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Société - Page 883

  • Canada : l'Eglise catholique et les peuples autochtones

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    À l’occasion de la fête de sainte Marguerite Bourgeoys, qui s’est dédiée à l’éducation et au soin des enfants autochtones et de ceux des premières colonies françaises au pays, la Conférence des évêques catholiques du Canada a mis en ligne, sur son site Internet, une nouvelle section consacrée à l’Église catholique et les peuples autochtones au Canada.  Cette nouvelle page web se veut une source de référence pour faire mémoire de cette histoire commune et des traditions qui s’y rattachent, de même que pour mettre en lumière ce qui se vit actuellement sur le plan pastoral avec les peuples des Premières Nations, dans chacune des quatre régions pastorales du Canada.

    C'est ici : http://www.cccb.ca/

  • La liberté d'expression de plus en plus menacée

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    Le Friday Fax publie une analyse d'une évolution qui conduirait à censurer le discours religieux, en particulier parce qu'il contrarie les revendications des lobbies holebi. On a pu s'en rendre compte, ces jours derniers, à travers les réactions exprimées par des politiques à l'égard des prises de position de Mgr Léonard ou de Benoît XVI (discours au corps diplomatique).
    Analyse : Des conflits de droits concurrents font craindre des entraves à la liberté d’expression

    NEW YORK, 13 Janvier (C-FAM) Des tensions sont apparues ces derniers temps entre les partisans de la liberté d’expression et ceux de la répression du « discours haineux », suite aux récentes initiatives prises à l’ONU en collaboration avec l’administration Obama.

    Les libertés d’opinion et d’expression sont toutes deux reconnus depuis longtemps comme fondamentales. C’est ce qui a été confirmé par dans de récentes “observations générales” du Comité des droits de l’homme de l’ONU, qualifiant ces libertés jumelles de “pierres angulaires de toute société libre et démocratique”.

    Lire la suite : http://www.c-fam.org/fridayfax

  • Catholique ou Franc-Maçon : Questions et Compatibilité

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    Une rencontre abordera  ce sujet le mercredi 25 janvier 2012 de 18h00 à 20h00 à l’Université de Liège dans le bâtiment du Rectorat (place du XX  août 7). Elle est organisée par le Groupe de réflexion « Ethique sociale » et l’Union des étudiants catholiques de Liège dans le cadre d’un cycle de « lunch-débats »  sur le thème « Neutralité ou Pluralisme ».

    conférence 23 novembre 031.JPGEntre liberté des consciences et marché libre de la pensée, quelle est la place légitime des religions et des idéologies dans l’espace public ? Entre neutralité et pluralisme, quelle doit être l’attitude des institutions de l’Etat ? Ce thème soulève beaucoup de questions de principe ou d’actualité introduites par huit orateurs spécialisés.

    Le mercredi 23 novembre et le lundi 5 décembre 2011, le Chanoine Éric de BEUKELAER, Doyen de l’Unité pastorale « Rive Gauche » de Liège, auteur du livre « Credo politique » et  Laurent de BRIEY, professeur aux Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur et Directeur du CEPESS, ont abordé, respectivement, le rapport des catholiques à la politique et l’analyse de trois courants de la pensée économique et sociale : libéralisme, socialisme, humanisme.

    Le mercredi 25 janvier 2012, c’est Philippe DEITZ, ancien fonctionnaire public fédéral et membre de la Grande Loge Régulière de Belgique (GLRB), qui sera soumis au feu des questions concernant le rôle de la franc-maçonnerie, la compatibilité de celle-ci avec le christianisme et ses rapports tumultueux (qu’une récente controverse médiatique belge vient encore d’illustrer) avec l’Eglise catholique. 

    La rencontre, intitulée QUESTIONS ET COMPATIBILITÉ ENTRE CHRISTIANISME ET FRANC-MAÇONNERIE  se tient à la salle des professeurs, dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20-Août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h. P.A.F. : 10 € (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours à l’avance par e-mail adressé à info@ethiquesociale.org ou par tél. 04.344.10.89

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  • David Cameron : La Grande-Bretagne est un pays chrétien

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    Autre pays, autre discours. Au Royaume-Uni, le premier ministre n'hésite pas à revendiquer l'appartenance de son pays au christianisme.

