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Société - Page 885

  • Quand l’Agence interdiocésaine « Cathobel » dénonce les dérives autoritaires de la constitution hongroise

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    Elle cite pêle-mêle, à côté d’un certain nombre de mesures d’ordre  politique, économique et social, les dispositions éthiques considérant  les embryons comme des êtres humains dès le début de la grossesse et qu’un mariage ne peut avoir lieu qu’entre un homme et une femme, la réduction des communautés religieuses reconnues  de 300 à 14 (pour mémoire la loi belge n’en reconnaît que six ou, disons, sept avec la laïcité) « renforçant l’Église chrétienne (sic) au détriment des minorités religieuses » et, horresco referens, la mention explicite de Dieu en ces termes « Dieu bénisse les Hongrois ».  C’est ici : Dérive autoritaire en Hongrie

    delville.jpgCurieux amalgame pour une agence de presse catholique. Elle s’est d’ailleurs attirée cette remarque pertinente, émanant de l’abbé Jean-Pierre Delville (photo), professeur à la Faculté de Théologie de l’Université catholique de Louvain et desservant de l’église Saint-Barthélemy à Liège :

    « Dans cet article de Cathobel il est écrit: « Sur le plan éthique, la nouvelle Constitution considère les embryons comme des êtres humains dès le début de la grossesse et estime qu’un mariage ne peut avoir lieu qu’entre un homme et une femme (…). Dans le même sens, elle fait désormais explicitement référence à Dieu. » Ces éléments vont dans le sens même de la foi chrétienne et devraient être appréciés par Cathobel. Alors pourquoi ajouter de suite après une critique sur toute la Constitution en écrivant : « Cette dérive autoritaire est évidemment dénoncée par l’opposition de gauche et écologique, ainsi que par de nombreux mouvements de la société civile » ? Dans un article aussi politique, Cathobel devrait faire un minimum d’analyse et de distinctions. »

  • Culture et Christianophobie

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    FIC68187HAB30.jpgLa revue mensuelle « La Nef », n° 233, janvier 2012, consacre un dossier fort bien fait à ce sujet d’actualité. Epinglons dans celui-ci quelques unes des réflexions de Mgr Rey, évêque de Toulon-Fréjus, toujours lucide et sans ambages inutiles :

    « Corpus Christi en 2001. Piss Christ, cet été en Avignon. Le spectacle de Romeo Castellucci sur le concept du visage de Dieu, récemment. Aujourd’hui Golgotha Picnic : le Christ se roule dans la matière fécale, tandis que de la plaie de son côté sortent des billets de banque. Le Crucifié est traité de « chien de pyromane », de « messie du sida »… Ces polémiques, mettant aux prises la création contemporaine subventionnée, et la figure du Christ bafoué, se multiplient et font la pâture des journaux.(…)

    Au sujet de l’attitude à adopter face à ces agressions, le point de vue est on ne peu plus clair :

    « Ces créations artistiques -pour lesquelles on accorde souvent une attention médiatique surdimensionnée, si l’on prend en compte la médiocrité du spectacle (et qui misent sur le goût du scandale) - interrogent la conscience morale des artistes. La dérision religieuse systématique met en péril le vivre ensemble. Toute liberté ne se définit-elle pas comme emportant en elle-même la liberté de l’autre, et donc du respect de sa conscience ?

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  • Quand la Hongrie est mise au ban

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    Nous évoquions hier la désapprobation européenne à l'égard de la Hongrie. Jeanne Smits analyse les raisons de la mise au ban de ce pays:

    "Est-ce parce qu’on ne pardonne pas à Viktor Orban d’avoir courageusement, à 26 ans, tenu tête au pouvoir communiste qui écrasait son pays que « sa » Hongrie est aujourd’hui sous le coup d’une mobilisation politico-médiatique d’une ampleur ahurissante ? Parce que le Premier ministre hongrois est pro-vie ? Parce que sa Constitution musclée et centrée sur l’identité chrétienne rompt avec le relativisme ambiant ? Un peu de tout cela, sans doute… Mais à l’heure d’écrire il est difficile de trouver ne serait-ce qu’un seul papier dans les gros médias, francophones ou non, qui ne le présente comme un dictateur, un tyran, meneur d’un parti – le Fidesz – qui impose sa loi sur un peuple privé de toute liberté, un irresponsable qui mérite de voir son pays mis en coupe réglée par l’Union européenne. « L’Europe pourrait laisser la Hongrie faire faillite » titrait mardi Le Figaro – un peu vite au regard du contenu de l’interview qui suivait, mais enfin c’est l’idée qui reste. On ne tient pas tête impunément à Bruxelles...

