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Société - Page 758

  • «Le risque de l'athéisme anonyme menace aussi les chrétiens»

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    Le cardinal Scola demande de regarder le monde positivement, en abandonnant les jugements et les lamentations. Il annonce aussi l’assouplissement/le désengorgement de la Curie de Milan.  

    ANDREA TORNIELLI (merci à EW pour sa traduction)

    http://vaticaninsider.lastampa.it/vaticano/dettaglio-articolo/articolo/27706/

    La lettre pastorale s’intitule  « Le champ, c’est le monde. Chemins à parcourir à la rencontre de l’humain», elle est caractérisée par un regard positif sur le monde et sur ses changements et représente jusqu’à aujourd’hui la tentative la plus significative de syntonie avec le nouveau pontificat de la part de l’un des plus grands diocèses italiens. 

    Dans la lettre pastorale du cardinal de Milan Angelo Scola, publiée ce lundi, les critiques réalistes sur l’état de fatigue des Eglises européennes ne manquent pas : «  La situation sociale, politique et religieuse de l’Europe montre toutes les rides du visage d’une mère qui a porté pendant des siècles, parfois avec arrogance, le poids de la complexité toujours croissante de l’histoire. Les chrétiens eux-mêmes en partagent la responsabilité. » Et nonobstant quelques signes encourageants de résistance « Il faut l’admettre avec franchise – écrit Scola –, même parmi les chrétiens de Milan, le risque existe, d’une sorte d’ « athéisme anonyme », c’est-à-dire de vivre dans les faits comme si Dieu n’existait pas. Une lassitude qui se perçoit particulièrement dans la « condition des générations intermédiaires. » 

    Mais la nouveauté la plus remarquable de cette lettre réside dans le regard positif sur le monde qu’elle propose. Le monde, c’est le « champ de Dieu », à l’origine de la réalité, il y a l’ « initiative bonne d’un Autre » et, par conséquent – explique le cardinal en paraphrasant le Pape François - , il faut « se laisser surprendre par Dieu. » Le « « monde » a une dimension positive irréductible : il est le fruit de la grâce » de l’amour de Dieu. Un amour qui « nous précède toujours et ne peut être vaincu par aucun mal ! ».

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  • Les FEMEN Belgique ferment boutique

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    Lu sur RTL.be : Ne les appelez plus jamais Femen

    Les Femen de Belgique, connues pour des manifestations seins nus dans le pays, cessent leurs activités, ont-elles annoncé sur leur page Facebook mardi après-midi. "Nous avons pris unanimement cette décision à la suite d'un désaccord concernant l'organisation internationale du mouvement", a confirmé à l'agence Belga Margo Fruitier, porte-parole de la branche belge du mouvement.

    "Nous ne revenons pas sur l'idéologie du mouvement, mais bien sur la manière dont fonctionne ce groupe à l'échelle internationale", ajoute-t-elle. "Nous ne regrettons rien, nous avons mené toutes nos actions sincèrement", écrivent les Femen belges sur leur page Facebook. "Nous continuerons à nous battre dans un mouvement qui sera le nôtre" et qui se développera d'abord en Belgique, selon la porte-parole. Le groupe, qui ne donne pas pour l'instant d'autres détails sur ce choix, a pris sa décision lors d'une réunion qui s'est tenue lundi soir.

    Deux évènements récents pas à l’origine de ces sécession

    La récente polémique autour de Victor Svyatski, qui aurait fondé le mouvement et le récent départ de la militante tunisienne Amina Sboui ne seraient pas directement à l'origine de la fermeture de Femen Belgique, selon leur porte-parole. "Il s'agit bien d'un désaccord quant à l'organisation internationale et à la communication au sein du mouvement", insiste la porte-parole belge. (...)

     

  • Pilule gratuite, de l'électoralisme ?

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    L'histoire populiste de la "pilule gratuite" au Parti Socialiste ?

