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  • Pourquoi ces exclusives médicales ?

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    A ce propos, un ami nous fait part de ses réflexions qui pourraient ouvrir un débat :

    La médecine officielle refuse qu'on soigne et guérisse des gens, si ce n'est pas en son nom et avec son autorisation. Toute guérison qu'elle n'a pas autorisée sera considérée comme une guérison illégale, non obtenue avec son autorisation. En France, même les officines qui vendent des plantes médicinales ne sont pas autorisées par la médecine officielle. Et surtout par sa branche chimico-pharmaceutique toute puissante, qui ne veut pas voir baisser ses bénéfices plantureux. La médecine officielle est bien ingrate, car elle n'existerait pas sans les médecines traditionnelles à base de plantes ou de pouvoirs guérisseurs. Pouvoirs dont on ne comprend pas comment ils fonctionnent, mais dont on peut au moins constater qu'ils fonctionnent. Pourquoi la science purement matérialiste de la médecine officielle rejette-t-elle ce qu'elle peut elle-même constater comme efficace ? Le simple fait qu'elle ne ne puisse l'expliquer est-il un motif de rejet ? Cela ressemble au débat sur les EMI (ndlr expériences de mort imminente) à RTL-TVI. Les matérialistes n'osent plus aujourd'hui traiter de dérangés ou d'affabulateurs les gens qui leur racontent leurs expériences de mort imminente. Mais comme ils ne peuvent les expliquer, ils refusent de les considérer. En fait, ils refusent d'admettre tout ce qui risque de les dépasser. Ils refusent d'admettre qu'ils ne soient pas omniscients, et de perdre ainsi un peu de leur prestige. Ou plutôt ils refusent tout ce qui risque de mettre à mal leur dogme du « tout est matériel, et rien n'est spirituel en l'homme ».

  • Liège, 25 avril : "Neutralité ou pluralisme dans l'espace public" avec Francis Delpérée

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    Cycle de Débats

    NEUTRALITÉ OU PLURALISME

    Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles

    Mercredi 25 avril 2012 à 18H00

     Neutralité ou Pluralisme dans l'Espace Public 

     Présentation par  

    Francis Delpérée 

    Sénateur 

     Professeur ém. de droit constitutionnel à l'Université Catholique de Louvain

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée) . 

    Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). 

    Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail adressé à info@ethiquesociale.org

    RSVP le 23 avril 2012 au plus tard

    Tél. 04.344.10.89 ouinfo@ethiquesociale.org

    Internet : www.ethiquesociale.org

  • BXL, 31 mai : Qui a envie d'être aimé ?

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    S’inscrire asap car max 750 places disponibles : etreaime@ymail.com

  • Vous nous avez déjà abandonnés à notre sort...

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    Valeurs Actuelles (Laurence d'Hondt) consacre un article au sort des Coptes d'Egypte, véritablement persécutés, et pour lesquels l'émigration apparaît de plus en plus comme une solution envisageable. Extrait :

    « Vous ne voulez peut-être pas le savoir en Europe, mais nous le sentons : vous nous avez déjà abandonnés à notre sort », s’indigne Nora, étudiante en lettres françaises. Pour gagner sa vie et aider sa famille, Nora assure la permanence du collège jésuite du centre du Caire.

    « La journée, ça va, je me sens entourée parce que je travaille ici, à l’église de la Sainte-Famille, et que j’y trouve la solidarité et la tendresse dont j’ai besoin. Mais le soir, je me sens isolée, en danger. Je ne peux plus rentrer chez moi, dans le quartier populaire de Choubra, sans craindre des insultes, parce que je ne porte pas le voile. » Cela peut aller plus loin : « Je crains aussi l’agression physique, le coup de couteau. On me fait comprendre que je ne suis plus chez moi, ici, en Égypte. La plupart de nos voisins sont complices. »

    Issue de la classe moyenne, Nora a les moyens de suivre des études supérieures pour s’assurer un avenir décent au sein d’un entourage choisi et cultivé. Mais si la situation devait se dégrader, elle déposerait, comme nombre de chrétiens, un dossier à l’émigration : « Beaucoup de mes amis, surtout les filles, ont déposé une demande à l’ambassade des États-Unis, du Canada ou d’Australie. Moi-même, je n’ai pas encore fait les démarches, mais je choisirais l’ambassade de France. Sans exagérer, si cela continue, ce sera la fin des coptes d’Égypte, comme pour les chrétiens d’Irak, en quelques années à peine. »

    Cette amertume est partagée par la grande majorité des 10 millions de chrétiens qui vivent actuellement en Égypte. Ils ont le sentiment d’être sacrifiés sur l’autel du nouvel ordre islamique que cherchent à instaurer les Frères musulmans, grands vainqueurs des élections parlementaires, en accord avec l’armée, qui assure la transition. Les chrétiens sont pris dans un étau qui se resserre jour après jour sur leur rêve de liberté, né place Al-Tahrir, en 2011.

