Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 761

  • Un appel de catholiques français homosexuels

    IMPRIMER

    Des catholiques français homosexuels contre la chape de plomb dans l'Eglise et la société (source)

    Nous publions le texte intégral d’une tribune dite de l’Assomption 2013 signée par plusieurs catholiques homosexuels français.

    Un an après la fameuse prière du 15 août, les catholiques homosexuels engagés contre la loi Taubira dans le mouvement social de préservation de la filiation humaine et du mariage Homme/femme en appellent, à la suite des propos aériens du pape François, aux évêques de France pour que cette année, la prière du 15 août, en reconnaissant leur place indispensable dans l'action citoyenne pour que « les enfants et les jeunes cessent d’être les objets des désirs et des conflits des adultes pour bénéficier pleinement de l’amour d’un père et d’une mère », reconnaissent désormais leur juste place dans l'Eglise et la société.

    Texte intégral :

    Que les derniers soient les premiers au cœur-même de l’Eglise !

    Un an après la formidable prière du 15 août 2012 qui a envoyé tant de catholiques, dont une bonne partie d’homosexuels, défendre pacifiquement le mariage et la filiation humaine, l’Eglise de France, à l’instar du pape François, va-t-elle porter dans sa prière d’aujourd’hui ceux sans qui le mouvement historique de cette année n’aurait jamais existé ?

    Nous, fidèles homosexuels, qui donnons notre réputation, notre famille, nos amis pour sauver le mariage et la filiation humaine, serons-nous remerciés en étant enfin justement reconnus par l’Eglise ?

    Aujourd’hui, en la Fête de la Mère de Dieu, catholiques et homosexuels, nous lançons un cri d’appel à nos pasteurs, car nous ne pouvons continuer plus longtemps à supporter le tabou de plomb qui pèse sur l'homosexualité au sein de notre Sainte Église Catholique, et dont les conséquences sont dramatiques pour toute notre société.

    Lire la suite

  • Empêcher à tout prix les enfants trisomiques de venir au monde

    IMPRIMER

    D'après la Libre de ce jour (pp. 22-23), les centres belges de généthique proposent dès cet été un test ADN détectant la trisomie du foetus. Cela nous incite à publier à nouveau cet article que nous avions mis en ligne il y a un an. En effet, on sait que ce type d'examen mène 99% des parents à recourir à l'avortement lorsque l'examen diagnostique la trisomie, ce qui est pour le moins interpellant.

    (Source : Gènéthique.org)

    Vers une généralisation du nouveau test de dépistage de la trisomie 21

    Après l’autorisation donnée à la commercialisation du "PraenaTest" en Suisse (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 30 juillet 2012), l’Allemagne (Land du Baden-Württemberg) vient elle aussi de donner son feu vert. Les associations Suisses en faveur du droit à la vie des personnes trisomiques "craignent une hausse des IVG" et "une stigmatisation des parents ayant laissé un enfant trisomique venir au monde". La question de l’introduction et de la généralisation de ce nouveau test se pose dans d’autres pays,  notamment en France.

    Actuellement, en France, "toutes les femmes enceintes se voient proposer, dès le premier trimestre, un dépistage qui associe une échographie et des prélèvements biologiques dans le sang". L’objectif est de "déterminer un niveau de risque de trisomie pour chaque grossesse. […] En cas de risque élevé, c’est à dire supérieur ou égal à 1 sur 250, seule une amniocentèse, [un examen invasif], permet de poser le diagnostic de la trisomie". "En 2010, plus de 55 500 femmes ont choisi de subir [l’amniocentèse]", qui présente un risque de fausse couche de 1%. Or, l’Agence de la biomédecine souligne que "95% des femmes demandent une interruption médicale de grossesse" lorsqu’est diagnostiquée une trisomie 21.

    Le nouveau test, conçu par LifeCodexx, "pourra être fait dès la dixième semaine de grossesse". Il consiste à "récolter des informations sur l’ADN du fœtus, présent sous forme de petits fragments dans le sang de la mère", afin de diagnostiquer la trisomie 21.

    Pour le Pr Yves Ville, chef du Service de gynéco-obstétrique de l’hôpital Neker, "plusieurs études internationales ont montré [la] fiabilité [du test], évaluée autour de 99%". Cependant, pour la directrice de l’Agence de la biomédecine, Emmanuelle Prada-Bordenave, l’instauration en France ne serait pas tout de suite car les "premiers résultats, même s’ils sont très prometteurs, doivent être confirmés par des études cliniques menées à grande échelle".

