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BELGICATHO - Page 1644

  • Qu’est-ce qu’une famille ?

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     Communication du philosophe Fabrice Hadjadj au Grenelle de la Famille, Paris, palais de la Mutualité, 8 mars 2014 : "Qu'est-ce qu'une famille ?" Lieu du premier amour, de la première éducation, du respect des libertés, le principe de la famille est dans le sexe. Sans quoi, elle ne serait que "l'excellence de l'orphelinat".Réf.

    Sur le site Liberté politique: Fabrice Hadjadj : "Qu'est-ce qu'une famille ?"

  • Verviers, Sainte-Julienne, 28 mars : concert par le King's School de Canterbury

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    PROGRAMME

     

    Kyrie - Messe en si mineur                                 Bach 1685 -1750

    When David heard                                        Weelkes 1576 – 1623

    Sleep Fleshly birth                                        Ramsey 1590 – 1644

    Rejoice in the Lord                                        Purcell 1659 - 1695      

    Allemande –  4e suite pour violoncelle                Bach                    

    Dona nobis pacem - Messe en si mineur             Bach

    Ave Maris Stella                                         Monteverdi 1567 - 1643         

    Pulchra Es                                                     Monteverdi

    Lamentations part 1                                  Tallis 1505 - 1585          

    Pur ti miro                                                     Monteverdi         

    Beatus Vir                                                      Monteverdi          

  • Verviers, Saint-Remacle, 5 avril, concert par le Marienchor

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  • Postmodernité, relativisme et vérité

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    De didoc.be :

    Comprendre le monde contemporain (4/10)

    par Jacques Leirens

    « Postmodernité, relativisme et vérité » est le quatrième d’une série de dix articles. Dans ces textes, différents auteurs tentent une réflexion sur les idées qui configurent le monde actuel de la philosophie, de la science et de la culture, sur les principes qui orientent aujourd’hui notre manière de voir et d’agir. Ils s’interrogent aussi sur les atouts et les défis du message chrétien dans une culture postmoderne.

    On peut étudier la philosophie en Belgique sans jamais entendre prononcer le mot « vérité ». Ce vocable est banni par la mentalité postmoderne, caractérisée par le relativisme. Dans cet article sont reprises certaines idées déjà publiées dans Christianisme, vérité et relativisme.

    1. Le problème du relativisme

    Par l’attitude de sa conscience face à la vérité, le « relativiste » se distingue de la personne qui se trompe.

    Qui se trompe n’adopte pas nécessairement une attitude inadéquate face à la vérité. Qui prétend par exemple que deux plus deux font trois peut défendre cette position parce qu’il en est convaincu, bien qu’en réalité il se trompe. Et, pour prendre un autre exemple, qui prétend que Jésus-Christ n’a jamais évoqué sa divinité, qu’il n’est qu’un brave rabbin moralisateur ou un opposant au régime romain, peut l’affirmer parce qu’il pense sincèrement que c’est vrai, même si ce ne l’est pas. Dans ces deux exemples, la personne part de la conviction que la vérité est connaissable : ceux qui l’atteignent ont raison, dans la mesure où ils l’ont atteinte, et ceux qui ne l’atteignent pas ont tort. Mais, dans les deux cas, avec ce genre de personne, on peut discuter.

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  • Le courage des chrétiens nigerians

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    De l'Aide à l'Eglise en Détresse :

    NIGERIA : courage et foi au milieu des attaques

    Plus de 2.000 personnes dans le nord du Nigeria ont risqué leur vie en se rassemblant dimanche dernier, 16 mars, pour la messe, alors que leur ville était en train d’être bombardée.

    Décrivant la Cathédrale Saint-Patrick, à Maiduguri, comme « encerclée », le Père John Bakeni, qui célébrait la messe, a déclaré que les gens lui avaient ensuite dit que si les attaques empiraient, ils préféreraient mourir à l’église plutôt qu’ailleurs. La messe dominicale a eu lieu après que des extrémistes présumés de Boko Haram ont lancé l’une de leurs principales campagnes armées de ces derniers mois, en tirant des roquettes et en se lançant massivement à l’assaut des casernes militaires. Des centaines de personnes sont mortes et l’inquiétude ne cesse d’augmenter en ce qui concerne la capacité du gouvernement à retenir les extrémistes.

