Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 11

  • Les 85 ans du pape et ses sept ans de pontificat

    IMPRIMER

    Radio Vatican : Ce lundi 16 avril, Benoît XVI fête son 85° anniversaire. Une fête en famille, pas de réceptions officielles, mais une journée très bavaroise, selon son désir. Des évêques allemands et des invités venus de Bavière ont fait le déplacement jusqu’à Rome pour l'entourer.

    Pour lui faire plaisir, son secrétaire particulier a réalisé à cette occasion un recueil de témoignages : une vingtaine de personnalités célèbres en Allemagne ont accepté de raconter Benoît XVI à leur manière.

    Pour son secrétaire particulier, Benoît XVI est un "Pape de la parole" qui appelle les choses par leur nom mais toujours avec délicatesse et respect des autres. Ses critiques peuvent être sévères, affirme Mgr Georg Ganswein mais elles sont toujours exprimées avec douceur. Sa simplicité, sa sincérité et son courage ont souvent été mal compris. Benoît XVI – ajoute-t-il - ne semble pas s’inquiéter de l’image que les médias donnent de lui, le décrivant, à tort, comme un conservateur indifférent. Il a appris à affronter les critiques, à les situer et à les accepter. Pour le Pape, l’opinion publique, la presse, la télévision doivent, certes, être prises en considération. Mais le plus souvent, elles n’orientent pas la navigation vaticane.

    Lire la suite

  • Excursion sur un site ami

    IMPRIMER

    On consultera avec profit les derniers articles mis en ligne sur l'excellent site "Benoît et moi" :

    Benoît, "anti-modèle" de l'intellectuel moderne Interviewe de Martin Mosebach, publiée sur le quotidien catholique allemand Die Tagespost (15/4/2012)

    FSSPX: quand Chirac et Giscard s'en mêlaient Très étonnant article du portail Religion en Libertad, traduit par Carlota. (14/4/2012)

    Le cardinal vietnamien Van Thuän "Un singulier prophète de l'espérance chrétienne", a dit Benoît XVI. L'hommage de JL Restàn, traduit par Carlota (14/4/2012)

    Les voeux d'anniversaire de l'Osservatore Romano ... et deux belles photos inédites, en première page. (14/4/2012)

    Cadeau pour le Pape Pour l'anniversaire du Saint-Père, l'éditorial du journal catholique allemand "Die Tagespost", traduit par Marie-Anne. (14/4/2012)

    Lefebvristes: vont-ils rentrer au bercail? Très intéressant article de Sandro Magister qui donne la parole à un théologien australien, John Lamont: pourquoi la FFSPX , qui ne rejette que 5% de Vatican II, est-elle en rupture avec Rome, alors que d'autres groupes catholiques, de marque progressiste, qui en refusent 95% continuent-ils à vivre tranquillement au sein de l'Eglise? Mais que sont ces 5%? (14/4/2012)

  • BXL, Basilique de Koekelberg : solennité en l'honneur du Christ miséricordieux

    IMPRIMER

    (Sur le site du Père Walter Covens :)

    Dimanche 15 avril 2012 à 15h - fin 17.30h:

    Solennité en l'Honneur du Christ Miséricordieux

    Eucharistie en latin et dans les trois langues nationales (néerlandais, français, allemand)

    suivie de l'adoration et de la récitation du chapelet de la divine miséricorde.

    Confessions à partir de 13h.

    Puisque cette célébration est organisée pour la treizième fois, elle est placée sous le signe de Notre-Dame de Fatima.

    Lien vers le site de la basilique

  • Le sort des chrétiens d'Egypte

    IMPRIMER

    Voir sur RTS.ch une émission intitulée : "Les coptes dans la tourmente"

    Présentation :
    Les premières élections libres ont vu triompher les partis islamistes. Les Frères musulmans et les salafistes, qui revendiquent un islam fondamentaliste, dominent l'assemblée qui doit rédiger une nouvelle constitution. Cette prédominance inquiète les minorités religieuses, notamment les chrétiens coptes.
    Voir la video
  • Des dérives islamistes en Belgique ?

