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BELGICATHO - Page 1868

  • Modifications au rituel d'inauguration du pontificat

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    Lu sur « Zenit » :

    Benoît XVI a approuvé «de son Autorité apostolique», plusieurs modifications à l’"Ordo Rituum pro Ministerii Petrini initio Romae Episcopi", lors d'une audience accordée à Mgr Marini le 18 février dernier, et il en a disposé la publication (…) :

    « Aussi bien lors de  la célébration du début du ministère de l’Evêque de Rome, que lors de la célébration de l’intronisation sur la chaire de Rome à Saint-Jean-de-Latran, les rites typiques seront placés avant et en-dehors de la Messe et non plus au sein de celle-ci. Ensuite, en ce qui concerne la célébration du début du ministère de l’Evêque de Rome, l’acte d’«obédience» sera accompli par tous les cardinaux présents à la concélébration. De cette manière, ce geste qui est effectué immédiatement après l’élection, dans la chapelle Sixitine, par les cardinaux électeurs, recommence à avoir une dimension également publique et reste ouvert à tous les membres du collège cardinalice, en assumant dans le même temps un caractère de catholicité. Il ne s’agit pas d’une nouveauté, dans la mesure où tous se rappellent bien, au début du pontificat de Jean-Paul II, de l’acte d’obédience accompli par tous les cardinaux alors présents à la concélébration. Parmi ces derniers, on peut se rappeler des photographies, désormais très célèbres et émouvantes, représentant le baiser du Pape Wojtyła à celui qui était alors le cardinal Joseph Ratzinger et au cardinal Stefan Wyszyński. »

    Modifications au rituel d'inauguration du pontificat | ZENIT -

    Il s’agit de la restauration du caractère public de l' « adoratio » du nouveau souverain pontife par les cardinaux.

  • Un pape pour les Rameaux ? les points de vue divergent...

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    Sous la signature de Jean-Marie Guénois, dans le « Figaro » :

    « Le Saint-Siège devrait publier un Motu Proprio (décret signé de Benoît XVI) portant modification de la réglementation canonique pour l'élection du pape. Ce texte ouvrira la possibilité pour les cardinaux d'avancer la convocation du conclave si une majorité se dessinait en ce sens vendredi 1er mars. En ce premier jour de la vacance du siège apostolique - Benoît XVI quittant sa fonction le 28 février à 20 heures -, les cardinaux présents à Rome se réuniront en «congrégation générale». Leur premier travail consistera à voter la date d'entrée en conclave. En effet, sans la modification apportée par le Pape dans ce décret, ils devraient attendre entre quinze et vingt jours, à partir de la vacance du siège.

    Les cardinaux italiens veulent un pape avant la semaine sainte

    Il est probable que ce décret leur donnera le droit de raccourcir ce délai, à dix jours par exemple, mais ils devront voter à la majorité simple pour le décider. Ce qui indique que l'on ne saura pas avant le vendredi 1er mars la date du début du conclave. C'est-à-dire l'entrée des 116 cardinaux dits «électeurs», donc actuellement âgés de moins de 80 ans, dans la chapelle Sixtine où ils seront enfermés à clé pour élire le successeur de Benoît XVI.

    Certains cardinaux, italiens notamment, sont pour une accélération du processus car elle permettrait de voir le nouveau pape élu avant la semaine sainte, la dernière de mars, cette année. D'autres, dont le cardinal André Vingt-Trois, mais il n'est pas le seul, pensent qu'il importe au contraire de prendre le temps de réfléchir car l'enjeu le mérite. »

    Tout l’article ici : Benoît XVI : ce Pape qui va servir l'Église autrement

  • Le rejet de l'Eglise par les médias

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    A propos d'un article du sympathique Bosco d'Otreppe ("Mais que se passe-t-il donc entre l'Eglise et la presse ?), des extraits d'une étude consacrée au sujet par Guillaume de Prémare intitulé "Eglise, communication et médias" qui date déjà un peu (2009) mais qui vaut d'être lue en son entier :

    "... si la presse s’intéresse aux différentes spiritualités et sagesses, notamment nouvelles et orientales, la dimension spirituelle du christianisme retient assez peu son attention. La spiritualité semble même être ce qui l’intéresse le moins lorsqu’elle traite de l’Église catholique. C’est l’impact social du catholicisme, c’est-à-dire sa présence et son influence dans la société, qui l’intéresse le plus. Et bien souvent, le catholicisme apparaît comme un contre-modèle qui s’oppose aux hommes de ce temps, non pas à cause de la spiritualité vécue par les chrétiens, qui ne dérange personne ou presque, mais à cause des options morales, politiques et sociales portées par l’Église. (...)

