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Société - Page 764

  • La position militante des partisans de la théorie du genre

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    Lu sur la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org (25/7)

    Les partisans de la théorie du genre adoptent une "position militante"

    Dans le quotidien La Croix, le philosophe Claude Obadia revient, dans une chronique, sur la récente polémique autour de l'enseignement de la théorie du genre. L'objectif des partisans de cette théorie est "d'appliquer à la question du genre une vision de l'homme et de la société selon laquelle  les différences ne sont nullement naturelles, mais au contraire dues à la socialisation et à l'éducation". Ainsi, l'identité de chacun de nous "serait construite et conditionnée par des représentations sociales qu'il nous revient alors de 'déconstruire', afin de retrouver ce qui, en nous, relève de la nature". Leur objectif principal est "d'abattre la 'domination masculine' " puisque les hommes et les femmes ne seraient aucunement différents. 

    Partant de ce constat, deux questions émergent, selon Claude Obadia. D'une part, "est-il tellement certain que les différences entre les hommes et les femmes ne sont que des constructions culturelles? Est-il réellement évident qu'hommes et femmes soient par nature identiques?". Car en réalité, les partisans du genre confondent deux plans pourtant bien distincts: celui de l'institution, et celui de la nature. En effet s'il existe un principe républicain et démocratique selon lequel hommes et femmes doivent être égaux en droit, il faut noter que l'égalité entre les deux "n'est aucunement un fait de nature".  D'autre part, "s'il faut défendre le principe de l'égalité des droits pour les hommes et les femmes, faut-il mener ce combat au nom de faits prétendument naturels?" Car il s'agirait alors d'" affirmer que les sociétés humaines doivent se conformer à l'ordre de la nature[...]". Or la nature, elle, n'est que rapport de force, et les faibles y sont condamnés. En revanche, l'homme, lui, est capable de culture, et "proclame la force des faibles". Il permet ainsi de révéler la justice, la vertu, ou encore le droit.  "Gardons-nous donc de céder, sur cette question du genre [...] au nom de l'humanité et au nom de la culture, non au nom de la nature" conclut l'auteur.

    La Croix (Claude Obadia) 24/07/2013

  • François : non à la légalisation de la drogue

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    Le Pape dit non à la légalisation de la drogue (Radio Vatican)

    Non à la légalisation des drogues : le pape François a été très clair lors de sa visite à l’hôpital Saint-François d’Assise de la Providence de Dieu, mercredi en début de soirée. Situé à Rio de Janeiro, cet établissement s’occupe de malades toxicodépendants ou alcooliques, et se charge d’assurer des soins gratuits à des indigents. Disposant d’une capacité de cinq-cents lits, il est géré par l’association homonyme fondée en 1985 par le frère François et qui gère de nombreux autres centres à travers le pays. 

    Après avoir été accueilli par le personnel de l’hôpital, et avoir été salué par l’archevêque de Rio de Janeiro et par le père directeur de l’association, le Pape a écouté le témoignage émouvant de deux patients. Ils ont raconté comment ils sont tombés dans la drogue, comment ils ont perdu l’amour de leurs proches, comment ils ont ruiné leur vie avant de reprendre pied grâce à l’association.

    Trafic de drogue condamné avec force

    Le pape François a ensuite pris la parole pour rappeler les gestes de saint François d’Assise qui inspire la structure de soins. François en a surtout profité pour condamner le trafic de drogue. « Combien de « marchands de mort » suivent la logique du pouvoir et de l’argent à n’importe quel prix ! La plaie du narcotrafic, qui favorise la violence et sème douleur et mort, requiert un acte de courage de toute la société. Ce n’est pas avec la libéralisation de l’usage des drogues, comme on en discute en divers lieux d’Amérique Latine, que l’on pourra réduire la diffusion et l’influence de la dépendance chimique. »

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  • L'élan magnifique de familles qui voulaient adopter un enfant trisomique

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    Via le blog de Jeanne Smits :

    Une histoire magnifique : un enfant à naître trisomique sauvé de l'avortement par de nombreuses familles voulant l'adopter

    (tiré du Washington Times du 9 juillet 2013 et de LifeSiteNews du 23 juillet 2013, traduction CQV)

    Lorsque le révérend Thomas Vander Woude entendit parler d'un jeune couple qui planifiait de faire avorter leur enfant à naître diagnostiqué avec le syndrome de Down, il tendit la main et offrit un contrat : si les parents acceptaient de donner leur enfant en adoption, il trouverait une famille adoptive appropriée.

