Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

BELGICATHO - Page 1906

  • France : mobilisation pour empêcher la recherche sur l'embryon humain

    IMPRIMER

    Un appel de la Fondation Lejeune :

    Le Sénat a adopté le 4 décembre dernier une proposition de loi du parti radical autorisant la recherche sur l’embryon humain. Si le texte est voté dans les mêmes termes par l’Assemblée Nationale, la France basculera d’un principe d’interdiction à un principe d’autorisation : le changement est majeur.

    Il y a urgence : la commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale a désigné mercredi 30 janvier le rapporteur de cette proposition de loi (Dominique Orliac, parti radical). L’examen du texte aura lieu le 28 mars, dans un mois seulement, à l’Assemblée Nationale.

    Vous le savez, la recherche sur l’embryon est inutilement immorale. Immorale car elle détruit l’embryon. Inutile car les cellules souches non-embryonnaires (parmi lesquelles les IPS du Professeur Yamanaka, Prix Nobel de médecine 2012) dépassent aujourd’hui les cellules souches embryonnaires.

    Dans ce contexte, la Fondation Jérôme Lejeune a lancé une campagne de mobilisation contre l’autorisation de la recherche sur l’embryon humain (www.vous-trouvez-ca-normal.com). Cette mobilisation doit prendre de l’ampleur pour faire émerger le débat dans la sphère publique. Demain, il sera trop tard.

    Pour tout comprendre des enjeux de la proposition de loi, vous pouvez télécharger la synthèse « 3 clefs pour comprendre et agir » (http://www.fondationlejeune.org/images/documents_pdf/recherche-sur-l-embryon-3-clefs-pour-comprendre-et-agir.pdf).

    Comment agir ? C’est simple :

    • Signez la pétition et diffusez-la à votre entourage !

    Rendez-vous sur www.vous-trouvez-ca-normal.com/je-signe-la-petition et recevez le journal hebdomadaire de la campagne pour vous tenir informé et décrypter l’actualité et les concepts.

    • Envoyez des cartes de protestation à vos députés !

    Les parlementaires sont sensibles aux courriers qu’ils reçoivent de leurs électeurs. Plus de 35 000 cartes de protestations ont été commandées à ce jour sur le site de la campagne! Commandez-en gratuitement sur www.vous-trouvez-ca-normal.com/ecrire-a-mon-depute

    • Diffusez à vos familles, vos amis !

    La mobilisation est une affaire de réseaux ! Dès aujourd’hui, chacun active son carnet d’adresses : 
    - Ajoutez l’adresse www.vous-trouvez-ca-normal.com à votre signature de mail
    - Donnez des cartes de protestation à votre entourage

    • Likez ”la page Facebook“ Vous trouvez ça normal ? ” et invitez vos amis à faire de même

    La Fondation compte sur vous : il en va du respect de l’être humain comme principe fondamental de notre droit et de notre société.

    Merci par avance.

    Contre la recherche sur l’embryon

    Pétition en ligne sur : www.vous-trouvez-ca-normal.com

  • Benoît XVI désormais silencieux ? Pas tout à fait

    IMPRIMER

    Peter Seewald, le biographe allemand du pape Benoît XVI publiera bientôt un nouveau livre d’interview réalisées l’été dernier. Le pape lui a notamment dit son sentiment d'incompréhension face au scandale de fuites de documents confidentiels, qui avait conduit à la condamnation de son majordome. Jean-Marie Guénois, envoyé spécial du « Figaro » à Rome, rapporte le propos (à paraître) du Saint-Père :

    «Je ne suis pas tombé dans une sorte de désespérance, ou de douleur indicible, cette affaire m'a été tout simplement incompréhensible», a confié Benoît XVI au cours de l'été 2012, à son biographe allemand, Peter Seewald, à propos de l'affaire Vatileaks qui a vu le majordome personnel du Pape arrêté au printemps dernier, pour vol et publication de documents réservés sur le Vatican.

    Ces quelques phrases sont publiées, samedi, par la revue allemande Focus et sont extraites d'un nouveau livre d' interview entre Benoît XVI et Peter Seewald en cours de préparation. Selon cette même source, plutôt sérieuse, le Pape, après cette affaire qui a pourtant secoué le Vatican pendant des mois, se dit «ni perdu, ni fatigué après Vatileaks».

