre, a été transformée en mosquée.

    Et l’archevêque Jozef De Kesel encourage l’ouverture des écoles catholiques aux musulmans, car « la société occidentale n’a jamais été aussi laïque, mais en même temps la religion n’a jamais été aussi présente que maintenant. En partie grâce à l’islam, car celui-ci a favorisé le retour de la religion » explique l’archevêque belge, tout en ajoutant : « je sens cette peur [de l’islam] et je la comprends en partie, mais la peur est mauvaise conseillère. L’avenir est avec l’islam. »

    Répondant aux questions de Delphine de Mallevoüe pour Le Figaro, Maxime Cumunel, délégué de l’Observatoire du patrimoine religieux (OPR) expliquait en 2012 que « les campagnes comptent encore majoritairement des catholiques », mais sous la pression financière, les 5000 églises possédées par les diocèses de France construites au XXe siècle, seront « plus facilement vendables et transformables, car moins marquées religieusement dans leur architecture extérieure et intérieure ».

    En revanche, plus de 15 000 églises françaises sont classées au titre des monuments historiques, ce qui rend leur conversion impossible tant que la loi n’est pas modifiée.

    (Article envoyé par un lecteur)

  • Le sommaire (et les liens) du numéro de La Nef d'octobre 2017

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    Sommaire du n°296 d'octobre 2017
    SOMMAIRE DU N°296 D'OCTOBRE 2017

    ÉDITORIAUX
    Un monde sans Dieu, par Christophe Geffroy
    Faut pas prendre les enfants du bon Dieu…
    par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    François en Colombie : pour la réconciliation, par Yves Chiron
    Un livre pour mieux connaître François, par Christophe Geffroy
    Les droites en France : mirages et réalités, par Michel Toda
    L’Église et internet, par Pierre Mayrant
    Géopolitique d’abord : La France comme langue (2/2)
    par Paul-Marie Coûteaux

    ENTRETIEN
    Abbaye de Chevetogne, un pont entre Orient et Occident,
    entretien avec le Père Lambert Vos

    DOSSIER : LAÏCITÉ, LE POIDS DE L'HISTOIRE, LE DÉFI DE L'ISLAM
    Petite histoire de la laïcité républicaine, par Michel Toda
    Les rapports Église-État, par l’abbé Hervé Benoît
    Laïcité : où en est-on ?, par Christophe Geffroy
    Une laïcité à deux vitesses, par Matthieu Baumier
    L’islam et l’Occident, par Annie Laurent
    Un germe totalitaire, par Jean-François Chemain

    VIE CHRÉTIENNE
    Saint Jean Chrysostome : nul ne peut nuire…, par Yves Daoudal
    Question de foi : Depuis 30 ans…, par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Julien Freund : le politique et la décadence, par Gilles Banderier
    Notes de lecture, chroniques musique, cinéma, sortir, jeunes, internet
    Au fil des livres : Un automne divin, par Philippe Maxence 
    Un livre, un auteur, entretien avec Christophe Dickès
    Portrait : Charlotte d’Ornellas, par Marine Tertrais
    Débats : Avortement en Irlande : un référendum à risque
    par Tim O’Sullivan
    Débats : Loi travail : Quel code du travail ?, par Joseph Thouvenel

    BRÈVES
    Toutes les annonces en ligne
     
     

  • Mgr Delville : Trésor de la foi et annonce missionnaire

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    mag_104-page-001.jpgMonseigneur Jean-Pierre Delville, évêque de Liège,  a  fait devant les délégués des mouvements spirituels de son diocèse réunis à l’évêché une intéressante communication intitulée « Trésor de la foi et annonce missionnaire ». Il a bien voulu nous autoriser à en reproduire le texte, que voici : texte paru dans Vérité et Espérance-Pâque Nouvelle n° 104, automne 2017 (ce n° est disponible sur simple demande à sursumcorda@skynet.be )

    VE PN 104 Trésor Foi et Mission . Kérygme web-jesus-sermont-mount-c2a9leemage.jpg

    « Je vais d’abord voir les dimensions de la transmission du trésor de la foi à la lumière des suggestions du pape François dans Evangelii gaudium (EG). Puis je les illustrerai à travers l’histoire de notre région au cours des âges. Pour chaque époque, j’évoquerai la répercussion dans l’aujourd’hui de ce qui s’est vécu alors[1]. Enfin, je vais profiler des pistes pour activer la transmission de la foi dans notre Église locale, à la lumière des derniers documents du pape François et de nos expériences locales, afin de donner un avenir à nos mouvements, nos paroisses, notre foi, notre Église et notre monde[2].

