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Spiritualité - Page 214

  • Donner sa pleine mesure face à l’adversité

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    De Sergio Sahli* sur didoc.be :

    Donner sa pleine mesure face à l’adversité

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    L’auteur invite les chrétiens à avoir la même sensibilité que le Christ face aux souffrances, et à puiser dans la grâce de Dieu la force nécessaire pour donner de l’espérance au monde d’aujourd’hui.

    Les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des hommes de ce temps, des pauvres surtout, et de tous ceux qui souffrent, sont aussi les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des disciples du Christ, et il n’est rien de vraiment humain qui ne trouve écho dans leur cœur. Ces mots percutants et profondément vrais ouvrent la constitution apostolique Gaudium et Spes du Concile Vatican II.

    Comme si l’Eglise, Corps mystique du Christ, exprimait encore une fois le sentiment qui s’empare du cœur du Seigneur en regardant l’humanité : Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion envers elles parce qu’elles étaient désemparées et abattues comme des brebis sans berger (Mt 9, 36).

    L’amour du Christ pour l’humanité et pour chaque personne humaine en particulier nous manifeste l’étendue et la profondeur de l’amour de Dieu. En devenant homme par son incarnation et en nous sauvant par sa mort sur la Croix, Jésus, le Fils de Dieu, nous a manifesté jusqu’à quel point il nous aime, jusqu’où il est prêt à aller pour chacun de nous, pour nous libérer du mal et nous faire participer à la vie divine. Par sa résurrection d’entre les morts, il scelle à tout jamais sa victoire sur le mal, nous faisant devenir enfants de Dieu et nous ouvrant le chemin de l’espérance.

    L’enseignement du Christ, gardé et transmis fidèlement par l’Eglise, nous rappelle que la source de tous les maux se trouve dans le détournement volontaire de Dieu, ce que nous appelons péché. Le Christ nous apprend également la manière de retourner cette situation : faire triompher le bien sur le mal, noyer le mal dans l’abondance de bien. Avec des paroles de saint Paul, là où le péché s’est multiplié, la grâce a surabondé (Rm 5, 20).

    Au milieu des vagues et courants qui secouent le monde, notamment dans le contexte de la pandémie actuelle de la Covid-19, se mêlent chez beaucoup de personnes des sentiments d’incertitude, de désespoir, de frustration, sentiments auxquels nous, chrétiens, ne sommes pas indifférents. Nombreux sont ceux qui se demandent où se trouve Dieu et pourquoi Il permet ces malheurs.

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  • Les églises sont "des lieux de contamination"… vraiment ?

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    "Les lieux de culte ont été, en France comme ailleurs, des lieux de contamination", a assuré le Premier ministre français Jean Castex, ce jeudi 26 novembre, lors de la présentation des modalités de levée du confinement. Un article d’Agnès Pinard Legry, sur le site web « aleteia » :

    « Outre l’annonce du maintien de la jauge de 30 personnes pour les messes, c’est la phrase qui a fait bondir les catholiques. Lors de sa conférence de presse détaillant les modalités de levée du confinement ce jeudi 26 novembre Jean Castex, le Premier ministre, a déclaré : « Les lieux de culte ont été, en France comme ailleurs, des lieux de contamination et la circulation virale demeure encore forte dans notre pays ». Présentée comme une affirmation, cette phrase nécessite que l’on s’y arrête vu qu’elle est sensée justifier la limite des 30 personnes pour les messes publiques.

    Entreprises et Ehpad en tête des clusters

    Sur quelle(s) étude(s) se fonde donc le Premier ministre ? Quels chiffres lui permettent-ils d’avancer une telle chose ?  Depuis le 9 mai 2020, 6.250 clusters (nom utilisé dès le début de l’épidémie pour qualifier un foyer de contamination, ndlr) ont été rapportés, indique une étude de Santé publique France publiée le 26 octobre 2020. Dans le détail, les principaux clusters ont été détectés dans les entreprises privées ou publiques (1.352), les Ehpad (1.122), en milieu scolaire et universitaire (1.065) et dans les établissements de santé (686). Une autre manière de préciser les choses : les six collectivités pour lesquelles la proportion de clusters à criticité élevée est la plus importante sont : les Ehpad (79%), les communautés vulnérables — (gens du voyage, migrants en situation précaire, etc. — (56%), les établissements médicaux sociaux (EMS) de personnes handicapées (52%), les établissements de santé (45%), les établissements pénitentiaires (42%) et les établissements sociaux d’hébergement et d’insertion (38%).