    Mais il fallait agir vite.

    La femme, qui n'a pas été identifiée pour respecter sa vie privée et sa sécurité, en était à un peu moins de six mois de grossesse. Elle vit dans un État qui interdit l'avortement après 24 semaines — ce qui voulait dire qu'il avait peu de temps pour trouver une famille prête à s’engager pour toute la vie.

    Le Père Vander Woude, pasteur principal à l’église catholique Sainte Trinité à Gainesville, en Virginie, s'est approché d'un bénévole qui avait contribué à gérer la page des médias sociaux de l’église, et elle fit un appel urgent sur ​​Facebook le lundi matin.

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  • La liberté religieuse, un droit de l'homme en péril

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    De DIDOC :

    La liberté religieuse, un droit de l'homme en péril

    La persécution et la discrimination religieuses sont des réalités plus actuelles que jamais. Et pas seulement en-dehors du vieux continent…

    « Une étude récente est arrivée à une conclusion saisissante : plus de cent mille chrétiens sont tués à cause de leur foi chaque année. D’autres sont soumis à des déplacements forcés, à la destruction de leurs lieux de culte, au viol et à l’enlèvement de leurs dirigeants », comme c’est arrivé récemment dans le cas des évêques orthodoxes Yohanna Ibrahim et Boulos Yaziji, à Alep en Syrie, a affirmé l’archevêque Silvano Tomasi, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations Unies, durant la 23ème session du Conseil des Droits de l’Homme initiée le 28 mai dernier.

    Fernand de Haro, dans son nouveau livre intitulé Cristianos y leones (Chrétiens et lions, Planeta, Barcelone 2013), affirme la même chose : chaque année, cent mille chrétiens sont assassinés dans le monde. Haro rappelle qu’en 2001, David B. Barret et Todd M. Johnson ont publié le rapport World Christian Trends, dans lequel ils expliquent qu’entre 2000 et 2005, la moyenne annuelle de chrétiens tués à cause de leur religion fut de 160 000. En 2010, le nombre est descendu à 100.000. On doit cette diminution à la signature de la paix au sud Soudan en 2005. Actuellement, 75 % des personnes qui souffrent de discrimination religieuse sont chrétiennes. D’après des renseignements du Pew Research Center (Washington) datant de janvier 2013, cent millions de chrétiens sont persécutés de par le monde. D’après Haro, le christianisme constitue un frein au pouvoir universel des dictatures qui pénalisent l’exercice du droit à la liberté religieuse.

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  • L’ Amérique du Sud n’a pas besoin de shows mais de saints

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    Sur l’excellent site « Benoît et moi », Luis Fernando Pérez Bustamante, directeur du site espagnol "infocatolica" fait le point sur la situation du catholicisme au Brésil. Traduction de Carlota (24/7/2013) :

    Autant le catholicisme au Brésil est en chute libre, autant le protestantisme évangélique, et surtout celui de caractère pentecôtiste, ne cesse de monter. Les Brésiliens qui se considèrent catholiques sont passés de 65 à 57% en 6 ans. Et le total des évangéliques atteint déjà 28%. C'est-à-dire que dans le pays, le nombre de catholiques n’est déjà plus le double, quoique de fort peu, de celui des protestants. Etant donné qu’il y a moins de vingt ans les trois quarts des citoyens cariocas étaient catholiques, nous pouvons nous faire une idée de ce qu’est la situation du catholicisme dans ce pays. Et évidemment ce n’est pas l’unique de l’Amérique Ibérique où il s’est passé quelque chose de similaire.

    Mais en plus d’être toujours plus, les évangéliques brésiliens ont des avantages sur les catholiques au niveau de la pratique religieuse. 
    Faute de données statistiques, je soupçonne que très probablement ils sont déjà plus à aller au culte protestant tous les dimanches qu’à la Messe catholique. Si nous y ajoutons le fait qu’une bonne partie des fidèles de l’Église n’accepte pas beaucoup des enseignements du magistère, on pourrait dire que déjà le Brésil a cessé d’être de fait, un pays majoritairement catholique.