    10/09/2013 - Début de vie - IEB

    Ces mots sont ceux du Dr Marc Moens, vice-président de l'Absym (Association Belge des Syndicats Médicaux) et Secrétaire général du Groupement des Unions Professionnelles Belges de Médecins Spécialistes (GBS) 
    Dans le rapport annuel 2012 du GBS, intitulé " Une pilule mutualiste empoisonnée" le Dr Moens se questionne quant à l’opportunité de distribuer gratuitement la pilule aux jeunes de « moins de 21 ans, avec un coût de 9,313 millions d'euros pour l'INAMI, alors que, cinq ans après le lancement, aucun effet n'a (encore) pu être enregistré sur le nombre d'interruptions volontaires de grossesse dans cette tranche d'âge ». Cela aurait-il  « amené ce groupe ou leurs mères à voter pour le PS au niveau local ? »
    De plus Marc Moens affirme, dans le Journal du Médecin du 19 juillet 2013, que "la suppression pure et simple de la pilule gratuite représenterait une part non négligeable des 50 millions d'euros d'économies supplémentaires demandées au budget des soins de santé".

  • 8 centres belges de génétique proposent un test ADN pour détecter la trisomie

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    8 centres belges de génétique proposent un test ADN pour détecter la trisomie

    10/09/2013 - Diagnostics prénatal et préimplantatoire - IEB

    Afin de dépister la trisomie et lorsqu’ils soupçonnent une anomalie quelconque, les médecins effectuent généralement une amniocentèse, étant toutefois conscients du risque de 1 % de fausse couche provoquée par cette technique invasive. Depuis 6 mois, le Prof Jani (chef du service de gynécologie-obstétrique au CHU Brugmann) utilise une nouvelle technique. "C’est une prise de sang qu’on envoie dans un laboratoire américain. Celui-ci dispose d’une technique qui permet dedétecter l’ADN fœtal dans le sang de la mère." Pour ce médecin, c’est assurément une avancée, car on évite non seulement un risque de fausse couche mais aussi la venue au monde d’un enfant trisomique. Le professeur estime en effet que plus de 99 % des parents décident d’avorter lorsqu’ils apprennent que leur bébé sera atteint du syndrome. 
    Depuis cet été, les huit centres de génétique du pays proposent le même test sanguin.
    Certains se sont élévés contre la pratique de ce test, non seulement du fait de son coût élevé et des répercussions sur le Budget de la Santé, mais aussi et surtout parce qu’ainsi, on en vient à « attenter à la vie d’une population entière parce qu’ils ne sont pas aptes génétiquement. C’est carrément de l’eugénisme » déclare la Fondation Jérôme Lejeune, qui depuis de nombreuses années soutient les familles et réalise des recherches sur la trisomie.

  • Strasbourg, 1er octobre : la famille un sujet de droits

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    La famille,
    un sujet de droits

    Strasbourg, le 1er octobre 2013

    à l'occasion de Année européenne des citoyens
    & le 30ème anniversaire de la Charte des 
    Droits de la Famille du Saint Siège

    Inscription et programme

    CONFERENCE AVEC

    Xavier Breton, Député français
    Mgr Jean Laffitte, Secrétaire du Conseil pontifical pour la famille
    Grégor Puppinck, Directeur du Centre européen du droit  et de la justice  (ECLJ)
    Antoine Renard, Président de la FAFCE et de la CNAFC
    On. Luca Volontè, Président de la fondation Novae Terrae

    Dr Anna Záborská, Présidente de l’Intergroupe pour la famille, la petite  enfance et la solidarité intergénérationnelle du Parlement européen.

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, a été fondée en 1997 et elle est dotée d’un statut participatif auprès du Conseil de l’Europe.

    La FAFCE représente des associations familiales de 16 pays européens. L’action de la FAFCE est fondée sur l’enseignement social et familial de l’Eglise catholique. Elle promeut l’intérêt des familles et valorise la contribution de la famille à la société auprès des décideurs politiques à l’échelle européenne.

    Dans le cadre de l’Année européenne des citoyens et pour célébrer le 30ème anniversaire de la Charte des Droits de la famille du Saint Siège, la FAFCE souhaite attirer l’attention sur la famille comme sujet de droits. Cet événement prépare également le 20ème anniversaire de l’Année internationale de la famille en 2014.