    Nous devons ... veiller à ce que certains sujets ne soient pas volontairement déformés ou caricaturés dans l’objectif de nourrir l’audience. À cet égard, une vigilance et un dialogue sont nécessaires. Et les catholiques, comme tous les citoyens, ont des droits à défendre : "L’information médiatique est au service du bien commun. La société a droit à une information fondée sur la vérité, la liberté, la justice et la solidarité" (Paul VI, Message pour la Journée mondiale des communications)... Il est légitime et nécessaire que les catholiques écrivent et protestent, si possible sans agressivité, pour faire valoir ce droit lorsqu’ils jugent qu’il est bafoué. ..."

  • Une enquête chez les Frères Musulmans

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    Il y a trois jours, la RTBF a diffusé un documentaire consacré aux Frères Musulmans :

    Voir la video : http://www.rtbf.be/video/detail_la-confrerie-enquete-chez-les-freres-musulmans?id=1801333

    Présentation : 

    La Confrérie des Frères Musulmans a été fondé en Egypte en 1928 avec comme objectif une renaissance islamique et une lutte contre l'influence occidentale. Elle a rapidement essaimé ses idées dans les pays du Moyen-Orient. Longtemps traqués par le régime, les Frères Musulmans se taillent désormais une place de choix dans le paysage politique post-Moubarak et ont accédé au pouvoir. Mais les Frères Musulmans qui récoltent aujourd'hui les fruits de la révolution pour la démocratie, en seront-ils les fossoyeurs ? Ou prônent-ils, comme ils le prétendent eux-mêmes, un « islam modéré », en phase avec la modernité, et compatible avec la démocratie ? En même temps qu'il nous raconte l'histoire du mouvement, c'est à ces deux questions essentielles que le film se propose de répondre, à travers des interviews de personnalités politiques du monde arabe, d'historiens, de témoins et d'archives souvent inédites. Un fim de Michaël Prazan, écrivain et réalisateur auteur notamment d'une trilogie documentaire sur l'Histoire du terrorisme diffusé sur notre antenne l'an dernier. 
    Une production KUIV Productions avec la participation de la RTBF 

  • Benoît XVI restera au service de l'Eglise

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    Lors de son dernier Angelus dominical, le pape a insisté sur l'importance de la prière sans laquelle tout ce que nous pourrions faire ne serait que de l'activisme. Il a insisté sur ce double mouvement de la vie du chrétien : ascensionnel pour nous élever dans la prière et la contemplation, de descente vers nos frères humains pour leur témoigner l'amour de Dieu. A propos de son prochain départ, le pape a affirmé qu'il n'abandonnait pas l'Eglise mais qu'il continuerait à la servir de façon plus appropriée à son état et aux forces qui lui restent, par la prière tout particulièrement. En agissant ainsi, le pape dit répondre à l'appel qui lui est adressé par le Seigneur. La place Saint-Pierre était noire de monde jusqu'au début de la Via della Conciliazione.

    La video de l'Angelus est sur KTO : http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/angelus-angelus/00072938

    Le compte-rendu du VIS :

    Cité du Vatican, 24 février 2013 (VIS). Deux cent mille fidèles sont venus pour prendre part au dernier angélus dominical de Benoît XVI. La foule débordait sur la place Pie XII et l'avenue de la Conciliation. Salué à midi par une immense ovation, il a précédé sa méditation d'un chaleureux remerciement.

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  • Nouvelle campagne médiatique contre l'Eglise

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    Voir : 

    Dernière campagne en date, certainement pas la dernière à prévoir... mais en tout cas, des attaques inouïes et terrifiantes selon Massimo Introvigne (traduite par notre amie de Benoit-et-moi). Pour le vaticaniste italien, on assiste à du jamais vu orchestré par une galaxie d'organisations hostiles à l'Eglise (féministes, LGBT, maçonniques, ...), appuyé par l'ultra-fondamentalisme islamiste, porté aussi par des milieux catholiques progressistes, et même par des gens de l'entourage direct du pape (cfr Vatileaks). Tous ces adversaires ne sont évidemment pas prêts à désarmer et il faut s'attendre à les voir déclencher de nouvelles attaques dans les temps à venir. Ce qui ne doit pas nous étonner ou nous conduire à la désespérance. Le disciple n'est pas au-dessus du maître et on sait combien ce dernier fut outragé au point de ne plus ressembler à un homme...

    (Dans ce registre, RTL TVI se surpasse. Si l'on veut assister à un chorus haineux de déchainement anticatholique, on pourra visionner l'émission "On refait le monde" de ce dimanche midi.)

