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Société - Page 760
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Bulletin de l'IEB - 30 août 2013 - Carences dans l'accueil des handicapés / pénurie médecins avortement
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Liège, 31 août-1er septembre : l'Eglise de Liège sera présente au Salon Retrouvailles
Communiqué :
Salon Retrouvailles – Un stand "Eglise Catholique à Liège"
Il y a peu, le pape François déclarait: « L’Église doit sortir d’elle-même vers les périphéries de l’existence. (…) Allez dehors, sortez! » Dans cet esprit, et pour la première fois, il y aura un stand "Eglise catholique à Liège" au salon Retrouvailles, ce samedi et dimanche au Parc de la Boverie à 4020 Liège, entre 11h et 19h. Ce stand est organisé par le Pastorale Urbaine, qui - sous les responsabilité des deux curé-doyens de Liège (rive-droite et rive-gauche) - a précisément pour objectif d'aller à la rencontre des Liégeois. (C'est dans cet esprit que la Pastorale Urbaine organise entre autre, chaque année, un chemin de croix dans les rues de la Cité Ardente).
L'objectif du stand sera de présenter le catholicisme liégeois dans toute sa diversité (paroisses, mouvements, activités, etc.). Des bénévoles tenteront de répondre aux questions des visiteurs - qu'elles soient d'ordre philosophique ou très concrètes ( Comment préparer un mariage religieux ou un baptême? Ou trouver un groupe de prière? Qui visite les personnes isolées, etc.?"). Tout visiteur est bienvenu: jeune ou aîné, catholique ou non, croyant ou peu, pratiquant ou pas.
Situé juste derrière le Musée d'Art Moderne (stand 233), le stand "Eglise catholique à Liège" aura pour voisin deux associations qui - depuis de nombreuses années déjà - promeuvent avec zèle et enthousiasme le patrimoine des églises ("Circuit des collégiales" et "Eglises du pays de Liège, ASBL").
Si vous passez par le Salon Retrouvailles, venez nous rendre visite.
Contact : Pour la Pastorale Urbaine – Doyen Eric de Beukelaer, e.debeukelaer@catho.be GSM: +32(0)474.35.90.27
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Inoffensif, le cannabis ?
Lu ICI :La plus grande influence du cannabis sur les jeunes s'expliquerait par la structure changeante de leur cerveauLes adolescents qui consomment du cannabis seraient particulièrement exposés à des comportements de dépendance et à d'autres effets à long terme, selon des chercheurs de l'Université de Montréal et de l'école de médecine Icahn au centre médical Mount Sinai de New York. Leurs résultats ont été relayés mardi par le site MediQuality.
Les chercheurs ont compulsé plus d'une centaine d'études concernant les interactions entre le cannabis et le cerveau des adolescents. "Les études épidémiologiques révèlent de façon répétée un lien entre la consommation de cannabis et l'accoutumance subséquente à des drogues dures ainsi que les troubles psychotiques (par exemple la schizophrénie). [...] Lorsque la première exposition se produit vers le début plutôt que vers la fin de l'adolescence, l'impact du cannabis semble plus prononcé pour plusieurs troubles en lien avec la santé mentale, la réussite scolaire, la délinquance et le développement normal vers l'âge adulte", précise le Dr Jutras-Aswad, cité par MediQuality.
Cette plus grande influence du cannabis sur les jeunes s'expliquerait par la structure changeante de leur cerveau, qui n'a pas encore acquis sa stabilité adulte. Comme les récepteurs chimiques qui captent la substance sont situés sur les zones du cerveau liées à l'apprentissage, la recherche de récompenses, la motivation, la prise de décision, l'acquisition d'habitudes et les fonctions motrices, la consommation de cannabis aurait essentiellement des effets sur ces aspects, pensent les chercheurs.
Les adolescents ne seraient toutefois pas tous égaux face au cannabis. Une certaine vulnérabilité liée aux gênes ou aux traits comportementaux est suggérée.