    lire la suite : La Hongrie sous le feu de Bruxelles et des médias

  • Pédophilie dans l’Église : c’est la faute à Jean-Paul II, est-il écrit dans « La Libre »

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    Voici les propos que l'on peut lire en "opinion" dans la « Libre », anciennement « Libre Belgique », de ce 4 janvier 2012 :

    (…) En trente ou quarante ans, des dizaines, peut-être des centaines de prêtres encore en vie aujourd’hui ont fait des centaines, peut-être des milliers de victimes en Belgique. Combien de zéros devrait-on ajouter à ces chiffres s’il fallait se placer au plan européen, voire au plan mondial ? (…)

    Les années soixante ont été marquées notamment par deux révolutions. Il y a bien sûr eu mai 68 dont certains n’hésitent pas à penser que les accents libertins ont précipité une partie de notre clergé dans la perversité. Je ne peux m’associer à ce genre de raisonnement. Au contraire, je n’ose pas imaginer à quoi ressembleraient aujourd’hui les croyants s’ils n’avaient pas étés secoués par cette révolte. Le monde d’après 68 n’est pas meilleur que celui d’avant, mais les croyants ont tiré grand bénéfice de cet extraordinaire brainstorming notamment parce qu’ils ont dû se laisser interroger par la société tout entière. Quelques années plus tôt, une autre révolution se préparait. En 1962, Jean XXIII ouvrait le Concile œcuménique Vatican II (…) qui a probablement été un des plus extraordinaires remue-méninges de l’histoire vaticane. Evidemment, les espoirs des croyants progressistes allaient bien au-delà de ceux que ce Concile pouvait concrétiser dans l’immédiat. On se doutait qu’il faudrait du temps pour que des évêques osent envisager le sacerdoce pour les femmes et pour des personnes mariées, du temps aussi pour transformer une organisation hyper centralisée et pyramidale en une vraie communauté de communautés, avec tout ce que cela implique en termes de participation, de solidarité et de respect des différences. On savait qu’il faudrait du temps pour que l’Eglise s’ouvre au monde et laisse le monde venir à elle autrement qu’en s’obstinant à vouloir convertir chaque homme et chaque femme au catholicisme. (…).

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  • Haro sur la Hongrie

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    La campagne menée par le complexe politico-médiatique contre la Hongrie et Viktor Orban n'échappe à personne. La nouvelle constitution hongroise est dénoncée par nos faiseurs d'opinion comme étant une atteinte à la "démocratie". Evidemment, elle n'est pas en phase avec le "politiquement et culturellement correct" qui sévit chez nous lorsqu'elle fait explicitement allusion à Dieu, aux racines chrétiennes de la Hongrie, au fait qu'en embryon est un être humain et que le mariage consacre l'union entre un homme et une femme. De quoi donner de l'urticaire à tous nos journalistes et même à catho.be qui hurle avec la meute en évoquant la "dérive autoritaire en Hongrie".

    Le site ami "Benoît-et-moi" évoque cette question : http://benoit-et-moi.fr

    Le 27 janvier 2011, le président hongrois répondait ainsi aux questions de la Libre ("Ne pas oublier le christianisme") :

    Le Président souhaite qu’il en soit fait mention dans la nouvelle Constitution.

    Pourquoi adopter une nouvelle Constitution ?

    Nous avons une Constitution intérimaire, qui porte encore la date de 1949. Elle n’a été qu’amendée depuis. C’est la première fois, depuis le changement de régime, que nous avons la volonté et le mandat politique pour la changer. La Constitution doit être plus durable que le diamant, pour garantir la sécurité, la démocratie et l’exercice des droits par le peuple sur le long terme. Une commission parlementaire composée de personnes réputées et responsables en discute depuis trois mois. J’aimerais beaucoup que le texte soit rédigé dans le hongrois le plus éloquent possible.