    IMPRIMER

    C'est ce qui semble ressortir d'une émission "Questions à la Une" réalisée par la RTBF et que l'on pourra visionner ici : rutube.ru

    Ce reportage diffusé par la chaîne publique belge est intéressant à bien des égards.

    N'est-il déjà pas trop tard alors que Bruxelles est en passe de devenir majoritairement musulmane sous 20 ans? [Lire une dépêche de Reuters à ce sujet]

    Présentation sur le site de la RTBF :

    Dans Questions à la Une, un reportage tente de savoir si certains imams attisent la haine auprès des musulmans de Belgique. (...)

    Faut-il craindre la montée de l'Islam en Belgique ?

    Le 7 mars dernier, une mosquée est incendiée à Anderlecht. La Communauté musulmane est touchée en plein cœur. Que se passe-t-il à Anderlecht, à Molenbeek, à Schaerbeek, là où les populations maghrébines sont très importantes ? La haine est-elle attisée par des imams indélicats dans des mosquées ?

    Et les Belges de souche ? Comment perçoivent-ils cet Islam parfois tant décrié ?

    A Liège et à Verviers, les mosquées sont également en expansion. Comment la situation y est-elle gérée ? Et les politiques, ont-ils une solution miracle ? Bref, les musulmans de Belgique sont-ils vraiment bien intégrés ? Enquête sur l'Islam en Belgique.

    Merci au site "actualité chrétienne"

  • Liège : un nouveau mobilier à la cathédrale Saint-Paul

    IMPRIMER

    cath.2.jpg

    cath..jpg

    Faut-il y voir une acquisition mémorable susceptible d'enrichir le patrimoine de la cathédrale et/ou un apport favorable à la qualité des célébrations ?

    Les débats sont ouverts...

     

  • L'entrevue entre le ministre Reynders et le cardinal Bertone

    IMPRIMER

    Christian Laporte relate l'entrevue accordée à notre ministre des affaires étrangères de la manière suivante : "Quand Didier Reynders pointe l’index au Vatican". Voilà donc comment le cardinal Bertone, dûment chapitré par le ministre belge, n'avait plus qu'à bien se tenir!

    "Le ministre des Affaires étrangères a évoqué la pédophilie ecclésiale (ndbelgicatho : la pédophilie du fait d'ecclésiastiques devient ainsi "la pédophilie ecclésiale"!) mais aussi certaines positions homophobes de Rome." Voilà donc le chroniqueur reprenant à son compte, comme un fait établi, la prétendue "homophobie romaine". (L'emploi de ce terme utilisé par le lobby LGBT mériterait d'ailleurs d'être examiné de bien plus près.)

    Plus loin, le journaliste insiste : "La rencontre de Didier Reynders avec le collaborateur direct du Pape visait aussi à faire une mise au point à propos d’une certaine homophobie au moins verbale du Saint-Siège."

    Or, cela, même Didier Reynders ne le formule pas de cette façon puisqu'il déclare : "Un sentiment existe que l’Eglise catholique éprouve des difficultés avec certaines minorités et est même vue comme hostile aux homosexuels". Mais, nous explique toujours à sa façon le sieur Laporte, le ministre "se fit ici le relais de l’émotion suscitée dans le landerneau politique belge par certaines déclarations romaines. Pour rappel, le discours de vœux de l’an aux membres du corps diplomatique en janvier dernier avait provoqué de vives réactions dont celle d’une sénatrice Open VLD, Nele Lijnen choquée parce que Benoît XVI avait dit que le mariage entre personnes de même sexe pouvait être une menace pour l’humanité." Le journaliste de la Libre s'abstient bien évidemment de rectifier ces dires qui ne correspondent aucunement à ce que le pape avait dit (voir http://www.belgicatho.be). Voilà comment un journaliste finit par accréditer une version des choses proche de la désinformation, mais on finit par s'y habituer.

    Heureusement, même si Didier Reynders ne l'évoque pas sur son site : "Au cours de l’entretien, il a tout naturellement été question de la protection des minorités chrétiennes notamment au Proche et au Moyen-Orient." C'est effectivement quelque chose de préoccupant...

  • Lefébvristes : Benoît XVI veut un accord

    IMPRIMER

    Selon Jean-Marie Guénois, dans « Le Figaro » de ce matin (extraits) :

    « La signature d'un document fixant les relations entre le Saint-Siège et les disciples de Mgr Lefebvre est une question de jours.

