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  • Que vient faire Notre-Dame de la Sarte dans cette galère ?

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    Les fêtes septennales en l'honneur de Notre-Dame de la Sarte se déroulent actuellement à Huy. Au programme, on trouve curieusement, pour demain, 14 juin, un "débat interconvictionnel" intitulé "chrétiens et franc-maçons: Dieu merci". Il n'y a pas lieu de s'interroger longtemps pour savoir quel chrétien dialoguera avec les frères .: Le vice-recteur émérite de l'UCL, Gabriel Ringlet, fait évidemment l'affaire et ses interlocuteurs maçons ne prennent vraiment aucun risque. Mais qu'est-ce que cette rencontre vient faire dans le programme de ces festivités mariales ?

  • Ce que nous enseigne l'art

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    LES MARDIS DES BERNARDINS
    Que nous enseigne l'art ?

    Sur KTO, une vidéo diffusée le 12/06/2012 (durée 52 mn) que l'on pourra visionner ici: ktotv.com/videos-chretiennes/

    Présentation :

    L'art, dit-on, est fait pour le pur plaisir. Il n'a donc rien à nous dire et encore moins à nous apprendre. Il n'est que l'expression de la subjectivité de l'artiste. Ces affirmations sont fausses. Le contraire doit même être soutenu et peut être démontré. En réalité l'art n'est pas tant que cela une partie de plaisir et son rôle a toujours été et demeure de montrer la réalité, d'en dévoiler la vérité, d'éduquer le regard. Bref l'art ne cesse de nous enseigner. Et que nous enseigne-t-il ? Les artistes et connaisseurs de l'art l'affirment inlassablement : rien de moins que ces matières parfaitement sérieuses que sont la vérité, le bien et le mal, le sens de l'histoire, l'humain, la vie... Avec la participation de : Alain Berland : Commissaire et critique indépendant, chargé des arts plastiques au Collège des Bernardins; Bernard Marcadé : critique et historien d'art, co-directeur du département 'La Parole de l'art'; Tania Mouraud : artiste plasticienne, exposée actuellement dans la nef du Collège. Débat animé par Catherine Escrive, journaliste.

  • Quand un cardinal, à titre posthume, témoigne en faveur de Pie XII

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    Un membre de la Curie romaine, le cardinal Costantini, très lié à Pie XII, présenté par Mgr Filoni (Anne Kurian - ZENIT.org) :

    Le cardinal Filoni présente la figure du cardinal Celso Costantini (1876-1958), très proche de Pie XII, et qui a marqué l’Eglise du XXe siècle.

    Le cardinal Fernando Filoni, préfet de la Congrégation pour l’Evangélisation des peuples, a participé à la présentation d’un ouvrage sur le cardinal Costantini, le 8 juin 2012, à Rome, à l’Université pontificale de la Sainte-Croix. L’édition italienne de L’Osservatore Romano du 8 juin publie des extraits de son intervention.

    L’ouvrage, intitulé « Le portrait secret du cardinal Celso Costantini », (Il ritratto segreto del cardinale Celso Costantini), offre un tableau global de la figure et de l’œuvre de Celso Costantini. Publié en italien chez Marcianum Press, sous la direction de Bruno Fabio Pighin, il présente 10.000 lettres inédites de 1892 à 1958.

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  • Le baptême : une décision qui est un non à la culture du rejet de Dieu

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    Le lundi 11 juin, le pape a développé le sens du baptême. Anne Kurian, sur ZENIT.org, en rend compte :

    Le baptême est le « oui » à Dieu et à la vérité, et le « non » à la culture du mensonge qui rend « esclave », a déclaré Benoît XVI aux participants Congrès ecclésial du diocèse de Rome, hier, 11 juin 2012.

    Benoît XVI a en effet inauguré le Congrès ecclésial qui conclut l’année pastorale du diocèse de Rome, sur le thème: “Allez et faites des disciples, en les baptisant et en les enseignant (Mt 28, 19-20). Redécouvrons la beauté du baptême ” (11-13 juin 2012), en la basilique Saint-Jean-du-Latran, cathédrale du diocèse.

    Le pape, s’exprimant sans papier, a centré sa réflexion, entre autres sur les paroles du sacrement du baptême, qui comprennent trois temps – renonciations, promesses, invocations – et qui sont « chemin » pour toute la vie.

