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  • Une retraite avec Thérèse d'Avila à Bois-Seigneur-Isaac, les 10et 11 mars

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  • Wisconsin : échec d'une procédure engagée contre le Vatican

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    Source : Agence de presse catholique polonaise (KAI)

    Sans publicité des médias, un procès s'est terminé par un gros flop aux USA. On voulait y faire payer Benoît XVI et le Saint Siège, en tant que responsables des abus sexuels par le clergé

    La plainte de l'Etat du Wisconsin, contre le pape et ses plus proches collaborateurs a été déboutée. C'est l'avocat du Saint-Siège, Jeffrey Lena, qui a transmis cette information.

    Jeff Andersson, qui a été défait, est un spécialiste des procès contre les membres du clergé catholique aux États-Unis. Sa citation suggérait que le Vatican est une société internationale, responsable de tous les membres du clergé. Par conséquent, c'est au plus haut niveau que l'on voulait étouffer les abus et c'est au niveau du Vatican qu'incomberait la responsabilité des actes de chaque prêtre.

    L'avocat du Saint-Siège a approuvé le retrait des griefs et la clôture du procès. Il a rappelé que l'affaire dans laquelle on voulait convoquer le Pape lui-même, a eu un retentissement gigantesque dans les médias. On y a répété des allégations mensongères contre le Saint-Siège, parlant de conspiration internationale et d'abus frauduleux. Selon l'avocat Lena, c'était un abus de procédure judiciaire et un gaspillage des moyens. C'est déjà le deuxième retrait et la défaite du cabinet Andersson. Il y a deux ans, une action en justice contre le Vatican dans le Kentucky s'est terminée de la même manière. Ce cabinet d'avocats poursuit néanmoins une le troisième affaire dans l'Oregon aux Etats-Unis.

  • Les saints Cyrille et Méthode

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    langue1.jpgSource : Missel.free

    Puisqu'ils étaient frères et que les circonstances les avaient amenés à entreprendre la même tâche - l'évangélisation des pays slaves - les biographies de saint Cyrille et de saint Méthode ne peuvent être dissociés.

    Les Francs s'étant rendus maîtres des territoires Croates et Slavons, après que Charlemagne eut soumis les Avars (vers 790), atteignirent ceux des Bulgares. C'est à l'évêque de Salzbourg que Charlemagne confia la juridiction sur les pays slaves auxquels il imposa le latin.

    Le prince Rastislav qui régnait sur la Moravie, accrut sa puissance de telle façon que ses voisins Francs et Bulgares, Louis le Germanique et le prince Boris, s'allièrent contre lui et les Bulgares reçurent des missionnaires francs. Menacé par l'empire d'Occident, Rastislav s'allia avec l'empereur byzantin, Michel III, et lui demanda des missionnaires sachant la langue slave car le peuple de Moravie ne connaissait pas le grec : Notre pays est baptisé et nous n'avons pas de maître pour nous prêcher, nous instruire et nous expliquer les livres saints. Nous ne comprenons ni la langue grecque, ni la langue latine : les uns nous instruisent d'une façon et les autres d'une autre ; aussi ne comprenons-nous pas le sens des livres sacrés et leur énergie. Envoyez-nous dons des maîtres qui soient capables de nous expliquer la lettre des livres sacrés et leur esprit. Nous autres Slaves, nous sommes un peuple simple et nous n'avons personne pour nous enseigner la vérité. Désigne-nous donc, généreux monarque, un homme capable de nous parler.

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  • L'évêque d'Anvers en phase avec Castellucci ?

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    Le 7 février dernier, dans De Standaard, l'évêque d'Anvers, Monseigneur Bonni, s'est dit touché par la pièce de Castellucci dans laquelle il décèle un message religieux sur la souffrance. Le portail de réinformation "Riposte catholique", avec la véhémence qu'on lui connaît, dénonce cette prise de position épiscopale : riposte-catholique.fr

  • Nigeria : nouveaux martyrs chrétiens

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    Source : le Figaro

    "Deux commerçants chrétiens ont été abattus aujourd'hui à Potiskum dans le nord-est du Nigeria, ont indiqué à l'AFP des habitants de cette ville où des violences récentes ont été attribuées à des membres présumés du groupe radical islamiste Boko Haram. Les victimes - deux frères- étaient les propriétaires d'un magasin à Potiskum, un des fiefs de Boko Haram et un des épicentres des violences anti-chrétiennes qui secouent depuis plusieurs semaines cette partie du pays.

    "Deux hommes armés vêtus de robes blanches sont arrivés dans le magasin (des deux victimes)", a déclaré un commerçant Kabir Ahmed. "Ils ont ensuite sorti les fusils cachés sous leurs robes et ont abattu les deux commerçants", a-t-il ajouté. Une source policière s'exprimant sous couvert de l'anonymat a confirmé la mort des deux chrétiens, ajoutant qu'un religieux musulman avait été aussi tué à Postiskum hier soir.