    Mais "pour de nombreux spécialistes, la généralisation du test à l’ensemble  des femmes n’est pas souhaitable". Ainsi, le Pr Israël Nisand, gynécologue obstétricien, qui "s’oppose farouchement à une ouverture au plus grand nombre, même sans remboursement de la sécurité sociale" précise : "il n’y a pas de liberté absolue dans le domaine du dépistage prénatal, mais une politique nationale qui s’impose à tous. Il n’est pas question de céder à une forme de pression induite par les laboratoires". Pour le Dr Henri Bléhaut, directeur de la recherche à la Fondation Jérôme Lejeune, il est à déplorer que "le dépistage de la trisomie 21 se fasse au détriment des programmes de recherche thérapeutique".

  • Les Polonais sont de plus en plus opposés à l'avortement

    IMPRIMER

    Lu ICI :

    Les Polonais de plus en plus opposés à l’avortement

    Dans un sondage CBOS publié par le quotidien Rzeczpospolita, 75% des Polonais considèrent que l’avortement est un mal et qu’il ne peut en aucun cas se justifier. C’est la plus forte proportion d’opposants à l’avortement en Europe et c’est 6% de plus qu’il y a 3 ans. Un autre sondage publié en juin 2012 montrait que pour 80% des Polonais, « la vie humaine doit être protégée de la conception à la mort naturelle toujours et quelles que soient les circonstances ». 150 000 Polonais ont d’ailleurs déjà signé l’initiative citoyenne européenne « Un de Nous » et 400 000 environ ont signé une récente initiative citoyenne nationale pour protéger les enfants trisomiques de l’avortement.

    En Europe, seuls les Polonais et les Irlandais sont très majoritairement opposés à l’avortement. Les Irlandais ont rejeté à trois reprises par référendum des projets de légalisation de l’avortement. Malheureusement, le parlement irlandais a décidé récemment de passer outre la volonté du peuple et il a légalisé une certaine forme d’avortement à la demande en l’autorisant lorsqu’un groupe de médecins et de psychiatres considérera qu’il existe un risque de suicide pour la femme enceinte si l’avortement lui est refusé.

    Interrogée par Rzeczpospolita, une responsable de Human Life International Pologne, Ewa Kowalewska, explique que les Polonais sont en moyenne bien mieux au courant de la réalité biologique du développement de l’enfant dans le ventre de sa mère que la plupart des Européens. Mme Kowalewska cite le cas de la Russie et de la Géorgie, deux pays avec des taux d’avortement extrêmement élevés où le citoyen moyen ne savait presque rien il y a quinze ans des différents stades du développement de l’enfant alors qu’aujourd’hui la renaissance de l’Église orthodoxe s’accompagne d’une meilleure sensibilisation au développement prénatal de la personne humaine.

    On pourrait aussi citer la France où de nombreux adultes s’imaginent, après 40 ans de propagande pro-avortement, que le fœtus à la 12e semaine de grossesse (le délai légal pour avorter à la demande) n’est qu’un amas de cellules sans forme humaine. Ce qui explique pourquoi même les partis politiques à l’origine opposés à l’avortement à la demande, comme le Front national ou le Parti chrétien-démocrate, n’osent même plus demander l’abrogation de la loi Veil.

    En Pologne, au contraire, les deux partis de gauche qui voudraient rétablir l’avortement à la demande (interdit depuis 1993) sont dans l’incapacité de gagner une élection nationale puisqu’ils n’obtiennent ensemble le soutien que de 15-20 % des électeurs.

  • Genre : quand tout se complique

    IMPRIMER

    L’identité sans le genre, ça va pas être facile non plus !

    de Marie Delarue - source 

    Le gouverneur de Californie, un certain Jerry Brown, vient d’inscrire son État à la pointe du progrès social et même, n’ayons pas peur des mots, du progrès humain. Il vient en effet de signer une loi modifiant le code de l’Éducation des établissements scolaires, cela afin « d’assurer le respect de l’identité sexuelle des élèves transgenres ».

    C’est beau, c’est grand, c’est généreux mais ne va pas toutefois sans soulever une petite remarque sur un plan sémantique : le problème des transgenres étant justement de n’avoir pas d’identité sexuelle définie, ou du moins une identité intérieure – celle du « ressenti » – qui ne correspond pas à leurs attributs externes, comment fait-on pour respecter ce qu’eux-mêmes ignorent ?