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  • Samedi 9 juin à Liège :500 fidèles ont célébré la Fête-Dieu au Boulevard d’Avroy

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    100_3448.jpgCinq cents fidèles se sont retrouvés le samedi 9 juin  à Liège, dans l’église du Saint-Sacrement pour la Solennité de la Fête-Dieu (célébrée selon la forme extraordinaire du rite romain) et pour la procession qui s’est ensuite déroulée au Boulevard d’Avroy et dans les rues adjacentes. Beaucoup de ferveur dans la foule venue essentiellement de Liège et de sa grande banlieue mais aussi de Verviers, de Banneux  et  même de Malmedy. Du panache avec l’Harmonie de Montzen, les superbes bannières et le dais du Saint-Sacrement apportées par les paroisses de Vottem et de Grand-Halleux. Sans oublier les beaux chants grégoriens des dix-huit choristes de la Schola Cantorum  de Roermond (Pays-Bas) ni Gauthier Bernard, un jeune organiste de talent (titulaire des orgues de l’église Sainte Julienne à Verviers).

    C’est le Doyen de Liège-Centre, le chanoine Eric de Beukelaer, qui prononça l’homélie de la messe. Voici le texte de sa prédication : 

    «Ceci est mon corps… Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, répandu pour la multitude». (Marc 14, 12-26)

    Le dimanche de la fête du Corps et du Sang du Christ – appelée communément « la Fête-Dieu – est d’origine liégeoise et remonté au XIIIe siècle. Comme le rappela le pape Paul VI en 1965 : « elle fut célébrée la première fois au diocèse de Liège, spécialement sous l’influence de la Servante de Dieu, sainte Julienne du Mont-Cornillon, et Notre Prédécesseur Urbain IV l’étendit à l’Eglise universelle » (encyclique Mysterium Fidei n°63). Il est donc juste que dans notre bonne ville de Liège, ce dimanche de la Fête-Dieu soit particulièrement honoré.

    Je remercie le Comité organisateur de m’avoir invité à prêcher en cette occasion. Car ce n’est pas avant tout l’abbé de Beukelaer, mais le Curé-Doyen qui prêche. Or, qui a-t-il de plus connexe que la célébration de l’Eucharistie et l’apostolat du Curé ? Sans doute que celui qui avait le mieux compris cela, fut le curé d’Ars. Quand il avait un trou de mémoire lors de ses sermons, celui-ci se contentait de désigner le tabernacle en s’écriant : « Mes amis… Il est là ! Il est là ! » Tout était dit et je pourrais me contenter de l’imiter. Mais – comme je n’ai pas la capacité de conviction du Saint Curé – je vais tout de même poursuivre encore un peu. En cette fête de l’adoration eucharistique, arrêtons-nous donc sur le sens de tout cela. Qu’est-ce que l’Eucharistie et pourquoi l’adoration?

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  • L’effet Ratzinger : un nouvel épiscopat se met en place au Québec

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    Lu sur le site de la revue québécoise « Egards » (n°35, printemps 2012), sous la signature de Luc Gagnon (extraits) :

    « Ecclesia semper reformanda : l’Église, tout en étant de nature divine, doit continuellement se réformer et se convertir pour mieux accomplir sa mission, transmettre la foi chrétienne et la vie divine aux hommes en vue de leur salut. L’Église du Québec, depuis le concile Vatican II, semblait être entrée dans une voie de « démission », selon le mot du cardinal Jean Daniélou, de dissolution dans la société désenchantée issue de la Révolution tranquille. On ne voyait plus clairement la distinction entre l’Église et le monde. Résultat ? Les Québécois se disent catholiques, tout en rejetant des éléments essentiels du dogme, comme la résurrection du Christ, l’immortalité de l’âme humaine, le péché originel, la transsubstantiation.

    Le cardinal Paul-Émile Léger représente parfaitement ce catholicisme démissionnaire. Lui-même a littéralement démissionné de son poste d’archevêque de Montréal en 1967 pour se lancer dans une activité caritative auprès des lépreux d’Afrique, où il fut plutôt mal reçu.(…). Les évêques qui ont suivi le cardinal Léger n’ont pas été à la hauteur du défi de la laïcisation accélérée. La plupart ont été tétanisés par cette société radicalement incroyante, indifférente à la foi et à la culture chrétiennes.(…).Dans le mystère du salut, l’Église du Québec devait probablement faire son voyage au bout de la nuit pour renaître, elle devait être guidée par des pasteurs aveugles jusqu’au bord de l’abîme.