     La FAFCE souhaite promouvoir la famille comme un sujet de droits et par là contribuer à renforcer les droits existants qui sont déjà inscrits dans les instruments juridiques aux niveaux nationaux, communautaires et internationaux.

    Cette conférence abordera le thème de la famille, sujet de droits en s’inspirant de la Charte des Droits de la Famille du Saint Siège et en explorant la législation en faveur de la famille comme ressource pour les législateurs aux niveaux européen et national.

    La conférence est ouverte aux législateurs, experts juridiques, étudiants en droit, think tanks, associations familiales et d’autres acteurs qui s’intéressent à la promotion de la famille et ses intérêts. 

  • Rawan (huit ans) est morte des suites de sa nuit de noces

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    Lu sur RTL-be :

    Yémen: Rawan, 8 ans, décédée des suites de sa nuit de noces

    Rawan, une fillette yéménite de 8 ans, est décédée au lendemain de sa "nuit de noces" des suites des blessures subies lors des relations sexuelles imposées par son "mari", âgé d'une quarantaine d'années. L'utérus de la petite fille s'est déchiré et elle est décédée samedi dans une chambre d'hôtel de la ville de Hardh.

    Il n'est pas certain que le mari, originaire d'Arabie saoudite, ait été arrêté. Selon des membres d'organisations des droits de l'homme, la petite Rawan aurait été vendue au Saoudien par son beau-père pour 10.000 rial (2.024 euros). Le père biologique de l'enfant est décédé, a indiqué le Centre yéménite pour les droits de l'homme. "Au vu de cette terrible histoire, nous répétons notre exigence de voir voter une loi imposant un âge minimum de 18 ans pour pouvoir contracter un mariage", a déclaré un collaborateur du Centre. Les islamistes ont déjà rejeté à plusieurs reprises de telles propositions de loi.

    Le mariage de jeunes filles mineures est relativement courant au Yémen. En 2008, le cas de la petite Nudshud Ali, 10 ans, avait attiré l'attention de l'opinion car elle avait obtenu le divorce via une décision de justice.

  • L'avortement sélectif se pratique en Grande-Bretagne

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    Lu sur la synthèse quotidienne de gènéthique.org :

    De l'avortement sélectif en Grande-Bretagne

     Le Ministre britannique de la Santé a demandé au parquet des "clarifications urgentes" sur sa décision de ne pas poursuivre deux médecins ayant accepté de pratiquer un avortement en raison du sexe féminin du foetus.

    C'est le Daily Telegraph qui a révélé cette affaire à la suite d'une longue enquête prouvant que des avortements sélectifs sont pratiqués dans les communautés immigrées en Grande-Bretagne. Après avoir équipé quatre femmes enceintes d'origines éthniques différentes de caméras cachées, et les avoir envoyées auprès de neuf cliniques britanniques demander un avortement au motif que le sexe de leur foetus ne leur convenait pas, deux médecins ont accepté de pratiquer un avortement masquant "l'infanticide féminin" par "raisons sociales" ou encore "trop jeune pour être mère".

    Malgré les preuves apportées par le quotidien anglais, le parquet a décidé de ne pas poursuivre ces médecins, d'une part "pour ne pas dissuader des médecins de pratiquer des avortements légitimes", d'autre part parce qu'aucun avortement sélectif n'a finalement eu lieu, enfin, parce que, de son point de vue, l'ordre des médecins serait plus à même de gérer "ces cas spécifiques". Une telle décision inquiète Jeremy Hunt, ministre de la santé, qui rappelle que les avortements fondés sur le choix du sexe sont "hors la loi" et "totalement inacceptables".

    L'avortement au Royaume-Uni est autorisé jusqu'à 24 semaines (contre 12 en France), période suffisament longue pour connaître le sexe de l'enfant à naître. Or une enquête de l'Université d'Oxford de juin 2007 avait déjà révélé un ratio garçon-fille nettement déséquilibré chez les mères d'origine indienne qui donnent naissance à leurs enfants en Grande Bretagne, qui s'expliquerait, comme en Chine ou en Inde, par l'augmentation de l'identification prénatale du sexe et des avortements des foetus de sexe féminin qui en découlent. 