    « Nous, les zabbalin, les chiffonniers chrétiens, nous étions allés sur cette place dès le début du soulèvement, rappelle M., responsable d’un projet de développement dans son quartier de la colline de Mokattam. À présent, nous n’osons plus y mettre les pieds. » Des milliers de chrétiens démunis vivent sur les pentes de cette colline. Ce sont ceux à qui soeur Emmanuelle avait rendu leur dignité, il y a trente ans, en les aidant à construire des maisons au lieu de dormir sur les poubelles du Caire.

    Proies d’attaques armées dès le mois de mars 2011, les chiffonniers chrétiens se sentent encerclés. Une dizaine d’entre eux a déjà été tuée en tentant de repousser les assauts. Lorsque M. parle du quartier, il regarde vers les collines ocre, vers l’horizon brouillé par la pollution : « C’est de là qu’ils envoient des cocktails Molotov. »

    Lire tout l'article : L'appel des Coptes

  • Plusieurs dizaines de chrétiens massacrés au Nigeria

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    Les chrétiens du Nigeria ont vécu des fêtes pascales sanglantes. Comme il nous est interdit de reproduire des dépêches d'agences de presse auxquelles nous ne sommes pas abonnés, nous vous renvoyons aux informations parues dans les médias : Paques-meurtrieres-au-Nigeria-pres-de-70-morts.dhtml

    Pour tenter de comprendre ces évènements, on pourra se reporter aux propos de l'archevêque d'Abuja au lendemain de semblables évènements survenus à Noël. Ces propos figurent sur le site "30 giorni", sous le titre : Un terrorisme qui vient de loin

    L’archevêque d’Abuja analyse la situation de son pays après les attentats contre les églises. Il s’interroge sur les racines du groupe terroriste Boko Haram, qui n’est pas l’expression de la culture du Nigeria . L’Église catholique, qui veut la paix et l’accord, est victime d’une folie qui a pour projet de diviser le pays pour s’approprier ses ressources naturelles.

    par John O. Onaiyekan archevêque d’Abuja

    Que se passe-t-il dans mon pays? Et à qui la faute? On n’a pas de renseignements sûrs quant aux auteurs du massacre de Noël dans la paroisse Santa Teresa, à Madalla, près d’Abuja. Ceux qui ont revendiqué ce massacre en s’en vantant face à Dieu disent appartenir au groupe Boko Haram, des gens qui agissent dans l’ombre, imbus d’une idéologie liée au terrorisme international, sous le masque du fanatisme islamique. Mais c’est une nébuleuse aux intérêts contradictoires. Certains affirment que quelques-uns de ses membres se sont formés dans les camps d’entraînement avec les talibans et Al-Qaïda, en Afghanistan et dans le Pakistan septentrional. Ils sont liés aux extrémistes qui souhaitent malheureusement étendre au Nigeria l’application de la sharia, au point d’amputer les mains et de lapider les femmes adultères. Certes, il s’agit d’une minorité, mais celle-ci est la source d’un grand désordre; et nous pensons malheureusement que le Nigeria en est arrivé au stade où se déclenchera une réaction en chaîne, après des années au cours desquelles nous avions espéré que ce phénomène aurait pu être absorbé physiologiquement, par le simple recours à la loi et la négociation.

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  • Le tout petit évêque d'une grande Eglise

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    Ami et conseiller des premiers rois capétiens Robert le Pieux et Henri 1er, Fulbert est élu évêque de Chartres en 1006. Lui-même se dit « tout petit évêque d'une grande Église ».

    Il fait reconstruire la cathédrale, brûlée en 1020. C'est le temps où selon le chroniqueur Raoul Glaber, « la terre se couvre d'une blanche robe d'églises ». Fulbert meurt le 10 avril 1028. (Herodote.net)

    Voir la belle notice qui lui est consacrée ici : http://hodiemecum.hautetfort.com/

  • Le franc parler d'un évêque courageux

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    Voici une homélie prononcée par un évêque qui ne manie pas la langue du buis, c'est le moins que l'on puisse dire. C'est paru dan la bussola et nous en trouvons la traduction sur le site ami "Benoît et moi" :

    Il fait irruption dans l'histoire (La Bussola) : Mgr Luigi Negri (*)

    Le Seigneur Jésus-Christ fait irruption dans l'histoire comme le Ressuscité, et ainsi comme début de la vie nouvelle de l'homme et du monde, sortant tout à coup du tombeau dans lequel il était resté écrasé par les péchés de tous les hommes et de toute l'histoire.

