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Société - Page 767

  • A lire, sur ZENIT.ORG (13.07) :

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    Finances du Vatican : tolérance zéro

    Les comptes de Mons. Scarano gelés

    (12 juillet 2013) 

    Née grâce à la prière de Maria Goretti

    Témoignage du Canada

    (12 juillet 2013)

     
     
     

    Une loi éthiquement inacceptable et scientifiquement injustifiée

    Recherche sur l'embryon : passage en force

    (11 juillet 2013)

    Suisse: tragédie de l'euthanasie, sur erreur de diagnostic

    Un magistrat italien se croyait incurable, mais il n'avait rien

    (11 juillet 2013)

     
     

    Soudan du Sud : prière nationale pour la réconciliation

    2ème anniversaire de l'indépendance le 9 juillet

    (11 juillet 2013)

  • A propos des gay pride

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    Lu avec intérêt sur "le soupirail et les vitraux" :

    La Fabrique des homophobes

    Petite leçon LGBTQ à travers la Gay Pride de Lyon

    Au-delà de ce que j’ai ressenti comme une fête industrielle, débordante d’une joie factice, banale et triste, aux rythmes saturés, je crois discerner dans le phénomène de la Gay Pride un fait politique décisif. La mise en valeur de "fiertés" particulières dues à certaines pratiques sexuelles juxtaposées à la lutte proclamée contre les "phobies" correspondantes, elle-même mêlée à des réclamations de "droits" particuliers (en l’occurrence la PMA pour les couples de lesbiennes), tel est le principe étrange – et pour le moins paradoxal – de cette manifestation. Et c’est justement cet amalgame douteux qui est à mon sens le facteur le plus générateur d’"homophobie"…

    Fier d’être normal ou d’être marginal ?

    Chaque Gay Pride repose sur une contradiction fondamentale. Il s’agit de donner une visibilité à l’homosexualité, à la culture qu’elle est censée produire, mais surtout de faire de la pub au business gay-friendly qui ne manque jamais de déployer son "arsenal commercial" (Jean-Sébastien Thirard, ancien président de l’association Lesbian & Gay Pride Paris). Cette entreprise de "visibilisation" apparaît traversée par deux tensions contraires : la prétention à la normalité et l’affirmation d’une singularité. Proclamer une "fierté", c'est nécessairement poser un acte clivant, car qui dit fierté" dit "appartenance", c’est-à-dire distinction, voire exclusion, ce qui tendrait à légitimer les sentiments de "honte", "jalousie", "regret", consécutifs à la non-appartenance.

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  • Allez, les Belges, réveillez-vous !

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    Un de nos amis attire notre attention sur deux initiatives importantes sur le plan éthique :

    1. Pétition "Un de nous" www.oneofus.eu .

    Cette pétition demander d'arrêter le financement de la recherche sur l'embryon par la Commission européenne.

    Pour qu'elle contraigne la CE à prendre une initiative, il faut obtenir plus d'un million de signatures avant le 1er novembre 2013 et il faut qu'au moins 7 pays aient plus que leur quota de signatures.

    Trois quart de l'objectif est atteint. L'Italie est le pays qui a recueilli le plus de signatures, suivi par l'Autriche, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie.

    Toutefois, la Belgique n'a recueilli que 15% des signatures nécessaires à son quota et Bruxelles est la capitale de l'Europe...

    Retroussons nos manches !

    2. Le site d'information http://www.euthanasiestop.be/ Ce site permet une expression publique de voix 'discordantes' par rapport à la tendance visant l'extension du champ de la loi sur l'euthanasie.

  • Aujourd'hui sur Euthanasie Stop - 10/07/2013

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    Tu seras plus heureux quand tu seras mort...

    Publié par Philippe habitant à Bruxelles (Patent Attorney (life science))

    Lire « Tu seras plus heureux quand tu seras mort... »

    Un parlement même démocratiquement élu a-t-il tous les droits ?

    Publié par Philippe de la FAILLE (Retraité)

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    L'ultime dignité ou l'ultime solitude ?

