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Spiritualité - Page 438

  • BXL, 22-27 juillet : "Dieu est ma force", 29ème session du Renouveau Charismatique

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    accédez aux informations et conditions d'inscription en cliquant sur l'image

  • Liège : Fêter Dieu avec Monseigneur Delville le samedi 21 juin à 18h00 à l’église du Saint-Sacrement

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    13_05_11_18-27-10_DxO-border.jpgLe 21 juin n’est pas seulement le jour de la fête de la musique et le premier jour de l’été. On commémore aussi,  cette année, le 750e anniversaire de l’extension d’une grande fête liégeoise à l’Église universelle : la Fête-Dieu

    A cette occasion, Monseigneur Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, célébrera une messe solennelle le samedi 21 juin à 18 heures, à l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy, 132, à Liège).

     

    La liturgie se fera dans la forme extraordinaire du rite romain etCopie de 13_05_11_18-02-12_01_DxO-border.jpg sera rehaussée par une prestation des voix féminines du Chœur grégorien de Paris et celle de l’Ensemble polyphonique Praeludium, une formation  issue du Chœur universitaire de Liège.

    Les participants auront aussi l’occasion d’admirer, après l’office, une exposition de pièces du Trésor de la Cathédrale de Liège sélectionnées pour illustrer le thème de la fête.

    Pour prendre connaissance du programme complet des manifestations du Triduum de la Fête-Dieu à Liège, cliquez ici : 

    Liège, 19-22 juin : Célébrons la Fête-Dieu

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  • Rome : Menaces sur la Commission Ecclesia Dei ? Mise à jour 11.06.2014

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    Quel sera le sort de la Commission « Ecclesia Dei » dans le cadre de la réforme de la curie romaine ? Cette question posée par l'article de « Riposte catholique » recensé ci-dessous nous paraît légitime, même si l'analyse n'engage que son auteur.

    C’est Jean-Paul II, en effet,  qui a voulu cette commission, pour gérer l’accueil des instituts traditionalistes refusant de suivre Mgr Lefèbvre et ses épigones dans la dissidence.

    C’était, à l’origine, un organe sui generis, ne se rattachant à aucun dicastère. Le motu proprio « Summorum Pontificum » de Benoît XVI libéralisant l’usage des rites antérieurs à la réforme liturgique postconciliaire a tracé un cadre pour son action, tout en ajoutant que le statut et les pouvoirs de la commission feraient l’objet de précisions ultérieures.

    La première mesure subséquente fut de la rattacher à la congrégation pour la doctrine de la foi (motu proprio "Ecclesiae unitate" du 8 juillet 2009) : Benoît XVI voulait lui faire jouer un rôle dans la gestion du dialogue doctrinal destiné à résorber la dissidence lefébvriste. La querelle des rites est, en effet, souvent emblématique d’un désaccord plus profond.

    Par ailleurs, les règles édictées par le motu proprio pour obtenir l’usage des rites antérieurs à Vatican II se heurta très vite à des querelles d’interprétation : le problème s’est alors posé, entre autres, de savoir  si la commission avait le pouvoir juridictionnel de les trancher, surtout lorsque les conflits mettent en cause des évêques, ce qui n’est pas rare.  Une instruction d’application du motu proprio (30 avril 2011) reconnut alors formellement un pouvoir canonique de nature judiciaire à la commission, dans les matières de son ressort : deuxième mesure.

    Mais, placée désormais sous la tutelle du préfet d’un imposant dicastère de la curie, la commission demeura fort discrète, prudente et guère pro-active, semble-t-il. Il en irait probablement de même, sinon pire, si on transférait cette instance de la doctrine de la foi aux rites où aux instituts religieux.

    Si l’on reconnaissait une vraie spécificité aux questions du ressort de cette commission, le mieux serait sans doute de lui restituer son autonomie initiale autour de la mise en œuvre de « Summorum Pontificum »  et de placer à sa tête une personnalité forte, en phase avec la sensibilité « traditionaliste ». Mais c’est peut-être beaucoup demander au pape François, dont les centres d’intérêt sont manifestement ailleurs.