    Des meurtres ciblés ces derniers jours

    Des sources sécuritaires avaient indiqué auparavant à l'AFP qu'un groupe d'hommes rattachés au groupe Boko Haram ont mené des meurtres ciblés dans la ville au cours des dernières semaines. Le gardien d'une église à Postiskum a été abattu le 30 janvier après le meurtre de quatre chrétiens survenu le 11 janvier. Ces victimes appartenaient à la tribu Ibo comme les deux commerçants abattus aujourd'hui. Les Ibos sont majoritairement chrétiens et originaires de l'est du Nigeria.

    Le groupe Boko Haram a régulièrement visé des chrétiens dans ses attaques meurtrières comme lors des attaques coordonnées le jour du Noël qui ont fait plusieurs dizaines de morts. Boko Haram a également exécuté un dignitaire musulman qui a publiquement critiqué la stratégie radicale du groupe. La majorité de ses attaques ont visé la police et des symboles du pouvoir.

    Selon l'organisation Human Rights Watch, les violences revendiquées par Boko Haram ont fait plus de 900 morts depuis juillet 2009. Révélé fin janvier, un rapport d'une mission de l'ONU chargée d'évaluer l'impact de la crise libyenne au Sahel évoque la menace que fait peser sur la région Boko Haram, et les liens que ce groupe a tissés avec Aqmi."

     

  • La laïcité dans le droit de l’Union européenne et de ses Etats membres

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    Laicite.jpgDans le cadre des lunch-débats qu’elle organise à l’Université de Liège, l’Union des Etudiants catholiques (Cercle « Ethique sociale ») a invité Mgr Piotr Mazurkiewicz a débattre de « La laïcité dans le cadre des institutions de l’Union européenne ».

    Monseigneur Mazurkiewicz est le Secrétaire général de la Commission des Episcopats de la Communauté européenne (COMECE). Il est aussi professeur ordinaire d’Ethique politique à la faculté  des Sciences politiques de l’Université de Varsovie.

    La rencontre aura lieu le mardi 28 février 2012 à 18h00 au bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er étage: salle des professeurs (accès par la grande entrée de l'immeuble) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours à l’avance par tel . 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org

    Dans la perspective de ces échanges, voici quelques réflexions sur la notion de laïcité telle qu’elle s’est développée au cours des siècles et qui est loin de faire l’unanimité même au sein de l’Europe, la moindre des difficultés n’étant pas celle de savoir de quoi l’on parle exactement :

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  • Aimer librement : un week-end organisé par le Chemin Neuf

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  • Ennuyeuse, la messe ?

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    FIC65644HAB40.jpgVoici un livre pour redécouvrir la messe :

    Aimer la messe, Didier van Havre, 16,00 €, 2011, Artège, 216 pages.

    Présentation de l'éditeur

    Le secret de l'Eucharistie est de découvrir la proximité vertigineuse de Jésus Christ, lui qui est présent dans le prêtre, dans l'assemblée, dans la lecture de la Parole de Dieu et sous les espèces du pain et du vin ! Pour entrer dans ce mystère, il faut pouvoir répondre ainsi à une série de questions fondamentales : Pourquoi la messe ? Que signifient les différents gestes et prières liturgiques ? Quelles sont les attitudes que nous devons adopter, aux différents moments de la messe ? Comment vivre les différents temps liturgiques ? Cet ouvrage propose un accompagnement pour chaque étape de la messe. Une première partie rappelle l'enseignement de l'Église sur le mystère qui se déroule. La deuxième partie explique la signification de chaque geste, de chaque prière, en faisant le lien avec la vie de Jésus et avec les grands événements de l'histoire sainte et se termine par un guide spirituel pour progresser dans l'intimité avec le Christ. L'auteur fait appel à un grand nombre de textes des Écritures, du Missel romain, du Catéchisme de l'Église catholique et de son Abrégé, des enseignements du Concile Vatican II et des principaux documents de Jean-Paul II et de Benoît XVI sur l'Eucharistie. Ce livre est un outil pratique et précieux pour aimer la messe. Né à Anvers en 1941, Didier van Havre a obtenu successivement une licence en sciences politiques et sociales, une licence en sciences économiques, un doctorat en urbanisme et aménagement du territoire et un doctorat en théologie. Ordonné prêtre par le Pape Jean-Paul II à Rome en 1984, il a exercé son ministère pastoral à Bruxelles et à Anvers. Il est actuellement aumônier du Centre Culturel Groenendael et vicaire à la paroisse Notre-Dame au Sablon à Bruxelles.
  • Un nouvel évêque belge a été consacré hier