    Un autre aspect à prendre en compte est que les évangéliques brésiliens ont un niveau de mobilisation politique très supérieurCurieusement ce sont eux et non les catholiques qui ont le plus défendu les principes non négociables marqués par Benoît XVI. Surtout la défense de la dignité de la vie humaine et le mariage naturel. En passant les distances, ils représentent dans leur pays quelque chose qui ressemble à ce que sont aux Etats-Unis les républicains « made in Bible belt » (ndt en anglais dans le texte, belt, ceinture, montre bien l’idée).

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  • Le pape aux JMJ : propos de table entre Christian Terras (revue Golias) et Jean-Pierre Delville (évêque de Liège)

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    20130714_lg41.jpgPour évoquer la visite du pape François à l'occasion des Journées Mondiales de la Jeunesse catholique, l’émission « Matin Première » (RTBF) recevait ce mardi le nouvel Evêque de Liège, Jean-Pierre Delville et l’incontournable expert « religieux » de la RTBF, Christian Terras, rédacteur en chef de la revue Golias. (en audio : ICI)

    Un aimable échange de propos, avec ou sans le café crème matinal de la RTBF, papillonnant de l’éloge de la théologie de la libération à celui de la culture relationnelle sur la plage de Copacabana : un peu de tout pour faire un monde, mais lequel ? Pas contrariant, et même un peu bisounours, le nouvel évêque de Liège... JPSC 

    Rendez-vous à 7h45.. Retranscription de l'entretien (extraits):

     «  D'abord à mes côtés, le tout nouvel Evêque de Liège, Monseigneur Jean-Pierre Delville, bonjour.

    Jean-Pierre Delville : - Bonjour.

    Robin Cornet (rtbf) : - Vous êtes également historien. Vous étiez chargé de cours à l'UCL, vous étiez abbé et le Vatican vous a proposé de succéder à Aloys Jousten à Liège et vous avez été ordonné Evêque, le 14 juillet dernier, félicitations.

    Et puis par téléphone également, Christian Terras de la Revue Goliath, bonjour.

    Christian Terras : - Bonjour.

    RC : - Avant de venir à vous, on va tout d'abord se rendre à Rio, retrouver Olivier Ubertalli, qui est notre correspondant en Argentine et qui suit cette visite du Pape au Brésil. Autre symbole, Olivier, à peine arrivé, le Pape a tout de suite voulu aller au contact des gens en prenant un bain de foule en fin de soirée ?

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  • Belgique : le Roi Philippe, fils spirituel de Baudouin ?

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    Le point de vue de Florencia Valdés Andino sur le site de « La Vie » :

    SKY20130722090655SkynetBE4.jpgDimanche 21 juillet, la Belgique a fêté la prestation de serment de son nouveau roi Philippe, succédant à son père Albert, qui a abdiqué le jour même. Façonné par son oncle, le très croyant roi Baudoin, il a dû attendre vingt ans pour accéder au trône.

    A sa mort en 1993, après 42 ans de règne, le pape Jean-Paul II a qualifié le Roi Baudoin de Belgique de « roi exemplaire ». C'est ainsi que le souverain pontife a résumé une riche vie spirituelle nourrie de prière, de discrets pèlerinages et œuvres de charité. Ce qui lui a aussi valu d'être perçu comme « austère » et « réactionnaire ». Un épisode de son règne n'a fait que le confirmer aux yeux de ses détracteurs. En 1990, il refuse, au nom de sa conscience, de contresigner la loi dépénalisant l'avortement en Belgique. Le roi doit signer toute nouvelle loi afin qu'elle puisse entrer en vigueur. Il invite le Parlement à trouver une solution pour éviter d'être associé à cette nouvelle législation déjà approuvée majoritairement par les députés. Pendant un jour, il est déclaré dans l'impossibilité de régner grâce à une parade constitutionnelle. Le lendemain il retrouve ses fonctions. La Belgique frôle à ce moment-là la crise institutionnelle avec une hypothétique abdication du roi.