    JPSC

    Pope-Francis--014.jpg« Le blogue américain Rorate Cæli publie un article choc intitulé : « Quel sera l’état de l’Église après le Pape François ? » de don Pio Pace, qui a été traduit par le blogue canadien Notions romaines.

    Don Pace y explique que le pontificat de François est moins novateur qu’on ne l’a cru au début. Les “gestes” multiples (chaussures noires, etc.) sont sans conséquence. Les déclarations doctrinales hasardeuses ne paraissent pas devoir déboucher à terme sur des effets institutionnels. Les nominations de François valent celles de Benoît, soit en bien, soit en médiocre. La réforme de la Curie sera forcément un pétard mouillé. Et pendant ce temps, la crise continue et s’amplifie.

    L’article demande : « Quoi après ce pontificat ? » Les cardinaux qui ont élu Bergoglio ne le connaissaient pas et beaucoup déchantent. Quand il démissionnera, ils chercheront la “sécurité” avec un pape plus solide du point de vue théologique, moins brouillon. Et ils seront forcés d’avoir plus de réalisme en cherchant un pape qui sera moins “vitrine” et plus en phase avec les problèmes dramatiques de l’Église.

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  • Liège, 19 juin : procession de la Fête-Dieu

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    Fête-Dieu : une procession événement à Liège !

    Le jeudi 19 juin 2014 est le jour de la Fête-Dieu, solennité du calendrier catholique qui honore la présence du Christ dans l'Eucharistie. Et cette année est toute particulière, car c’est le 750ème anniversaire de la bulle Transiturus (1264), par laquelle le pape Urbain IV étendit cette fête d’origine liégeoise à l'Église universelle. La Fête-Dieu fut, en effet, inspirée par deux Liégeoises –sainte Julienne de Cornillon et la bienheureuse Ève de Saint-Martin.

    Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, souhaite marquer l'événement, dans la ligne de ce que propose le pape François quand il demande aux chrétiens de sortir de leurs murs.

    Voilà pourquoi, après la messe de la Fête-Dieu, célébrée en la basilique Saint-Martin à 19h30, notre évêque renouera avec une tradition bien de chez nous, en présidant une procession du Saint-Sacrement dans les rues de la ville sous une forme modernisée et avec une sono adaptée. De nombreux invités de marque seront présents : Mgr Giancinto Berloco, Nonce apostolique, Mgr Frans Wiertz, évêque de Roermond (Pays-Bas), Mgr Albert Houssiau et Mgr Aloys Jousten, évêques émérites de Liège, ainsi qu’une importante délégation étrangère !

    La procession débutera vers 20h45 et sera rythmée par le son des trompes de chasse, hommage à saint Hubert, patron de la ville de Liège. Elle s’acheminera vers la Cathédrale où, après un temps de recueillement, sera servi un verre de l’amitié.

    Un car est prévu vers 22h30 pour reconduire les pèlerins vers Saint-Martin.

  • Verviers - Sainte-Julienne, 22 juin : célébration de la Fête-Dieu

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    La Chorale Sainte-Julienne

    dirigée par Margaret Todd

    vous invite à célébrer

    la Fête-Dieu

    en l’église Sainte-Julienne (Verviers)

    le dimanche 22 juin 2014 à 11H00

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    ​Au programme :

    • Kyrie et Gloria de la Missa Brevis de Benjamin Britten, avec la participation toute particulière des enfants de la chorale ;
    • « Laudamus Te » (à l’offertoire) extrait du Gloria de Vivaldi ; 
    • Sanctus, Benedictus et Agnus Dei de la Messe pour quatre voix de William Byrd ; 
    • ”O taste and see…” de  Vaughan Williams (XVIIe siècle)

    Apres la bénédiction solennelle du Saint-Sacrement, Margaret Todd jouera le Prélude et Fugue en si mineur du deuxième cahier des 48 préludes et fugues de Bach.  Cette interprétation clôturera le cycle du deuxième cahier qu’elle a joué pendant les six derniers mois.