    1. Les quatre caractéristiques de la transmission de la foi

    Dès l’époque de Jésus, on voit que le message que Jésus transmet reçoit deux types de réactions opposées : l’adhésion ou le rejet. Il est accepté avec enthousiasme par les uns, qui y voient une source de vie et d’amour. Il est rejeté par les autres parce qu’il n’est ni évident ni immédiat et qu’il va à l’encontre de nos pulsions premières, liées à la survie, à la sécurité, à la possession… Sous certains aspects, l’Evangile est déjà à l’époque dérangeant. Sa transmission ne va pas de soi. C’est un aspect que l’on voit beaucoup réapparaître aujourd’hui : la foi dérange et est rejetée parce qu’elle est exigeante.

    Selon l’évangéliste Matthieu, « Jésus proclamait la bonne nouvelle du Règne et guérissait toute maladie et toute infirmité parmi le peuple » (Mt 4,23). La transmission de la foi est donc constituée d’un message (un kérygme, une annonce) et d’un engagement salutaire (une éthique du salut).

    1. Dimension kérygmatique

    Il s’agit de la première annonce, celle du cœur de la foi (EG 163), le kérygme : « Jésus-Christ est mort et ressuscité ». Le fait de cibler l’annonce de la foi sur la personne de Jésus est le cœur de l’annonce. Si Jésus annonce le royaume de Dieu, les disciples, après la Pentecôte, centrent la foi sur la personne même de Jésus. Ils partent dans les grandes villes de l’Empire romain. Ils témoignent de ce qu’ils ont vu. Ils centrent tout sur la personne du Christ, sa mort et sa résurrection. En Jésus, se révèle un Dieu de la non-violence, qui donne son sang plutôt que de demander qu’on se sacrifie et donne son sang pour lui. Jésus combat le mal par la prière. Il assume toute la souffrance humaine sur la croix, car il demande que le sang soit épargné. C’est tout le sens du mystère de Pâques, que nous venons de célébrer. Le rôle unificateur de saint Paul est à relever. La transmission se fait dans la plupart des cultures religieuses, ethniques, sociologiques et linguistiques de l’époque. Le pape insiste sur la nécessité de l’apprentissage du contexte biblique dans le cadre de l’école et à la catéchèse (EG 175). L’évangélisation demande la familiarité avec la Parole de Dieu et cela exige que les diocèses, les paroisses et tous les groupements catholiques proposent une étude sérieuse et persévérante de la Bible, en promouvant la lecture personnelle et communautaire.

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  • Deux, trois petits pas au Livre de Job

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    mag_104-page-001.jpg"Vir erat in terra Hus, nomine Job: simplex et rectus, ac timens Deum: quem Satan petiit, ut tentaret: et data est ei potestas a Domino in facultates et in carnem ejus...

    "Il y avait, au pays de Hus, un homme appelé Job, simple, droit et craignant Dieu. Satan demanda de le mettre à l'épreuve et reçut du Seigneur pouvoir  sur ses biens et  sur son corps..."

    Job, 1 (offertoire du 21e dimanche après la Pentecôte)

     

    job 007.jpg

    Il était un homme, appelé Job...

     

    Un homme simple et droit,

    qui vénérait Dieu

    et veillait à garder ses enfants en son amour.

    ~

    Job était entouré d’estime

    et comblé de biens.

    ~

    Il n’est pas entouré d’estime

    et comblé de biens

    parce qu’il vénère Dieu.

     

    Il ne vénère pas Dieu

    parce qu’il est entouré d’estime

    et comblé de biens.

     

    Simplement Job est Job

    et Dieu, Dieu.

    ~

    Là,

    ni « parce que », ni « pour que ».

    Simplement Job est Job

    et Dieu, Dieu.

    C’est tout.

     

    C’est Tout.

    Il ne faut pas chercher plus loin.

    ~

    Dieu garde l’homme en bienveillante main ;

    il « ne dort ni ne somnole » :

    il veille.

     

    « Regardez les oiseaux du ciel...

    Regardez les lis des champs... »

    Dieu pourvoit à tout

    et au-delà.