    Le parti au pouvoir bénéficie de plus de deux-tiers des sièges au Parlement. Cette Constitution ne risque-t-elle pas d’être en fait une “Constitution-Fidesz” plus durable que le diamant…

    Vous avez le droit de formuler votre question de la sorte. Mais je ne dirais sûrement pas qu’il s’agit d’une "Constitution-Fidesz". J’appuie certainement l’idée de la participation de l’opposition à la rédaction. Mais on ne peut pas contester la décision souveraine du peuple selon laquelle ce Parlement a cette composition - ce qui est en effet historique. La nouvelle Constitution sera celle de la République de Hongrie. Le peuple en a donné le mandat au Parlement.

    Vous êtes favorable à ce qu’une référence chrétienne s’y trouve. L’Union en avait débattu lors de l’adoption de son traité constitutionnel, sans y donner suite. Pourquoi est-ce important pour vous ?

    Nous ne devons pas oublier que le christianisme a plus de 1000 ans d’histoire en Hongrie. Notre premier Roi (Etienne, NdlR) a été intronisé avec une couronne offerte par le pape Sylvestre II, s’engageant vis-à-vis de l’Europe et du christianisme. Neuf Constitutions européennes contiennent aujourd’hui une référence concrète au christianisme. A côté de cela, nous respectons bien sûr le droit de toute personne à avoir une autre croyance ou religion. L’Union européenne est basée sur la philosophie grecque, le droit romain, ainsi que l’éthique et la morale chrétiennes. Des pays considèrent cela suffisamment important pour l’inscrire dans leur Constitution, et la Hongrie les rejoindra. Cela se trouvera dans le préambule ainsi que, espérons-le, la référence à la couronne qui est pour nous signe de notre appartenance européenne.

  • BXL, 12 janvier : "Les chrétiens et les pauvres: une reconnaissance mutuelle"

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    Lundi 16 janvier 2012, 13:00
    Jean Lecuit SJ : Les chrétiens et les pauvres - une reconnaissance mutuelle

    Présences chrétiennes, signes d’espérance - Cycle de conférences 2011-2012
    Le lundi, de 13:00 à 14:00. Accès libre, sans réservation préalable.

    Lecuit.jpg

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  • Grand rassemblement pour la famille à Madrid

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    C'est sur Radio Vatican

    "Madrid a renoué avec le climat des JMJ, vendredi, le temps d’un rassemblement pour la défense de la famille, le 5° du genre, à l’occasion de la fête de la Sainte Famille de Nazareth. Dans un message aux participants, Benoît XVI souligne que la famille est un trésor qui doit être protégé et valorisé jour après jour. Les catholiques espagnols espèrent que le nouveau gouvernement revienne sur les réformes des socialistes légalisant le mariage homosexuel et assouplissant le divorce et l’IVG.

    Une grande fête de la foi, en plein cœur de Madrid, rythmée par des chants et des témoignages, un moment de joie et d’action de grâce pour le don de la vie et de la famille. Temps fort de ce rassemblement : la messe en plein air, retransmise sur 3 écrans géants, concélébrée par le cardinal Rouco Varela, archevêque de Madrid avec des dizaines d’évêques venus de toute l’Espagne mais aussi d’autres pays du vieux continent. Des dizaines de milliers de personnes y ont assisté : des couples, des enfants, des grands-parents, des lycéens…. espagnols, mais aussi brésiliens, français, italiens…...

    Dans son message lu par l’archevêque de Madrid, le Pape exhorte les familles à se laisser guider par l’Eglise, à ne pas céder aux pressions qui menacent ce trésor. Il insiste sur l’importance primordiale de la famille notamment en matière d’éducation. Pour Benoît XVI, cette dimension pourra recevoir un nouvel élan au cours de l’Année de la foi, à partir d’octobre 2012. Enfin, le Pape ne manque pas dans son message de s’adresser aux jeunes pour qu’ils défendent la dignité authentique de la famille. Des prières ont été dites pour les couples mariés qui doivent vivre séparés pour des raisons de travail et pour que les grands-parents et les personnes âgées ne soient jamais privés de l'affection de leurs familles."