    C'est ce monarque qui prépare le futur roi Philippe au trône. Ne pouvant pas avoir de descendance, le roi le prend sous son aile et exprime haut et fort son désir de le voir régner après lui. Le tout jeune Philippe mène à bien de nombreuses missions à l'étranger où il montre son talent dans les affaires. Mais il reste considéré comme timide et maladroit. D'autant que, trop présent dans la politique, il ose critiquer les partis séparatistes et ne cache pas les convictions religieuses qu'il partage avec son mentor. Une réforme d'Etat, adoptée à la mort de son oncle, l'empêche alors d'occuper ce poste. Le gouvernement décide de suivre l'ordre dynastique, c'est Albert II qui prend sa suite. Vingt ans après, Philippe peut enfin réaliser le souhait de son oncle, à la suite de l'abdication du roi Albert.

    Philippe, 53 ans, accède au trône alors que les divisions entre Flamands - demandant plus d'autonomie - et Wallons - très attachés au fédéralisme - ne cessent de tirailler la Belgique. Les séquelles de la crise politique menant la Belgique au bord de l'implosion (2010-2011) se font toujours sentir. Le pays est restésans gouvernement plus de 500 jours.

    Pourra-t-il appliquer les enseignements de son oncle ? Selon le Vicaire général du diocèse de Liège, Alphonse Borras, il ne sera pas simple d'emboîter le pas de son maître : « La Belgique a vécu de nombreux changements et a traversé la pire crise politique de son histoire. Philippe sera prudent, ce serait mal venu d'afficher ses convictions. Cela ne contribuerait pas à la participation du roi dans les débats de société. Le roi règne mais ne gouverne pas ». Luc Tielemans, directeur général des Médias catholiques francophones belges, reprend cette même devise. « Le devoir l'oblige à une très grande neutralité parfois contre ses propres convictions, analyse-t-il. Il doit être très prudent vis-à-vis des Flamands. Il est certain que sa foi va le guider, il y a quelque chose du roi Baudouin en lui. Mais son épouse, la reine Mathilde apparaît de plus en plus comme une pièce maîtresse dans sa spiritualité. Elle joue un rôle très important. » Le père Patrick Ballard, spécialiste en droit canonique, approuve : « Mathilde est une femme qui va beaucoup lui apporter. Elle rayonne ».

    Dans cette nation divisée, mot unité est sur toutes les lèvres. « C'est le roi Albert II qui a tenu la baraque pendant la dernière crise, poursuit le père Ballard. Philippe devra en tenir compte et lutter pour que la Constitution reste la garante du rôle essentiel que joue le roi dans ce pays ». Sa priorité est l'unité, a-t-il affirmé lors de sa première allocution : « Nous trouvons chaque fois l’équilibre entre unité et diversité ». A un an des élections législatives, « le nouveau roi d'une nouvelle Belgique », comme il s'est même défini, a pour défi de maintenir la stabilité du royaume, tout comme son père. Une course d’obstacles l’attend avec le parti indépendantiste flamand de la N-VA, crédité de 30 à 35% des intentions de vote côté néerlandophone en vue des législatives de 2014.

    Ici: Le roi Philippe, fils spirituel de Baudouin ?

    Un article intéressant (et qui change des banalités, plus ou moins  grotesques et malveillantes, lues dans « Le Monde » et autres faiseurs d’opinion de la presse internationale). Philippe sera certainement, comme son oncle Baudouin, un Roi de conviction : ce qui suscite les mises en garde de deux personnages emblématiques du profil officiel des milieux cléricaux : Alphonse Borras, Vicaire Général du diocèse de Liège, et Luc Tielemans, directeur des médias francophones de l’Eglise catholique belge. Mais que la nomenklatura se rassure : est-ce que le Roi Baudouin a jamais attenté à la liberté de pensée garantie par la constitution belge ? Par ailleurs, le Roi Philippe fera certainement excellente équipe avec son Chef de Cabinet, le baron Frans Van Daele, un diplomate chrétien flamand de haute volée, intelligent, ferme et discret. Bon vent, Sire, Dieu vous garde. JPSC 

  • Rupture du dialogue entre orthodoxes et luthériens favorables au mariage gay

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    Lu sur Info.catho.be :

    Moscou: rupture entre orthodoxes et luthériens sur le mariage homosexuel

    Le patriarcat de l’Eglise orthodoxe de Moscou a rompu le dialogue avec les Eglises luthériennes qui acceptent la bénédiction de couples du même sexe. L’Eglise russe ne veut plus avoir de contact avec de telles confessions a déclaré, le 22 juillet 2013 devant les journalistes à Moscou, le métropolite Hilarion, chef des relations extérieures du patriarcat. Il reproche à ces luthériens une « trahison du christianisme ».