    Les lieux de culte n’apparaissent pas dans ces données. Alors bien sûr, le rassemblement de quelque 7.000 évangéliques à Mulhouse (Haut-Rhin), en février dernier, a marqué les esprits. Mais c’était il y a neuf mois, avant le premier confinement. Plus récemment, certains médias ont évoqué un cluster lors d’une retraite au sanctuaire de Montligeon (Orne) en octobre, avant de se rétracter. À noter également, toujours d’après Santé publique France, que les cas rattachés à des clusters ne représentent que 10% des contaminations.

    Lire aussi :
    Vent debout contre la jauge de 30 personnes, les catholiques mettent la pression

    Sur quoi s’est donc fondé Jean Castex pour parler des lieux de culte comme de « lieux de contamination » ? La question n’a pour l’instant pas de réponse. Mais elle a provoqué une réaction assez unanime : la colère des catholiques et le sentiment d’être méprisés du gouvernement, surtout au regard des efforts faits pour respecter, depuis le déconfinement de mai 2020, un protocole sanitaire strict afin de limiter les risques de contamination. « Qu’est-ce qui permet au Premier ministre de dire cela ? », a réagi auprès d’Aleteia à ce sujet l’évêque de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé. « La CEF a proposé un protocole sanitaire strict au gouvernement. Les interlocuteurs techniques n’ont même pas répondu à ce protocole. C’est à se demander s’ils l’ont travaillé. Ils n’ont fait aucune remarque. »

    Ref. Les églises sont "des lieux de contamination"… vraiment ?

    JPSC

  • Noël en Belgique sous la menace de la Covid19 : pas d’exception sur l’interdit sanitaire des messes publiques

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    Réuni ce 27 novembre, le Comité de concertation interfédéral belge consacré à la lutte contre la pandémie de Coronavirus a bien prévu, dans la perspective de noël, quelques exceptions commerciales, sociales, culturelles et même sportives aux dispositions rigoureuses du confinement en vigueur mais, du sens religieux de la fête, la société laïque n’a évidemment que faire.  Dans l’Europe postmoderne la naissance du Christ n’a plus aucune signification, et, moins encore, cette foi étrange qui professe sa présence incarnée dans le sacrement de l’Eucharistie. Mais le porte-parole de l’épiscopat explique pourquoi il n’y a pas lieu de s’en offusquer: dialoguons, contextualisons, relativisons, soyons simples et solidaires avec ce monde nouveau :

    JPSC

  • 3 jeunes saints jésuites (Jean Berchmans, Stanislas Kotska, Louis de Gonzague) dans la Liturgie des Heures (feuillet pour le temps du confinement)

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  • "Un temps pour changer" : un nouveau livre du pape

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    Un temps pour changer @ éditions Flammarion

    A découvrir sur zenit.org :

    1. « Un temps pour changer »: « Les trois covid du pape François »
    2. "Un temps pour changer" : 15 perles du pape François
    3. "Un temps pour changer" : le traité du pape pour se relever après la pandémie
    4. Les femmes au Vatican : ce qu’a voulu faire le pape François

    - Un autre son de cloche sur Valeurs Actuelles

    - «La migration n'est pas une menace pour le christianisme», selon le pape François (le Figaro)

  • La bienheureuse Mère Marie de Jésus (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Un texte inédit du pape préfacé par le secrétaire général de la Fédération luthérienne mondiale

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    De Vatican News :

    François: le christianisme transforme le monde s'il est enraciné dans l’Évangile

    Un texte inédit du Pape intitulé "Le Ciel sur la terre. Aimer et servir pour transformer le monde" est publié dans un livre édité par la Librairie éditrice vaticane (Lev). Il est préfacé par Martin Junge, secrétaire général de la Fédération luthérienne mondiale.

    «C'est lorsque le christianisme s'enracine dans l'Évangile qu'il donne le meilleur de lui-même à la civilisation», tandis qu'il «perd le meilleur de lui-même lorsqu'il finit par se corrompre et par s'identifier aux logiques et aux structures du monde». Le Pape l’explique dans un texte inédit qui figure dans le livre intitulé "Le Ciel sur la terre. Aimer et servir pour transformer le monde". Le volume, que la Libreria Editrice Vaticana publie en italien mardi 24 novembre, s'inscrit dans la série œcuménique "Échange de dons" et rassemble divers textes déjà prononcés par François sur le thème de la foi qui se transforme en charité envers les autres. La préface est de Martin Junge, secrétaire général de la Fédération luthérienne mondiale.