    Benoît XVI ajoute à propos de Paolo Gabriele, son ex-majordome, condamné à la prison puis gracié par lui avant Noël: «En voyant sa personne, je ne peux comprendre ce qu'on peut en attendre. Je ne parviens pas à pénétrer cette psychologie». Il note également qu'il était important que soit «garantie l'indépendance de la justice et qu'un monarque [le Pape en l'occurrence NDLR] ne dise pas ‘à présent, je prends les choses en mains'».

    «Je suis un vieil homme et mes forces diminuent»

    Interrogé, donc il y a plus de six mois, sur les perspectives à attendre de son pontificat, Benoît XVI précise: «Qu'attendre de moi? Pas grand-chose. Je suis un vieil homme et mes forces diminuent. Je crois que ce que j'ai fait peut suffire». Ce qu'a confirmé la déclaration qu'il a lue devant les cardinaux  le 11 février pour expliquer sa démission (…).

    Lire tout l’article ici : Benoît XVI n'a pas démissionné à cause de l'affaire Vatileaks

    et aussi : http://benoit-et-moi.fr/2013-I/articles/peter-seewald-dans-focus.php 

  • La Fraternité Saint-Pie-X persiste…et ne signera pas

    IMPRIMER

    Lu sur le site web du journal « La Croix » :

    « Selon nos informations, la Commission pontificale « Ecclesia Dei », chargée du dialogue avec les lefebvristes, a adressé début janvier à Mgr Bernard Fellay, supérieur général de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX), une lettre lui donnant jusqu’au 22 février pour accepter la dernière version duPréambule doctrinal remise le 13 juin. 

    Ce document devait rendre possible le retour de la Fraternité dans l’Église à condition de reconnaître la validité du Missel de Paul VI, le concile Vatican II et le Magistère comme interprète authentique de la Tradition… Des conditions repoussées en juillet par le chapitre général de la FSSPX. Aussi, à défaut d’une réponse positive de Mgr Fellay vendredi, Rome se réserverait la possibilité de s’adresser individuellement à chaque prêtre de la Fraternité.

    Interrogé par La Croix, le clergé lefebvriste ne semble pas prêt à sauter le pas. « S’ils veulent m’écrire, je leur répondrai très gentiment, mais je ne me vois pas quitter la Fraternité dans laquelle je suis depuis mon ordination il y a trente ans. Je ne vais pas changer aujourd’hui d’opinion », souligne l’abbé M.

    LA MAJORITÉ FAIT BLOC DERRIÈRE LE SUPÉRIEUR GÉNÉRAL

    La grande majorité fait bloc derrière le supérieur général. « Par le passé j’ai hésité à quitter la Fraternité, reconnaît l’abbé K., mais davantage pour des difficultés interpersonnelles que pour des raisons doctrinales. En revanche, aujourd’hui je n’ai aucun doute, au vu de la méthode adoptée dans les discussions avec Rome, j’ai une confiance absolue en Mgr Fellay. »

    Lire la suite

  • L'archevêque de Dijon commente la démission de Benoît XVI

    IMPRIMER

    C’est «le journal « La Croix qui  rapporte cette déclaration de Mgr Roland Minnerath : « ‘ Je suis toujours surpris ‘, affirme l’archevêque, qui a dit également « comprendre très bien le désarroi de beaucoup de fidèles », qui se demandent « pourquoi il n’est pas resté jusqu’au bout ». « On peut dire que c’est vraiment une décision très personnelle », a jugé Mgr Minnerath, qui estime que cette renonciation n’est en rien comparable à celles des papes antérieurs ayant quitté le trône pontifical. « C’était sous la pression de leur environnement. Ici, ce n’était sous la pression de personne », a-t-il avancé.