  • Quand d'aucuns tentent de manoeuvrer l'opinion publique pour faire pression sur le prochain Conclave

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    COMMUNIQUE DE LA SECRETAIRERIE D'ETAT

    Cité du Vatican, 23 février 2013 (VIS). La Salle de Presse a diffusé ce midi le communiqué suivant de la Secrétairerie d'Etat: "Le Saint-Siège a toujours étroitement défendu la liberté du Collège cardinalice, à qui revient de droit l'élection du Souverain Pontife. Elle constitue la garantie d'un choix strictement fondé sur le bien de l'Eglise. Au cours des siècles, les Cardinaux ont été soumis à toute sorte de pressions, personnelles ou collectives, destinées à conditionner leur décision en les pliant à des logiques politiques. Jadis ce sont les puissances qui cherchaient à conditionner l'élection papale. On tente aujourd'hui d'utiliser le poids de l'opinion publique, généralement sur la base d'évaluations ignorant la nature spirituelle du moment que vit l'Eglise. On déplore donc qu'avant le conclave, où les Cardinaux exprimeront leur choix librement et devant Dieu, on diffuse des informations non vérifiées ou invérifiables, quand elles ne sont pas totalement fausses, au dam des personnes et de l'institution. Plus que jamais les catholiques se concentrent sur l'essentiel qui est de prier pour le Saint-Père et pour que l'Esprit Saint éclaire les Cardinaux, de prier pour le futur Pape. Ils sont conscients de ce que l'avenir de l'Eglise réside dans les mains de Dieu".

    Et sur Radio Vatican : "Le père Lombardi : On tente de jeter le discrédit sur l'Eglise"

    Foi et espérance. C’est avec ces mots simples que le père Lombardi a voulu répondre avec force aux récentes attaques faites contre le Saint-Siège. Depuis une semaine et à l’approche du conclave la presse fait état d’intrigues dans les hautes sphères du Vatican. Dans son éditorial pour Radio Vatican, le directeur de la salle de presse du Saint Siège a également fustigé ceux qui souhaitent semer « la confusion » et « jeter le discrédit sur l’Eglise ». 

    « Médisance, désinformation voire calomnie », les mots du père Lombardi auront rarement été aussi durs contre les détracteurs de l’Eglise. C’est dire l’enjeu de la situation après la renonciation annoncée de Benoît XVI. « Certains cherchent à profiter du mouvement de surprise et de désorientation en exerçant des pressions inacceptables » a dénoncé le père jésuite. En effet depuis quelques jours, la presse italienne regorge d’articles évoquant la présence d’un « lobby gay » au sein du Vatican et qui serait victime de chantage de laïcs. De quoi « conditionner l’exercice du vote de tel ou tel membre du Collège des Cardinaux sur lequel pèserait d’éventuels soupçons » dénonce le père Lombardi. Et d’ajouter : « C’est une description profondément injuste de l’Eglise ». « Celui qui voit le monde seulement à travers le prisme de l’argent, du sexe et du pouvoir est au final incapable de voir autre chose dans l’Eglise également ».

    Un temps pour la conversion et l'espérance

    Le directeur de la salle de presse du Saint-Siège défend ainsi l’esprit dans lequel l’Eglise voudrait vivre ce temps d’attente et de préparation. Un esprit tourné vers un temps de réflexion sincère sur les attentes spirituelles du monde et sur la fidélité de l’Eglise à l’évangile. Un chemin pénitentiel de conversion vers la joie de Pâques. Le père Lombardi coupe court à tous les mensonges : conversion et espérance, c’est comme cela que nous vivons et que nous vivrons ce chemin vers Pâques. 

  • Un beau voyage dans le psautier

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    Cité du Vatican, 23 février 2013 (VIS). Le Saint-Père a tenu à remercier par écrit le Cardinal Gianfranco Ravasi, Président du Conseil pontifical pour la culture, qui a prêché la retraite de Carême: "Vous nous avez proposé un beau voyage dans le psautier, suivant un mouvement à la fois ascendant et descendant. Les psaumes tournent notre regard vers Dieu, vers le mystère dans lequel l'âme s'abîme, et montrent que la Parole permet de recevoir les diverses facettes de la révélation divine. C'est dans la lumière que se manifeste le visage de Dieu, tandis que la prière des psaumes nous fait regarder l'homme, afin de reconnaître en vérité ses joies et ses peines, ses angoisses et ses espérances. Transmise par l'Ars Orandi de l'Ancienne Alliance puis de l'Eglise, la Parole de Dieu ravive sans cesse l'Ars Credendi. C'est une exigence d'autant plus forte durant l'Année de la foi et face au moment particulier que le siège apostolique et moi-même vivons. Le Successeur de Pierre et ses collaborateurs sont appelés à offrir à l'Eglise comme au monde un témoignage de foi clair. Ceci n'est possible qu'en s'immergeant de manière profonde et stable dans le dialogue de Dieu. A tous ceux qui demandent, Qui nous montrera le bien?, seuls peuvent répondre ceux qui reflètent par leur vie la lumière de Dieu et montrent son visage".