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    ries1_jpg_h600.jpg« Samedi matin, c’est devant une foule nombreuse que l’Athois d’adoption, Mgr Julien Ries a été  consacré comme  évêque à Villers-Notre- Dame. La cérémonie était présidée par le nonce apostolique Giacinto Berloco. Le futur cardinal, est originaire d’Arlon, il a été ordonné prêtre en 1945. Jusqu’en 1991, Mgr Ries a enseigné l’histoire des religions à l’UCL à la KUL. Le théologien et anthropologue belge est également prélat d’honneur de Sa Sainteté et docteur honoris causa de l’Université catholique de Milan. Dans l’assemblée, on notait la présence du bourgmestre Jean-Pierre Denis, le Secrétaire communal Marc Duvivier ainsi que l’ex maïeur athois, Bruno Van Grootenbrulle qui était accompagné de son fils Florent sans oublier l’historien Athois Christian Cannuyer. » Référence : Fred Lesage

    Et sur le « Forum Catholique », Frère Guibert a noté ici Consécration épiscopale en Belgique : « Je rentre à l'instant du Sanctuaire Marial de Villers-Notre-Dame, en Belgique, où j'ai assisté à la consécration épiscopale de Monseigneur Julien Ries, âgé de 91 ans, qui recevra la barette cardinalice à Rome, samedi prochain, lors du consistoire du 18 février. Depuis 1962, il est obligatoire d'être sacré évêque pour devenir cardinal. Le nouveau successeur des apôtres est archevêque titulaire de Belcastro. Il s'est choisi comme belle devise: "CARITAS CHRISTI URGET NOS" (La charité du Christ nous presse. Corinthien II). Il rayonne la bonté et la sainteté; c'est un prince de l'Eglise, heureux après 66 ans de sacerdoce »

    Selon le nouveau code de croit canonique, Canon 351 - § 1. Pour la promotion au Cardinalat, le Pontife Romain choisit librement des hommes qui sont constitués au moins dans l'ordre du presbytérat, remarquables par leur doctrine, leurs moeurs, leur piété et leur prudence dans la conduite des affaires; ceux qui ne sont pas encore Évêques doivent recevoir la consécration épiscopale.

    Pour mieux connaître Mgr Ries nous renvoyons au « post » nous avons déjà publiée sous ce titre : Un entretien avec le Cardinal Julien Ries

  • France : un nouvel évêque pour le diocèse de Lourdes

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                               Sous lintitulé "un évêque summorum pontificum "mgr-brouwet.jpg, le site « Riposte Catholique » claironne :« De Rome nous parvient une excellente nouvelle ! Mgr Nicolas Brouwet, jusqu’ici évêque auxiliaire de Nanterre, vient d’être nommé aujourd’hui par le Pape Benoît XVI à la tête du diocèse de Tarbes et Lourdes. Cet évêque, né en 1962, a participé à de nombreuses reprises comme prêtre et comme évêque au pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté, de Paris à Chartres, à la Pentecôte. À Noël dernier, il célébrait encore la messe dans l’usus antiquior.

    Sa nomination à Lourdes, diocèse internationalement connu, d’une grande visibilité, représente un tournant significatif pour l’Église de France. Elle renforce les évêques qui veulent œuvrer dans le sens impulsé par le Pape Benoît XVI depuis le début de son pontificat.

    Jeune évêque, il appartient à la génération de ceux qui comme Mgr Schneider, qui a prononcé une vigoureuse allocution le 15 janvier dernier à Reunicatho (et qui vient d’être publiée intégralement par le journal L’Homme Nouveau), n’ont pas hésité à célébrer la messe dans l’usus antiquior. Nous demandions depuis longtemps la nomination d’un évêque « Summorum Pontificum », appellation symbolique qui dépasse de loin la seule question liturgique. Nous l’avons enfin ! Puisse d’autres évêques venir dans ce sens. L’Église en France en a bien besoin. »

    Un évêque ne devrait jamais être l’homme d’une faction, et Mgr Brouwet ne l’est sans doute pas, mais franchement traditionnel et sans a priori partisan : nous saluons sans réserve ce type de nomination, trop rare pour ne pas s’en réjouir.

  • Le "Forum Laïc Catholique Romain" s'adresse aux évêques de Belgique

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    Forum Laïc Catholique Romain

    Lodewijk Van Berckenlaan 17, 2600 Berchem-Antwerpen

    Lettre ouverte aux évêques de Belgique, février 2012


    Messeigneurs

    Le Forum laïc catholique romain asbl  est une association dont le but principal est de donner l'opportunité à des laïcs catholiques, fidèles au magistère de l’Eglise, de s’exprimer dans le débat public. Cet objectif correspond à un souhait exprimé récemment par le Saint Père. Jusqu’ici, nous estimons que nous avons eu trop peu voix au chapitre. En outre et bien qu’étant des personnes profondément croyantes, nous avons également eu parfois l’impression d’être ignorés par vous, nos propres évêques.