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  • Cette logique qui déstructure nos sociétés et qu'il importe de bien diagnostiquer

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    Ce constat de Joël Hautebert, sur le site de l'Homme Nouveau, vaut évidemment autant pour la Belgique que pour la France, notre pays ayant largement anticipé toutes les dérives dénoncées par l'auteur :

    La logique « sociétale » à l’œuvre

    L’annonce de l’ouverture de la PMA aux femmes célibataires et aux « couples » de lesbiennes met en évidence une extension mortifère des lois dites « sociétales », véritable greffon du libéralisme philosophique émancipant l’homme de Dieu et de l’ordre naturel. Après l’asservissement contraceptif, un nouvel exemple du rejet de tout ordre moral que l’État laïque ne fait qu’entériner par ses lois permissives.

    Le mois de septembre a été riche en déclarations « sociétales ». La médiatisation/revendication du suicide assisté de l’écrivain Anne Bert, ainsi que l’annonce d’une ouverture prochaine de la PMA aux femmes célibataires et aux duos de lesbiennes ont rappelé que si les élections passent, la logique « sociétale » demeure, inexorablement. De fait, les promoteurs de la culture de vie ont perdu tous les combats qu’ils ont menés depuis cinquante ans. Un tel constat n’est pas du défaitisme mais du réalisme. Il convient de s’interroger sur les raisons de cette progression mortifère qu’aucune opposition n’arrive à briser ; progression qui d’ailleurs avait été annoncée et prévue dès le début par ceux qui s’y opposaient.

    Une suite prévisible

    Car n’en doutons pas, après la contraception, l’avortement, la PMA pour les couples stériles, le divorce par consentement mutuel et « le mariage pour tous », « la PMA pour toutes » sera votée, ainsi que quelque temps plus tard « la GPA pour tous » ; et l’euthanasie suivra ; le « polyamour » et le statut de « travailleur du sexe » aussi. La résistance souvent nombreuse et pleine de créativité a bien combattu, surtout en 2012 et 2013. Espérons qu’elle le fera de nouveau l’an prochain, de façon encore plus percutante et massive. Mais à vues humaines, la victoire semble inaccessible. L’enjeu serait-il de seulement sauver l’honneur du peuple français et de notre civilisation ? De témoigner de la permanence d’un ordre humain qu’aucune loi inique ne pourra éradiquer définitivement de la conscience humaine ?

    Certes mais cela ne suffit pas car comme membre de notre société nous ne pouvons nous satisfaire d’être spectateur de notre propre déroute. Maigre consolation que de compenser l’ineffectivité pratique par la lucidité de l’analyse ! Il s’agit au contraire de mettre l’intelligence au service d’un combat toujours à reprendre. Tant que le Christ n’est pas revenu sur terre, le temps du chrétien est le temps du combat. Seule une recherche des causes de ce processus semblant inexorable permet de garder l’espérance car rien dans le monde humain n’est irréversible. En effet, la société a pour trame la multitude des actes posés par ses membres, actes qui engendrent des structures, soit bénéfiques soit maléfiques. La spirale vicieuse des structures de péché et des idéologies du mal ne peut être renversée que par des actes vertueux posés par des sujets ayant une haute conscience des processus à l’œuvre. Ce n’est donc qu’en établissant un diagnostic le plus complet et le plus radical possible que nous pourrons cultiver les ressources permettant de créer une spirale vertueuse et des structures de vie bonne.

    Toutes ces lois sociétales sont portées par deux principes immanents à la démocratie libérale contemporaine, l’un concernant le contenu – la libre disposition de l’individu par lui-même –, l’autre concernant la forme – la neutralité éthique de l’État dans un contexte de polythéisme des valeurs. L’articulation de ces deux principes donne une très grande puissance rhétorique à toute revendication sachant s’y greffer.

    La légalisation de la contraception en 1967

    La mère des batailles « sociétales » a été la légalisation de la contraception en 1967 par De Gaulle. En effet, ce qui se noue dans la mentalité contraceptive est un certain rapport de la personne à son corps sexué. Celui-ci est-il un matériau qui lui appartient et qu’elle peut utiliser comme bon lui semble ? Ou bien son corps est-il le signe qu’elle se reçoit d’un ordre naturel et divin dont le respect lui permettra de se réaliser ? Dans le premier cas, la technique lui permet d’objectiver son corps pour en disposer à volonté. Dans le second cas,

    « l’homme n’est que l’usufruitier, non le possesseur indépendant et le propriétaire de son corps et de tout ce que le Créateur lui a donné pour qu’il en use conformément à la nature ». (Pie XII, Allocution aux participants du VIIIe Congrès international des médecins à Rome, le 30 septembre 1954.)