    Les papes précédents, a poursuivi Mgr Minnerath, « avaient bien compris que si un jour ils devaient tomber malades, ou ils devaient perdre la raison, ils devaient déclarer qu’ils renonçaient. La plupart ont fait cela. La plupart ont fait une sorte de testament, remis à leur secrétaire (…). Et ça, c’est absolument compréhensible. Mais Benoît XVI a toute sa raison, sa force intellectuelle et son rayonnement spirituel. » Mentionnant les visites ad limina de novembre, au cours desquelles les évêques français ont rendu visite au successeur de Pierre, l’archevêque de Dijon affirme que Benoît XVI « était en pleine forme intellectuelle. Bien sûr, il était fatigué, mais d’une vigueur de pensée, de repartie absolument remarquable ».

    Lire la suite

  • Des religieux surdoués sur le front de l'économie

    IMPRIMER

    Gaël Giraud et Cécile RenouardShare on facebook

     De Jean-François Rod (ancien "pdg" de La Procure) sur le blog de cette maison d'édition :

    Gaël-Giraud-et-Cécile-Renouard

    "Une fois n’est pas coutume, je vous parlerai de deux auteurs, Gaël Giraud, jésuite, et Cécile Renouard, religieuse de l’Assomption, qui sont tous deux des économistes de haut niveau et qui appliquent leur réflexion d’éthique chrétienne au domaine économique, financier et social.

    Disons-le d’emblée, nous avons affaire à des personnes plutôt surdouées et surdiplômées ! Gaël Giraud a fait Normale Sup et a passé un doctorat de mathématiques. Son premier livre « Théorie des jeux » expose ses premières réflexions à l’intersection de l’économie et des mathématiques appliquées. Avant d’entrer dans la Compagnie de Jésus, il a travaillé dans une grande banque internationale et il connaît de l’intérieur l’esprit qui règne dans les salles de marchés. Il a aussi enseigné au Tchad et il s’est occupé des enfants des rues. Il est aujourd’hui chercheur au CNRS et membre de centre de réflexion internationaux. Cécile Renouard, elle, est venue à l’économie par la philosophie et par les études commerciales (ESSEC). Elle a publié aux Presses Universitaires de France « La responsabilité éthique des multinationales » en s’appuyant sur des enquêtes de terrain, en particulier au Kenya et au Nigeria. Elle a présenté aussi la pensée de Michaël Waltzer aux éditions Temps Présent. Elle est professeur à l’Ecole des Mines de Paris et à l’Essec. Tous les deux enseignent au Centre Sèvres à Paris.

    Lire la suite

  • Syrie : "Rachetez un chrétien"

    IMPRIMER

    De Natalia Trouiller dans une Matinale de La Vie :

    Ce sont les ordres religieux de Syrie qui ont lancé à l'occasion du Carême une campagne intitulée "Rachetez un chrétien", afin d'obtenir la libération des pères Michel Kayyal (arménien-catholique) et Maher Mafouz (grec-orthodoxe), deux prêtres d'Alep enlevés par des inconnus le 9 février dernier, et dont on est sans nouvelles. Comme l'indique l'agence Fides, "la campagne 'Rachetez un chrétien' rappelle l’œuvre lancée en 1200 par Saint Pierre Nolasco, fondateur de l’Ordre religieux des Frères Mercédaires. Les religieux s’occupaient pratiquement du rachat des esclaves et des prisonniers, prenant contact et menant des négociations qui portaient à ce qu’il était convenu d’appeler 'rédemptions'. 'Aujourd’hui, nous vous demandons de vous unir à cette œuvre de miséricorde, la nouvelle Merci, en vue de la libération de nos frères chrétiens et pour obtenir la libération de la Syrie du douleur et de la disgrâce qui la caractérise actuellement. Seul un vrai parcours de dialogue intérieur et la volonté des puissances internationales pourra porter la paix, le don le plus grand pour le Moyen-Orient et pour le monde entier', indique l’appel qui lance la campagne".

    Ces événements se déroulent alors qu'une ONG non-confessionnelle, Minority Rights Group, vient de publier son rapport annuel sur la situation des minorités religieuses en Syrie. Il y apparaît que les chrétiens sont particulièrement fragilisés par le conflit en cours, et que cette situation profite aux mafias: "La majeure partie des réfugiés interrogés par l’ONG Minority Rights Group exprime le désir de quitter le Moyen-Orient et affirme que, pour ce faire, elle est entrée en contact avec des bandes de trafiquants d’êtres humains. 'Il existe aujourd’hui un marché florissant, multimillionnaire, s’étant développé autour de la crise des réfugiés syriens' remarque l’ONG racontant certains cas spécifiques et le commerce mis en place par les contrebandiers. Un réfugié a pu 'acheter un passeport suédois pour 7.000 USD' alors qu’au Liban s’organise 'une mafia de faux visas et de faux timbres' que des organisations illicites garantissent aux réfugiés afin de leur permettre de poursuivre leur voyage en direction de l’Europe".