    La raison d'être de cette lettre, qui peut sans aucun doute être lue comme un appel à l'aide, est ce que nous considérons être une attitude latitudinaire face aux déclarations provocatrices, insultantes et carrément anti-chrétiennes de nombreux médias et ce que nous considérons être une attitude de compromission avec certaines formes d'expression artistique dénigrant notre foi.

    La pièce de Castellucci, qui fut représentée la semaine dernière au « De Singel » à Anvers, en est un bon exemple. De notre côté, malgré le froid glacial, nous étions présents à l'entrée du théâtre, au cours de trois des représentations, pour être témoins de notre foi en Jésus-Christ, tandis qu'à l'intérieur Son visage était maculé et bombardé par des enfants. Qui pourrait douter que cette pièce incite à l'irréligion et blesse de nombreux catholiques ? L’image de Jésus-Christ donnée par Castellucci, comme quelqu’un d’indifférent devant le malheur des hommes, ne correspond absolument pas à celle que le Chrétien a de son Rédempteur, plein de sollicitude et d’amour. L'intention de Castellucci ressort clairement de son choix scénographique. La face du Christ dont il a usé (ou plutôt abusé), peinte par Antonello da Messina, a une grande valeur artistique mais ne présente qu'un seul aspect du Christ. Il s’agit du Salvator mundi, proche du Christ Pantokrator qui règne et qui a tout vaincu. Il y a suffisamment d'images dans l’iconographie chrétienne d'un Christ souffrant ou d’un Christ aux outrages qui partage jusqu’au bout notre condition humaine. Non, cette distorsion de la perspective chrétienne est délibérément choisie et nous blesse.

    Voici un extrait de la critique du journal français « Le Monde »  au moment de la représentation de cette pièce, cet été en Avignon : « Castellucci, en grand plasticien qu'il est, attaque le visage de l'intérieur. Il est d'abord trituré, déformé comme par des mains et des pieds qui pousseraient la fine peau de surface. Puis on dirait qu'un grand couteau l'entaille, et de grandes coulures brun-rouge, évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang, se répandent sur lui, avant qu'un voile noir ne recouvre le portrait du fils de Dieu. La toile est finalement déchirée, et découvre un grand panneau noir. Dessus, on croit d'abord lire, en grandes lettres découpées : "You are my shepherd" ("Tu es mon berger"). Avant de se rendre compte que la phrase entière est, en fait : "You are not my shepherd" ("Tu n'es pas mon berger"). » Nous avons une simple question à vous poser, Messeigneurs : « Comment pouvez-vous accepter cela ? »

    Quelle tristesse aussi que d’impliquer des enfants dans cela et de leur demander de lancer des grenades (à l'instar d'organisations terroristes) au visage du Christ. Est-ce comment cela qu’il nous faut éduquer nos enfants ?

    Tous les discours justifiant ce genre de pièce, aussi savants et érudits soient-ils, nous ne pouvons les recevoir car nous aimons le Christ et Il est notre berger.

    Beaucoup de catholiques ressentent cela comme une véritable déchirure quand ils constatent qu'ils ne sont plus soutenus par les autorités ecclésiastiques. C'était votre devoir, nous semble-t-il, de formuler d'une seule voix une condamnation ferme de cette pièce ! Une Église qui, par crainte des médias ou de l’opinion, élude sa responsabilité et n’annonce plus clairement la Bonne Nouvelle, est moribonde. Faut-il que, comme auparavant dans l'histoire, ce soit de simples chrétiens pieux qui transmettent la foi ? C'est le cœur peiné que nous avons constaté que la protestation contre cette pièce a été organisée par un groupe qui n'appartient pas à notre Église, l'Église catholique romaine n’étant représentée que par des laïcs.

    Récemment encore, ce 2 février, la Vierge Marie était réellement insultée sur Vivacité, radio du service public. Devons-nous tout accepter et nous taire, comme vous, Messeigneurs ? L’Eglise de Belgique, comme beaucoup d’Eglises d’Europe, n’est-elle pas encore tombée assez bas ? Nous aimerions tant vous entendre aussi sur les questions éthiques ou sociétales…

    Le Christ est venu nous apporter la vérité et à l’époque, même son propre peuple n’avait pas voulu l'accepter. Celui qui a le courage d'accueillir la vérité et de la propager humblement se heurtera toujours à de violentes résistances. Cette expérience, aujourd’hui, les catholiques fidèles à leur foi la font au quotidien. Nous espérons sincèrement que vous aussi aurez le courage de proclamer entièrement la doctrine de l’Eglise et de sanctifier le nom de Dieu.

    Unis dans le Christ par son Église.

    Le conseil d’administration du Forum laïc catholique romain

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 10 février 2012

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