    Publié par Charles DELHEZ (Chroniqueur)

    Lire « L'ultime dignité ou l'ultime solitude ? »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais : 

    Een "menswaardig" levenseinde bezorgen

    Publié par Augustinus KERCKHOFS o. praem. (Kloosterling, Tongerlo)

    Lire « Een "menswaardig" levenseinde bezorgen »

    Nooit een banale daad

    Publié par Euthanasiestop.be in de PERS (Pers)

    Artikel uit "Kerk en Leven", 16/05/2013

    Lire « Nooit een banale daad »

  • Respecter l'écosystème humain est impératif

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    "Le progrès n'est vrai que si éthique et science sont reliées. La science est nécessaire, avec ses voies de recherche : les cellules iPS, les cellules souches adultes, la « conversion directe » des cellules différentiées. L'éthique reconnaît que l'embryon humain « doit bénéficier du respect lié à sa qualité », comme le souligne le Comité Consultatif National d'Éthique, car il partage notre humanité : nul n'est une personne sans avoir été d'abord un embryon humain ; nul ne devient humain qui ne l'est pas.

    Le principe d'interdiction de recherche sur l'embryon humain alerte sur l'existence de cet écosystème humain. Ne pas le respecter se retourne toujours, à plus ou moins longue échéance, contre nous. La science ne peut guider les choix politiques. Ceux-ci doivent discerner comment l'écosystème humain, qui précède l'État, est promu. L'écologie, si nécessaire et urgente, est aussi humaine."

    Mgr d'Ornellas, archevêque de Rennes (source)

  • Quand un archevêque revient sur les sujets de société

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    D'après Mgr Simon (lire toute l'interview ICI) : « Les catholiques sont appelés à avoir de la personnalité »

    Alors que s'achève son mandat de vice-président de la Conférence des Evêques de France, Mgr Hippolyte Simon, archevêque de Clermont, revient sur les grands sujets de société (nous soulignons des passages qui peuvent susciter le débat) :

    - Quelle attitude les chrétiens peuvent-ils adopter sur les questions de société ?

    Continuons à être vigilants sur la législation mais on ne peut pas rester tout le temps en train de contester une loi. En ce qui concerne le mariage, la nouvelle législation en France ne change rien pour les catholiques. La loi de séparation de 1905 entre l'Eglise et l'Etat garantit que chaque Eglise, chaque communauté religieuse s'organise selon ses propres lois. C'est donc à l'Eglise catholique qu'il revient de déterminer les conditions liées au sacrement du mariage. J'ai envie de dire à tous les catholiques : « Soyez exemplaires dans votre façon de vivre le mariage ! » Que la manière dont les catholiques le vivent donne envie à tout le monde de découvrir le mystère fondateur de l'alliance entre les époux chrétiens. Il ne faut pas attendre la préparation au sacrement mais en amont, découvrir la portée de l'Evangile pour réussir sa vie dans tous les domaines - spirituel, sacramentel, sexuel, relationnel. (...)

    - On va reparler de la recherche sur l'embryon, de la fin de vie, de la famille...

    Je crois que les catholiques s'habituent à penser que nous sommes dans une société de plus en plus païenne. Il y règne beaucoup d'idolâtrie : de l'immédiateté, de la consommation, du libéralisme absolu. Il faut prendre du recul par rapport à cela. Il ne s'agit pas de se replier sur un communautarisme qui serait malsain mais d'avoir une colonne vertébrale personnelle pour être capable de faire des choix et d'en rendre compte. Les catholiques n'ont pas à avoir peur. Quand on a des convictions fortes et qu'on sait pourquoi , on peut se faire respecter. Les catholiques sont appelés à avoir de la personnalité. C'est plutôt une bonne nouvelle !

  • 11 juillet : fête de saint Benoît

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    Ce 11 juillet, jour de la translation de ses reliques à Saint-Benoît-sur-Loire, on fête le père du monachisme occidental : Benoît  né vers 480 ou 490 à Nursie – mort en 547 (en latin Benedictus de Nursia), plus connu sous le nom de « saint Benoît » (en latin Sanctus Benedictus de Nursia). Fondateur de l'ordre bénédictin et a largement inspiré le monachisme occidental ultérieur. Il est considéré par les catholiques et les orthodoxes comme le patriarche des moines d'Occident à cause de sa Règle qui a eu un impact majeur sur le monachisme occidental et même sur la civilisation européenne médiévale. Le pape Paul VI l’a proclamé saint Patron de l’Europe le 24 octobre 1964, en ces termes:

    « Messager de paix, artisan d'unité, maître de civilisation, et, avant tout, héraut de la religion du Christ et fondateur de la vie monastique en Occident, tels sont les titres qui justifient la renommée de saint Benoît, abbé. Alors que s'écroulait l'Empire romain désormais à son terme, que des régions de l'Europe s'enfonçaient dans les ténèbres et que d'autres ne connaissaient pas encore la civilisation et les valeurs spirituelles, c'était lui qui, par son effort constant et assidu, a fait se lever sur ce continent l'aurore d'une ère nouvelle. C'est principalement lui et ses fils qui, avec la croix, le livre et la charrue, apporteront le progrès chrétien aux populations s'étendant de la Méditerranée à la Scandinavie, de l'Irlande aux plaines de la Pologne.