    "La Grande-Bretagne, pays chrétien, ne doit pas avoir peur de le dire

    400 ans de la « King James Bible », discours de David Cameron

    ROME, jeudi 12 janvier 2012 (ZENIT.org) – « La Grande-Bretagne est un pays chrétien et personne ne doit avoir peur de le dire », a déclaré le Premier ministre anglais David Cameron lors d’un discours à Oxford à l’occasion des 400 ans de la traduction de la bible en anglais attribuée au roi Jacques Ier d’Angleterre. Il insiste sur le fait que c’est justement « la tolérance que le christianisme exige de notre société » qui « donne plus de place aux autres religions » en Grande Bretagne

    Des extraits de ce discours, prononcé le 16 décembre dernier, sont publiés par le quotidien du Saint-Siège, L’Osservatore Romano en italien de ce 12 janvier 2012, sous le titre : « La Bible qui fit l’Angleterre ».

    Le Premier ministre ouvre son discours expliquant ouvertement que son intervention n’est pas celle d’un « fervent chrétien en mission pour convertir le monde » mais celle d’un Premier ministre qui estime qu’il est « juste de reconnaître » l’impact qu’a eu cette traduction sur le pays et dans le monde entier.

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  • L'immigration, un droit naturel mais pas absolu

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    Le site "Cité et Culture" propose ce rappel :

    Accueillir ceux qui sont contraints de fuir leur pays

    L’Eglise reconnaît l’immigration comme un droit naturel du fait même de la destination universelle des biens : "Dieu a destiné la terre et tout ce qu’elle contient à l’usage de tous les hommes et de tous les peuples".

    On ne peut donc refuser à des personnes vivant dans des conditions particulièrement éprouvantes d’émigrer : "pour eux doivent être libres les voies de l’émigration, le droit naturel l’exige" . En conséquence, chacun est tenu de respecter la dignité des personnes concernées : tout immigré doit trouver dans le pays qui l’accueille les conditions d’une vie décente.

    Au premier rang de ces conditions minimales : une vie familiale normale. Doivent être respectés "la dignité et les droits de la personne humaine et de la famille, pour que celle-ci demeure réunie, qu’elle puisse créer un nouveau chez soi et y trouver le nécessaire, afin de vivre contente et agréable à Dieu", explique Pie XII . Alors que la question du regroupement familial se posait de manière aiguë en France dans les années 80, l’exhortation apostolique "Familiaris Consortio" confirme en 1981 "le droit d’émigrer en tant que famille pour chercher de meilleures conditions de vie".

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  • Révolutions arabes : évitons les simplismes

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    François Martin, sur le site de Liberté Politique ("Décryptage"), propose une approche critique du "printemps arabe" :

    "Les médias, suivant les recettes de la publicité plutôt que celles de l’information, ont une certaine tendance à nous présenter les révolutions arabes en nous racontant une histoire pour enfants et en nous passant un film en noir et blanc.

    Premier chapitre, le « romantisme révolutionnaire » : par une sorte de nécessité de l’Histoire, un grand vent pousse partout des « bons » manifestants à chasser de « mauvais » despotes, pour que s’instaure ensuite (on ne sait pas trop comment d’ailleurs) une société idéale, c’est-à-dire comme la nôtre. Deuxième chapitre, le « péril vert » : une fois que la révolution a eu lieu, et que les partis islamiques, comme il fallait s’y attendre, ont pris le pouvoir. Les nouveaux gouvernements sont alors frappés d’ostracisme car la charia y est programmée à terme avec une absolue certitude. On refuse donc de les croire légitimes, malgré qu’ils aient été élus par les peuples. La vérité est-elle aussi simple ?