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L'incompatibilité entre l'Eglise et la franc-maçonnerie
La Libre (dont l'obstination à ce sujet pose question) remet à nouveau le couvert (aujourd'hui) et ouvre ses colonnes à diverses personnalités du monde académique, ecclésiastique et maçonnique pour "éclairer" ses lecteurs sur les rapports entre Eglise et franc-maçonnerie. C'est sans grand intérêt mais on observe que la position de la Libre sur cette question dont elle a fait un de ses chevaux de bataille se démarque très clairement de celle de l'Eglise, comme on a déjà pu le constater à la lecture d'un article de Christian Laporte paru en novembre 2011. C'est une question cruciale car l'emprise de la franc-maçonnerie dans notre pays est très importante et on sait qu'ils sont très nombreux dans les rangs de notre classe politique à être affiliés à la Loge. Le fait que la Belgique soit devenue un des pays les plus "avancés" dans les lois qui autorisent l'avortement, l'euthanasie, le mariage homosexuel, etc., est sans aucun doute lié à cette prégnance de la maçonnerie dans la société belge. On peut également le déceler dans ce climat d'hostilité sourde (et largement entretenu par les médias) qui existe chez nous à l'égard de l'Eglise avec la surexploitation des affaires de pédophilie ecclésiastique et qui s'est même manifestée par des remontrances adressées officiellement par nos responsables politiques tant au pape qu'à l'archevêque de Malines-Bruxelles.
Nous empruntons à Radio Vatican ce rappel paru en avril dernier :
L'Eglise et la franc-maçonnerie, deux rivales irréconciliables ?
La rivalité entre l’Eglise et la franc-maçonnerie refait la une de l’actualité. A la demande du Vatican, l’évêque d’Annecy Yves Boivineau a démis de ses fonctions le curé de la paroisse de Megève, en Haute-Savoie. L’Eglise reproche au prêtre, le père Pascal Vesin, son appartenance à la franc-maçonnerie. Il aurait été initié en 2001 dans une loge du Grand-Orient de France. Or, pour Rome, une telle double appartenance, quelle que soit l’obédience maçonnique choisie, est impossible. (...)
Pour l’Eglise catholique, il y a incompatibilité entre appartenance à l'Église et à la franc-maçonnerie. Dans ses déclarations officielles, l’Eglise catholique juge que la franc-maçonnerie est non seulement responsable d’exercer une activité subversive à son égard mais aussi de propager des idées philosophiques et des conceptions morales opposées à sa doctrine. Elle prône notamment le relativisme doctrinal et refuse toute idée de salut. Par ailleurs, le secret maçonnique est quelque chose que l’Eglise ne peut accepter.
Incompatibilité entre appartenance à une loge et exercice du sacerdoce
Dans un texte publié en 1983 (et qui reste en vigueur ndB), signé par le cardinal Joseph Ratzinger, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi affirme sans ambigüités qu’on ne peut être catholique et franc-maçon, que pour un chrétien catholique, il n'est pas possible de vivre sa relation avec Dieu selon une double modalité, ni d'exprimer son rapport au Créateur à travers des formes symboliques de deux sortes. Aussi l'inscription aux associations maçonniques « demeure-t-elle interdite par l'Église » et les fidèles qui s'y inscrivent « sont en état de péché grave ».
Malgré la diversité qui peut subsister entre obédiences maçonniques, en particulier quant à leur attitude déclarée à l'égard de l'Église, le Siège apostolique trouve chez elles des principes communs qui demandent une même évaluation de la part de toutes les autorités ecclésiastiques. En clair, le jugement négatif de l’Eglise sur les associations maçonniques demeure inchangé parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Eglise et l’inscription à ces associations reste interdite par l’Eglise.
Y a-t-il donc antinomie entre maçonnerie et christianisme ? Pour l’essayiste Maurice Caillet, cela ne fait aucun doute. Il a été initié à la franc-maçonnerie dans l'obédience maçonnique du Grand Orient de France où il est resté durant quinze ans avant de se convertir au catholicisme. (écouter son interview sur Radio Vatican : http://www.news.va/fr/news/leglise-et-la-franc-maconnerie-deux-rivales-irreco#)
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Quand l'Allemagne reconnaît officiellement un "troisième genre"
Un ami attire notre attention sur ce fait et commente :
L'Allemagne s'apprête à devenir, dès le 1er novembre, le premier pays européen à proposer officiellement la possibilité d'inscrire un sexe "indéterminé" aux nourissons sur leur certificat de naissance, rapporte lundi 19 août le Guardian, citant le journal Süddeutsche Zeitung.
