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BELGICATHO - Page 1648

  • Des milliers de personnes réclament la révocation de l‘évêque de Coire

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    Selon Radio-Vatican :

    (RV) Entretien - Quelques milliers de personnes ont participé dimanche à St-Gall, dans le nord-est de la Suisse, à une manifestation contre l’évêque de Coire. Sous le slogan « Ça suffit ! », les manifestants ont réclamé la révocation de Mgr Vitus Huonder. Ils ont remis une lettre avec leurs exigences à l’évêque Markus Büchel, président de la Conférence des évêques suisses (CES). Ils étaient 3000 selon les organisateurs, 2000 selon la police.

    La manifestation avait été préparée par une large coalition d’organisations catholiques sous la conduite de la Ligue Suisse des Femmes Catholiques (SKF). Sous le slogan « Ça suffit ! Pour une Eglise catholique suisse crédible et libre », les protestataires ont exigé une nouvelle direction à l’évêché de Coire. « Nous en avons assez de l’exclusion, de la discrimination, du régime féodal, et de la remise en question systématique des structures de l’Eglise. Nous en avons assez des évêques durs et d’une théologie sans cœur », pouvait-on lire sur des tracts.

     Mgr Huonder avait soulevé la polémique récemment en critiquant publiquement des groupes de croyants, entre autres des personnes divorcées ou homosexuelles, ainsi que les catholiques ayant recours à la pilule ou aux préservatifs

    Réf. Des milliers de personnes réclament la révocation de l‘évêque de Coire

    Déjà un effet de la mise en chantier des synodes sur la famille (2014-2015)? En fait, l’évêque de Coire refuse le "droit" à la communion sacramentelle aux tenants des pratiques énoncées ci-dessus, qu'il admet néanmoins à recevoir une bénédiction:  un geste jugé insuffisant. "Qui est-il en effet pour juger?" , argumentent les contestataires. C'est parti pour un appel à la conférence épiscopale et à Rome... 

    JPSC

  • Ukraine : les images censurées par la presse occidentale

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    De l’écrivain Jean-Claude Guillebaud sur le site de « La Vie » :

    50523_kiev-prieres-ukraine_440x260 (1).jpg"Autrefois, on parlait de « préjugés » pour désigner des croyances que chacun de nous a du mal à remettre en cause. Aujourd’hui, les progrès de la connaissance scientifique touchant le fonctionnement du cerveau ont substitué au mot « préjugé » un concept apparemment pédant mais dont la signification est simple : celui de « filtre cognitif ». On désigne ainsi le mécanisme mental qui, parfois à notre insu, nous pousse à écarter de notre conscience toute information qui menacerait sa cohérence. En d’autres termes, nous n’enregistrons pas lesdites informations. Elles sont tenues au-dehors de nous par ce « filtre » cérébral.

    Je pensais à cela en suivant la crise en Ukraine et la résistance acharnée, voire héroïque, des militants de Maïdan. Pendant des jours et des jours, les télévisions nous auront montré ce pathétique champ de bataille. La presse écrite, de son côté, aura exalté – à bon droit – le courage de ces manifestants, dont plusieurs dizaines l’auront payé de leur vie. Or pendant ces longues et tumultueuses journées, un « détail » aura été quasiment omis par les médias. Oublié ? Tout s’est passé comme si un « filtre cognitif » avait fonctionné à une échelle collective.

    De quel « détail » s’agit-il ? Celui-là : il se trouve que sur Maïdan les manifestants ont beaucoup prié. Mieux encore, les prêtres orthodoxes auront été omniprésents et – pour la plupart – très engagés du côté de la révolution, c’est-à-dire contre la tyrannie, contre la tutelle de Moscou, contre la corruption. Rappelons que tout cela se passait en Ukraine, dans une ancienne république de l’URSS, soumise pendant trois quarts de siècle à un régime d’athéisme obligatoire et de persécutions religieuses. La foi combative était intacte.