    Au cours d’un entretien accordé lundi 17 mars à l’AED, le Père John Bakeni témoigne : « Hier matin, beaucoup de bombes ont explosé, mais cela ne semble pas avoir dissuadé les gens de venir à l’église. C’est une leçon d’humilité et une expérience édifiante que de voir tant de gens à la messe. L’endroit était bondé. Pendant l’homélie, je leur ai dit qu’il était inutile de prêcher. Je leur ai affirmé : Votre présence en si grand nombre est en soi une homélie. »

    Le prêtre a demandé à l’AED d’inviter instamment le monde à prier pour le peuple du Nigéria : « S’il vous plaît, priez pour que cette violence cesse. »

    L’Eglise parmi les ennemis de Boko Haram 

    Déjà dans un précédent message, le P. Bakeni avait décrit les attaques du vendredi 14 mars par ces mots : « Nous avons été accueillis au son assourdissant des explosions de bombes, des roquettes et des tirs. Il y avait de la confusion et un vacarme infernal partout. » Des centaines d’insurgés, vêtus de treillis militaires, ont attaqué les casernes militaires de Giwa, à Maiduguri, et ont réussi à libérer leurs compagnons de lutte qui étaient retenus dans des cellules. D’autres attaques ont eu lieu contre des zones résidentielles et même un campus universitaire ; une attaque typique de Boko Haram, pour qui « l’éducation occidentale est interdite ».

    Boko Haram l’a affirmé : ses ennemis sont le gouvernement nigérian, les établissements éducatifs et l’Église, ainsi que les musulmans modérés.

    Lors des affrontements militaires qui se sont poursuivis pendant plus de quatre heures, on a dénombré plus de 200 morts parmi les insurgés. Le Père Bakeni et d’autres personnes ont prévenu ces jours-ci que les forces ennemies s’étaient « regroupées » et étaient en train d’organiser de nouvelles attaques, faisant de plus en plus craindre que Maiduguri ne soit sur le point de tomber aux mains des extrémistes.

    De la « connivence » a été signalée entre les extrémistes et certains éléments de l’armée nigériane, ce qui expliquerait son récent échec à déjouer l’ennemi.

    Les attaques sur Maiduguri ont coïncidé avec les violences qui auraient été commises par des éleveurs musulmans fulanis contre des villages chrétiens non loin de Kaduna, dans la ceinture centrale du Nord du Nigeria. 

  • Artège a le vent en poupe

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    artege.jpgLe groupe Artège rachète Desclée de Brouwer et les Editions du Rocher

    Lu sur Le Monde.fr (Alain Beuve-Méry)

    L'édition religieuse en France a pour principales caractéristiques d'être ramifiée en autant de chapelles, cénacles et groupes qu'il y a de sensibilités au sein de l'Eglise catholique

    L'édition religieuse en France a pour principales caractéristiques d'être ramifiée en autant de chapelles, cénacles et groupes qu'il y a de sensibilités au sein de l'Eglise catholique. Et d'avoir a un poids économique faible : moins de 2 % des 2,77 milliards d'euros du chiffre d'affaires total des éditeurs. Mais elle a toujours intéressé de généreux mécènes.

    Mercredi 19 mars, le choix du tribunal de commerce de Paris de valider, la reprise du prestigieux groupe Desclée de Brouwer (DDB), fondée en 1877 - et qui fut un temps la propriété du Monde -, par les éditions Artège, peu connues du grand public, ressemble en quelque sorte à une tempête… dans un bénitier.