    En cette Pâque, le Seigneur doit une fois de plus renverser la pierre du tombeau, mais le tombeau où il gît est le tombeau de notre société, de la marque de notre société inhumaine, barbarisée, car justement loin de la reconnaissance de la rédemption.

    Le tombeau est l'image terrible de cette société dans laquelle des millions d'enfants ne naissent pas, parce qu'avortés, des milliers et des milliers d'autres sont exploités de la façon la plus terrible et la plus inique. La vie de la société est dominée par une violence familiale qui se répand ensuite dans toutes les structures de la vie sociale: un consumérisme effréné, un individualisme matérialiste terrible, une incapacité à affronter la vie de manière digne, sérieuse, capable de sacrifice, capable d'amour.

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  • Reine du Ciel, réjouis-toi !

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    Pourquoi se priverait-on du plaisir de savourer la joie pascale ? En priant Marie...

    Reine du ciel, réjouissez-vous, alléluia
    car Celui que vous avez mérité de porter dans votre sein, alléluia
    est ressuscité comme Il l'a dit, alléluia
    Priez Dieu pour nous, alléluia.

  • Le site des médias catholiques à nouveau accessible

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    Catho.be est de nouveau en selle et nous nous en réjouissons; voici la note publiée sur le site:

    "Les sites des Médias Catholiques muselés par une cyber-attaque

    Chers internautes,

    Le serveur web Catho.be et le site d’informations en continu InfoCatho.be ont été la cible d'une importante attaque informatique depuis le jeudi 5 avril à 10h. De ce fait, la rédaction des Médias Catholiques n’a pu relayer l’information comme elle le fait quotidiennement, ni même envoyer à ses abonnés la lettre d’informations Cathobel.

    L’attaque a été parfaitement organisée. Des fichiers de différents sites hébergés sur le serveur ont été modifiés et d'autres supprimés.

    Notre prestataire technique est contraint de renforcer la politique de sécurité et n'est toujours pas encore en mesure de rendre accessible l'ensemble du contenu et des fonctionalités des sites.

    Les premières analyses laissent penser que l'origine de l'attaque est belge. Les outils et les techniques de l'attaque sont aussi identifiés. La direction des Médias Catholiques a averti la Computer Crime Unit et une plainte sera déposée très rapidement.

    Cette attaque est probablement la plus importante des sites Catho.be et InfoCatho.be.

    La direction et rédaction des Médias Catholiques pensent que le fait que cette attaque ait été exécutée le Jeudi saint, début des fêtes de Pâques, n'est pas le fait du hasard. Les Médias Catholiques sont soucieux de la liberté d’expression et regrettent que d’autres ne partagent pas cette vision.

    Les Médias Catholiques vous souhaitent une sainte et joyeuse fête de Pâques."

  • La musique liturgique à Rome : grandeur et décadence ?

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    Qu’en est-il de l’héritage romain de Giovanni-Pierluigi da Palestrina (1525-1594) ou même, beaucoup plus près de nous, de Lorenzo Perosi (1872-1956) et de son successeur, le cardinal Domenico Bartolucci ?

    Un article publié sur le site « Chiesa » sonne l’alarme (extraits) : 

    Le cas de la Chapelle Sixtine est emblématique. La nomination de l’actuel maître de chœur, Mgr Massimo Palombella, a été préparée dans le secret des bureaux de la secrétairerie d’état du Vatican, qui sont certainement parmi les moins compétents en la matière. Et elle n’a pas du tout fait sortir ce chœur, qui accompagne les liturgies pontificales, de l’état de dégradation dans lequel il est tombé.

    Selon le  vaticaniste Sandro Magister le dernier bastion de la grande musique liturgique de l’Église latine, construit sur les colonnes du chant grégorien et de la polyphonie de Giovanni Pierluigi da Palestrina, risque de capituler d’un moment à l’autre. Ce bastion, c’est l’Institut Pontifical de Musique Sacrée, le conservatoire de musique du Saint-Siège institué par Pie X il y a un siècle pour donner une bonne orientation à la musique sacrée dans les églises du monde entier.

    Il est présidé par Mgr Valentino Miserachs Grau, 69 ans, Catalan, qui dirige également la Cappella Liberiana, le chœur de la basilique pontificale Sainte-Marie-Majeure. À ce poste, il a eu comme prédécesseur et maître Domenico Bartolucci, le plus illustre compositeur et interprète de la musique liturgique qu’ait eu l’Église romaine au cours du siècle dernier, ancien maître du chœur pontifical de la Chapelle Sixtine dont il fut brutalement évincé en 1996, et fait cardinal par Benoît XVI en 2010.