    Officiellement, le Vatican attend la réponse de Mgr Bernard Fellay, le chef de fil des lefebvristes. Sitôt reçue à Rome - «c'est une affaire de jours et non plus de semaines», indique-t-on au Vatican -, elle sera «aussitôt» analysée. Si elle est conforme aux attentes, le Saint-Siège annoncera très vite un accord historique avec cette branche de fidèles, connus sous le nom d'«intégristes».

    Mais officieusement et dans la plus grande discrétion, les émissaires ont travaillé, de part et d'autre, pour «aboutir à un accord». Ces dernières semaines, les ultimes réglages ont été finalisés entre Rome et Écône pour répondre au mieux aux demandes de «clarifications» sollicitées par le Vatican, le 16 mars dernier.

    Une négociation très délicate

    C'est ainsi que la réponse finale de Mgr Fellay, extrêmement pesée et bien préparée, devrait dénouer - pour de bon, cette fois - une négociation très délicate qui fut relancée par Benoît XVI dès son élection en 2005.

    Lire la suite

  • Des raisons historiques de croire à la Résurrection ?

    IMPRIMER

    Le site "Aleteia" pose la question : "Quelles sont les raisons historiques de croire à la Résurrection ?"

    Parce que l’annonce de la découverte du tombeau vide et des apparitions de Jésus a été faite publiquement moins de deux mois après sa mort, et que beaucoup de gens à Jérusalem auraient eu la possibilité de tout démentir. Parce qu’il est dit que les premiers témoins et les premières messagères de la Résurrection furent des femmes, alors qu’à l’époque de Jésus, le droit juif ne les considérait pas comme des témoins fiables. Et parce que seul un événement historique bouleversant peut avoir amené les apôtres, qui doutent eux-mêmes de cette annonce, à changer totalement d’attitude, jusqu’à mettre leur vie en jeu pour propager la nouvelle.

  • Gustave Thibon (1903-2001) : je suis devenu un agnostique adorateur

    IMPRIMER

    Dépouillé, vidé. Ainsi en va-t-il, un jour entre les jours, pour  « chaque homme en sa nuit » (c’est, sinon le sens, le titre d’un roman de Julien Green).

    Je me souviens d’avoir rendu visite à un vieux médecin liégeois cancéreux, très croyant et devenu silencieux à l’orée du grand passage. Seule, dans sa chambre absolument noire, brûlait une petite lumière rouge, brillant dans la nuit de sa vie comme la lampe du Saint-Sacrement. Peut-être en était-ce une d’ailleurs, je ne sais pas.  

    Tel était aussi  devenu, me semble-t-il, le philosophe Gustave Thibon dans ses vieux jours. Il l’avait d’ailleurs avoué :

    « Dieu a d'abord été pour moi puissance et lois, puis lumière et amour, et enfin absence et nuit. C’est peut-être en cela qu’Il ressemble le plus à Lui-même. Il me devient chaque jour de moins en moins étranger et de plus en plus inconnu : je suis devenu un agnostique adorateur.

    « Ce n’est pas la vertu que Dieu demande, c’est d’être trouvé pauvre. »
    « Je n’aspire pas à éclairer les hommes avec ma lanterne, dit-il, ma seule ambition est de les aider à mieux contempler le Soleil après l’avoir peut-être secrètement poursuivi de ruine en ruine, à travers les éboulements successifs des images et des idées que nous nous faisons de Lui. »

    « II faudrait montrer aux hommes le vrai Dieu — Celui qui, par pudeur et par respect, s’est dépouillé de sa puissance, le Dieu enfant et le Dieu crucifié qui, étant tout amour, s’est fait toute faiblesse, le Dieu qui nous attend en silence et dont nous sommes responsables sur la terre ».

    Je sais bien que l’Église est nécessaire, comme la coupe est nécessaire au vin; je sais bien qu’un Dieu sans Église, c’est le commencement des Églises sans Dieu. La source ne daignant pas se faire connaître elle-même, il faut bien transmettre; et transmettre c’est trahir, tradere c’est tout à la fois la tradition et la trahison.