    Après la célébration, un apéritif convivial sera offert à toute l’assemblée.

  • Les anti-conciliaires

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    Lu dans le journal « La Croix » du 4 juin, cette recension bibliographique signée David Roure :

    LES-ANTI-CONCILIAIRES_ouvrage.jpg« LES ANTI-CONCILIAIRES  
    Les lefébvristes à la reconquête de Rome  
    de Giovanni Miccoli 
    Éditions Lessius, 416 p., 24 €

    « N’appartenant à aucune Église ou confession chrétienne, comme il le précise dès son avant-propos, Giovanni Miccoli, aujourd’hui 80 ans, a enseigné l’histoire du christianisme à l’université de Trieste et de Venise, et publié plusieurs ouvrages sur l’Église contemporaine. 

    Ce livre aborde un point sensible, spécialement en France où l’on trouve la moitié à peu près des 150 000 ou 200 000 intégristes. Il apporte une documentation précise et très abondante. Celle fournie au début sur la généalogie du lefebvrisme et son histoire jusqu’au schisme de 1988 est déjà connue, tout ou en partie, grâce à d’autres auteurs (B. Sesboüé, G. Leclerc, N. Senèze,…).

    Plus intéressante apparaît celle, le plus souvent inédite, sur les relations entre la Fraternité Saint-Pie-X (en particulier son responsable, Mgr Fellay) et la Curie romaine sous le pontificat de Benoît XVI, ayant conduit aux deux mesures accordées sans condition par Rome, que la Fraternité réclamait avec insistance depuis une vingtaine d’années : en juillet 2007, le libre recours à la messe dite de saint Pie V et, en janvier 2009, la levée de l’excommunication des quatre évêques ordonnés illicitement par Marcel Lefebvre.

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  • Pèlerinage de Pentecôte Paris-Chartres : pourquoi ils marchent

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    Dans l’hebdomadaire « Famille Chrétienne », une interview réalisée par Jean-Marie Dumont :

    « Quelque 10 000 pèlerins relieront Paris et Chartres, à pied, ce week-end de Pentecôte, à l’invitation de l’association Notre-Dame de chrétienté. Le témoignage de l’un des pèlerins, Xavier de Lustrac, père de famille de 3 enfants.

     Vous partez ce week-end, pendant trois jours, sur les routes de Chartres. Pourquoi ?

    le-pelerinage-notre-dame-de-chretiente-trois-jours-de-marche-de-paris-a-chartres_article.jpgPour moi, c’est vraiment un temps fort de l’année. C’est comme une retraite spirituelle, mais en marchant. On sort du tumulte de la vie ordinaire pour aller vers autre chose, vers l’Essentiel. C’est aussi une expérience de partage avec nos enfants : on est sous la tente avec eux, ils voient leurs parents dans un contexte différent, partagent la foi avec eux.

    Êtes-vous des habitués de ce pèlerinage ?

    C’est la quatrième fois que nous le faisons. Nous l’avons connu par des amis qui vont régulièrement à la messe de saint Pie V et nous y ont invités. La première année, nous l’avons fait par curiosité et nous avons été très chaleureusement accueillis. La deuxième année, on se posait la question avec mon épouse et ce sont nos enfants qui nous ont poussés à le refaire. C’est d’autant plus étonnant que c’est toujours un effort pour eux d’aller à la messe. Pourtant, le pèlerinage de Chartres, ils ne veulent pas le manquer, alors que c’est messe en latin, communion sur la langue et à genoux…

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  • Pentecôte 2014 à Rome : une rencontre interreligieuse chez le pape François

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    De notre compatriote Bruno d’Otreppe, sur le site de « La Vie » (extraits) :

    Lors de son voyage en Terre sainte, le pape François avait invité les présidents israélien et palestinien à le retrouver dans sa « maison » pour prier pour la paix. Rejoints par le patriarche Bartholomée, ils se retrouveront ce dimanche.