    La conception de l’autonomie de l’individu remonte aux sources du libéralisme philosophique (dès 1689 John Locke affirme que « l’homme est maître de lui-même, et propriétaire de sa propre personne ») mais elle a trouvé dans le progrès scientifique et technique de quoi rendre effective cette négation d’un ordre de la nature immanent à la personne humaine.

    Au nom de quoi l’État laïque ­pourrait-il interdire la libre disposition de soi fondée sur la souveraineté de la volonté individuelle ? Ni Dieu réduit à être l’objet d’une croyance personnel­le, ni la nature malléable et muette ne peuvent être invoqués pour empêcher des individus de vivre comme ils l’entendent. La logique permissive des lois « sociétales » est un élément essentiel de leur force. Ces lois n’interdisent pas, elles offrent davantage de possibilités aux individus doués d’une liberté indéterminée. Ceux qui s’y opposent apparaissent ainsi comme des gens voulant imposer à tous leur propre conception du bien humain. Et c’est là que la forme vient au secours du contenu afin de rendre la revendication irrépressible.

    La tolérance en éthique

    La tolérance, appliquée à l’origine au champ religieux, a été étendue au champ « éthique ». De même que l’État libéral se déclare incompétent quant à la vraie religion, il se déclare incompétent quant à la bonne manière de vivre sa vie humaine. Il ne se préoccupe que de l’ordre public, garanti par les lois votées selon le critère quantitatif de la majorité et le critère qualitatif des « droits de l’homme ». Mais comme les contenus de ces droits sont relatifs à la manière dont on conçoit l’être humain, ceux-ci sont extensibles au gré des revendications et de la nécessaire prise en compte de la diversité des croyances et des systèmes de valeurs.

    Le mot sociétal a précisément été inventé pour qualifier le débat médiatique et législatif entre partisans de conceptions rivales touchant les mœurs. Ce débat ne peut se tenir que si tous les débatteurs respectent les principes le rendant possible. Or ces principes apparemment formels et abstraits orientent subrepticement l’issue du débat qui, elle, sera bien concrète. En effet, liberté et égalité des individus, neutralité éthique des institutions, refus de l’intolérance, etc. toutes ces « valeurs de la République » disposent la mentalité commune à valider ce qui se présente comme augmentant les droits et la liberté des individus ayant à se déterminer eux-mêmes sans avoir à subir le diktat d’un « ordre moral » vestige de l’ancien temps.

  • Les religions - et le christianisme en particulier - sont-elles responsables du sexisme ?

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    De Kévin Boucaud-Victoire sur aleteia.org, cet article dont le titre mériterait d'être débattu (le christianisme, hier, menaçait-il la femme ?) :

    Eugénie Bastié répond à Sophia Aram : « Aujourd’hui, le christianisme ne menace pas la femme »

    En plein débat sur le harcèlement sexuel, l'humoriste Sophia Aram a accusé lundi « les religions » d'être responsables du sexisme. La chroniqueuse de France Inter s'en est également prise à la journaliste Eugénie Bastié.

    Réagissant à l’affaire Harvey Weinstein et à la création du hashtag #BalanceTonPorc sur les réseaux sociaux, Sophia Aram désigne « les religions » comme les seules responsables du machisme et du sexisme. « Comment les hommes en viennent à considérer les femmes comme leur butin, comme une extension de leur propriété, de leur pouvoir ? », s’interroge-t-elle dans sa chronique du 16 octobre sur France inter.

    Selon elle, christianisme, judaïsme et islam reposent sur un principe énoncé deux fois par l’apôtre Paul : « Dieu est le chef de l’homme et l’homme est le chef de la femme » (1 Corinthien 11, 3 et Éphésiens 5, 23). Ainsi, pour acheter la soumission des hommes, les religieux ont offert la domination de la femme. « Ce qui fait de la religion la plus vaste entreprise de proxénétisme de l’histoire de l’humanité », estime l’humoriste. Sophia Aram s’en prend également à la journaliste Eugénie Bastié. Selon elle, la journaliste du Figaro et de la revue Limite est coupable d’expliquer dans son essai Adieu mademoiselle : la défaite des femmes, publié en 2016 aux éditions du Cerf, que « le christianisme a inventé le féminisme et le féminisme a gagné ». Deux affirmations que la chroniqueuse juge grotesques. Pour Aleteia, Eugénie Bastié répond à l’humoriste point par point.