    C’est justement à cette question que veut répondre la nouvelle loi de M. Brown. Grâce à elle, les transgenres, déclarés ou bien en devenir, pourront désormais « participer à des programmes et activités non mixtes, comme des équipes sportives ou des compétitions, et utiliser les installations (scolaires) en accord avec [leur] identité sexuelle, et non le sexe indiqué sur [leur] fiche d’identité ». Le Figaro rappelle que, conscient des troubles que cela pouvait occasionner, l’élu démocrate à l’origine du texte avait expliqué : « Les élèves transgenres vont-ils embarrasser d’autres enfants ? Peut-être. Je ne veux pas minimiser cet aspect, mais les nouvelles expériences sont souvent embarrassantes. Cela ne doit pas justifier les préjugés. »

    Sans vouloir troubler ce bonheur tout neuf, on peut toutefois se demander si cela ne va pas créer plus de problèmes que ça n’en résout. Faudra-t-il par exemple réaménager les toilettes pour que les filles/garçons n’aient pas à choisir entre pisser debout ou pisser assis ? Et désormais, comment distinguer les pervers et les voyeurs si tout le monde peut se glisser dans le vestiaire d’à côté au prétexte qu’il n’est pas bien installé dans son genre ? Mais c’est en tâtonnant qu’on avance, c’est bien connu.

    lire la suite

  • Le Président de la Russie fustige l’Occident sécularisé

    IMPRIMER

    Tous ceux qui ont connu les années de plomb de l’U.R.S.S. peuvent se frotter les yeux une fois encore en lisant ceci sur le site de  Campagne Québec-Vie

    "Vladimir Poutine a exorté les dirigeants politiques du monde entier à faire cesser les persécutions violentes qui ont éclaté contre les chrétiens dans de nombreux pays du Moyen-Orient.

    S'exprimant récemment à Moscou, lors d'une réunion avec les chefs des églises orthodoxes, le président russe a noté « avec inquiétude » que « dans de nombreuses régions du monde, notamment au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, les tensions interconfessionnelles s'intensifient et les droits des minorités religieuses sont violés, y compris ceux des Chrétiens et des Orthodoxes ».

    "Ce problème pressant devrait faire l'objet d'une attention étroite de l'ensemble de la communauté internationale", a déclaré M. Poutine. "Il est particulièrement important aujourd'hui de faire des efforts pour prévenir les conflits interculturels et interreligieux, car ils sont associés aux bouleversements les plus graves." Poutine a fait l'éloge de la coopération croissante entre les Églises orthodoxes et l'État russe, en disant: « Nous agissons en tant que partenaires et collègues authentiques pour résoudre les tâches domestiques et internationales les plus pressantes, et pour mettre en œuvre des initiatives conjointes pour le bénéfice de notre pays et de ses habitants».

    Lire la suite

  • La véritable Eglise des pauvres

    IMPRIMER

    Lu sur le site de Radio-Vatican :

    « Les conditions de vie de la population sont de plus en plus difficiles dans la province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo. La lutte entre les milices armées et l’armée gouvernementale fait rage depuis trois ans dans cette région des Grands Lacs, en particulier autour de la ville de Goma, la capitale régionale. En RDC, plus vaste pays d’Afrique, les groupes armés, les convoitises des pays voisins et les violences récurrentes laissent une population civile dans le plus grand dénuement. Le président du Secours Catholique François Soulage s’est rendu en République démocratique du Congo (RDC) au début du mois de juillet. Il dresse un constat alarmant de la situation. 

    Le Nord-Est de la RDC est devenu au fil des mois un pays de déplacés. Ainsi, Goma a accueilli près d’un million de déplacés, des populations venues des montagnes de l’intérieur du Congo qui ont fui les groupes armés. « Les réfugiés vivent dans une trentaine de camps de tentes, envahissant tous les espaces possibles et coupant les arbres autour pour se chauffer » explique François Soulage, ils n’ont aucune ressource et dépendent du Programme alimentaire mondial (PAM), avec qui la Caritas Goma travaille pour la distribution de nourriture.

    Des villes qui se transforment en camps de réfugiés

    Le Président du Secours Catholique revient sur le pillage en règle des groupes armés qui terrorisent la région : les paysans n’ont plus d’outil, ni tracteurs et attelages de bœufs. Tout a été pris par les groupes armés. La situation est également critique à Bukavu, dans le Sud-Kivu. Il y a dix ans, explique François Soulage, cette ville de 200 000 habitants avait l’eau et l’électricité courantes. Aujourd’hui, avec un million de personnes en plus, il y a des coupures d’électricité constantes et quasiment pas d’eau potable.