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  • L'échec de la "belgian way of life"

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    Une enquête réalisée par la RTBF met en lumière le mal-être de nombreux Belges. Bien sûr, les enquêteurs chargés de réaliser cette étude pour le compte d'une mutualité socialiste expliquent cette situation par des causes socio-économiques et préconisent pour y remédier un accompagnement surtout psychologique. Pour notre part, nous constatons que, dans un pays parmi les plus déchristianisés d'Europe occidentale, un des plus avancés dans la décomposition de la famille et dans le mépris de la vie, l'individu livré à lui-même, affranchi de la religion et de la morale tombe en dépression profonde. Les liens familiaux et sociaux distendus ou rompus laissent l'homme seul face à des problèmes multiples aggravés par la crise économique. Mais, pour nous, le problème est avant tout spirituel. Comment affronter la vie lorsque plus rien n'a de sens? Une société laïque (ou plutôt laïciste) qui n'apporte aucune réponse aux questions existentielles qui taraudent le coeur de l'homme peut-elle l'empêcher de sombrer dans le désespoir? Tant il est vrai que lorsqu'il y a éclipse de Dieu, il y a immanquablement éclipse de l'homme. Ce constat doit, plus que jamais, nous déterminer à être présents de façon inventive aux côtés de ceux qui souffrent et à témoigner de notre espérance et de cette joie profonde que le monde ne peut nous ravir.

    On pourra consulter cette enquête sur le site de la RTBF.

    Extraits :

    L'économie va mal, et ce n'est pas sans impact sur notre moral. Mais en dehors de la crise, d'autres sujets angoissent les Belges: la capacité de la politique à nous tirer de là ou l'avenir des enfants ou encore celui des parents... Résultat seul un Belge francophone sur quatre échappe à la déprime, et un sur dix exprime un profond mal-être permanent. De plus, 8% ont déjà tenté de se suicider. (...)

    Clairement, les réponses des sondés indiquent que leur moral est en berne et que notre société est de plus en plus anxiogène. Et cela s'aggrave depuis 5 ans, selon les auteurs de l'étude. (...)

    Les autres sondés expriment des intensités de mal-être et de souffrances psychiques variables. Mais un sur dix exprime un profond mal-être permanent. (...)

    Par ailleurs plus d'un Belge francophone sur dix a déjà pensé à se suicider et les deux tiers d’entre eux ont tenté de passer à l’acte. 8% de personnes ayant tenté de mettre fin à leurs jours: c'est alarmant quand on sait qu'il y a dix ans, on en comptait 3%, disent les auteurs.

    Parmi eux on retrouve des catégories à risques déjà évoquées: les demandeurs d’emploi, davantage les femmes que les hommes et également davantage parmi les familles monoparentales. Et les jeunes sont très touchés: 18% de tentatives chez les 18-25 ans.

    Avec 700 suicides aboutis en Wallonie chaque année, on est loin au dessus des chiffres de la Flandre ou des Pays-Bas, relèvent les auteurs de l'étude. (...)

    L'avenir ne semble pas rose: une large majorité pense que la crise économique va encore durer et encore plus parmi les étudiants. L'autre sujet de préoccupation, ce sont les proches: les enfants et les parents.

    Une large majorité de ceux qui ont des enfants – six sur dix d’entre eux, surtout chez les demandeurs d’emploi et les familles monoparentales–, sont vraiment très inquiets de l’avenir de leurs enfants, notamment pour ce qui est de la qualité de l'enseignement, pour les résultats scolaires et à cause de la difficulté de dialoguer. On note que le risque qu'un enfant ait un accident grave en voiture inquiète une majorité de sondés (63%).

    Le suicide chez les enfants est une autres des préoccupations majeures: trois parents sur dix craignent le suicide d’un de leurs enfants, surtout les parents d’adolescents et davantage les mères que les pères.

    Les enfants se préoccupent aussi de leurs parents. Plus de six sur dix sont très inquiets face au risque de dégradation de la santé de leurs propres parents et la grande majorité de ceux-ci ajoutent une autre angoisse : l’incapacité dans laquelle ils seront d’avoir les moyens pour s’occuper d’eux quand ils en auront besoin. (...)

    Autres raisons d'angoisser: le risque de se retrouver seul(e) dans la vie qui travaillent une personne sur deux et la violence, petite délinquance, vandalisme et incivilités, redoutés par six personnes sur dix. Les soucis de santé et les grands thèmes de société inquiètent aussi fortement de quatre à cinq personnes sur dix: la faim dans le monde, le réchauffement climatique et le risque de conflits internationaux.

    L'enquête indique aussi que 42% des sondés expriment explicitement un besoin d’accompagnement. Extrapolé, cela fait près de 1,1 million de personnes.

    En effet, parmi les 75% de la population qui expriment des souffrances psychiques à des intensités variables, une majorité – six sur dix d’entre eux – dit ressentir le besoin d’une aide. Et, moins on se sent bien, plus on exprime ce besoin d’accompagnement et d’aide. (...)