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  • La piété populaire, un fonds mal exploité ou délibérément méprisé ?

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    Fruit de nombreux siècles de civilisation chrétienne, la piété populaire est inscrite plus profondément que l’on ne le croit dans la mentalité collective. En témoignent, les succès de foule dans les sanctuaires, les dévotions persistantes à l’égard de l’Enfant Jésus de Prague, du Sacré Cœur, de la Vierge, de saints comme Rita, Antoine, Don Bosco, Vincent de Paul, devant lesquels brûlent constamment force bougies et luminaires.

    Il suffit qu’un prêtre intrépide ose convoquer les fidèles d’une cité réputée déchristianisée pour qu’un millier de fidèles répondent à son appel et témoignent de leur attachement au Christ en participant à un chemin de croix dans les rues de la ville. Ou encore, comme hier, jour de Pâques, dans mon église paroissiale bondée et exultante, tout simplement parce que les membres de la chorale avaient généreusement invité les gens du quartier à se joindre à eux pour la messe et une réception conviviale. L’excellence de l’accompagnement choral mais aussi le soin apporté par le célébrant à officier avec dignité, recourant à la symbolique de l’eau, des cierges allumés, de l’encens, ainsi que la profondeur de son homélie, ont fait de cette messe un grand moment de grâce. Les « miracles », pour peu qu’on veuille bien les susciter, ne se produisent pas qu’à Marseille dans l’église du Père Zanotti-Sorkine !

    Après des décennies d’enfouissement, il serait grand temps d’en appeler à ce fonds que représente la sensibilité religieuse des gens. Ceux-ci se sont éloignés d’églises où l’on a voulu promouvoir des formes liturgiques, soi-disant adaptées à notre temps, mais en réalité terriblement pauvres et peu susceptibles de développer une piété qui parle aussi aux sens, aux sentiments, à l’affectivité. Notre religion est une religion de l’incarnation, avec tout ce que cela comporte. Une religion rabougrie et desséchée, bavarde aussi, ne peut satisfaire cette attente complexe du cœur et de l’esprit.

    Le sacré a aussi ses exigences : de recueillement mais également de soin, d’application, de préparation, et  de beauté surtout. On ne peut concilier avec lui n’importe quelle forme d’expression. Ces banderoles ou ces montages en carton qui envahissent les podiums de nos églises durant les campagnes d’avent ou de carême, censés nous sensibiliser aux injustices du monde, sont souvent laids et offensent le caractère consacré du lieu. Ou encore, ces interventions multiples qui, avec des intentions louables, interrompent le déroulement de la liturgie. On ferait bien d’envoyer nos « animateurs » en stage prolongé chez nos frères orthodoxes qui les initieraient à la dimension mystique de la liturgie qui unit le ciel à la terre.

    Ces propos sont forcément sommaires mais ils nous sont inspirés par ces expériences récentes qui montrent qu’il ne faut pas désespérer mais oser en appeler à un "sens" religieux encore bien présent et - malheureusement - souvent inexploité. Encore faut-il qu'on s'y applique sans tarder car l'usure du temps et la prégnance du matérialisme ambiant pourraient bien avoir raison de ces ressources "dormantes"...

  • Waudru, la Montoise

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    Santa_Valdetrude_A.jpgOn la fête aujourd'hui : Waudru est issue d'une famille de la haute aristocratie franque. Son père, Walbert ou Waubert, semble avoir été maire du palais de Clotaire II et sa mère, Bertille, était la fille d'un roi de Thuringe (Radulf ou Raoul Ier de Thuringe).

    Waudru épousa Madelgaire, comte de Famars ou de Hainaut selon les auteurs. Quatre enfants naquirent de ce mariage : Aldetrude, Madelberte, Landry et Dentelin.

    Ayant achevé l'éducation de leurs enfants, Madelgaire, sous le nom de Vincent, se retira à l'abbaye d'Hautmont qu'il avait fondée auparavant, tandis que Waudru, conseillée par saint Ghislain (son confesseur), fonda un oratoire sur une colline : c'est autour de cet oratoire, devenu abbaye bénédictine par la suite, que se développera la ville de Mons. Vers le milieu du XIIe siècle, l'abbaye deviendra un chapitre noble féminin.

    À sa mort, la vox populi déclara Waudru sainte. Aye, une cousine, lui succéda à la tête de la communauté féminine, l'abbaye étant mixte à l'origine.

    Ce n'est qu'en 1039 que l'Église officialisa la canonisation par l'intermédiaire de l'évêque de Cambrai. Sa cousine et successeur sera, elle aussi, canonisée. (Wikipedia)