    Plus surprenant encore : l’Ukraine est le pays qui a vu naître, en 2008, le mouvement des Femen. Ces activistes de la nudité luttaient à l’origine contre le poids de Moscou, la corruption et – surtout – la prostitution, devenue l’un des fléaux du pays. À partir du début des années 2010, elles concentrèrent leurs actions contre la religion en général et le christianisme en particulier. Elles allèrent jusqu’à scier des croix, d’abord en Ukraine puis aux Pays-Bas.

    Ayant tout cela en mémoire, nos médias auront eu du mal à simplement « voir » que nombre de manifestants de Maïdan priaient, allumaient des cierges, faisaient prier leurs enfants et honoraient leurs « martyrs », abattus par les Berkout (nervis du régime). Quoi ? Les chrétiens n’étaient donc pas du côté de la domination ? Les prêtres orthodoxes ou uniates choisissaient le camp de la révolte ? Visiblement, l’information était si dérangeante qu’on préféra n’en point parler. Ou si peu. Vérification faite, c’est à peine si on trouva trace de ce constat dans notre presse. Quant aux commentaires, ils furent encore plus rares.

    Oh, certes, l’orthodoxie ukrainienne reste éparpillée entre plusieurs Églises, patriarcats (celui de Moscou et celui de Kiev), sans compter l’archevêché de l’Église uniate, qui dépend du Vatican. Sur Maïdan, tous n’étaient pas mobilisés. Il n’empêche que beaucoup de chrétiens l’étaient. Au lieu et place des Femen…"

    Ref Les prières de Maïdan

    L’idéologie laïciste et libertaire n’est pas non plus la liberté….

    JPSC

  • Ratzinger : Lettre à propos de quelques objections à la doctrine de l’Eglise concernant la réception de la communion eucharistique de la part des fidèles divorcés remariés (1)

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    Beaucoup plus claire que celles des cardinaux Kasper (mandaté par le pape François pour introduire les débats de son premier consistoire) ou Marx (membre du « G8 » pontifical, un nouvelle instance chargée de la réforme de la curie romaine), on peut lire ci-dessous une excellente réflexion sur l’accès des divorcés-remariés à la communion sacramentelle : elle a été écrite par le futur Benoît XVI (photo)zzratzinger.jpg, il y a plus de quinze ans et  n’a pas pris une ride.

    Le blog du « Suisse Romain » l'a observé avant nous, l’avantage de la pensée de Benoît XVI c’est qu’elle n’est ni diffuse, ni circulaire mais précise comme une horloge suisse.  Et, naturellement, fort différente de celle des deux cardinaux précités, lesquels sont en effet, comme l’écrit l’abbé Rimaz sur son blog ,«  les grands promoteurs de la conscience ‘autonome’ », voire de celle du pape François lorsqu’il en arrive à dire dans « Evangelii Gaudium » que  "les portes des sacrements ne devraient pas se fermer, pour quelque raison que ce soit"  ce qui, hors contexte, serait tout de même une curieuse affirmation…

    Le texte du Cardinal Ratzinger reprend la troisième partie de son Introduction au numéro 17 de la collection « Documenti e Studi », dirigée par la Congrégation pour la doctrine de la foi,Sulla pastorale dei divorziati risposati, LEV, Cité du Vatican 1998, p. 20-29. Les notes ont été ajoutées. 

    A lire posément ici  (les grasses sont de notre fait):

    JPSC

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  • Les 38 propositions de la Manif pour Tous

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    Du site du Figaro :

    La Manif pour Tous a présenté les résultats de son «Grenelle de la Famille» sous forme de 38 propositions protégeant le mariage et la filiation. (...)

    (Les) 38 propositions, «... concrètes, fortes, et attestent d'un souhait de plus grande liberté», assure Ludovine de la Rochère. Développer des préparations au rôle d'époux et de parents pour les futurs mariés, promouvoir la médiation préventive pour les couples en difficulté, prolonger la Carte Famille Nombreuse jusqu'au départ de l'enfant du foyer fiscal... (...)