    Quelques Eglises protestantes, comme l’Eglise évangélique luthérienne de Suède, bénissent depuis un an des couples homosexuels. Elles ont franchi ainsi une limite, estime le métropolite Hilarion. Pour lui, les couples homosexuels ne peuvent pas avoir les mêmes droits que les couples formés d’un homme et d’une femme. Sinon cela détruira non seulement la famille, mais l’Europe elle-même, a insisté le métropolite évoquant la baisse de la population du continent.

  • Mgr Vingt-Trois : "l'Eglise n'est pas une organisation stalinienne"

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    Le 21 juillet, l'archevêque de Paris a accordé une interview au Parisien. On pourra la lire in extenso en ouvrant ce PDF.

  • Un dossier "gender"

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    Un aimable correspondant nous transmet cet ample dossier documentaire consacré au GENDER :

    Messages types

    « les filles étaient des filles parce qu’on leur offrait des poupées, et les garçons des garçons à cause de leurs panoplies de mousquetaires ».

    « On est les mêmes, c’est la société qui nous identifie sexuellement »

    Origine du gender

    La philosophe américaine Judith Butler et son essai « Gender Trouble » remet en cause la distinction sexuelle, masculine ou féminine, qui ne serait que le paravent idéologique d’un comportement de domination. http://www.amazon.fr/Trouble-dans-genre-Gender-subversion/dp/2707142379 

    Butler souhaite créer de nouvelles normes sociales pour improviser sa vie sexuelle. (http://www.youtube.com/watch?v=N3KWe_Tvb5E )

    Pour comprendre le gender (résumé) http://www.ifpfrance.org/images/stories/Fichiers/les%20notes%20de%20l%5C%27ifp_n%B04_la%20th%E9orie%20du%20genre_d%E9cembre%202012.pdf

    Des réactions contre le gender venant de partout

    De femmes actives : http://womanattitude.com/le-feminisme-et-ses-enjeux/la-theorie-du-gender-et-du-queer/

    De la philosophe Sylviane Agacinski – épouse de Lionel Jospin – qui publie en 2012, chez Seuil, Femmes entre sexe et genre. http://www.dailymotion.com/video/xx3wbf_sylviane-agacinski-parents-et-geniteurs-ne-sont-pas-interchangeables_news

    De la droite : http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&NR=1&v=A53Ay9mGw4c

    De la gauche : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=y44QIUL_Psc

    D’un journaliste (RTL – Chronique de Eric Zemmour contre la pensée unique) http://www.dailymotion.com/video/xuvlxw_le-mariage-homosexuel-vu-par-eric-zemmour_news

    D’un psychiatre Jean-Paul Mialet qui publie Sex aequo (Albin Michel), http://www.youtube.com/watch?v=I15BU_8JSTQ

    Ici le reportage décapant de bon sens qui a mis fin au gender en Norvège!!!!
    http://www.youtube.com/watch?v=PfsJ5pyScPs&feature=player_embedded

    Historique de la réception catholique du gender (plus costaud, factuel, tendance libérale) - Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes (LARHRA) -CNRS : UMR5190 – Université Lumière - Lyon II – Université Pierre-Mendès-France - Grenoble II – Université Jean Moulin - Lyon III – École Normale Supérieure - Lyon : http://halshs.archives-ouvertes.fr/view_by_stamp.php?&halsid=3d777ert8e5b4loir1981f88f3&label=SHS&langue=fr&action_todo=view&id=halshs-00765786&version=1

    Finalement, un discours de Benoit XVI 
    http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/speeches/2012/december/documents/hf_ben-xvi_spe_20121221_auguri-curia_fr.html
    NB: le Pape cite le Grand Rabbin de France (qui malheureusement a été reconnu de plagiat http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/le-grand-rabbin-de-france-accuse-de-plagiat-a-demissionne-11-04-2013-1653421_240.php  ).

    On peut y ajouter Kevin Jennings ancien vice-ministre adjoint à l'éducation des États-Unis sous l'administration Obama et de son organisation Gay, Lesbian, Straight Education Network GLSEN http://www.glsen.org/

    Jennings continue à militer dans le monde pour adapter les programmes d’éducation comme par exemple en Suisse http://www.mosaic-info.ch/N447/homophobie-a-l-ecole-aborder-la-diversite-sexuelle.html

  • Des sociétés proches de la décadence

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    Lu ICI :

    Dans une interview qu'il a accordée au journal Le Parisien-Dimanche, l'archevêque de Paris, Mgr André Vingt-Trois analyse la situation globale de la société française qu'il estime proche de la « décadence ».

