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  • Covid 19 et consorts : le porte-parole de l’épiscopat belge confirme le tour de vis des autorités publiques relatif à la liberté des cultes

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    Vu ce jour sur le site interdiocésain "Cathobel":

    Ref. Trois questions à Tommy Scholtès

    A noter, pour les responsables paroissiaux et autres chargés de l’organisation du culte dans pareilles conditions, que, sauf erreur de notre part, le numerus clausus imposé de 15 personnes par messe s’entend des fidèles présents, à l’exclusion des desservants de la célébration (prêtres, acolytes, organistes, chantres et service d’ordre garant du respect des conditions sanitaires imposées) ainsi que des enfants de moins de 12 ans. Il ne faudrait pas que le porte-parole de l’épiscopat en « rajoute », par omission, dans une situation déjà suffisamment compliquée pour les acteurs de terrain…

    JPSC

  • Des preuves de l'existence de Dieu ?

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    De Mgr Denis Biju Duval sur Aleteia.org :

    Y a-t-il des preuves de l’existence de Dieu ?

    27/01/21

    Dieu, principe et fin de toutes choses, peut être connu avec certitude par la lumière naturelle de la raison humaine, à partir des choses créées.

    Une connaissance directe de Dieu à partir du monde créé n’est logiquement pas possible puisque, s’il existe, le créateur transcende la création. Le créateur est avec sa création dans le même rapport que le potier avec ses productions : en regardant dans les pots, on ne peut pas voir le potier.

    Une connaissance indirecte

    Cependant, le Dieu invisible se rend visible par ses œuvres de manière indirecte, comme une cause peut parfois se faire connaître de manière certaine par ses effets. Il s’agit là d’une connaissance véritable à partir du principe de causalité : il ne peut pas y avoir d’effet sans cause. Il y a ainsi deux grands types de démonstrations de l’existence d’un Dieu créateur : premièrement à partir du principe de causalité appliqué à l’être même de tout ce qui existe, au niveau métaphysique ; deuxièmement, à partir du principe de causalité appliqué à l’œuvre de la création, car l’artiste se révèle dans son œuvre : l’ordre, la grandeur et la beauté du cosmos nous parlent de la sagesse et de la gloire infinie du Créateur.

    Les démonstrations philosophiques

    On ne saurait prouver l’existence de Dieu de l’intérieur des sciences expérimentales : la notion de Dieu est hors de leur champ propre d’investigation. Ce sont des démonstrations philosophiques inductives qui permettent de découvrir son existence...

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  • France : les propos déplacés d'un député inquiètent l'Eglise

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    De Camille Lecuit sur le site de l'hebdomadaire "Famille Chrétienne" :

    Séparatisme : les propos déplacés de François de Rugy inquiètent l’Église

    Si elle n’a pas suscité un émoi considérable dans l’assemblée, la remarque n’a pas manqué de provoquer l’indignation dans les rangs catholiques où la méfiance régnait déjà envers ce texte préalablement baptisé « loi sur les séparatismes ».

    « Hélas, le problème est que ce n’est pas juste un accident de débat. Cette réflexion est très emblématique de l’esprit dans lequel cette loi est en train d’être travaillée », s’inquiète Mgr Bruno Valentin, évêque auxiliaire de Versailles qui avait interpellé François de Rugy sur twitter.

    L’Église a comblé un manque dans la société

    Si cette remarque heurte les catholiques, c’est d’abord parce qu’elle sonne comme une accusation, dont la légitimité historique est néanmoins douteuse. « Bien sûr qu’autrefois l’Église s’occupait de l’école, des réseaux de patronage, des sociétés sportives, ainsi que de toute l’aide à la pauvreté, les hôpitaux, la santé, développe Gérard Leclerc, philosophe catholique auteur de plusieurs ouvrages sur l’Église. Mais à l’époque cela ne posait aucun problème puisque la société toute entière était complètement chrétienne ! » Ainsi il s’agirait presque d’une accusation anachronique que de la taxer de mainmise insidieuse sur les populations pour les détourner du pouvoir politique.

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  • Quand viendra la vieillesse

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    Lu sur le site web « cathobel »  ce 28 janvier 2021 cette méditation du Père Charles Delhez, s.j. Tempus fugit et vita brevis…

    « Il y a des dates que l’on n’oublie pas. Celle de notre anniversaire, bien sûr. Mais aussi d’autres qui sont fixes: le 25 décembre, le 1er et le 6 janvier, le 14 février, le 15 août, le 1er novembre. On pourrait y ajouter le 2 février, fête de la Présentation de Jésus au Temple, dite de la Chandeleur. Ce jour-là, on mange des crêpes! C’est le pape Gélase Ier, au Ve siècle, qui aurait associé cette fête aux « chandelles », organisant des processions aux flambeaux et distribuant des galettes aux pèlerins. Selon une autre explication, les crêpes rondes évoqueraient le soleil qui revient à la fin de l’hiver. Les paysans faisaient sauter des crêpes avec la farine excédentaire. Pour la première, ils tenaient, dans la main gauche, une pièce en or, toute ronde elle-aussi. C’était un gage de prospérité pour les futures récoltes.