  • Le cardinal Dziwisz (Cracovie) à propos de la démission de Benoît XVI : « on ne descend pas de la croix » .

    IMPRIMER

    Lu dans un point de vue juif sur la démission de Benoit XVI:

    On ne peut qu’éprouver du respect devant la décision du Pape Benoit XVI de démissionner dans une quinzaine de jours en raison de la perception qu’il a de son affaiblissement physique. L’annonce effectuée au cours d’un consistoire de cardinaux destiné à la canonisation de trois martyrs d’Otrante (à la suite de la prise de la ville par les troupes ottomanes) a stupéfait le monde. Les réactions étaient uniformément positives et le communiqué du Crif (conseil rerprésentatif des associations juives de France) a souligné le rôle considérable que Benoit XVI avait joué dans la pérennisation du dialogue judéo-catholique, précisant que «  seul, le cardinal Dziwisz de Cracovie, le plus proche collaborateur de Jean Paul II, a émis une forte réserve : « On ne descend pas de la croix ».

    La suite ici : Démission de Benoit XVI 

  • Mise au point ce dimanche sur RTBF-Télé : fin aréopage pour commenter la démission de Benoît XVI

    IMPRIMER

    Le débat télévisé « Mise au Point » de ce dimanche 17 février 2013 réunissait sur le plateau de la RTBF : Mgr Guy Harpigny, évêque de Tournai ; Gabriel Ringlet, prêtre et ex-vice recteur de l'UCL ; Pierre Galand, président du Centre d'action laïque ; Rik Torfs, sénateur Cd&V et professeur de droit canon ; Tommy Scholtès, s.j., responsable de presse et de communication de la Conférence épiscopale belge ; Anne Morelli, directrice du centre de l'histoire des religions à l’ULB ; Benoît Wailliez, supérieur de la Fraternité Saint-Pie X (district de Belgique) ; Myriam Tonus, tertiaire dominicaine féministe et professeur de religionLa RTBF en rend compte :

    « Pourquoi Benoît XVI se retire-t-il ? Parce qu’il a constaté les grands changements culturels, explique Mgr Guy Harpigny, évêque de Tournai: "Il n’avait plus la force pour tenir le coup. Il a pris la bonne décision". Une analyse que ne partage pas Christian Terras, rédacteur en chef de la revue Golias pour qui le pape a voulu faire une sortie moderne. "C’est une aveu d’impuissance face à un monde qui bouge. Il sait qu'il ne peut pas inverser le cours des choses ni faire la réforme nécessaire de l’Eglise et cela met le doigt sur l’incurie de la curie romaine". Tommy Scholtèsattaché de presse des évêques de Belgique pense que l’épisode Vatileaks et les tensions graves au sein de l’Eglise ont eu un impact sur sa décision. 

    Lire la suite

  • Le pénultième angelus pontifical de Benoît XVI

    IMPRIMER

    Sur Radio Vatican :

    A onze jours de la fin de son pontificat, Benoît XVI a présidé son avant-dernier Angélus dimanche à midi. La place Saint-Pierre était noire de monde. Sur les banderoles on pouvait lire « Merci », « Nous t’avons beaucoup aimé », « Tu nous as tant donné », « Tu nous manqueras ». Les romains étaient particulièrement nombreux. Le maire de la capitale italienne, accompagné des membres de l’Administration, était venu saluer Benoît XVI. Interrompu à plusieurs reprises par les applaudissements, Benoît XVI a remercié la foule immense venue lui exprimer son affection et tous ceux qui lui ont manifesté leur proximité spirituelle ou qui l’accompagnent de leurs prières en ces jours si particuliers pour lui-même et pour l’Eglise tout entière.