    Visuellement la scène sera sans nul doute d'une grande réussite. Dimanche soir, à 19 heures, c'est dans le calme des jardins du Vatican, sous leurs ombrages gorgés de soleil que se retrouveront Mahmoud Abbas, Shimon Peres, le patriarche œcuménique de Constantinople Bartholomée et le pape François afin de prier pour la paix. (…) L'objectif est de faire une « pause » a précisé le custode de Terre sainte, le Père Pierbattista Pizzaballa, lors de la conférence de presse à Rome. Une pause pour prendre le temps de sentir le « besoin de paix ». Ce « geste fort » pourra avoir un impact dans l'opinion publique a-t-il précisé (…).

    Sans liturgie commune, les prières seront bien distinctes en fonction des religions. « Nous ne prierons pas ensemble a encore précisé le custode, nous nous tiendrons ensemble pour prier. »

    Dès lors, le déroulement de la soirée a été établi avec précision. Si les deux présidents arriveront avec un quart d'heure d'écart, ils se retrouveront ensemble dans les jardins du Vatican après avoir été reçus par le pape. Ensuite, la rencontre sera structurée par trois moments de prières, chacun dédié à une religion. 

    Ces trois temps successifs bénéficieront d'ailleurs de la même structure. Une prière célébrant la création divine, un moment de demande de pardon (rappelant que nous sommes tous touchés par le péché), et enfin une invocation à la paix. Chaque religion a choisi des prières issues des textes sacrés ou composées pour l'occasion. C'est après ces trois moments que le pape et les deux présidents prendront la parole, chacun à leur tour, avant d'engager un geste de paix, de planter un olivier et de bénéficier d'un court échange privé (…).

    Réf. Abbas, Peres, Bartholomée et François, une prière pour quoi faire ? Ensemble pour prier mais sans prière commune. Pas de syncrétisme. JPSC

  • Liège, 19-22 juin : Célébrons la Fête-Dieu

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  • Waltzing, 22 juin : procession de la Fête-Dieu

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  • Des petits chiens et des petits chats plutôt que des enfants

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    Religion. Le pape ironise sur les couples qui préfèrent avoir des animaux plutôt que des enfants (source)

     

    Le pape François, au cours de la messe qu'il a célébrée lundi dans sa résidence de Sainte-Marthe, a ironisé sur les couples qui par choix n'ont pas eu d'enfants, leur préférant des animaux de compagnie, a rapporté Radio Vatican.

    Face à des couples célébrant leur 25e, 50e ou 60e anniversaire de mariage, le pape a évoqué les trois piliers d'un authentique mariage chrétien: la fidélité, la persévérance et la fécondité.

    "Ces couples qui ne veulent pas d'enfants (...) cette culture du bien-être économique qui, il y a dix ans, les a convaincus que "c'est mieux de ne pas avoir d'enfant". Comment c'est mieux !", a lancé Jorge Bergoglio dans son homélie.

    "Ah c'est sûr, a-t-il poursuivi avec ironie, ainsi, tu peux visiter le monde, partir en vacances, avoir une maison à la campagne, être tranquille... Et c'est sans doute mieux, plus commode, d'avoir un petit chien, deux chats...".

    "Ce n'est pas vrai ?", a-t-il demandé à la foule. Mais "à la fin, ces couples parviennent à la vieillesse, dans l'amertume de la méchante solitude".

    Or, ceci n'est pas "ce que Jésus a fait avec son Église: lui l'a rendue féconde", a-t-il affirmé.

    La "fidélité est comme une lumière sur le mariage, la fidélité de l'amour, toujours", a-t-il expliqué, ajoutant que la "vie conjugale devait être persévérante".

    Il le faut, "parce que sinon l'amour ne peut pas aller de l'avant (...) dans les moments heureux comme dans les moments difficiles, quand les problèmes arrivent: ceux avec les enfants, les problèmes économiques etc.", a-t-il ajouté.

    "Chaque matin, le mari et la femme se lèvent avec persévérance et portent vers l'avant leur famille", a conclu le pape argentin.