Les bébés intersexuels, c'est à dire ceux qui présentent une ambiguïté sexuelle constitutive, provenant d'une anomalie dans le déterminisme des gonades (ovaires et testicules) ou dans la différenciation des organes génitaux, pourront en effet être déclarés "indéterminé" à leur naissance.
Si les transsexuels, qui ont le sentiment d'appartenir à l'autre sexe que celui que la biologie leur a assigné, sont déjà reconnus légalement en Allemagne, il s'agit cette fois d'un premier pas vers la reconnaissance du statut des hermaphrodites, soit le fait qu'un humain n'est pas nécessairement un homme ou une femme. Dans la majorité des pays, les intersexuels sont toujours déterminés à leur naissance par l'un ou l'autre sexe.
Cette reconnaissance d'un troisième genre par Berlin prend appui sur une recommandation de la Cour constitutionnelle, qui estime en effet que le genre ressenti et vécu est un droit humain de base.
http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/08/19/l-allemagne-premier-pays-europeen-a-reconnaitre-un-troisieme-genre_3463053_3214.html
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Lire aussi cet article, le lien entre les 2 est évident, l'idéologie du genre continue de faire son chemin :Effrayé par "la théorie du genre", Bernard Debré prédit la création "d'êtres psychologiquement diminués"
Après la parution d'une pleine page sur le sujet dans Le Figaro ce mardi, le député de Paris parle d'une "idéologie totalitaire" et y voit "la fin des petits garçons et des petites filles" :
Dès le plus jeune âge, il faut que les enfants se déconstruisent. Il n’y aura plus de petit garçon et de petite fille, il y aura des "on", car les pronoms "il" ou "elle" sont sexués. Après avoir fait des médiocres, voici qu’il faut faire des "indéterminés". Cette théorie est absurde, mortifère et dangereuse. Cette déconstruction psychologique pourrait aller, pourquoi pas, jusqu’à demander à la médecine d’intervenir pour s’assurer de la neutralité du genre.
http://lelab.europe1.fr/t/effraye-par-la-theorie-du-genre-bernard-debre-predit-la-creation-d-etres-psychologiquement-diminues-10561
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Enfin, lire ce troisième article : lefigaro.fr/actualite-france-sur-la-theorie-du-genre-vallaud-belkacem-plus-en-pointe-que-peillon.php
Alors qu'un rapport remis au ministre de l'Éducation nationale juge l'école encore trop sexiste, la ministre des Droits des femmes entend se battre contre ce fléau par une déconstruction des stéréotypes dès le berceau. -
Quand les vieux coûtent cher...
L'euthanasie ne permettrait-elle pas de faire des économies ? C'est ce que suggère un Australien, partisan de l'euthansaie, comme le rapporte Jeanne Smits sur son blog :
Nitschke : l'euthanasie, moyen de faire des économies
Au moins, Philip Nitschke a le mérite de la franchise, comme le souligne BioEdge. Le plus célèbre des promoteurs de l'euthanasie en Australie vient d'écrire dans une tribune libre publiée par le Canberra Times qu'il est temps de considérer le prix à payer pour maintenir en vie des vieillards et des mourants contre leur gré. Le prix matériel, s'entend : les dépenses de santé, notamment celles prises en charge au titre de l'assurance maladie.
Le thème est pour le moins controversé et on s'étonne que Nitschke ait décidé de l'aborder alors même qu'il s'est porté candidat aux élections au Sénat fédéral australien au titre du VEP (Voluntary Euthanasia Party) mais peut-être a-t-il estimé qu'il valait mieux désamorcer les éventuelles attaques à son égard en prenant les devants. Oui, la question économique doit être posée, dit-il en substance. Non, il ne s'agit pas de faire de l'euthanasie un régulateur économique, mais de considérer simplement ce que coûte le fait de refuser l"euthanasie à ceux qui la demandent.
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Euthanasie : l'hôpital universitaire de Gand devant le juge
Voilà un avocat bien assertif, mais aussi un fait qui met bien en lumière l'évolution progressive du "droit à l'euthanasie" vers un "droit au suicide assisté". Et l'on fait bien peu de fait ici du fait que le patient n'est pas en phase terminale, et que l'arrêt du traitement est tout simplement létal pour un patient qui peut vivre. Il s'agit d'une euthanasie qui ne veut pas dire son nom, ne satisfait pas aux conditions légales et tourne carrément au suicide assisté. Quant à l'objection de conscience, la voici déjà à se retrouver devant le juge, pour avoir respecté la loi en refusant "d'achever" un suicidé. On ne peut que trembler.