    Se tourner vers l’avenir

    Mais revenons aux chandelles. Ce rite provient de l’évangile du jour, celui du vieillard Syméon qui prend l’enfant Jésus dans ses bras et bénit Dieu:

    Maintenant, ô Maître souverain,

    tu peux laisser ton serviteur s’en aller

    en paix, selon ta parole.

    Car mes yeux ont vu le salut

    que tu préparais à la face des peuples:

    lumière qui se révèle aux nations

    et donne gloire à ton peuple Israël.

    J’aime cette figure de Syméon. Au terme de sa vie, il se tourne non vers le passé, mais vers l’avenir. En ce nouveau-né, il voit la promesse de jours plus lumineux pour toutes les nations. Dans les monastères, son cantique clôture encore chaque journée. Lorsque le jour prend fin, pour le croyant, une aurore éternelle s’annonce déjà.

    Quand j’aurai fait mon temps

    Au terme de ma propre vie, je voudrais ne pas être désabusé, désespéré ou résigné, mais aller vers le Seigneur sans fausse culpabilité et rempli d’espérance. Qu’au moment où ma vie deviendra peut-être davantage souffrance, ce qui a été vécu dans l’action trouve son achèvement… Puissé-je, à cette étape, donner la priorité à la prière, alors que je l’ai si souvent donnée à l’action.

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  • Cour Européenne des Droits de l'Homme : un "juge Soros" abandonne à la mort un patient polonais

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    De Grégor Puppinck sur le site de Valeurs Actuelles :

    Conflit d'intérêt à la CEDH : un “juge-Soros” abandonne à la mort un patient polonais

    27 janvier 2021

    Le juge Yonko Grozev, ancien membre de l’Open Society de George Soros, a jugé sommairement une affaire d’euthanasie en la rejetant sans fournir d’explication. Sa décision est sans appel et n’est pas publiée sur le site de la Cour ; le patient polonais va mourir de faim et de soif. Le dossier, n°55987/20, sera prochainement détruit. L’affaire pose à nouveau la question de la partialité des juges de la Cour européenne des droits de l’homme, explique Grégor Puppinck, directeur de l’European Center for Law and Justice.

    Yonko Grozev, l’un des anciens employés de George Soros devenus juges à la CEDH, vient d’abandonner à la mort, sans autre forme de procès, un patient polonais dans le coma depuis novembre dernier. C’est par une simple lettre que la Cour a informé les avocats du patient de sa décision, estimant son appel manifestement mal fondé.

    Une décision prise par un juge seul, sans aucune explication

    Cet homme est en train de mourir de soif et de faim, rejoignant ainsi Vincent Lambert, Alfie Evans et quelques autres que la Cour a abandonnés avant lui.

    Ce patient polonais – dont le nom et l’image ne peuvent être révélés, sur ordre des juridictions britanniques – est hospitalisé en Grande Bretagne, dans un service ayant décidé de l’abandonner à la mort et, selon sa famille, de prélever certains de ses organes car il s’était déclaré donneur potentiel. Sa famille et le gouvernement polonais ont pourtant demandé son rapatriement sur son sol natal, pour l’y soigner dignement. Les évêques polonais avaient déclaré prendre en charge tous les frais. En vain. Les juridictions britanniques ont décidé qu’il devait mourir au Royaume-Uni, et M. Grozev vient de leur donner raison.

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  • Le cardinal Müller dénonce: avec Biden, les États-Unis sont à l'avant-garde d'une campagne de déchristianisation brutale

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    De Kath.net News :

    Avec Joe Biden : "les États-Unis à l'avant-garde de la campagne de déchristianisation de la culture occidentale la plus subtilement brutale depuis 100 ans"

    26 janvier 2021

    Le cardinal Müller dans une interview sur kath.net à propos du président américain Joe Biden : "Je ne peux pas soutenir un politicien de l'avortement parce qu'il construit des logements sociaux et qu'en raison du bien relatif, je devrais accepter le mal absolu" - Par Petra Lorleberg

    Washington DC.-Rome (kath.net/pl) "Quiconque relativise l'engagement clair en faveur du caractère sacré de toute vie humaine sur la base de préférences politiques par des jeux tactiques et des obscurcissements sophistiques s'oppose ouvertement à la foi catholique". C'est ce que le cardinal Gerhard Ludwig Müller explique dans une interview exclusive sur kath.net à propos des opinions pro-avortement du nouveau président américain Joe Biden, qui est membre de l'Église catholique. Le préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la foi explique plus loin : "Maintenant, les États-Unis, avec leur concentration du pouvoir politique, médiatique et économique, sont à l'avant-garde de la campagne de déchristianisation de la culture occidentale la plus subtilement brutale depuis 100 ans".

    kath.net : Monsieur le Cardinal, la Conférence des évêques catholiques des États-Unis a vivement critiqué la politique d'avortement du nouveau président américain Joe Biden. D'autre part, quelques voix d'évêques américains ont qualifié de malavisée la critique de la conférence des évêques à l'égard de M. Biden. Le cardinal Blase Cupich de Chicago a écrit sur son compte Twitter personnel que la Conférence des évêques catholiques des États-Unis avait fait "une déclaration inconsidérée" lors de l'inauguration du nouveau président. Pensez-vous que les critiques de l'USCCB sont justifiées ou les évêques exagèrent-ils ?