    Les paroles du Pape ne sont pas passées inaperçues quand il a affirmé que dans les moments décisifs de la vie, nous devons décider si nous voulons suivre notre moi ou bien Dieu. Nos intérêts personnels ou le vrai bien. Benoît XVI a mis en garde contre la tentation d’instrumentaliser Dieu pour servir ses propres intérêts, contre le risque d’attacher trop d’importance au succès, au pouvoir ou aux biens matériels qui offrent une fausse image du bien. Il a appelé les membres de l’Eglise catholique à se renouveler dans l’esprit et à se réorienter fermement vers Dieu. 

    Sa catéchèse, il avait choisi de la consacrer au Carême qui a commencé le mercredi des Cendres. Le Pape a résumé son allocution en plusieurs langues, dont le français :

    Texte de l'allocution du Pape en français

    Chers pèlerins francophones, le Carême qui vient de commencer est une invitation à donner davantage de temps à Dieu, dans la prière, la lecture de sa Parole et les sacrements. Par le jeûne nous apprendrons à ne pas négliger la véritable nourriture, spirituelle, pour résister aux tentations de l’indifférence et du laisser-aller, de l’égoïsme et de l’orgueil, de l’argent et du pouvoir. Méditons la manière dont Jésus a surmonté les tentations et demandons-lui la force de lutter contre le mal. Que ce Carême soit pour chacun le chemin d’une authentique conversion à Dieu et un temps de partage intense de notre foi en Jésus Christ ! Je vous remercie de votre prière et je vous demande de m’accompagner spirituellement durant les Exercices spirituels qui commenceront ce soir. Je vous bénis tous de grand cœur.

    Ecoutez le pape sur le site de Radio Vatican

    Et après l’Angélus, un nouveau tweet du Pape a été publié : « Le Carême est un temps favorable pour redécouvrir la foi en Dieu comme base de notre vie et de la vie de l’Église ! »

    L'intégralité du message sur zenit.org

  • Pourquoi Benoît XVI restera au Vatican

    IMPRIMER

    Le site ami "Benoît-et-moi" fait preuve de son indéfectible et inconditionnel attachement au pape, considérant son départ comme un "congé que le Seigneur lui donne". C'est respectable et nous ne nous autorisons pas à émettre le moindre jugement à l'égard de la décision pontificale même si nous nous interrogeons sur les conséquences de cette renonciation. Aujourd'hui (17/2), le même site s'interroge sur les raisons qui contraignent Benoît XVI à choisir de rester dans les murs du Vatican. Cela paraîtra invraisemblable aux yeux de certains mais il est vrai que, dans le contexte où nous vivons, rien ne doit plus nous étonner.

    A lire : http://benoit-et-moi.fr/2013-I/articles/pourquoi-le-pape-restera-au-vatican.php

  • L'Eglise en péril : le songe de Don Bosco

    IMPRIMER

    Un enseignement délivré à des jeunes et qui prend toute sa signification à l'heure que nous vivons.

  • Quand l'avortement tue deux fois

    IMPRIMER

    Bolivie : une jeune femme meurt d'un avortement (J. Smits)

    Il faut légaliser l'avortement pour éviter les morts maternelles : air connu. En Bolivie – où l'avortement demeure illégal – une jeune femme est décédée jeudi des suites d'un avortement. Faut-il en déduire qu'elle est morte parce que l'avortement est illégal dans ce pays ! Pas si vite…

    Wendy Yabeta Pereyra n'avait que 22 ans. Elle vivait avec son petit ami et avait une petite fille de 9 mois. Sa famille ne la savait pas enceinte. C'est à la fin de cette journée du 14 février que son père, Roly Yabeta, a reçu un coup de fil de la famille de son ami, l'avertissant que sa fille n'était pas bien et se trouvait à la clinique La Transportista. Arrivé rapidement sur les lieux il a appris qu'elle devait être transportée d'urgence à la maternité en raison d'une grave hémorragie. Il a accompagné sa fille dans l'ambulance : là, elle a eu le temps de lui avouer qu'elle s'était rendue cet après-midi-là à la clinique pour se faire avorter, alors qu'elle était enceinte de près de quatre mois. Elle a également demandé pardon…