    Ainsi il explique : « Nous sommes dans une société de violence où les réflexes de sociabilité ne sont plus intégrés ». Interrogé à propos de la loi sur l'embryon votée mardi, il dénonce « l'instrumentalisation de l'humain » dans la recherche scientifique et ne cache pas son opposition au mariage homosexuel.

    Quant à la question de savoir si la France est proche de la décadence, le cardinal de Paris répond : « On s'en approche si on laisse filer les choses en disant que, finalement, l'égalité, c'est que tous les particularismes puissent s'exprimer, qu'ils sont tous aussi légitimes ».

    Sur la question du fondamentalisme religieux, en particulier islamique, Mgr Vint-Trois estime qu'il faut miser sur la prévention et dénonce « des comportements laïcistes béotiens » dans l'école. Il conclut en affirmant que « pour lutter contre le fondamentalisme, il faut apprendre aux gens à réfléchir sur les religions et ne pas faire comme si elles n'existaient pas ». 

  • JMJ : comment les prêtres sont aimés au Brésil

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    349057970.78.jpegPremière anecdote rapportée sur son blog par l’abbé Rimaz accompagnant le groupe de 700 jeunes Suisses aux JMJ de Rio ( ndlr : à titre de comparaison, les Belges seraient au nombre de 400) :

    « Une journée normale

    Début de soirée très douce à Rio. Après une journée de service à la salle de presse de Copacabana, nous rentrons sereinement à la paroisse de Saint Jean Baptiste, située non loin du Corcovado, le célèbre symbole de la protection du Christ Rédempteur. 

    Avec mon confrère des Philippines, après être sortis du bus et avoir parlé avec des jeunes brésiliens tout contents de voir des prêtres avec un look étranger, nous attendons tranquillement au feu rouge pour ensuite traverser la route afin de prendre le métro à la station de Cantagalo. 

    Votre argent !

    Soudain, arrivent deux jeunes, certainement sous le coup de l'alcool, qui prennent mon confrère par le bras en demandant de l'argent. Face à notre refus, la main se ressert fortement sur son épaule. L'ami me racontera plus tard que les deux jeunes, bières à la main, lui ont montré ensuite un long couteau serré dans l'autre main, prêt à frapper. Suis immédiatement la demande, la menace plus insistante: "donnez-nous votre argent !" (Give me your money). 

    Mais vous êtes...

    Puis, d'une façon totalement imprévisible, nous entendons: "he, oh, you are Father" (oh, vous êtes des prêtres!). Les deux larrons se jettent alors à nos pieds, totalement remplis de confusion, demandent pardon, embrassent nos mains et demandent la bénédiction. Après s'être signés par la croix, ils partent en courant, en ne cessant de s'excuser ....

    Cela se passe tellement vite ! je n'ai presque rien vu ! pas eu le temps ni de réaliser, ni d'avoir peur. Le long de la rentrée vers la paroisse, nous échangeons sur ce qui vient de se passer. 

    L'habit comme un gilet de protection

    En arrivant à Rio, une mère de famille brésillienne nous avait bien dit: "être habillé comme des prêtres est la plus grande sécurité que l'on puisse avoir ici". 

    Dieu merci ! Nous espérons seulement, et fortement, que cela soit identique pour tous et pour chacun ! Nos anges gardiens ne sont jamais loins.  

    Les mains des prêtres

    Autrement, il est très émouvant de constater que, en soirée, le long de la plage de Copacabana, il arrive quelque fois que des personnes demandent une bénédiction, parfois suivie par une photo.

    La tradition "carioca" veut qu'ils nous embrassent ensuite la main, ces deux clefs consacrées qui ouvrent le ciel: la main de la consécration lors de la Messe, l'autre lors de la confession. 

    Ici : Comment les prêtres sont aimés au Brésil !

    Moralité : comme dit l’adage, « garde la soutane, la soutane te gardera ». C’eut été, en tout cas, encore plus rapidement dissuasif qu'un simple col romain. JPSC