    Lire la suite : Revolutions-arabes-Rien-n-est-simple

  • Pendjab : l'enseignement catholique confronté à une volonté d'islamisation

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    Le site des Missions Etrangères de Paris souligne la dégradation de la situation de l'enseignement catholique au Pendjab. Extrait :

    "Outre les problèmes financiers, les écoles chrétiennes du Pendjab, y compris les plus réputées, doivent affronter les discriminations liées à l’islamisation progressive du pays. En 2005, le ministre de l’Education du Pendjab, Imran Masood, déclarait pourtant aux responsables de l’enseignement catholique de Lahore : « Nous ne vous considérons pas comme des étrangers. Vos écoles sont nos écoles (…) et nous pensons que les minorités doivent participent pleinement à l’éducation de notre nation (…). S’il vous plaît, ouvrez des écoles secondaires et des universités. Nous vous accorderons volontiers toutes les autorisations nécessaires et nous vous restituerons toutes les écoles qui ne l’ont pas encore été » (2). Mais en 2006, malgré ses promesses, le gouvernement rendait obligatoire pour les établissements secondaires du pays « l’enseignement de l’islam et de l’arabe (l’Islamiyat) comme matière principale, et de la morale pour les non-musulmans ». Une mesure rapidement dénoncée par les minorités comme fortement discriminatoire, les élèves ayant choisi les cours de morale échouant systématiquement aux examens..."

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  • La solidarité, remède contre l'individualisme

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    Comme en chaque début d'années, le Saint-Père a reçu les organes dirigeants de la Région Latium, de la Municipalité et de la Province de Rome, devant lesquels il a évoqué la complexité et l'acuité des problèmes générés par la crise. Celle ci, leur a dit Benoît XVI, "peut être une occasion pour la société toute entière de voir si ses critères actuels ont produit un monde juste et solidaire, ou si il ne faudrait pas repenser profondément les valeurs de référence... Des valeurs qui peuvent favoriser une reprise économique mais aussi le développement intégral de la personne". Puis il a dénoncé "l'individualisme, qui occulte la dimension relationnelle de l'homme, et le conduit à se replier sur son petit monde, attentif à satisfaire avant tout ses désirs et besoins personnels au détriment des besoins d'autrui. La spéculation des loyers, un accès de plus en plus difficile à l'emploi des jeunes, la solitude accrue des personnes âgées, l'anonymat croissant des périphéries, comme une perception trop souvent superficielle de la marginalité et de la pauvreté", découlent de cette mentalité. Il convient donc de "retrouver la relation à l'autre comme élément constitutif de la vie", et de comprendre que Dieu "est seul capable d'offrir aux hommes un accueil sans condition et un amour infini".

    Les institutions publiques doivent favoriser la conscience de ce que nous sommes tous membres de la même réalité, en développant l'accueil, la solidarité et la légalité. Chaque individu "doit apprendre à se sentir hôte d'une maison commune, dont il doit lui aussi avoir soin". La solidarité, a poursuivi le Pape, "constitue une exigence de charité et de justice que, dans les moments difficiles, les plus aisés mettront au service de qui se trouve en difficulté". Quant aux institutions publiques, elles doivent "défendre la famille, fondée sur le mariage, qui est la cellule essentielle de la société", et appliquer la charité de façon particulière en faveur des jeunes. Ils " sont les plus pénalisés par le chômage" et ont besoin de "politiques en mesure de leur assurer un logement à prix correct ainsi qu'un emploi". Ainsi on leur évitera d'être "victimes de criminels, proposant de faux bénéfices". Le Saint-Père a conclu en disant qu'il est également "nécessaire de faciliter une culture de la légalité, en aidant les citoyens à comprendre que les lois servent à canaliser les énergies de la société en faveur du bien public". Ainsi a-t-il recommandé aux institutions publiques de prendre des mesures justes et équitables, "qui tiennent aussi compte de la loi que Dieu a inscrite dans le coeur de l'homme, et que la raison permet à chacun de connaître".

    Source : AC/VIS (Vatican Information Service) 20120112 (450)

  • Un voeu pieux : "Que les écoles osent affirmer leur identité catholique"

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    Nos églises sont désertées et en voie de désacralisation, nos médias et nos politiques bannissent toute référence au christianisme, mais, figurez-vous, la plupart des parents qui mettent leurs enfants à l'école libre sont très attachés à l'engagement catholique de ces écoles. Si, si, c'est relaté sur le site de catho.be : que-les-ecoles-osent-affirmer-leur-identite-catholique.