    Fondées en 2005 à Perpignan, par Bruno Nougayrède et Loïc Merian, deux chefs d'entreprise qui placent la foi catholique au coeur de leur démarche, Artège est présent dans la presse, l'édition et la vente par correspondance. Ce petit groupe, qui édite la revue Parole et Prière, diffusée à 25 000 exemplaires, emploie 15 salariés et réalise 3 millions d'euros de chiffre d'affaires par an.

    TRANSFORMATION DANS LES ANNÉES 1980

    Or, dans la corbeille de la mariée, outre DDB, Artège a récupéré un chapelet de petites maisons religieuses : Le Sénevé, Lethielleux et François-Xavier de Guibert, mais aussi les Editions du rocher. Fondées en 1943 par Charles Orengo à Monaco, les Editions du rocher ont d'abord publié de la poésie, avant d'acquérir une certaine notoriété littéraire, puis de retourner dans un certain oubli.

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  • Jacques Testart prévient : le risque de l'eugénisme se précise

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    Pour Jacques Testart, sur le site de La Vie,  "le risque de l'eugénisme se précise"

    Trente-deux ans après avoir fait naître Amandine, premier « bébé éprouvette » français, le biologiste Jacques Testart appelle à la démédicalisation de la procréation. Dans un nouvel et passionnant essai (Faire des enfants demain, au Seuil), il alerte sur les risques de basculer avant la fin du siècle dans un eugénisme d'ampleur inédite dans l'histoire de l'humanité.

    L'assistance médicale à la procréation (AMP) va devenir, dites-vous, la façon pour tous de faire ses enfants. Pourquoi ?

    Parce que nous allons vraisemblablement être capables de produire sans limites des gamètes à partir de cellules banales. C'est une révolution biologique car jusqu'à présent, on connaît deux lignées bien distinctes : les banales cellules somatiques, et les cellules germinales. Or voilà que les Japonais et les Coréens, notamment à partir des travaux du prix Nobel Shinya Yamanaka, nous montrent sur la souris qu'on peut fabriquer l'une à partir de l'autre. Pour l'ovule cela va tout changer, car c'est la cellule la plus rare ! On va donc être en mesure de produire des embryons in vitro par centaines, et de recourir au DPI (diagnostic pré-implantatoire) pour choisir et transplanter celui qui présente le moins de défauts. L'AMP, qui est actuellement un parcours du combattant, va devenir indolore et sans astreinte puisqu'il suffira de laisser quelques unes de vos cellules de peau au laboratoire. Celui-ci procédera à la transformation cellulaire, puis à la fécondation, à des tests génétiques, et appellera le couple pour le transfert de l'embryon qui aura été choisi. Les couples pourront aussi se faire stériliser pour ne plus avoir à se soucier de contraception : ils pourront quand même procréer quand ils le veulent. Et deuxième révolution : celle de la génétique avec la détection de caractéristiques innombrables, et de l’outil informatique pour en déduire des prédispositions. Il n'y a donc pas de raison que l'AMP ne devienne pas une façon normale de fabriquer sérieusement des bébés, plutôt que de laisser faire le hasard.

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  • Persécutions : les chrétiens ne lâchent rien

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    Persécutions : Les chrétiens ne lâchent rien ! (sur le site de l'Homme Nouveau)

    Rédigé par Marc Fromager, directeur de l'AED-France

    À travers le monde ils sont plus de 200 millions à être persécutés parce qu’ils sont chrétiens. À temps plein, sans répit, ni repos. Leur fidélité au Christ nous encourage à ne rien lâcher dans notre combat pour des valeurs civilisationnelles non négociables comme dans notre combat spirituel. Témoins et modèles pour aujourd'hui, les chrétiens qui ont ainsi résisté sont nombreux, comme en témoigne notre dernier hors-série. Un article de Marc Fromager, directeur de l'AED-France, paru dans le dernier numéro de L'Homme Nouveau.