    C'est la conclusion: seul un Belge francophone sur quatre ne ressent jamais de mal-être. Un sur dix exprime un mal-être permanent. Entre ces deux états, les intensités de souffrance psychique sont variables. Les 5% de la population qui souffrent d’un épisode dépressif majeur et même les 45% qui souffrent d’un état dépressif léger ou modéré constituent une population "à risque", qui pourrait plus ou moins rapidement basculer en dépression plus sévère.

  • Léon III, pape aux alentours de 800

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    Du "Propre de la ville de Rome", le récit de la vie du saint Pape (795-816) fêté aujourd'hui. (source : abbaye-saint-benoit.ch)

    "Léon, troisième du nom, naquit à Rome et eut pour père Asuppius. Il fut élevé dès son enfance dans les dépendances de l'Eglise patriarcale de Latran, et formé à toutes les sciences divines et ecclésiastiques. Moine de saint Benoit, puis prêtre cardinal, il fut enfin, d'un accord unanime, créé souverain pontife le jour même de la mort d'Adrien, l'an sept cent quatre-vingt-quinze. Il occupa le siège vénéré de saint Pierre vingt ans, cinq mois et dix-sept jours.

    Il fut dans le pontificat ce qu'il s'était montré avant son élévation, plein de bienveillance et de douceur , adonné à Dieu, charitable au prochain, prudent dans les affaires. Il fut le père des pauvres et des malades, le défenseur de l'Eglise, le promoteur du culte divin. Pour Jésus-Christ et l'Eglise son zèle entreprit les plus grandes choses, et sa patience supporta les dernières extrémités.

    Laissé à demi-mort par des impies, les yeux crevés, couvert de blessures, il se trouva guéri le lendemain par un insigne miracle ; ses prières obtinrent la vie aux parricides auteurs de l'attentat. Il déféra à Charlemagne roi des Francs l'Empire romain. Il construisit un vaste hospice pour les étrangers, et consacra aux pauvres son patrimoine avec d'autres biens. Les basiliques de Rome, surtout celle de Latran, dans le palais de laquelle il bâtit le triclinium célèbre entre tous, ces édifices sacrés et d'autres encore, furent comblés par lui de tant de richesses précieuses, qu'on peut à peine le croire. Enfin il couronna sa vie si pieuse par une sainte mort, la veille des ides de juin, l'an du Seigneur huit cent seize ; on l'ensevelit au Vatican."

  • Koekelberg, 14-17 juin : fête du Sacré-Coeur

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    Adoration-Basilique-Sacre-Coeur-de-Koekelberg-Bruxelles-1.jpgBasilique nationale du Sacré-Coeur - Bruxelles

    FÊTE DU SACRÉ CŒUR

    - JEUDI 14 JUIN : VEILLÉE DE PRIÈRE
    - 20h : enseignement par le père Édouard Marot sur le Cœur de Jésus suivi d’une veillée de prière et de l’Heure Sainte en silence (23h-24h)

    VENDREDI 15 JUIN : JOURNÉE D’ADORATION SOLENNELLE
    - 8h : Laudes
    - 9h : Messe du matin
    - 9h30-18h : Adoration solennelle communautaire du Saint Sacrement et possibilité de confession
    - 18h : Prière avec le groupe de la Miséricorde Divine
    - 19h : Messe solennelle du Sacré Cœur

    DIMANCHE 17 JUIN :
    - 10h30 : Messe bilingue du Sacré Cœur, présidée par Mgr Kockerols, évêque auxiliaire pour Bruxelles

    source : catho-bruxelles.be

  • Nouveaux attentats antichrétiens au Nigéria (mise à jour)

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    Les chrétiens nigérians ont été à nouveau victimes d'actes terroristes dont la responsabilité échoit, comme à chaque fois, au groupe islamiste Boko Haram. On sait que l'objectif de ce groupe est d'instaurer la charia dans ce pays. Lire l'information concernant ces attentats : Nigeria-attentats-a-l-explosif-contre-deux-eglises-revendication-de-Boko-Haram

    Il faut cependant être attentif aux propos de l'archevêque de Jos rapportés et commentés par l'Agence Fides :

    « Nous avons à faire à un groupe de criminels. Nous n'en sommes pas au nettoyage ethnique et religieux » déclare l'Archevêque de Jos qui appelle à la prudence