    Accéder aux 38 propositions

  • Un pape qui évite soigneusement un choc frontal avec la culture dominante

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    Du vaticaniste bien connu, Sandro Magister, des propos qui mettent en lumière la "ligne" adoptée par le pape et qui déconcerte un certain nombre de "bons catholiques" habitués à mener le combat au nom des "principes non négociables". Une bonne matière à réflexion... :

    Bergoglio, le général qui veut vaincre sans combattre

    "Je n’ai jamais compris l'expression ‘valeurs non négociables’", a-t-il déclaré lors de la dernière en date de ses interviews. Et son collaborateur le plus proche explique dans un livre pourquoi le pape François évite soigneusement le choc frontal contre la culture dominante 

    ROME, le 10 mars 2014 – Victor Manuel Fernandez est le premier Argentin à avoir été nommé évêque par Jorge Mario Bergoglio, deux mois après que celui-ci eut été élu pape.

    Fernandez était alors - il continue à l’être - recteur de l’Universidad Catolica Argentina et il a été imposé à ce poste par celui qui était alors l’archevêque de Buenos Aires et qui a triomphé à cette occasion de l’hostilité d’un groupe d’opposants combatifs, à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église.

    Mais il est également, depuis plusieurs années, le collaborateur le plus sûr de Bergoglio pour la rédaction de ses textes essentiels, depuis le document d’Aparecida, en 2007, jusqu’à "Evangelii gaudium", en 2013, qui est la lettre-programme de l'actuel pontificat.

    Le livre-interview "Il progetto di Francesco. Dove vuole portare la Chiesa" [Le projet de François. Où veut-il conduire l’Église ?] – publié ces jours-ci en Italie – dans lequel Fernandez explique et commente le programme papal, est donc un bon guide pour le comprendre plus à fond.

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  • 6 avril : Quelle famille pour l'Europe de demain ?

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  • Les femmes au service de l'Evangile

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    Pour la journée des femmes, ce très beau texte de Benoît XVI, prononcé lors de l'audience générale du mercredi 14 février 2007 :

    Les femmes au service de l'Evangile

     

    Chers frères et sœurs,

    Nous sommes parvenus aujourd'hui au terme de notre parcours parmi les témoins des débuts du christianisme que mentionnent les écrits néo-testamentaires. Et au cours de la dernière étape  de  ce  premier parcours, nous consacrerons notre attention aux nombreuses  figures  de  femmes  qui  ont accompli un rôle efficace et précieux dans la diffusion de l'Evangile. Leur témoignage ne peut être oublié, conformément à ce que Jésus lui-même dit de la femme qui lui versa de huile sur la tête, peu avant la Passion:  "En vérité, je vous le dis, partout où sera proclamé cet Evangile, dans le monde entier, on redira aussi, à sa mémoire, ce qu'elle vient de faire" (Mt 26, 13; Mc 14, 9). Le Seigneur veut que ces témoins de l'Evangile, ces figures qui ont apporté une contribution afin de faire croître la foi en Lui, soient connues et que leur mémoire soit vivante dans l'Eglise. Sur le plan historique, nous pouvons distinguer le rôle des femmes dans le christianisme des origines, au cours de la vie terrestre de Jésus et au cours des événements de la première génération chrétienne.

