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Société - Page 881

  • Quand nos ados sont en danger...

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    H.H., sur la Libre de ce lundi 23, annonce un documentaire programmé sur La Une, intitulée "nos ados en danger" à propos des "Skins Parties: sexe, alcool et drogue". On verra également leur dépendance à l'égard du porno ici : www.belgicatho.be

    Faut-il encore vraiment s'étonner lorsque le journaliste de La Libre se réjouit de constater que "Le but de ce documentaire, très intéressant, mais parfois un peu sensationnaliste, n’est heureusement pas de juger ces comportements, mais d’en rendre compte" ?

    "Créée en 2007 en Grande-Bretagne, la série "Skins" est devenue un phénomène de société, beaucoup d’ados se reconnaissant dans le portrait cru de cette jeunesse débridée. A Londres, Paris et un peu partout, s’organisent des soirées "Skins", annoncées sur les réseaux sociaux par l’acronyme "SAD" pour "sexe, alcool, drogue" ou par des formules marketing chocs :"Consommation à en crever" - "Libido à profusion".

    Dans leur documentaire, réalisé en 2010, Virginie Roels et Sophie Bonnet partent à la rencontre de ces gamins et ces gamines qui, le temps d’une soirée, repoussent leurs limites. A 17 ans, Kim est une habituée de ces "Skins Parties" et de leurs slogans accrocheurs. "Ça attire vachement. On va vivre une soirée pas comme les autres. j’avais envie de découvrir ce genre d’ambiance", explique-t-elle, habillée dans une tenue très légère qu’elle cachera à ses parents avant de rejoindre une soirée parisienne. Dans la salle, les corps s’enlacent sur une musique tonitruante -une "backroom" sombre et garnie de coussins est même prévue pour ceux qui voudraient aller plus loin Près des toilettes, les dealers vendent au vu et au su de tous les drogues les plus diverses : cannabis, coke, ecstasy Dehors, une jeune fille est couchée par terre.

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  • France : les catholiques pratiquants ont voté "à droite" mais pas à l'extrême-droite

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    C'est ce qui ressort d'un sondage présenté par "La Vie" :

    "Pas moins de 47% des catholiques pratiquants réguliers ont voté pour Nicolas Sarkozy, contre 26,9% de l’ensemble des Français. Et seulement 14% auraient voté pour François Hollande (contre 28,7%). Ce sont là les des enseignements clés du sondage Harris Interactive réalisé en exclusivité pour La Vie dans la journée du premier tour le 22 avril."

    Voir tout l'article ici : http://www.lavie.fr

  • Un mal qui se banalise : la violence à l'école

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    Enseignons.be pointe ce mal qui prend une ampleur insoupçonnée au coeur de nos écoles : la violence, sous différentes formes.

    "Les chiffres sont impressionnants et sont issus des statistiques de la police fédérale pour les trois premiers trimestres de l’année 2011 : plus de 1.800 plaintes auraient été enregistrées pour des faits de violence physique dans les écoles. Ces plaintes ont été déposées par des parents… contre d’autres parents, des enseignants contre des parents ou des élèves, des directions contre des parents… ou l’inverse. Et la situation ne s’arrange pas avec le temps. Si 2011 ne sera pas pire que 2010 – année où plus de 2.700 plaintes avaient été enregistrées – les chiffres de la violence n’ont globalement pas baissé en dix ans.

    Du côté des exclusions scolaires, on notera que 3.000 élèves sont virés de leur école chaque année pour faits de violence physique. Et ce chiffre ne vaut que pour les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La Wallonie, justement, enregistre davantage de plaintes que la Flandre… qui est pourtant plus peuplée. Par ailleurs, un enseignant belge sur six a souscrit une police d’assurance spéciale contre la violence à l’école."

    Lire tout l'article : Violence à l'école, plus de 1800 plaintes en 2011

  • La mise à mort des enfants anencéphales

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    Une étape dans l'inhumanité vient d'être franchie au Brésil. Mais elle suscite des réactions dans le corps médical. C'est ici : leblogdejeannesmits.blogspot.com et cela commence ainsi :

    Le Tribunal fédéral suprême du Brésil a donné son feu vert à l’avortement des anencéphales, mais tous les médecins du Brésil ne sont pas d’accord, loin s’en faut. Le vice-président du Conseil fédéral pour la médecine, le Dr Carlos Vital, n’a pas perdu de temps pour mener une contre-attaque, s’exprimant dans le plus populaire des magazines d’informations de son pays, Veja.
     
    Et il l’a fait de la manière la plus frappante, expliquant de façon brutale la manière dont les bébés anencéphales seront légalement mis à mort dans le sein de leur mère.
     
    Notant que l’avortement d’un anencéphale se pratique au cours du 2e ou du 3e trimestre, le Dr Vital a souligné que les médecins avaient le choix entre deux méthodes : le curetage ou l’aspiration.
     