D’après la VRT, l’hôpital universitaire de Gand et l’un de ses médecins doivent se justifier ce lundi devant le juge, car il ne veulent pas arrêter le traitement d’un patient dans le coma.
Il y a quelques semaines, l’homme avait essayé de se suicider, mais il survécu à sa tentative. Il est depuis plongé dans un coma artificiel.
Il avait arrêté dans une « déclaration de volonté négative » qu’il refusait par avance tout traitement dans ce cas.
« C’est le droit de chaque patient de l’hôpital de faire savoir qu’il ou elle ne souhaite pas subier certains traitements. Dans ce cas-ci, le patient a clairement fait savoir qu’il ne veut pas recevoir d’autres traitements que des traitements antidouleurs. Et ce souhait n’est pas respecté. Je veux que cet acharnement thérapeutique cesse », a déclaré son avocat Joris Van Cauter à la radio VRT. « Ce que j’espère atteindre, c’est que la volonté de cet homme soit respectée ».
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Théorie du gender : où en est-on en Europe ?
Théorie du "gender": état des lieux en Europe
Écrit par Grégor Puppinck (via Didoc.be)
Le directeur de l’European Center for Law and Justice (ECLJ) étudie la progression de la théorie du « gender » dans différents pays d’Europe (article écrit le 5 avril 2013, avant le vote de la loi Taubira en France) :
FRANCE
Le projet de loi Taubira sur le mariage [homosexuel] doit être considéré en lien avec un autre projet fondamental de l’actuel gouvernement : le projet de « refondation de l’école de la République » actuellement discuté à l’Assemblée Nationale. Ce projet de loi (…) prévoit, entre autres dispositions, d’introduire un nouvel enseignement obligatoire de morale laïque et d’éducation civique, ainsi que de lutter dès le plus jeune âge contre les stéréotypes de genre. Dans la presse et à l’Assemblée, le ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, a précisé que « le but de la morale laïque est d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel » pour « permettre à chaque élève de s’émanciper », car « le but de l’école républicaine a toujours été de produire un individu libre ». Dans la même veine, la Ministre de la Justice, Christiane Taubira a également déclaré à l’Assemblée que « dans nos valeurs, l’Education vise à arracher les enfants aux déterminismes sociaux et religieux et d’en faire des citoyens libres ».
L’un de ces déterminismes serait l’identité de genre ; la déconstruction des stéréotypes de genres est conçue comme un moyen d’émancipation des enfants. Le projet de « refondation de l’école de la République »prévoit à présent que « l’éducation à l’égalité de genre » devienne une mission de l’école élémentaire, dès l’âge de 6 ans, « afin de substituer à des catégories comme le sexe (…) le concept de genre qui (…) montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites ». Cette volonté ressort également du récent rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales qui recommande que l’école s’engage dans la « lutte contre les stéréotypes de genre » « dès le plus jeune âge », qu’elle déconstruise « l’idéologie de la complémentarité » homme-femme pour « tendre vers une société » égalitaire. A cette fin, ce rapport recommande notamment aux enseignants de remplacer les appellations « garçons » et« filles » par les termes neutres « amis » ou« enfants », de raconter des histoires dans lesquelles les enfants ont deux papas ou deux mamans, etc. Il s’agit, dit le rapport, d’empêcher la« différenciation sexuée » et l’intériorisation par les enfants de leur identité sexuelle. Outre ces aspects relatifs à la théorie du genre, la morale laïque promue par le projet de « refondation de l’école de la République » est aussi source d’inquiétudes. Ce projet de loi vise à refonder la société via l’école ; il est complémentaire du projet Taubira qui « refonde » la famille via le mariage. Comme l’indique M. Peillon, « le gouvernement s’est engagé à s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités, notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles ».
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Délires pédagogiques : un salubre coup de gueule
Les Médias Catholiques nous offrent cette recension d'un livre où un enseignant tonne contre les pédagogues et didacticiens qui ont pourri le métier de professeur (et dont nous avons dit précédemment tout le mal que nous en pensons, voir ICI).