    Pour rappel, près de 190 000 avortements sont pratiqués chaque année en Angleterre et au Pays de Galles.

    (Lenouvelobs.com 07/09/2013- La Croix 09/09/2013)

  • L'illusion d'un monde "hors souffrance"

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    Sur son blog, Bruno Leroy, éducateur et écrivain, propose cette belle réflexion:

    Cette illusion d'un monde "hors souffrance"

    Chacun poursuit toujours, d'une manière ou d'une autre, un rêve d'immortalité et de non-souffrance. La poursuite de ce rêve se manifeste dans les mécanismes de défense qui visent à occulter la réalité de la souffrance et à la rejeter hors du champ de la conscience ; on peut la voir, on détourne les yeux, on fait " comme si " elle n'existait pas.

    Dénier la souffrance de cette manière, c'est se complaire dans l'image idéale de soi et du monde où la finitude et la mort ne sont pas reconnues. Ainsi le sujet peut-il entretenir, inconsciemment sans doute, une sorte de délire d'immortalité. Il se barricade dans un monde imaginaire en estimant que la souffrance et la mort, ce sont toujours celles des autres, mais jamais la sienne. Il se construit ainsi un univers conforme à son besoin de sécurité et de complétude sans faille.

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  • Pierre Palmade : "mon homosexualité, je ne l'aime pas"

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    Lu ici

    Pierre Palmade : "je suis triste d'être homo"

    Pierre Palmade a accordé un entretien à Nikos Aliagas, bien loin des propos LGBT :

    - Mon homosexualité ressemble de moins en moins à ce que je peux voir autour de moi. Je ne l'aime pas en fait, mon homosexualité. Je suis vraiment triste. Avant, j'étais en colère. Maintenant, je suis triste d'être homo. [...]

    - Vous n'êtes pas "politiquement correct".

    - Non, car je ne revendique rien. Je ne suis ni pro homo, ni anti homo. Je ne revendique rien pour la cause. Qu'ils se démerdent. (rires) Moi, je fais en sorte d'être libre."

    A écouter sur le site de Europe 1, à 3mn55.

  • La Nef : sommaire du n°251 de septembre 2013

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    Cliquer sur les liens pour accéder aux contenus "en ligne" :
    Sommaire du n°251 de septembre 2013
    SOMMAIRE DU N°251 DE SEPTEMBRE 2013

    ÉDITORIAUX
    Un monde fragile, par Christophe Geffroy
    La destruction de l’être, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    JMJ Rio 2013 : « L’Évangile est pour tous », par Jacques de Guillebon
    Jean Madiran, par Christophe Geffroy
    Liturgie, un renouveau ?, par Loïc Mérian
    L’encyclique Lumen fidei : un passage de témoin, par l’abbé Christian Gouyaud
    La « nature des choses » résiste, entretien avec Paul-Marie Coûteaux
    La lâcheté de l’Europe, par Paul-Marie Coûteaux
    L’automne occidental, par Marc Fromager
    Éducation : résister !, par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    L’abbaye bénédictine de Kergonan : des « chercheurs de Dieu », entretien avec le TRP Dom Philippe Piron

    DOSSIER : DE L’ISLAM AU CHRISTIANISME
    L’Église catholique face la conversion des musulmans, 
    par Annie Laurent
    L’évangélisation par la Miséricorde, 
    entretien avec l’abbé Fabrice Loiseau
    Peut-on quitter l’islam ?, par Annie Laurent
    Portrait : Afîf Osséïrane, par Annie Laurent
    Portraits : Nahed Metwalli et Nadia Piccard, 
    par Annie Laurent
    Convertir par les médias, par Maurice Saliba
    Portrait : Joseph Fadelle, par Jacques de Guillebon
    « Une nouvelle réalité », 
    entretien avec Moh-Christophe Bilek
    Portrait : Mohamed Rahouma, par Falk van Gaver

    VIE CHRÉTIENNE
    Foi et charité (5/7), par un moine de Triors
    Question de foi x Cœur rebelle ? Cœur fidèle ?, par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Metternich ou la haute diplomatie, par Michel Toda
    Au fil des livres : Ghislain de Diesbach
    Notes de lectures, chroniques musique, sortir, cinéma, internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : Bruno Couillaud
    Portrait : Ludovine de la Rochère, par Marine Tertrais