  • Pennsylvanie : un million de chrétiens soutiennent le combat de l’Église catholique pour la défense de la liberté religieuse

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    C'est la bonne nouvelle que nous découvrons sur un site très bien documenté où l'on pourra lire le détail de cette information :

    americatho/un-million-de-chretiens-de-pennsylvanie-soutiennent-le-combat-de-leglise-catholique-pour-la-defense-de-la-liberte-religieuse

  • L'euthanasie pour les mineurs et les handicapés mentaux ?

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    Quand les brèches sont ouvertes, les digues finissent par céder de toutes parts. C'est ce qui se passe chez nous où la culture de mort progresse à grands pas. Jeanne Smits, qui monte inlassablement la veille, pointe ces nouvelles déclarations de Jacinta De Roeck :

    "Cela reste à l'état d'idée jetée dans le débat public mais c'est bien ainsi qu'ont été accomplies toutes les avancées de l'euthanasie : en Belgique, la Humanistisch Vrijzinnige Vereniging (Association des libres penseurs humanistes) vient de suggérer que les mineurs et les handicapés mentaux puissent avoir eux aussi accès à l'euthanasie. Au nom de l'égalité des droits. Sa présidente, Jacinta De Roeck, s'est exprimée en ce sens à l'occasion de la Journée du patrimoine à Anvers (on se demande bien pourquoi).

    Et ce ne sont pas des paroles en l'air, puisque Mme De Roeck était précisément l'un des députés qui en 2002 avaient pris l'initiative de légaliser l'euthanasie en Belgique.

    Elle a précisé qu'aucun projet législatif n'était actuellement à l'ordre du jour ni même prévisible à court terme, mais ce qui ne se fera pas pendant l'actuelle législature, estime-t-elle, devrait devenir possible lors de la prochaine. Parce que « la demande est forte ».

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  • Si nous étions Français...

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    Si nous étions Français...

    nous ne voterions évidemment pas pour un candidat qui ose à nouveau brandir l'étendard rouge d'une idéologie qui a démontré son inhumanité,

    nous ne voterions pas pour une gauche bobo prête à cautionner toutes les dérives éthiques,

    nous ne voterions pas pour des gens qui prétendent défendre l'environnement mais qui sont prêts à sacrifier l'humain sur l'autel de la nature,

    nous ne voterions pas pour une candidate qui surfe sur tous les mécontentements et toutes les frustrations légitimes mais qui ne propose pas de solutions crédibles,

    nous nous reporterions vers la solution du moindre mal, celle qui ne risque pas d'accélérer des processus qui remettraient en cause la marge de liberté qui reste pour défendre les valeurs auxquelles nous tenons,

    nous exclurions donc un vote marginal, vers des candidats minoritaires qui n'ont aucune chance et qui risquent de concourir indirectement à l'élection de candidats du pire,

    nous éviterions l'abstention ou le vote blanc qui ne font que renforcer les votes qui aboutiront à l'élection du candidat qu'on voudrait éviter...

    Notre attitude serait pragmatique, visant à ne pas faire pire que bien, à ne pas nuire davantage, quels que soient les travers de celui qui obtiendrait notre voix. Notre souci serait celui du bien commun et de la préservation d'un maximum d'éléments qui nous permettraient de poursuivre notre entreprise de redressement, demain.

    Mais, ce que nous en disons...

  • Irlande : le Parlement refuse de légaliser l'avortement

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    Source : Nouvelles de France ()

    Irlande. La proposition de loi légalisant l’avortement a été rejetée jeudi par l’immense majorité des Teachta Dála (membres de l’Oireachtas, le Parlement irlandais) : le Dáil Éireann s’y est opposé par 111 voix contre 20. Un résultat « décevant » pour Sinead Ahern, porte-parole de Choice Irlande, mais néanmoins conforme à celui de l’enquête en ligne réalisée par le Parti travailliste irlandais qui voit sa proposition de légaliser l’avortement rejetée par plus de 89% des internautes y ayant participé.

    Les lobbies  "pro-choix" ne s’avouent pas vaincus pour autant : ils ont prévu de remettre la question sur le tapis à l’automne 2012 et espèrent cette fois-ci l’emporter.

    Les débats jeudi furent l’occasion pour certains députés de défendre les droits de l’enfant à naître (« Je crois que l’enfant dans l’utérus est une personne et que, par conséquent, il y a une obligation de protéger la vie humaine », a argumenté Eamon O’Cuiv), de s’opposer à un projet qu’ils jugent extrémiste (Paul Bradford a par exemple regretté qu’à l’heure actuelle, la seule alternative à la culture anti-avortement de l’Irlande soit la culture de l’avortement de la Grande-Bretagne ou des États-Unis. Il a, pour cela, préfèré le statu quo.) ou insuffisant (« Ce projet de loi ne va pas assez loin » a déploré Catherine Murphy).

    Lire tout l'article : Le Parlement irlandais refuse de légaliser l'avortement

  • Les biobanques encouragées dans l'Hexagone

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    source : genethique.org

    Jeudi 19 avril 2012, Le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) a rendu un avis n°117 dans lequel il recommande de "favoriser  le développement de biobanques à caractère familial  et solidaire en promouvant le recueil des produits cellulaires, issus du  sang de cordon, du cordon lui-même et du placenta". Pour le professeur Alain Grimfield, président du CCNE, "on a transformé un déchet  de soins [ ndlr : le cordon ombilical] en organe noble".