    Demeurer chrétien

    Nous avons tous, depuis l’année dernière, occupé l’un ou l’autre de nos dimanches, voire plusieurs, à arpenter les rues de Paris, tantôt dans la grisaille hivernale de janvier, tantôt sous le soleil printanier de fin mai, et tout cela pour résister contre ce qui nous paraissait un délitement certain de quelques valeurs civilisationnelles primordiales. Nous – et nos enfants – avons été gazés mais au pire, on ne risquait pas grand-chose.

    Pour les chrétiens persécutés aujourd’hui, il en va tout autrement. Pour eux, il s’agit de défendre la simple possibilité de demeurer des chrétiens. Cette fidélité au Christ leur vaut une discrimination rampante quand ce n’est pas une persécution violente. Pour certains d’entre eux, c’est même leur vie qui est en jeu. Pour tous, il serait tellement plus simple et, à court terme, tellement plus pertinent, d’abandonner le Christ et de devenir ou redevenir musulman, hindou, communiste… Certains craquent – qui sommes-nous pour les juger ? – mais la plupart ne lâchent rien ! Ce sont les résistants par excellence, « l’élite de l’Église » selon le père Werenfried, fondateur de l’Aide à l’Église en Détresse (AED).

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  • Prochains synodes sur la famille : éviter les illusions

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    Synodes sur la famille : le P. Alain Mattheeuws fait le point
    Le "questionnaire" ne constitue pas directement un "instrument de travail"

    Rédaction de Zenit.org :

    « Il convient toujours de considérer (…) la bonté de la volonté divine et la puissance de son action plus que l’incapacité de nos libertés à y correspondre », déclare le Père Alain Mattheeuws, jésuite, docteur en théologie morale et sacramentaire de l’Institut Catholique de Toulouse. Il est actuellement professeur à l’Institut d’Etudes Théologiques à Bruxelles. Sa recherche concerne le sacrement du mariage (« Union et Procréation » et « S’aimer pour se donner »). Il donne également des cours à la Faculté Notre-Dame de Paris et dans d’autres Facultés. Il évoque le double synode de 2014 et de 1015 sur la famille. Quelques précisons utiles sur le fameux « questionnaire », à distinguer d’un « instrument de travail » synodal, qui viendra ensuite.

    Dans l’Eglise, il y a de la vie et des nouveautés : on parle beaucoup de la famille et des deux prochains synodes qui lui seront consacrés. Pourquoi attacher une telle importance à ces synodes ?

    Tout simplement parce que la thématique du mariage et de la famille concerne une grande majorité des chrétiens ainsi que l’ensemble de toute société. Nous le voyons concrètement aussi dans les évolutions occidentales du statut du mariage civil : il y a de l’intérêt et de la passion ! De plus quelles que soient les situations, nous sommes tous « fils ou filles » de nos parents et « enfants de Dieu en son Eglise ». Jean-Paul II avait également commencé son pontificat par un synode sur la famille. La condition familiale est un lieu de vie bien particulier, surtout si elle est sacramentelle. Ce n’est pas une question annexe ou simplement réservée à des spécialistes. Le mariage n’est-il pas un lieu privilégié de sanctification et de présence divine ?

    Que dire ou penser du questionnaire proposé à tous les chrétiens ?

    Bien sûr, ce n’est ni un référendum ni un relevé statistique, mais il a intéressé de nombreux chrétiens, stimulé une certaine réflexion, donné la parole à beaucoup qui le désiraient. L’enquête a été bien accueillie même si la forme des questions en a dérouté certains. Pour d’autres, les délais de transmission des documents entre les diverses instances étaient trop resserrés et un certain nombre n’ont pas pu travailler le questionnaire et y apporter leur collaboration. La passion, les questions, les réponses, les avis, montrent qu’il y a une grande attente et une grande soif à propos des réalités de l’amour, du lien conjugal et de la fécondité familiale. Le matériel est immense et fera date. Les synthèses diffèrent suivant les pays et les diocèses. On pourra cependant établir quelques constantes susceptibles d’éclairer le discernement sur ce qui est vécu par le peuple de Dieu, compris, attendu dans ces questions délicates. Les diverses publications sont bien sûr de styles différents selon les pays et les synthèses enlèvent un peu de la spontanéité des réponses personnelles.