  • Le cardinal Julien Ries est mort

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    Julien-Ries.pngFait récemment cardinal par le pape Benoît XVI, Julien Ries a parcouru une longue trajectoire de prêtre et de professeur. Jusqu'à la fin, il a oeuvré et travaillé au service de l'Eglise avec un immense dévouement et une très grande compétence. Son sujet de prédilection était l'homo religiosus auquel il a consacré de nombreux ouvrages et articles qui font autorité. Il s'inscrivait dans le sillage des plus grands : Dumézil, Eliade, Durand, etc., pour faire sa place à cette dimension symbolique et religieuse de l'homme qui l'ouvre à la transcendance depuis l'aube des temps. Le Professeur Ries était attaché à l'Université Catholique de Louvain dont il déplorait toutes les dérives et où il ne comptait pas que des amis. A travers le monde, nombre d'institutions lui sont redevables de les avoir approvisionnées en ouvrages recueillis inlassablement par le Centre Cerfaux-Lefort qu'il avait créé et entouré de tous ses soins. 

    L'agence Belga consacre une dépêche à la disparition de ce grand homme qui ne fut pas toujours salué comme prophète en son pays mais dont l'oeuvre scientifique marquera incontestablement l'histoire des religions. Nous perdons un auguste ami, mais puisse sa naissance au Ciel en faire un intercesseur et un soutien efficaces dans ces combats qui nous requièrent chaque jour davantage.

    Voir : http://www.belgicatho.be/archive/2012/01/24/un-entretien-avec-le-cardinal-julien-ries.html

  • Lunch-débat à l’Université de Liège, le mercredi 27 février 2013 à 18 heures : « Les droits de l’homme et la famille » »

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    014.JPGLe Groupe « Ethique sociale » et l’Union des Etudiants catholiques de Liège organisent cette année un cycle de sept rencontres à l’Université de Liège, sur le thème « Les droits de l’homme en péril : dialogue entre religions et philosophies non confessionnelles ».

    Le mercredi 27 février 2013 à 18 heures, c’est Michel GHINS qui occupera la tribune en traitant le sujet suivant : « Les droits de l’homme et la famille » : les droits de l'homme sont aujourd'hui invoqués pour modifier la notion traditionnelle de la famille : "droits reproductifs", mariage homosexuel, adoption par des couples homosexuels, gestation pour autrui... Doit-on considérer que ces applications nouvelles entrent dans la cohérence des droits de l'homme ou que, au contraire, elles les dénaturent?  Des enjeux et un débat d’une actualité brûlante.

    La rencontre a lieu à la Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat deimagesCA53EDLR.jpg l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.

     Inscription obligatoire par tél. 04.344.10.89 ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 € , à régler sur place. 

    Professeur à l’Université Catholique de Louvain  (Institut Supérieur de  Philosophie), où il enseigne la philosophie des sciences et de la nature, Michel GHINS n’est pas seulement un brillant intellectuel, membre de plusieurs sociétés scientifiques internationales, mais un homme de terrain et de conviction et c’est à ce titre aussi qu’il préside l’association « Action pour la Famille  ». 

    Plus d’informations ici :  http://www.ethiquesociale.org/Liège, 27 février : les droits de l'homme et la famille

     

  • Ouganda : les procédés douteux de l'Institut Guttmacher

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    headerLogo.jpgL’institut Guttmacher se sert de données mensongères pour les besoins de sa campagne

    NEW YORK, 22 février (C-FAM) Un nouveau rapport de l’Institut Guttmacher sur l’Ouganda recommande l’amélioration de l’accès à la contraception et à l’avortement comme moyen d’améliorer la santé des femmes et de réduire le nombre de grossesses non désirées. Le groupe utilise des données de valeur douteuse pour pousser son agenda auprès de personnes qui, il le reconnait, veulent des enfants et rejettent l’avortement.

    L’institut Guttmacher estime que plus de 54% des grossesses en Ouganda ne n’étaient pas désirées, et que  « le niveau élevé de grossesses non désirées et le nombre d’enfants souhaités en Ouganda seraient à mettre sur le compte principalement d’un usage insuffisant de moyens contraceptifs ». D’après des données de 2006 d’un bureau de l’ONU, le besoin non satisfait de contraceptifs en Ouganda s’élève à 38%.

    D’après le raisonnement de Guttmacher, un meilleur accès aux contraceptifs en Ouganda pourrait faire baisser le taux de grossesses non désirées. Cependant, même aux Etats-Unis, où l’on se targue que le besoin non satisfait de contraceptifs ne s’élève qu’à 6 ou 7%, la moitié des grossesses seraient elles aussi non désirées. (Voir  le diagramme 1).

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