Dans « Vocation Prof « , publié en 2000, Franck Andriat disait son bonheur d’enseigner. Mais s’il reste ce professeur heureux il est aussi un professeur en colère. Et quand cet amoureux des belles lettres, écrivain prolixe, prend la plume pour exprimer son ras-le-bol, ça déménage!
Dans son nouveau livre paru ce 23 août, « Les profs au feu et l’école au milieu », il décrit en dix commandements cinglants et pleins d’humour, la situation d’un métier dont notre société a de plus en plus besoin et qui, paradoxalement, attire de moins en moins de jeunes.
Au centre des critiques, les pédagogues et les didacticiens à l’origine des maux actuels de l’école qui ne parvient plus à remplir sa mission essentielle, celle d’amener le plus grand nombre à savoir lire, écrire et calculer. Mais qui continuent à imposer leur vision « idéaliste » des choses. « Depuis les années 90, c’est réformette sur réformette. Les professeurs essaient se suivre au mieux mais c’est de plus en plus difficile. J’entends souvent des enseignants autour de moi dire ne plus savoir ce qu’ils doivent enseigner à leurs élèves ».
Lire la suite sur Info.catho.be où l'on trouvera également le podcast d'une interview de l'auteur.
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Morale et cinéma
L'Ecran propose cette réflexion intitulée "les cas de morale au cinéma":
Avertissement : pour certains cas de morale « limites » cités dans cet article, les auteurs ont voulu laisser s'exprimer les divergences d'opinion. Il ne s'agit évidemment pas de divergences sur les principes de la morale, mais plutôt sur la morale pratique, c'est-à-dire sur l'appréciation des faits qui asseyent le jugement prudentiel.
Si vous êtes plutôt d'accord avec l'un ou avec l'autre, vous pouvez bien entendu poster votre propre avis sur le site http://www.lecran.fr
Ras-le-bol de la morale !
Dans le dernier épisode de Jason Bourne, L'Héritage de Tony Gilroy (2012), l'un des chefs de l'organisation peu sympathique pour laquelle travaille, pour un temps, le héros, déclare à son agent au cours d'une mission pour le moins « pas très propre » : « Nous sommes les « avaleurs de péchés ». Nous sommes chargés d'absorber tous les déchets moraux de cette équation. Notre tâche est absolument injustifiable… et absolument nécessaire ! ».
Bref... Faire le mal pour atteindre le bien. Toute la saga des Jason Bourne (La Mémoire dans la peau (2002) de Doug Liman, La Mort dans la peau (2004) de Paul Greengrass, etc..) expose de manière intéressante cette idéologie à travers le programme Treadstone de la CIA qui, au nom de la « bonne cause », du « patriotisme » et de la paix mondiale, justifie en catimini toutes les immoralités pour parvenir à ses fins.
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Comment va le monde ...
Des liens, parmi d'autres :
- Près de deux millions de réfugiés syriens (La Libre)
- "L'inquiétude croissante" du pape sur la situation en Egypte (La Libre)
- Le chrétien américain condamné à 15 ans de travaux forcés a été hospitalisé (Eglises d'Asie)
- "Printemps arabe" : le baromètre égyptien vire à l’orage (Liberté Politique)
- L'inquiétude pour les chrétiens d'Egypte (Radio Vatican)
- Père Henri Boulad : «La situation est horrible en Égypte» (Nouvelles de France)
- Bartali, vainqueur du Tour de France, au secours des juifs persécutés (Zenit.org)
- Châtellerault : une église vandalisée à répétition (Obs. de la christianophobie)
- L’Union Européenne refuse toute image du Christ sur les pièces de monnaie (Obs. de la christianophobie)
- Égypte : 82 églises chrétiennes brûlées en deux jours ? (Obs. de la christianophobie)
- La Suisse va inaugurer les "drive-in" du sexe (Le Monde)
- Communiqué du Pape Tawadros II après le troisième jour consécutif des attaques contre les églises (Blog copte)
- Les Frères Musulmans s’en prennent aux coptes dans un communiqué de presse (Blog copte)
- VIDÉO : Interview du Pape Tawadros II sur les attaques contre les églises – Traduction en français (Blog copte)
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Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (16/8/2013) : reconnaissance des bébés nés sans vie/ mères porteuses
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