    BRÈVES
    Toutes les annonces du mois en ligne

  • Quand la Chine tente de remédier aux dégâts irréparables de la politique de l'enfant unique

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLa politique des deux enfants en Chine, une mesure insuffisante et trop tardive

    Susan Yoshihara vous explique comment la Chine essaie de trouver des remèdes aux dégâts causés par sa politique de l’enfant unique. Pour elle, une politique des deux enfants sera un remède probablement trop tardif aux problèmes économiques qui s’annoncent de plus en plus sérieux. (A. Ruse)

    NEW YORK, 6 Septembre (C-FAM) En annonçant ses réformes prochaines, la Chine a admis implicitement que sa politique de l’enfant unique, mise en œuvre pendant quarante ans, aura été un échec.

    Cette politique a conduit à de graves abus. On estime que l’establishment chinois responsable du planning familial aura été à l’origine de 336 millions avortements. Cela inclut des avortements ou stérilisations forcées auxquelles aura conduit un contrôle intrusif d’un des aspects les plus intimes de la vie chinoise.

    On reproche aussi à cette politique une insensibilité accrue de la population chinoise vis-à-vis des enfants et de la famille. Chaque année, des milliers d’enfants sont abandonnés, et des milliers d’autres seraient kidnappés ou vendus. Il y a tellement de décès de nouveau-nés que le gouvernement a mis en place des « cottages », où les enfants peuvent abandonner leurs enfants, le plus souvent des petites filles. Ce mercredi, un reportage de Time magazine a annoncé qu’à l’occasion de l’arrestation des trafiquants de dix enfants, la police avait découvert que leurs parents ne voulaient pas récupérer ces enfants. Les parents les avaient vendus à un gang en échange de liquide dont ils avaient grand besoin.

    L’agence d’information chinoise la plus importante, Xhinhua, a annoncé qu’une proposition de réforme de cette politique impopulaire avait été introduite en août. Cette rumeur a été confirmée par le gouvernement. La politique actuelle contraint les couples à demander à l’Etat la permission d’avoir un second enfant, ce qui n’est autorisé que si l’un des parents n’a aucun frère ou sœur. A l’avenir, l’autorisation serait accordée si cela n’était le cas que d’un des parents…

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  • Les origines de l'idéologie homosexualiste

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    Les racines marxistes de l’"homosexualisme”

    Sur son blog, Jeanne Smits propose la traduction d'un nouvel article d'Hylary White, correspondante de LifeSite à Rome "pour comprendre les vrais enjeux d’une lutte qui est loin d’être finie" :

    On m’a demandé récemment ce qu’est l’« homosexualisme ». C’est un terme que j’ai commencé à utiliser dans mes articles à propos de ces questions il y a quelques années, lorsqu’il est devenu évident que nous avions à faire non à un groupe de personnes, mais par une idéologie spécifique dont les tenants sont souvent des personnes qui ne sont pas homosexuelles.

    Il y a quelques jours dans le Guardian, Peter Tatchell a bien décrit non seulement les buts de cette idéologie, mais ses origines. C’est cette idéologie politique, volontiers appelée la « théorie queer » par ses partisans dans le monde universitaire, qui est promue, désormais de manière assez ouverte, par le mouvement pour les « droits gays ». Elle vise à réécrire les concepts fondateurs de notre société tout entière. Je prédis qu’il ne faudra plus beaucoup de temps avant que la prétendue lutte pour l’« égalité » soit abandonnée : elle aura atteint son but.

    Bien des gens se grattent la tête en se demandant comment nous avons tout d’un coup pu en arriver au point où deux hommes peuvent être « mariés », où une femme peut être appelée « mari » et un homme, « épouse », où les enfants ne sont plus qu’une monnaie d’échange politique dans les guerres d’adoption, alors qu’il nous semble qu’hier encore on ne parlait que d’égalité de droits. Depuis quand l’« égalité des droits » signifie-t-elle la déconstruction, le démantèlement de ces concepts sociaux fondateurs ?

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