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  • France, 30-31 janvier : mobilisation générale contre la PMA sans père, la GPA et le projet de loi bioéthique

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    Bannière-30-31-janvier.jpg
    30 et 31 janvier :

    Manifestations « Marchons Enfants » partout en France contre la PMA sans père, la GPA et le projet de loi bioéthique

    Le mouvement social associatif unitaire mobilisé sous le label « Marchons Enfants » dénonce l’irresponsabilité du gouvernement qui impose l’examen du projet de loi « bioéthique » en 2nde lecture au Sénat à partir de la mi-janvier alors même que la crise sanitaire est responsable d’une vie démocratique fortement dégradée et qu’un 3e confinement se profile.

    Alors qu’Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, vient de laisser entendre qu’un 3e confinement est sérieusement envisagé à la rentrée, l’heure est-elle vraiment à la poursuite de l’examen du projet de loi « bioéthique » ? Ce calendrier a été connu le 15 décembre, alors que les Français avaient évidemment la tête à la mise en place du couvre-feu et à l’organisation de vacances de Noël particulières et atypiques. Comment justifier de l’urgence ou de la priorité à accorder à ce projet de loi qui n’est ni bio, ni éthique ? La gêne de l’Exécutif est évidente : pas un mot du Président de la République sur ce sujet, ni du Premier ministre, ni d’aucun des membres du gouvernement.

    Un mépris du Sénat et du débat parlementaire ?

    Le processus législatif a pour but de construire dans le temps un texte prenant en compte les enrichissements des députés et sénateurs. Mais pour Emmanuel Macron et Jean Castex, la 2nde lecture du texte au Sénat ne mérite même pas un ministre disponible à 100%. Car qui peut imaginer qu’Olivier Véran, en première ligne sur ce projet de loi, pourra assurer un suivi sérieux des amendements et des débats alors même qu’il doit gérer une crise sanitaire qui n’en finit pas ? Pour l’Exécutif, peu importe le texte qui sera voté par les sénateurs parce qu’il compte sur leur majorité à l’Assemblée nationale. Vision inquiétante de la démocratie et du débat parlementaire, et surtout méprisante pour les sénateurs.

    Vers une réécriture en profondeur du texte

    Comme ils l’avaient fait en 1ère lecture, les sénateurs devraient réécrire le texte adopté en catimini par les députés au cœur de l’été. L’enjeu est même d’aller plus loin en supprimant la PMA sans motif médical et effaçant le père. Le respect de la finalité de la médecine comme celui de l’intérêt supérieur de l’enfant conduisent à confirmer le bien-fondé de l’encadrement actuel de l’accès à la PMA.

    Mobilisation générale partout en France les 30 et 31 janvier

    Malgré un contexte sanitaire qui met notre système de santé en tension, qui met en péril grave l’économie et qui génère une vie démocratique fortement dégradée, le gouvernement veut avancer sur un projet de loi complexe et clivant, inutile et dangereux. Mais l’impossibilité d’organiser de grandes manifestations nationales n’empêchera pas de le dénoncer dans la rue, comme le 10 octobre dernier où plus de 60 manifestations avaient eu lieu partout en France, rassemblant des dizaines de milliers de personnes.

    Et quel que soit leur avis sur le projet de loi, les Français sont invités à dénoncer ce calendrier inacceptable et irresponsable, et ce d’autant plus que les restrictions des libertés fondamentales se multiplient : libertés de déplacement, d’éducation, d’enseignement, de la presse, de culte… Depuis quelques mois, la tendance est inquiétante.

    Avancer en douce sur ce texte qui divise laisse inévitablement penser aux Français que l’Exécutif profite du contexte et réduit d’autant plus volontiers les libertés fondamentales. De fait, c’est contre le projet de loi « bioéthique » que les plus importantes manifestations ont eu lieu à Paris depuis le début du quinquennat, selon Occurrence, le célèbre cabinet « indépendant », déclaré « expert » en comptage de manifestants.

    https://www.marchonsenfants.fr/

  • Fête de saint Thomas d'Aquin

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    jpg_Saint_Thomas_d_Aquin_Fra_Angelico.jpgPhilosophe et théologien européen né en Italie (1224-1274)

    "Il devient de plus en plus malaisé de déguiser le fait que Thomas d'Aquin fut l'un des grands libérateurs de l'esprit humain, en réconciliant raison et religion. Il lui ouvrit les voies de l'expérimentation scientifique, il rendit aux impressions sensibles leur dignité de fenêtres de l'âme, et à l'intellect son droit divin de se nourrir de faits vérifiés. Il permit à la Foi d'assimiler la substantifique moelle de la plus dense et de la plus trapue des philosophies antiques.»

    Chesterton, Saint-Thomas d'Aquin, Paris, Plon 1939, p.30

    Voir : sur l'Encyclopédie de l'Agora