    Ces écoles qui ont désaffecté leurs chapelles pour en faire des parkings ou des salles de gymnastique, où l'on ne prie plus, où la religion enseignée relève davantage des sciences humaines que du catholicisme, où il est mal seyant de se réclamer du pape ou du primat de Belgique, où il faut renoncer de près ou de loin à tout ce qui pourrait apparaître comme une forme de "prosélytisme", ces écoles sont donc censées être invitées à affirmer leur identité catholique pour répondre aux attentes des parents. L'eusses-tu cru?

  • "Une souffrance cachée": une brochure de la conférence épiscopale

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    L'information est apparue ce matin sur le site de catho.be :

    "Dans la foulée des travaux de la Commission parlementaire «  », qui a abouti entre autres à la constitution de tribunaux d’arbitrage pour indemniser les victimes d’ dont les faits sont prescrits aux yeux de la loi, la Conférence épiscopale présente ce jeudi matin à la presse une brochure intitulée « Une souffrance cachée – Pour  une  approche globale des  abus  sexuels  dans  l’Eglise ». Ce document de 52 pages, publié aux Editions Licap, entend être la réponse des Evêques de Belgique et des Supérieurs des Religieuses et Religieux de Belgique aux cas d’abus sexuels commis notamment par des membres du clergé.  L’ouvrage est divisé en deux parties. La première vise, entre autres, à tirer les leçons de récits douloureux entendus de la part des victimes et porte à rompre le silence et à ne pas  ne pas laisser les abuseurs en paix.  La seconde partie entend poser les jalons en vue du traitement et de la prévention des abus sexuels..."

    lire la suite ici : http://info.catho.be/

    Tout cela est sans doute bel et bien mais personne ne nous empêchera de penser que ces dérives tragiques se sont produites dans un contexte d'atonie religieuse et de relâchement généralisé et qu'il serait grand temps de retrouver un tonus religieux et spirituel à la hauteur des défis actuels. Dans la perspective de cette année de la foi qui s'ouvrira à l'automne prochain, nous sommes curieux de voir quelles propositions seront faites aux catholiques de Belgique pour sortir de cette léthargie déprimante. 

     

  • Une video de Mgr Di Falco sur la christianophobie

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    Un évêque s'exprime sans langue de bois; c'est à découvrir en cliquant sur le lien suivant : http://dimancheprochain.over-blog.com

  • La porte ouverte à la sélection prénatale du sexe ?

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    La synthèse de presse de Généthique relaie cette information :

    "Début janvier 2012, la revue Federation of American Societies for Experimental Biology a publié l'étude d'une équipe sud-coréenne, selon laquelle un simple test sanguin en début de la grossesse suffira bientôt à déterminer le sexe de l'enfant. Jean-Pascal Beaupré, journaliste québécois pour Cyberpresse s'interroge sur les questions éthiques soulevées par cette avancée scientifique.

    Au Québec, l'avortement étant autorisé jusqu'à 12 semaines de grossesse, il n'est pas possible d'avorter en raison du sexe de l'enfant, puisque l'on en a connaissance au cours du 4eme mois (16e semaine). Mais les motifs de recours à l'avortement sont nombreux et dépassent déjà l'ordre médical : situation économique, stabilité du couple, raison professionnelle, etc. Jean-Pascal Beaupré s'inquiète de la possible sélection du sexe qui pourrait arriver avec cette possibilité de connaître le sexe de l'enfant dès les premières semaines de grossesse.

    Il souligne que cette avancée contient en germe des dérives qui pourrait faire tomber le pays dans une surreprésentation des garçons par rapport aux filles, comme en Chine.

    Il appelle à s'interroger sur les conséquences hypothétiques d'une telle découverte : "on peut se demander si la possibilité de connaître le sexe du bébé aussi tôt ne serait pas un incitatif supplémentaire, et superflu, à renoncer à mener une grossesse à terme"."