    Aleteia : Selon Sophia Aram, « les trois monothéismes sont au moins d’accord sur une chose, exprimée le plus simplement possible par saint Paul : “Dieu est le chef de l’homme et l’homme est le chef de la femme ” ». Les trois religions monothéistes sont-elles effectivement misogynes ?

    Eugénie Bastié : D’abord, je ne vois pas le rapport entre l’affaire Weinstein et les religions qui auraient modelé l’histoire de l’humanité. Au contraire, nous vivons une période de recul du christianisme et des religions, pourtant ce genre d’actes existe toujours, voire progresse. Nous le saurions si Harvey Weinstein, producteur hollywoodien et proche des démocrates, avait trop lu saint Paul. Elle va nous dire que Bertrand Cantat est trop allé à la messe aussi ? Sophia Aram nous ressort son athéisme militant daté, qui consiste à affirmer que la religion est la source de tous les maux de l’humanité. Ces gens ne conçoivent pas qu’il puisse exister un mal sur terre qui ne provienne pas des religions. Ensuite, mettre toute les religions à égalité est problématique. C’est la nuit de l’équivalence, le relativisme absolu, de dire que toutes les religions sont patriarcales de la même manière. Au contraire, l’Occident chrétien est le lieu où est né le féminisme. Et c’est d’ailleurs de là que Sophia Aram peut diffuser sa chronique en toute liberté.

     

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  • La nouvelle charge de Dan Brown contre la religion

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    De Samuel Lieven sur le site du journal La Croix :

    Dan Brown pronostique la mort de Dieu

    L’auteur du Da Vinci Code a estimé à l’occasion du lancement de son dernier roman que « Dieu ne peut survivre à la science ». Nombre de théologiens et scientifiques jugent cette opposition aujourd’hui dépassée.

    Après le « Dieu est mort » de Nietzsche à la fin du XIXe siècle, voici la mort de Dieu selon Dan Brown. Pour l’homme aux deux cents millions d’exemplaires vendus, auteur du best-seller planétaire « Da Vinci Code » (2003), « Dieu ne peut survivre à la science ». Une sentence proclamée la semaine dernière lors de la présentation de son dernier ouvrage, « Origine », à la foire internationale du livre de Francfort.

    Ce cinquième opus de la saga commencée avec « Da Vinci Code » raconte une nouvelle aventure du professeur de l’Université de Harvard Robert Langdon. Il s’emploie cette fois à déchiffrer les mystères de l’origine du monde, en explorant en particulier la lutte entre science et religion.

    « Au cours de la décennie à venir, notre espèce va se retrouver énormément connectée (…) et nous allons commencer à trouver nos expériences spirituelles via nos interconnexions, pronostique le romancier de 53 ans. Notre besoin d’un Dieu extérieur assis en haut et qui nous juge (…) va diminuer et au bout du compte disparaître. »

    Une opposition aujourd’hui dépassée

    Celui qui s’était mis à dos l’Opus Dei et une partie de la hiérarchie catholique avec « Da Vinci Code » apporte ainsi sa contribution au vieux débat opposant Dieu et la science. Une opposition toujours puissamment ancrée dans les esprits, mais que nombre de théologiens et scientifiques jugent aujourd’hui dépassée.

    « C’est une vue extrêmement simpliste de l’histoire de dire que la science tue la religion », estime l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet, directeur de recherche au CNRS, qui se définit lui-même comme matérialiste athée. Certes, il existe bien une « opposition de principe et de méthode entre science et religion : d’un côté, la science fonctionne sur la base de paradigmes évoluant au cours du temps ; de l’autre, les religions – en particulier monothéistes – s’appuient sur un dogme auquel on ne doit pas toucher ». Giordano Bruno, Galilée et d’autres en ont, en leur temps, fait les frais.