    Bien sûr, comme nous le savons, Jésus choisit parmi ses disciples douze hommes comme Pères de la nouvelle Israël; il les choisit pour "être ses compagnons et pour les envoyer prêcher" (Mc 3, 14-15). Ce fait est évident mais, outre les Douze, piliers de l'Eglise, pères du nouveau Peuple de Dieu, de nombreuses femmes sont également choisies au nombre des disciples. Je n'évoquerai que très brièvement celles qui se trouvent sur le chemin de Jésus lui-même, en commençant par la prophétesse Anne (cf. Lc 2, 36-38) jusqu'à la Samaritaine (cf. Jn 4, 1-39), à la femme syrophénicienne (cf. Mc 7, 24-30), à l'hémorroïsse (cf. Mt 9, 20-22) et à la pécheresse pardonnée (cf. Lc 7, 36-50). Je ne me réfère pas non plus aux protagonistes de certaines paraboles efficaces, par exemple la femme qui fait le pain (Mt 13, 33), la femme qui perd une drachme (Lc 15, 8-10), la veuve qui importune le juge (Lc 18, 1-8). Les femmes qui ont joué un rôle actif dans le cadre de la mission de Jésus sont plus importantes pour notre réflexion. En premier lieu, ma pensée se tourne naturellement vers la Vierge Marie, qui à travers sa foi et son oeuvre maternelle, collabora de façon unique à notre Rédemption, au point qu'Elisabeth put la proclamer "bénie entre les femmes" (Lc 1, 42), en ajoutant "bienheureuse celle qui a cru" (Lc 1, 45). Devenue disciple du Fils, Marie manifesta à Cana une entière confiance en Lui (cf. Jn 2, 5) et le suivit jusque sous la Croix, où elle reçut de Lui une mission maternelle pour tous ses disciples de tout temps, représentés par Jean (cf. Jn 19, 25-27).

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  • Le pape évoque les persécutions

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    Une salade assaisonnée avec l'huile de la persécution...
    C'est cela la vie chrétienne, homélie du 4 mars - (Zenit.org)

    Salvatore Cernuzio (trad. H. Ginabat)

    « Une salade assaisonnée avec l’huile de la persécution » : voilà la vie chrétienne, a expliqué le pape François dans son homélie du 4 mars, lors de la messe à Sainte-Marthe.

    Le pape a prié pour les nombreux martyrs d’aujourd’hui, punis et persécutés pour le seul fait qu’ils possèdent une Bible ou qu’il font le signe de la Croix.

    C’est une certitude pour le pape François : « Aujourd’hui, il y a plus de martyrs que dans les premiers temps de l’Église ». À diverses reprises, dans ses homélies ou ses discours, le pape a dénoncé cette situation et ce mardi encore, dans son homélie à Sainte-Marthe, il a regretté cette constante dans la vie des chrétiens. De la prison de Pierre au martyre d’Étienne et à tous les frères enfermés dans les prisons nazies et communistes, jusqu’au martyrs des temps modernes, « punis » pour le seul fait qu’ils possèdent une Bible ou qu’ils célèbrent une messe, comme cela arrive chaque jour en Afrique et au Moyen-Orient, il n’y a jamais eu un moment dans l’histoire où les disciples du Christ n’ont pas subi de persécutions. Et le pape a expliqué que si tout cela arrive, c’est parce que « la Croix est toujours la voie chrétienne » : elle est le signe distinctif que le Christ a laissé à ses disciples, et la conséquence de l’annonce et du témoignage rendu à l’Évangile.

    C’est ce qu’explique Jésus à Pierre qui, comme le raconte l’évangile du jour, lui demande ce que recevront en échange ceux qui auront tout lâché pour le suivre. « Amen, je vous le dis : personne n'aura quitté, à cause de moi et de l'Évangile, une maison, des frères, des sœurs, une mère, un père, des enfants ou une terre, sans qu'il reçoive, en ce temps déjà, le centuple », répond le maître. Une réponse qui montre son être « généreux », a commenté le pape, mais qui, aux oreilles de Pierre, résonne comme une constatation ambiguë : en fin de compte, « aller derrière Jésus » serait « une belle activité commerciale » qui permet de gagner le centuple.