    Avec la croix, c'est-à-dire avec la loi du Christ, il a affermi et a développé l'organisation de la vie publique et privée. Il convient de rappeler qu'il a enseigné aux hommes la primauté du culte divin avec l'Office divin, c'est-à-dire la prière liturgique et assidue... Avec le livre, ensuite, c'est-à-dire avec la culture : au moment où le patrimoine humaniste allait se perdre, saint Benoît, en donnant renom et autorité à tant de monastères, a sauvé la tradition classique des anciens avec une sollicitude providentielle, en la transmettant intacte à la postérité et en restaurant l'amour du savoir.

    Et enfin avec la charrue, c'est-à-dire avec l'agriculture et d'autres initiatives analogues, il a réussi à transformer des terres désertiques et incultes en champs très fertiles et en jardins gracieux. En unissant la prière au travail matériel, selon son mot célèbre : « Ora et labora » (Prie et travaille), il a ennobli et a élevé le travail de l'homme. C'est pourquoi le pape Pie XII a salué à juste titre dans saint Benoît le « père de l'Europe ».

    Lu par JPS sur le site du « Petit Placide » : Saint Benoît, patron de l'Europe

  • Ecologie humaine, un projet alternatif et métapolitique

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    (Zenit.org) - Le nouveau Courant pour une écologie humaine entend montrer que « la modernité a changé de camp » : l’écologie humaine en effet « ne s’inscrit pas dans une sorte de conservatisme passéiste » mais est « une réponse nouvelle à des défis inédits », une réponse qui appelle à « construire une protection réelle de l’être humain », et au fond à une véritable « mutation culturelle », explique Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et porte-parole de la « Manif pour tous ».

    Tugdual Derville, Pierre-Yves Gomez, économiste, et Gilles Heriard Dubreuil, spécialiste des questions environnementales, sont les initiateurs d’un « courant de réflexion au service de l’action », qui a été lancé le 22 juin 2013, à Paris.

    Plus de 450 personnes étaient présentes, de toute la France, pour cet évènement, dont Tugdual Derville explique les enjeux aux lecteurs de Zenit.

    • Zenit – Qu’est-ce que c'est que l'écologie humaine ?

    Tugdual Derville – L’écologie humaine, c’est d’abord une réalité que vit un jour ou l’autre toute personne : il s’agit de prendre soin de l’être humain. De le protéger dans son environnement mais aussi de protéger l’homme lui-même, à commencer par le plus fragile. Expérimenter l’écologie humaine, c’est donc comme faire de la prose : nous pouvons espérer qu’elle est pratiquée chaque jour dans les familles, les entreprises, les associations, les maisons de retraite, par tous ceux qui prennent soin les uns des autres. C’est d’ailleurs le propre de l’être humain. Il n’a pas seulement besoin d’un environnement porteur et sécurisant, comme les animaux ; il éprouve aussi un besoin spécifique : celui d’être reconnu comme une personne irremplaçable, à la fois unique, précieuse et fragile. Tout être humain a besoin de se sentir accueilli inconditionnellement avec ses forces et ses faiblesses. Et il est d’ailleurs signifiant que cet homo sapiens que nous situons au sommet de la création soit de nature si fragile comparé aux animaux, avec une telle dépendance à la nature, à la culture et à autrui ! Il nous faut de l’eau pure (si possible fraîche !) et de l’amour pour vivre. Pas si facile à trouver… Sérieusement, l’écologie humaine est simplement une réalité universelle, vitale et intemporelle.

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  • Les taux de natalité s'effondrent en Afrique du Nord

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    Voici, lue sur le blog du « salon beige,  une Analyse intéressante de Philip Jenkins, membre de la communion anglicane, professeur de sciences humaines à la Pennsylvania State University : une analyse à mettre en rapport avec l’article que nous avons publié et commenté ici : 2013 : le monde plus religieux sauf l’Europe ? ». JPS.

    "Une révolution est en train de bouleverser l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Non, il ne s’agit pas de celle dont les médias ont parlé [...]. Beaucoup de sociétés musulmanes sont en train de vivre une transformation démographique à laquelle l’Occident prête peu d’attention mais qui va les rendre beaucoup plus européennes : plus stables, plus ouvertes aux droits des femmes et, surtout, plus “laïques”. Ce changement est sous-jacent à toutes les rébellions politiques.