  • Quand la Libre milite pour la libéralisation de l'avortement en Irlande

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    Les temps changent. La Libre (jadis Libre Belgique) est un excellent thermomètre des variations de l'opinion et de l'évolution des milieux "conservateurs" vers un conformisme libéral dans le domaine des moeurs. Un indice nous en est encore donné aujourd'hui avec un article de Carole Le Goff qui relaie complaisamment les revendications de l’Ifpa (Irish Familly Planning Association), "une organisation qui vient en aide aux adolescentes et femmes aux grossesses compliquées". Il faut entendre par là une association qui permet aux femmes de se débarrasser de l'enfant qu'elles attendent par le recours à l'avortement. Et de dénoncer les restrictions de la loi irlandaise qui "ne facilitent pas le travail des centres d’aide aux femmes enceintes". Curieuse conception de l'aide aux femmes enceintes qui consiste à leur proposer l'IVG! Mais, réjouissons-nous, les choses évoluent dans la bonne direction avec une pratique de plus en plus large de la "prévention", entendez par là le recours à la contraception : "Les Irlandais peuvent par exemple désormais se procurer des préservatifs sans prescription, et donc en dehors des pharmacies. Cette année-ci a marqué la légalisation de la pilule du lendemain. Elle est accessible sans prescription médicale dans les pharmacies depuis janvier dernier." Comme s'il s'agissait de "prévention" alors que chacun sait que la mentalité contraceptive débouche automatiquement sur une mentalité abortive qui procède de la même logique. La conclusion de cet article est claire : "Les Irlandais sont donc prêts à évoluer, mais le sont-ils assez pour légaliser l’avortement ? Pour Niall Dehan (président de l'IFPA), la réponse est oui. "Toutes les affaires liées à l’avortement nous donnent une mauvaise image à l’étranger. Tout ça va changer dans les années à venir. Depuis ces vingt dernières années, les mentalités ont évolué. La période de l’Irlande ultra-conservatrice est révolue et nous allons bientôt en ressentir les effets."

  • Grande-Bretagne : le recours à la F.I.V. stimule la pratique de l'avortement

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    C'est ce que souligne Jeanne Smits sur son blog : L'avortement sélectif à la hausse au Royaume-Uni :

    "On connaissait la tendance, la voici confirmée par des chiffres officiels : en Grande-Bretagne, le nombre de femmes ayant choisi d'avorter un ou plusieurs de leurs enfants à naître lors d'une grossesse multiple, pour donner naissance à un ou plusieurs survivants, est en forte hausse. Elles étaient 59 en 2006, 85 en 2010 – année au cours de laquelle 101 enfants à naître ont été avortés de cette manière puisque certaines femmes ont fait supprimer deux ou plusieurs fœtus..."

    Lire la suite ici : leblogdejeannesmits

  • Pédophilie : à quand la réponse appropriée ?

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    Une nouvelle affaire de pédophilie vient, une fois de plus, plomber le ciel de l’Eglise catholique de Belgique. Ces ecclésiastiques dévoyés qui ont abusé d’enfants innocents nous écœurent profondément. A chaque fois nous reviennent en mémoire les terribles paroles du Christ condamnant ceux qui scandalisent un seul de ces petits. Leurs crimes nous éclaboussent du fait que nous appartenons à la communauté catholique dont ils sont des représentants. Nous ne pouvons pas faire comme si cela ne nous touchait pas, nous ne pouvons pas nier ou minimiser ce scandale en recourant à des arguments qui en relativiseraient la gravité. Nous avons mal, à quoi bon le cacher, et cela nous donne envie de vomir ou de pleurer quand cela n’incite pas certains d’entre nous à quitter le bateau d’une Eglise à ce point compromise. Ces hommes d’Eglise ont commis le crime irréparable de violer l’innocence en même temps qu’ils offraient à nos adversaires les armes qui serviraient à nous déstabiliser et à nous discréditer. Suffit-il de proposer aux victimes des indemnités ? Nos évêques savent-ils à quel point nous sommes désemparés, exposés comme nous le sommes à la réprobation et à l’indignation générales ? Manquent-ils à ce point d’inspiration pour nous adresser un message à la hauteur de la situation et pour nous inviter à une mobilisation spirituelle qui réponde à l’ampleur de ce drame ? N'est-il pas temps de s’approprier le message adressé à l’Eglise d’Irlande par Benoît XVI :

    « Pour ma part, compte tenu de la gravité de ces fautes, et de la réponse souvent inadéquate qui leur a été réservée de la part des autorités ecclésiastiques dans votre pays, j'ai décidé d'écrire cette Lettre pastorale pour vous exprimer ma proximité et vous proposer un chemin de guérison, de renouveau et de réparation.