    C’est pourquoi le Christ ajoute aussitôt que, à côté de ce ‘dédommagement’, il y aura les persécutions. « Comme s’il disait : ‘Oui, vous avez tout lâché et vous recevrez ici, sur terre, beaucoup de choses, mais avec la persécution !’ Comme une salade avec l’huile de la persécution : toujours ! » a précisé le pape. En ajoutant : « C’est le gain du chrétien et c’est la route de celui qui veut marcher derrière Jésus, parce que c’est la route qu’il a empruntée lui-même : lui-même a été persécuté ! C’est la route de l’abaissement. Ce que Paul dit aux Philippiens : ‘Il s’est abaissé. Il s’est fait homme et s’est abaissé jusqu’à la mort, et la mort sur la croix’. C’est précisément cela, la tonalité de la vie chrétienne. »

    D’ailleurs, dans son Discours sur la montagne, a souligné le pape, Jésus définit les persécutions comme une béatitude, en affirmant : « Heureux êtes-vous quand on vous insulte et qu’on vous persécute à cause de mon nom ». Les apôtres, a-t-il rappelé « aussitôt après la venue de l’Esprit-Saint, ont commencé à prêcher et les persécutions ont commencé », et elles se poursuivent encore aujourd’hui, en 2014.

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  • Le pape ne serait-il pas suffisamment féministe ?

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    C'est ce que l'on pourrait penser en lisant ceci sur IMedia :

    LA PRÉSIDENTE DU COMITÉ DE LA JUPE INVITE LE PAPE FRANÇOIS À NE PAS OUBLIER LES FEMMES (INTERVIEW).

    Vatican - le 07/03/2014

    A plusieurs reprises, depuis le début de son pontificat, le pape François a évoqué la nécessité d’accorder plus de place aux femmes dans l’Eglise. Dans son Exhortation apostolique Evangelii Gaudium , il a explicitement souhaité “élargir les espaces pour une présence féminine plus incisive dans l’Église“. A la veille de la Journée de la femme, pour savoir comment réagissent les premières concernées, I.MEDIA a interpellé la Française Anne Soupa, présidente du “Comité de la jupe“ fondé en 2009 pour soutenir la dignité et la reconnaissance des femmes dans l’Eglise catholique. A ses yeux, en abordant de face la question des femmes, le pape François laisse entrevoir l’ouverture de nouveaux chantiers. Anne Soupa, cependant, demeure prudente et déplore que les femmes, dans l’Eglise, soient toujours “privées de parole et écartées des décisions“.

    Pour plus de détails, voir ICI

    La prose de Anne Soupa est sur le Huffington Post

  • L'avortement fait en Espagne beaucoup plus de victimes que la Guerre civile

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    De Jeanne Smits, sur son blog :

    Mgr Reig Pla : l'avortement, un holocauste silencieux

    Toutes les commissions épiscopales – fussent-elles des sous-commissions – ne sont pas obligatoirement adeptes de la langue de buis, ainsi que vient de le démontrer le président d'une entre elles en Espagne, celle qui se charge des questions « Famille et Vie ». Il est vrai que son président, Mgr Juan Antonio Reig Pla, a depuis longtemps tenu sur l'avortement un langage parfaitement clair. A l'occasion de son appel à Journée mariale pour la famille et la vie organisée fin mars par son diocèse d'Alcala de Henares et ceux, voisins, de Madrid et Getafe, il a déclaré que l'avortement a causé en Espagne « beaucoup plus de morts que la Guerre civile : un holocauste silencieux ».

    Il commentait l'expression horrifiée du pape François apprenant que l'Espagne compte plus de 100.000 avortements par an.

    Lire la suite sur le blog de J. Smits

  • Mgr Léonard et l'argent

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    A l'occasion du scandale financier provoqué par Stéphane Bleus, Olivier Rogeau (le Vif.be) a rencontré Mgr Léonard qui a eu des contacts avec le "Madoff belge". C'est l'occasion, pour notre archevêque, de s'exprimer sur son rapport à l'argent mais aussi sur son sentiment à l'égard du pape et sur ses perspectives d'avenir.

    On pourra lire sur le site du Vif la partie de l'interview mise en ligne (l'intégralité est publiée dans la version papier).