    Dans cette histoire, le chiffre magique est 2,1 ; c’est celui qui représente le taux de fertilité dont une société a besoin pour que sa population reste à un niveau constant. [...] Selon un stéréotype très répandu, les Européens ont perdu la vision à long terme qui leur aurait permis d’avoir des familles nombreuses [...]. Les experts sont, pour la plupart d’entre eux, préoccupés lorsqu’ils comparent ces taux de fertilité européens avec les profils démographiques notoirement élevés du Tiers-Monde, qui se sont désormais également répandus au Moyen-Orient. Il n’est pas difficile d’imaginer un scénario dans lequel les musulmans du Moyen-Orient deviendraient plus nombreux que les Européens, ceux-ci ne progressant pas, ce qui créerait une Eurabie islamisée.

    Mais il y a un problème. Au cours des trente dernières années, ces pays du Moyen-Orient où l’on trouvait habituellement un grand nombre d’enfants et d’adolescents ont commencé à subir une impressionnante transformation démographique. Depuis le milieu des années Soixante-dix, le taux de fertilité s’est effondré en Algérie, où il est passé de 7 à 1,75, en Tunisie, où il est passé de 6 à 2,03, au Maroc, où il est passé de 6,5 à 2,21, et en Libye, où il est passé de 7,5 à 2,96. Aujourd’hui le taux de l’Algérie est à peu près équivalent à celui du Danemark ou de la Norvège ; celui de la Tunisie est comparable à celui de la France. [...]"

    Michel Janva »

    Référence : Les taux de natalité s'effondrent en Afrique du Nord 

  • 2013 : le monde plus religieux sauf l’Europe ?

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    Les religions - surtout le christianisme et l'islam- comptent plus de croyants dans le monde mais l'Europe n'est plus le centre de la chrétienté. C’est ce qu’on peut lire sur le site aleteia qui se réfère au quotidien italien « La Stampa » du 4 juillet :

     « Le plus prestigieux centre de statistique religieuse au monde, le Center for the Study of Global Christianity de South Hamilton (Massachusetts), vient de publier son rapport tant attendu : « Christianity in its global Context, 1970-2020 »  (Le  christianisme dans son contexte global, 1970-2020), présentant toute une série de statistiques mises à jour en 2013, avec une projection jusqu’en 2020.

    L’essentiel du résultat de cette vaste enquête peut se résumer en une phrase: le monde devient non pas moins, mais plus religieux. En particulier, le nombre de chrétiens et de catholiques est en augmentation, mais principalement en Afrique et en Asie, tandis que les Amériques restent stables et que l’Europe devient moins religieuse, moins chrétienne et moins catholique.

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  • Humaine ou inhumaine, l'écologie ?

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    L’homme est-il de trop dans la nature ?

    de HENRI HUDE sur Ecologie Humaine

    « Ecologie humaine » vient combler un grand vide dans la vie politique et culturelle de la France (mais pas seulement de la France... (ndB)). « Ecologie » tout court, c’est trop court. Si on en reste là, demain sera inhumain.

    UNE ECOLOGIE HUMAINE OU INHUMAINE ?

    Humaine ou inhumaine ? Tel est pour l’écologie le choix. Il faut donc déployer la richesse de sens que renferme cette expression : « écologie humaine ».

    Le mot  « écologie » compose logos et oikos (ou oikia) qui signifie « la maison ». Qu’est-ce donc que l’« écologie humaine » ? La science et la pratique de cette nature qui inclut l’homme et qui est ainsi sa « maison », la « maison de l’homme ».

    Oikos signifie en même temps « famille ». L’écologie, c’est la science et la pratique de cette « famille » humaine vivant dans sa « maison », la nature. Si les mots ont leur plein sens, l’écologie est familiale ou n’est pas.

    « Si les mots ont leur plein sens, l’écologie est familiale ou n’est pas. »

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  • BXL 11-13 octobre 2013 : 2nd European Encounters

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    La Foi et les valeurs chrétiennes dans la vie active

    INVITATION

    Si vous avez entre 25 et 45 ans

    Si vous voulez vivre votre foi au quotidien

    Si vous voulez donner de l’intelligence à la foi de votre coeur
    et comprendre l’actualité et l’urgence du message du Christ aujourd’hui

    CES RENCONTRES SONT FAITES POUR VOUS !

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