    Dans ce pays où l’État a disparu, les ONG sont le seul recours pour ces populations, et l’Église ne ménage pas ses efforts, notamment à travers le réseau des Caritas locales, qui sont soutenues par le Secours Catholique. La priorité actuelle est de travailler sur l’accès et la qualité de l’eau. Pour gérer cet outil hydraulique, les villageois doivent constituer un comité de gestion. Les personnes le composant sont rémunérées par les petites cotisations que versent les usagers. On sort ainsi du système de la gratuité, cela implique les habitants.

    Lire la suite

  • Le modèle suédois prend l'eau

    IMPRIMER

    Nous lisons ICI

    (...) La Suède est toujours une société égalitaire, mais les inégalités y ont augmenté plus qu’ailleurs en Europe. Comme dans le reste de l’Europe, les immigrés, les travailleurs peu qualifiés, et les jeunes – surtout les garçons -, sont les plus mal lotis. Et comme dans le reste de l’Europe, de nombreux fauteurs de troubles faisaient partie de toutes ces catégories.

    La Suède délivre chaque année davantage de permis de séjour, contrairement à de nombreux pays européens, où leur nombre est en baisse. Les 110 000 permis de séjour délivrés en 2012 ont été un record. Parmi les réfugiés, on compte désormais surtout des Syriens, des Somaliens, des Irakiens et des Roms.

    Il est beaucoup plus difficile pour eux que pour leurs prédécesseurs de sortir des banlieues. Il y a moins d’emplois, la société est devenue plus complexe, les seuils sont plus élevés. “J’aimerais devenir gardien, mais pour cela j’ai besoin d’un permis de conduire” explique par exemple Sameh Sakr, un Egyptien de 22 ans du quartier de Hallunda. Un permis de conduire, raille-t-il. “Mais où vais-je trouver l’argent pour payer cela ?”

    La ségrégation en Suède est importante. A Stockholm, la plupart des immigrés vivent dans les cités-jardins qui longent la ligne de métro bleue, surnommée l’Orient Express. Il s’agit d’immeubles en béton de trois à sept étages, construits dans les années soixante et soixante-dix.

    Dans certains quartiers, 80 % de la population sont des immigrés de première ou deuxième génération et 50 % sont sans emploi, contre 8% dans l’ensemble de la Suède. Un immigré sur quatre ne finit pas sa scolarité. 3% des enfants suédois sont pauvres, contre 40 % des enfants d’immigrés. (...)

  • 87% des Brabançons des Pays-Bas favorables à l'euthanasie

    IMPRIMER

    "Sans croire à l’exactitude et à la scientificité absolue des sondages, on peut quand même s’arrêter quelques instants sur cette enquête réalisée auprès de 4 000 Brabançons néerlandais à propos de l’euthanasie et du suicide assisté. 87 % « des Brabançons », affirme le commanditaire du sondage Omroep Brabant, estiment que chacun doit pouvoir choisir le moment de son propre décès. Ils sont même 97 % à approuver le suicide assisté en faveur de personnes atteintes de souffrances physiques insupportables et sans espoir d’amélioration."

    sur le blog de J. Smits qui explicite et commente ces chiffres

  • Parfait citoyen

    IMPRIMER

    Alors, mon p'tit bonhomme, toujours pas catholique ?... T'as bien raison ! Dieu, le sens de ta vie et ce que tu vas devenir après ta mort... aucun intérêt ! « Les pieds sur terre ! ». Le fric, la bouffe et le sexe ! Le reste, basta !  D'ailleurs, les médias sont là pour nous éduquer, pour nous aider à devenir de parfaits citoyens. Et à part cela, t'as passé de bonnes vacances ? Tu t'es bien éclaté ? Qu'as-tu regardé hier à la télé ? As-tu acheté le dernier CD de Madonna ? Et le Standard ? Crois-tu qu'il va battre le Liers ? T'as entendu De Brigode au JT ? Ca au moins c'est un mec ! Avec lui, on n'a plus besoin de penser nous-même, il le fait à notre place ! Et ta carte du PS ? Toujours valable ?... En dehors de cela, on m'a dit que ta brosse à dents électrique est tombée en panne et  que ton complet veston avait une tache ! Rassure-toi, tu vas t'en sortir ! Justement, à ce propos, sais-tu qu'il y a une poudre à lessiver qui lave encore plus blanc que blanc ? Si, si, je l'ai entendu lors des pubs ! On a aussi découvert un produit qui permet enfin d'en finir avec mauvaises herbes ! Avec lui, pelouse nickel ! Pas un bouton d'or ne résiste ! Eh oui, c'est le progrès ! Bon, c'est pas tout ça mais il faut que je file chez mon libraire. Le loto n'attend pas !. Veux-tu que je prenne un billet pour toi ?... Comment, t'es à l'hôpital ? Phase terminale d'un  cancer ?... Allô ?...

     Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.com

  • Quand se joue l'avenir de nos démocraties et la cohérence de nos hommes politiques

    IMPRIMER

    L'évêque auxiliaire de Santiago du Chili réagit à la profanation de la cathédrale par des militants pro-avortement dans une lettre (traduite par Jeanne Smits) où il s'exprime ainsi :

     ... je propose aux chrétiens la réflexion suivante par rapport à la vie, la fécondité et la mort. C’est ici que se joue l’avenir de notre démocratie et la cohérence des hommes politiques chrétiens que nous allons devoir choisir lors des prochaines élections présidentielles et parlementaires.

    1. Cela donne à penser, et même beaucoup à penser, que la sacralité de la vie dépend, dans la pratique, de ceux qui détiennent le pouvoir politique, économique et culturel. Ce sont eux qui décident qui a le droit de vivre et qui va droit à la mort. Il n’y a que trop d’exemples. Même au Chili.

    2. Cela donne à penser, et même beaucoup à penser, que des éléments aussi essentiels que la différence et la complémentarité entre un homme et une femme puissent apparaître aujourd’hui comme une divagation propre aux gens aliénés ou aux rétrogrades « conservateurs ». « Egalité », « égalitaire », voilà la consigne. La différence ne vaut plus grand chose. Y a-t-il quelque de plus « paritaire » que le mariage entre un homme et une femme ? C’est pourquoi la foi chrétienne n’impose pas aux personnes homosexuelles le « mariage », qui est le propre de l’homme et de la femme, nécessaire à la procréation.

    Lire la suite

  • La Fondation Jérôme Lejeune attaquée par les extrémistes d'Act Up

    IMPRIMER

    Communiqué de presse de la Fondation :

    L'attaque par Act Up de sa consultation médicale n'intimide pas la Fondation Jérôme Lejeune mais choque le monde du handicap

    Après l'agression violente d'Act up dont elle a été victime (le dimanche 4 août), la Fondation Jérôme Lejeune a immédiatement porté plainte contre l'association militante extrémiste.

    Ce matin, en arrivant, les médecins et les patients devaient passer devant des affiches injurieuses et marcher parmi des préservatifs et poches remplis de peinture rouge sang lancés contre les murs portes et fenêtres. Le Pr. Marie-Odile Réthoré, directrice de la consultation médicale, présente sur les lieux à 7h30, a considéré que ce spectacle était de nature à choquer les enfants et les familles en consultation aujourd'hui.

    Pour Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation : « Je dénonce cet acte d'intimidation d'autant plus scandaleux qu'il porte sur un espace médical accueillant des personnes atteintes de déficience intellectuelle et leur famille. Il est toujours plus facile de s'attaquer aux plus faibles et de les prendre comme bouc émissaire.»

    La Fondation souligne également sa totale solidarité avec sa salariée Ludovine de la Rochère par ailleurs présidente de La Manif pour tous. Elle note la confusion du message véhiculé par l'agression d'Act Up qui n'apporte aucun élément en mesure de faire comprendre cette violence gratuite.

    La Fondation attend des responsables de l'ordre public une réaction officielle contre ce terrorisme d'Act Up :

    • dont la violence porte en germe des éléments de stigmatisation et d'handiphobie qui se développent depuis 20 ans en France, particulièrement à l'encontre des personnes trisomiques,
    • qui porte atteinte à l'image d'une fondation reconnue d'utilité publique qui assure une mission capitale en matière de recherche et de soins au profit des plus déshérités.

    Elle remercie les nombreux sympathisants qui lui témoignent depuis hier leur soutien et les assure de son intention de continuer l'ensemble de ses engagements, notamment ceux consistant à participer au débat sur les enjeux bioéthiques.