    Religion d’aujourd’hui; elle a banni l’étroitesse, mais aux dépens de la profondeur : œcuménisme « de grande surface », charité diluée en humanitarisme, la confusion succédant à l’exclusion, un universalisme bâtard au lieu d’un particularisme qui touchait à l’universel par ses racines et qui, si mutilant qu’il fût (« si ton œil te scandalise ... »), s’apparentait plus à la voie étroite de l’Évangile qui mène au pays sans frontière — alors qu’on tourne en rond sur la voie large ouverte aujourd’hui...

    « J’aime notre époque parce qu’elle nous force à choisir entre la puissance de l’homme et la faiblesse de Dieu. Religion nue où l’attente du miracle fait place à l’adoration du mystère » ...

     Gustave Thibon "Ce n’est pas la vertu que Dieu demande, c’est d’être trouvé pauvre ». Le Forum Catholique

  • Le goulag, pour que la mémoire ne s'en perde pas

    IMPRIMER

    A visionner sur KTO, un DOCUMENTAIRE : Goulag, la mémoire enfermée

    Diffusé le 16/01/2012 / Durée 52 mn

     

    Aux confins de la Sibérie, les derniers survivants du Goulag stalinien vivent encore à deux pas des anciens camps où des centaines de milliers de leurs semblables sont morts, de faim, de froid, d'épuisement. Ces rescapés, libérés après la mort de Staline, sont restés à Magadan parce qu'ils n'avaient nulle part où aller. Nulle vie à recommencer. Anna, Olga, Bronislava et Anna racontent, enfin, l'absurdité et la violence des arrestations, les tortures, les camps de travaux forcés, l'arbitraire des gardiens, la barbarie d'un système qui a broyé tant de leurs compagnons d'infortune. Le père Michael, originaire d'Alaska, est venu prier avec elles et recueillir leur parole. Pour que l'Histoire ne se répète pas. Et que personne ne puisse les assassiner une seconde fois en les effaçant de nos mémoires.

  • Mouvances, sensibilités et cetera

    IMPRIMER

    A l’occasion d’une réponse qui devrait être remise « incessamment sous peu » par la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X à Rome, on évoque beaucoup les diverses sensibilités qui traversent l’Eglise. Et cela nous paraît malsain. Comment admettre que, dans la même Eglise, on puisse observer de tels écarts, de telles contradictions. Ici, on cultive une liturgie « à la Grévin » en tenant des discours complètement décalés; là, on célèbre « inventivement », en professant un souverain mépris pour les règles édictées par l’Eglise… Ici, on se réclame de feu Monseigneur X, ou de l’abbé Y, tandis que là, on est fan de tel cardinal ou de tel auteur ecclésiastique à succès.

    Tout cela crée une confusion insupportable où l’on a beaucoup de mal à se situer. Un attelage peut-il supporter que les chevaux qui l’emportent tirent à hue et à dia dans des directions opposées au risque de le démanteler complètement ? Peut-on encore prétendre qu’il s’agit là d’un « sain pluralisme » ou « d’une féconde diversité » ? La coexistence de discours et de pratiques liturgiques manifestant de telles contradictions n’est-elle pas une des causes de la stérilité spirituelle de notre Eglise en Occident (et sans doute ailleurs) ?

    Cette situation a de multiples origines, sans doute, mais l’historien futur sera bien obligé de constater que l’explosion de l’unité de l’Eglise remonte essentiellement à Vatican II et aux interprétations diverses qui en ont été faites. Il ne nous appartient pas de nous prononcer sur le contenu de ce Concile mais on ne peut que constater la cacophonie qui en a résulté. Il serait grand temps que de nouvelles assises se consacrent à la proclamation claire et solennelle des vérités de la foi et de la morale, à l'instauration d'une discipline et d'un rituel commun sauvegardant la substance de la foi, tout en évitant de recourir aux vieilles dentelles et à un langage suranné.

    Saint Paul récusait déjà ces appartenances « partisanes » à Pierre, Jacques ou Paul ; aujourd’hui encore nous n’avons pas à nous réclamer de Marcel, d’André ou de Joseph ; nous nous réclamons du Christ et de l’Eglise et cela devrait suffire.