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  • Paris : la Basilique du Sacré-Coeur vandalisée

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    Lu sur lefigaro.fr :

    La Basilique de Montmartre vandalisée ou la banalisation des actes anti-chrétiens

    Julie Graziani, porte-parole d'Ensemble pour le Bien Commun réagit à la profanation de la Basilique du Sacré-Coeur par des groupuscules anarchistes.

    Julie Graziani est porte-parole d'Ensemble pour le bien commun, une association de jeunes laïcs catholiques notamment à l'origine de la supplique présentée au pape François.

    Il y a quelques semaines "Ensemble Pour le Bien Commun" dénonçait, dans une supplique adressée au Pape François, la prolifération des actes et des paroles antichrétiens et se faisait l'écho du malaise de nombreux catholiques en France, obligés de constater l'indifférence générale dans laquelle se perpétraient des profanations d'églises, voire même l'indulgence médiatique et politique réservée à leurs auteurs.

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  • 22-23 mars : Pères de famille en marche avec le pape François

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    DSC_0198.jpg"Pères de famille en marche avec le pape François"

    Les pères (et futurs pères) de familles de Belgique sont tous invités à participer à la 11ème marche organisée spécialement pour eux samedi 22 et dimanche 23 mars.

    Ils pourront rejoindre des équipes de Bruxelles, Namur, Arlon, Liège qui se retrouveront pour arpenter les chemins de grande randonnée de cette belle région

    Partant de Spa ils rejoindront le sanctuaire de Banneux.  En cours de route, le frère Roger-Marie donnera différents enseignements sur le thème

    "Pères de famille en marche avec le pape François".  Le message du Pape François (notamment celui de la lettre apostolique 'la joie de l'Evangile') sera au coeur de cette marche.

    Arrivés à Banneux, les pères reprendront des forces autour du désormais célèbre apéritif qui les y attend.

    Ils pourront confier leur vie et leur famille au Coeur de Jésus au cours d'une veillée d'adoration qui suivra le souper.

    Dans cette prière, comme le disait encore Benoît XVI, leur âme d’hommes continue à se nourrir « d’amour, de vérité, de paix; elle se nourrit d’espérance, parce que Celui devant lequel nous nous prosternons ne nous juge pas, ne nous écrase pas, mais nous libère et nous transforme. »

    Dimanche 23 mars, les pères se rendront à Tancrémont avant de retourner au sanctuaire de Banneux pour partager un repas tiré du sac avec les familles qui les rejoindront.

    La messe de clôture aura lieu à 14h30 au prieuré des frères de Saint-Jean - 50 rue de la Sapinière 4141 Banneux.

    Inscription et renseignements - www.marchedesperes.be

  • A propos de l'abrogation de la transmission automatique du patronyme

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    Une opinion de Joseph Junker sur LaLibre.be :

    Sans que personne ne lui demande quoi que ce soit, la chambre des représentants s’apprête à voter la fin de la transmission automatique du patronyme. Un compromis surréaliste qui a tout d’une bonne blague belge, mais aussi et surtout une loi inutile et génératrice de ce qu’elle prétend précisément combattre: le sexisme.

    Certes, cette différence de traitement en faveur de l’homme détonne un peu dans une société qui aime à se revendiquer égalitaire, voire égalitariste. Mais n’y voir qu’un relent de patriarcat, un symbole de domination masculine à abattre pour le plus grand bien de la société heureuse… qui n’avait rien demandé, et bien permettez-moi de trouver cela un petit peu court.

    Car on se demande bien de quelle égalité il est question ici ! Comme si la filiation de la mère et du père s'établissait de la même manière, comme si le lien entre l'enfant et le père était dès le premier instant de la vie le même que celui entre l'enfant et la mère, comme si le père pouvait donner vie à un enfant en sa propre chair plutôt que symboliquement en lui donnant son nom !

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