    Bernard Weill, néphrologue et rapporteur membre du CCNE, précise que "dans ces banques, le sang de cordon récolté pourra, en priorité et si nécessaire, être utilisé pour traiter les frères et sœurs atteints" de maladies de sang héréditaires comme la drépanocytose ou la thalassémie. Il ajoute que dans l'hypothèse où il n'y aurait pas d'utilisation par un membre de la famille, "le sang sera, dans le cadre d'un don solidaire et anonyme, mis à disposition d'autrui, en France ou à l'étranger, dans le cadre d'un réseau d'échange international". D'après le CCNE, ces banques devraient être publiques ou privées, à but non lucratif. celui-ci réitère son opposition à la création de banque privées de sang de cordon qui exigent de payer pour conserver ces cellules.

    En France, afin de développer les unités de sang de cordon qui à 63% proviennent de l'étranger, le CCNE estime nécessaire de réaliser "une vaste information auprès des femmes enceintes" afin de les inciter à donner leur consentement éclairé et par écrit à ce don "bien avant la naissance".

  • Les dérives de l'art contemporain

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    Un article téléchargeable sur le site "Défi culturel" mérite qu'on s'y arrête. Son auteure fait la lumière sur des aspects souvent ignorés de l'art "d'avant-garde".

    Présentation :

    L'art dit « contemporain » est pour le commun des mortels un objet de mépris ou, beaucoup plus rarement, d'admiration. Pour les uns c'est un ramassis de choses laides qui cultive la provocation, et pour les autres une nouvelle forme d'expression qui vaut bien l'art authentique.

    Christine Sourgins est historienne de l'art et conférencière. Son article aborde un sujet méconnu du grand public : la transgression de la loi par l'art dit « contemporain. » Ce moyen d'expression est en effet le seul qui ait le droit de bafouer, en toute impunité, les lois de la République.

    Prises d'otage, infanticides, sacrilèges... Cette étude, commandée en exclusivité par Défi culturel, révèle pour la première fois au grand public le statut incroyable dont jouit actuellement l'art dit "contemporain."

    télécharger l'article

  • Le "Friday Fax" du 20 avril

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    Friday-Fax-Header-French.jpg

    Austin Ruse présente le contenu du Friday Fax de cette semaine :

    Tim Herrmann vous commente les commentaires de Melinda Gates, qui se prétend fidèle catholique alors qu’elle est en désaccord avec l’enseignement de l’Eglise en matière de contraception. Elle s’est en effet exprimée en faveur d’un large accès à la contraception et particulièrement en Afrique. Elle travaille en collaboration avec le Fonds de l’ONU pour la Population.

    Voir : L’épouse du milliardaire attaque l’enseignement de l’Eglise sur la contraception

    Lisa Correnti s’est penchée sur le nouvel attirail préparé par la Fondation Internationale du planning familial conçu pour aider les personnes souhaitant envoyer aux institutions de l’ONU veillant au respect des droits de l’homme des plaintes pour violation de leurs droits sexuels..

    Voir : Les militants de l’IVG créent un nouveau « Kit des droits sexuels » pour l’ONU

  • La religion contre les lois laïques : se battre pour la clause de conscience

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    Selon le cardinal italien Giovanni Lajolo, ancien président du Gouvernorat de l’État de la cité du Vatican, les catholiques européens devraient s’inspirer du débat aux États-Unis sur la liberté religieuse.

    S’exprimant le 17 avril devant l’Université catholique de Milan, le cardinal a estimé que lorsqu’ils sont confrontés « à des normes législatives qui, en raison de leurs implications morales, sont en conflit avec les normes affirmées par les autorités religieuses », les croyants et les institutions catholiques doivent invoquer leur droit à l’objection de conscience.

    Repris le 18 avril par L’Osservatore Romano , le cardinal romain a rappelé que les gouvernements doivent toujours garantir « la liberté de l’Église et de ses institutions à vivre et agir selon leurs convictions religieuses, tandis que chaque individu doit voir reconnue sa liberté à agir en conformité avec sa conscience. »

    S’inspirant largement de l’exemple américain, le cardinal Lajolo a rappelé que les récents débats législatifs, aux États-Unis, sur l’avortement, la politique de santé publique et l’adoption par les couples homosexuels « posent de sérieux problèmes aux institutions et aux citoyens catholiques ».

    Pour lui, les Européens ne devraient pas se croire préservés d’une telle évolution. Dans cette perspective, il a appelé à l’élaboration d’un droit à l’objection de conscience. Tout en rappelant que l’Église « n’a pas l’intention d’imposer » son enseignement moral à la société, il a soutenu que celui-ci doit pouvoir être pris en considération, et que le droit des institutions catholiques et des baptisés à suivre ces principes doit être reconnu.

    F. M., à Rome  

    Référence : Le cardinal Lajolo défend le droit à l’objection de conscience