    Abuja (Agence Fides) - « Nous avons à faire à un groupe de criminels qui pense que l'Eglise est un ennemi parce qu'à ses yeux, elle incarne la culture occidentale. Je ne pense cependant pas que ce soit la manière de voir de la majorité des musulmans du Nigeria. Ceux qui attaquent les lieux de culte chrétiens constituent une bande de criminels qui a perdu toute forme d'orientation. On ne sait même plus ce qu'ils veulent obtenir au travers de cette violence » déclare à l'Agence Fides S.Exc. Mgr Ignatius Ayau Kaigama, Archevêque de Jos et Président de la Conférence épiscopale du Nigeria, commentant les attaques perpétrées hier, Dimanche 10 juin, contre des lieux de culte chrétien à Jos - où un kamikaze s'est fait exploser dans l'église de la Christ Chosen Church - et à Biu - où un commando a ouvert le feu contre les fidèles qui participaient à une fonction. Mgr Kaigama précise qu'il se trouve à Calabar d'où il est sur le point de faire retour à Jos et qu'il ne dispose pas d'informations directes sur les derniers événements même s'il se tient en contact constant avec ses collaborateurs diocésains. Selon des nouvelles de presse, les deux attaques ont causé la mort d'au moins quatre personnes.

    Les deux attaques ont été revendiquées par la secte islamique Boko Haram. Selon le Président de la Conférence épiscopale du Nigeria, le fait que « ce groupe de criminels se réfèrent à l'islam ne signifie pas que tous les islamiques nigérians soient d'accord avec leurs actions. Je ne partage pas l'avis de ceux qui parlent de nettoyage ethnique ou religieux. Il existe par ailleurs également des groupes chrétiens qui tendent à exagérer la situation avec l'aide des media qui présentent une image déformée de ce qui se passe. Certains chrétiens se plaignent de ne pas parvenir à pratiquer le culte. En ce qui concerne mon Archidiocèse, je peux assurer qu'à Jos, il existe une forte communauté catholique qui ne subit pas d'entraves en ce qui concerne la libre célébration des rencontres de prière et le déroulement de ses devoirs religieux.

    Il faut donc être prudent en rapportant les faits parce qu'il existe le risque de semer encore plus de panique et de confusion » avertit Mgr Kaigama. (L.M.) (Agence Fides 11/06/2012)

  • Benoît XVI invite à entretenir un lien personnel avec le Vicaire du Christ

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    Benoît XVI souligne l'importance de la fidélité dans l'Eglise et au Saint-Siège

    source : Radio Vatican



    Benoît XVI a reçu ce lundi matin les membres de l’Académie pontificale ecclésiastique où est formé le personnel diplomatique du Saint-Siège. Dans son discours, le Pape a insisté sur la vertu de la fidélité. La fidélité qui se vit dans l’Église et au Saint-Siège – a-t-il précisé - n’est pas une loyauté « aveugle », puisqu’elle est illuminée par la foi de Celui qui a dit : « Tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon Église ». Benoît XVI a encouragé ses futurs représentants dans le monde à vivre le lien personnel avec le Vicaire du Christ comme une part de leur spiritualité. Il leur a demandé de stimuler les Églises particulières à grandir dans la fidélité au Pontife romain, et à trouver dans le principe de communion avec l’Église universelle une orientation sûre pour leur pèlerinage dans l’histoire. « Vous aiderez le Successeur de Pierre lui-même à être fidèle à la mission reçue du Christ – a-t-il ajouté - en lui permettant de connaître au plus près le troupeau qui lui est confié et de le rejoindre plus efficacement avec sa parole, sa proximité, son affection ». Le Pape en a profité pour exprimer sa gratitude aux nombreux collaborateurs de la Curie romaine et aux Représentants pontificaux, et pour remercier du soutien qui lui vient de la prière des innombrables frères et sœurs du monde entier.

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    Traduction intégrale du discours du Pape

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  • Liège, 20 juin : "La religion en droit comparé" par le Professeur Christians

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    Cercle universitaire L'Union des étudiants catholiques de Liège

    Groupe de Réflexion sur l'éthique sociale

    Avec le concours du forum de conférences "Calpurnia"

    Cycle de Débats

    NEUTRALITÉ OU PLURALISME

    Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles

     

    Mercredi 20 juin 2012  à 18h00 

     La religion en droit comparé à l’aube du XXIe siècle

     Présentation par 

     Louis-Léon CHRISTIANS

     Professeur de droit des religions à la Faculté de Théologie de l’Université Catholique de Louvain (UCL),  

     Vice-Président de l’Institut de Recherche Religions, Spiritualités, Cultures, Sociétés 

    À cette occasion, les organisateurs vous présenteront également le thème et le programme du cycle de lunch-débats 2012-2013

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée : parcours fléché)

    Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h30. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail adressé à  info@ethiquesociale.org

    RSVP le 18 juin 2012 au plus tard  - http://www.ethiquesociale.org/ - tél 04.344.10.89