    Pour autant, pas question de dresser science et religions les unes contre les autres. Car pour Jean-Pierre Luminet, la notion de « foi » – en une vérité révélée ou un Dieu personnel – échappe aux lois du scientifique occupé à décoder l’univers. « De ce point de vue, chacun est renvoyé à sa propre expérience spirituelle : pour les uns, plus de science mène à Dieu quand d’autres s’en éloignent. D’autres encore, comme Einstein, n’ont guère besoin de Dieu pour contempler la nature. »

    D’ailleurs, Dan Brown lui-même se défend d’être contre la religion, mais dit vouloir juste « lancer un dialogue ». « Je pense que la religion a fait beaucoup de bien dans le monde. Je pense aussi que le monde a tellement changé qu’elle n’est plus un besoin », a-t-il encore déclaré, faisant au passage l’éloge du pape François pour ses efforts visant à moderniser l’Église catholique.

    « Dieu n’a pas vocation à combler les trous béants laissés par la science »

    Le même François n’avait-il pas provoqué, voilà trois ans, un petit tsunami médiatique en affirmant, devant l’Académie pontificale des sciences, que le big bang ne contredit pas « l’intervention créatrice de Dieu, au contraire, il la requiert » ? Preuve s’il en est que le dialogue entre foi et science n’a pas attendu Dan Brown pour s’enclencher.

    « Il est aberrant que l’on puisse, aujourd’hui encore, penser la relation entre science et foi en termes d’opposition après plus d’un siècle de dialogue fécond,déplorait alors le père Thierry Magnin, prêtre, physicien et recteur de l’université catholique de Lyon. Dieu n’a pas vocation à combler les trous béants laissés par la science. Quant à cette dernière, les scientifiques savent bien qu’elle ne dit pas tout. »

    LIRE ÉGALEMENT : Les propos du pape sur le big bang sont-ils révolutionnaires ?

  • Belgique : une offre élargie pour le Chant Grégorien

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    De  Manu Van Lier sur le site « cathobel », le 12 octobre 2017

    « L’Académie de chant grégorien a été fondée en mars 2000 à Bruxelles Depuis, elle ne cesse de se développer et propose aujourd’hui un programme très complet avec des cours de chant grégorien à Bruxelles et à Liège ouverts à tous

    A Bruxelles

    Le cours est animé par Isabelle Valloton, qui a reçu une formation grégorienne à l’abbaye valaisanne de Saint-Maurice et au Chœur grégorien de Paris ainsi que dans des séminaires organisés par des grégorianistes de renom. Elle sera assistée par Jacques Zeegers, directeur musical de la choraleModifier grégorienne Saint-Irénée de Bruxelles. www.irenee.gregorien.be

    Les leçons sont organisées sur deux niveaux et sont données le samedi après-midi de 14h à 17h aux dates suivantes :

    28 octobre, 18 novembre, 2 décembre ,16 décembre 2017 ;  20 janvier, 3 février, 24 février,
    3 mars 2018. Messe de clôture le dimanche 18 mars.

    Prieuré Saint-Madeleine, avenue de Jette 225, 1090 Jette

    Information et inscription : www.gregorien.be ; academiegregorien@skynet.be  – 0477 414 419.

    A Liège

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    Le cours est également animé par Isabelle Valloton (voir ci-dessus) assistée par, Gérald Messiaen auteur d’un répertoire grégorien consultable sur le site de l’Académie www.gregorien.be et d’un manuel « Le chant grégorien, un aperçu ».

    Treize leçons sont organisée le samedi de 14h30 à 17h30 aux dates suivantes : 21 octobre,
    11 novembre, 25 novembre, 9 décembre 2017 ;  13 janvier, 27 janvier, 17 février, 10 mars, 14 avril,
    21 avril, 5 mai, 26 mai et 9 juin 2018. Journée festive le samedi 18 juin : concert et messe de clôture avec la Schola Cardinal Wyszynski de Varsovie dirigée par Michal Slawecki.

    Cette formation est élargie à la formation de la voix, à la lecture musicale et à l’initiation à l’orgue, avec trois professeurs universitaires ou diplômés des conservatoires tant belges qu’étrangers.

    Les formations se donnent toutes dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132, 4000 Liège).  Inscription en ligne sur www.gregorien.be.  Pour tout renseignement: 04.344.10.89 ou academiedechantgregorienliege@proximus.be "

    Source: une offre élargie pour le Chant Grégorien

    Voir aussi:    L'Académie de Chant Grégorien à Liège : une offre qui s’élargit encore !

    JPSC