    En réalité, comme de nombreuses personnes dans votre pays l'ont observé, le problème de l'abus des mineurs n'est pas propre à l'Irlande, ni à l'Eglise. Toutefois, le devoir qui se présente désormais à vous est celui d'affronter le problème des abus qui ont lieu au sein de la communauté catholique irlandaise et de le faire avec courage et détermination. Personne ne peut imaginer que cette situation douloureuse sera résolue dans de brefs délais. Des progrès positifs ont été accomplis, mais il reste encore beaucoup à faire. La persévérance et la prière sont nécessaires, ainsi qu'une grande confiance dans la force de guérison de la grâce de Dieu.

    Dans le même temps, je dois également exprimer ma conviction que, pour se reprendre de cette blessure douloureuse, l'Eglise qui est en Irlande doit en premier lieu reconnaître devant le Seigneur et devant les autres, les graves péchés commis contre des enfants sans défense. Une telle reconnaissance, accompagnée par une douleur sincère pour les préjudices portés à ces victimes et à leurs familles, doit conduire à un effort concerté afin d'assurer la protection des enfants contre de tels crimes à l'avenir.

    Tandis que vous affrontez les défis de ce moment, je vous demande de vous rappeler du «rocher d'où l'on vous a taillés» (Is 51, 1). Réfléchissez aux contributions généreuses, souvent héroïques, offertes à l'Eglise et à l'humanité tout entière par les générations passées d'hommes et de femmes irlandais, et faites en sorte que cela constitue un élan pour un examen de conscience honnête et un programme de renouveau ecclésial et personnel convaincu. Je prie pour que, assistée par l'intercession de ses nombreux saints et purifiée par la pénitence, l'Eglise en Irlande surmonte la crise présente et redevienne un témoin convaincu de la vérité et de la bonté de Dieu tout-puissant, manifestées dans son Fils Jésus Christ. »

    (Lire ou relire l’entièreté de cette lettre ici : http://www.vatican.va/)

    On nous dit que nos évêques sont « groggy » à la suite de toutes ces révélations et que cela les rend muets. Nous sommes en attente de tout autre chose. Nous sommes en attente de messages forts et qu’un chemin de guérison, de renouveau et de réparation nous soit proposé. Dès que possible car il y a plus qu’une urgence.

  • L'Homme Nouveau : sommaire du numéro 1508 du 31 décembre 2011

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    à commander ici : http://www.hommenouveau.fr

    Dossier

    Message pour le 1er janvier : Éduquer les jeunes à la justice et à la paix. Dans son message pour la paix, Benoît XVI appelle à éduquer les jeunes à la justice et à la paix.

    Evénement

    Disparition : Les leçons de Vaclav Havel. Acteur essentiel de la Révolution de velours, le dissident et homme de théâtre Vaclav Havel est décédé le 18 décembre dernier. Sa disparition rappelle que son existence a valeur d'exemple.

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  • Le cardinal Barbarin s'exprime sur "Rue89"

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    "Vote catholique, homosexualité, FN, place du christianisme en France, traitement réservé aux Roms : entretien avec l'archevêque de Lyon.

    Le cardinal Philippe Barbarin, 61 ans, est depuis 2002 archevêque de Lyon et primat des Gaules, titre qui lui confère une autorité symbolique sur les catholiques français. Nommé à 51 ans par Jean-Paul II après la disparition prématurée de ses deux prédécesseurs, créé cardinal l'année suivante, il reste l'un des benjamins du collège cardinalice.

    Il a reçu Rue89 pour cet entretien le 22 décembre, dans un salon de l'archevêché."

    C'est à découvrir ici, même si cela peut surprendre : http://www.rue89.com/