    Dans ce texte inédit, le Pape souligne le «pouvoir transformateur du christianisme» au cours des siècles, à partir de la considération de la valeur de chaque personne. Un monde nouveau, plus juste et plus fraternel, est né comme «conséquence gratuite d'une foi vécue simplement». Le christianisme, observe-t-il, n'a pas transformé le monde ancien «par des tactiques mondaines ou des volontarismes éthiques, mais seulement par la puissance de l'Esprit de Jésus ressuscité. Tout le fleuve des petites ou grandes œuvres de charité, un courant de solidarité qui traverse l'histoire depuis deux mille ans, a cette source unique. La charité naît de l'émotion, de l'étonnement et de la grâce.»

    Dès le début, historiquement, la charité des chrétiens est devenue l'attention aux besoins des personnes les plus fragiles, les veuves, les pauvres, les esclaves, les malades, les marginaux... Compassion, souffrance avec ceux qui souffrent, partage. Elle devient aussi une dénonciation des injustices et un engagement à les combattre autant que possible. Parce que «prendre soin d'une personne, c'est embrasser toute sa condition et l'aider à se libérer de ce qui l'opprime le plus et le prive de ses droits. La primauté de la Grâce ne conduit pas à la passivité, au contraire, elle multiplie par cent l'énergie et augmente la sensibilité à l'injustice», précise le Pape François.

    Vivre le don de la réconciliation grâce au Christ

    Dans sa préface, Martin Junge, secrétaire général de la Fédération luthérienne mondiale, rappelle avec une «profonde gratitude» les paroles du Pape François lors de la commémoration commune de la Réforme à Lund en 2016: «Jésus nous rappelle: "Sans moi, vous ne pouvez rien faire". (Jean 15.5). Il est celui qui nous soutient et nous encourage à chercher des moyens de faire de l'unité une réalité toujours plus évidente»«Dans cette liturgie et cette homélie mémorables, nous, catholiques et luthériens, avons réaffirmé ensemble notre engagement sur un chemin qui mène du conflit à la communion, écrit Martin Junge. Ce chemin n'est possible que grâce au Christ, qui guérit toutes nos blessures et nos souvenirs, nous libérant de la douleur des expériences passées, pour embrasser le don de la réconciliation que le Christ a placé parmi nous.»

    «C'est un engagement qui part de la perspective de l'unité et non du point de vue de la division», car «ce qui nous unit est bien plus que ce qui nous divise», explique le secrétaire général de la Fédération luthérienne mondiale. Et le service commun pour les derniers et les souffrants est un formidable moteur pour cette restauration de l’unité entre chrétiens: «Ensemble, nous témoignons de la miséricorde de Dieu à la fois par la confession de foi et par notre service commun au monde.»

  • Plaidoyer pour les petits à l'usage des grands (de Bessières, dans Récits et expériences eucharistiques (15) (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Suivre ici en vidéo, dès le jour même, la messe traditionnelle (orgue et plain-chant) de ce 22 novembre en l’église du Saint-Sacrement à Liège :

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    Ce dernier dimanche après la Pentecôte est comme une fête anticipée du Retour du Christ. Les bouleversements inquiétants dont parle l’évangile de ce jour ne doivent pas nous faire oublier le mystère d’espérance que nous vivons déjà : « le Fils de l’homme rassemblera les élus de toute la terre ». La messe est suivie du «Te Deum » Liégeois d’action de grâce clôturant l’année liturgique. Cliquez ici :

    En vertu de l’article 10 de l’arrêté ministériel du 1er novembre 2020 portant des mesures sanitaires de lutte contre la pandémie du covid19, des célébrations liturgiques enregistrées sont permises, dans le but d’une diffusion par tous les canaux disponibles, en présence des personnes en charge dudit enregistrement (en tout maximum 10 personnes) avec le maintien d’une distance d’1,5 mètre entre chaque personne, et pour autant que le lieu reste fermé au public pendant l’enregistrement du culte.

    A ce titre, des messes selon le missel de 1962 (avec orgue et plain-chant) sont célébrées et enregistrées et diffusées quotidiennement à Liège, en l’église du Saint-Sacrement. On peut suivre toutes ces messes en vidéo le jour de leur célébration en cliquant sur ce lien:

    https://youtube.com/channel/UCEUYps3ebyPUPP2BnnEO6iw 

    P1011232.JPGPar ailleurs, l’église du Saint-Sacrement a choisi d’ouvrir ses portes pour la prière individuelle devant le Saint-Sacrement exposé, avec disponibilité d’un prêtre: tous les mardis de 17h à 19h, tous les jeudis de 10h à 12h et de 14h à 17h, tous les vendredis de 12h à 14h, tous les samedis de 15h à 18h et tous les dimanches de 15h à 18h. Venite, adoremus.

    JPSC

  • La constitution de Paul VI sur les indulgences (feuillet pour le temps du confinement)

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