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  • Les "Raisons de croire en Dieu" selon L'Express

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    Via "Réflexions sur la foi"

    « 10 raisons de croire en Dieu », dans l’hebdomadaire l’Express cette semaine

    De plus en plus d’intellectuels ou d’écrivains s’en réclament. Les scientifiques continuent de spéculer sur son existence. Les athées militants contribuent à la polémique. N’en déplaise à Nietzsche, Dieu n’est pas mort. Peut-on raisonnablement faire l’inventaire des raisons d’y croire? On peut…

    1. Parce qu'à l'horloge il faut un horloger

    Cet argument est l'un des plus vieux de l'histoire de la philosophie. On le trouve dans la Physique d'Aristote (né en 384 av. J.-C.), disciple de Platon et précepteur d'Alexandre le Grand: tout être en mouvement reçoit son mouvement d'un autre être, tel le stylo qui écrit reçoit le mouvement de ma main
    >>> à lire sur le site de L’Express (où n'en sont exposées que sept)

  • Dépasser nos préoccupations matérielles

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    Angélus du 5 août 2012 : Jésus nous invite à dépasser nos préoccupations matérielles

    Source : http://www.news.va

    Les perspectives de l’existence ne sont pas simplement celles des préoccupations quotidiennes : manger, s’habiller ou faire carrière. Ce que veut Jésus, c’est « aider les gens à aller au-delà de la satisfaction immédiate procurée par les nécessités matérielles, même si celles-ci sont importantes (…) Jésus nous invite à ne pas nous arrêter à l’horizon humain, mais à nous ouvrir à l’horizon de Dieu et de la foi », le Pape l’a rappelé ce dimanche lors de l’Angélus, récité dans la cour du Palais apostolique de Castelgandolfo, la résidence d’été des papes.

    Benoît XVI a commenté face aux fidèles l’Evangile selon Saint Jean, le chapitre 6 lors duquel Jésus est dans la synagogue de Capharnaüm après la multiplication des pains. La foule veut que le miracle se prolonge et demande au Christ ce qu’il faut faire pour travailler aux œuvres de Dieu et la réponse de Jésus est simple : « L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé » dit l’Evangile de Jean (v 29). Car, a expliqué le Pape : « Jésus est le vrai pain de vie qui rassasie notre faim de sens et de vérité. Il ne peut pas s’obtenir avec le travail humain, il vient seulement comme un don d’amour de Dieu à chercher et accueillir. » Aussi, a affirmé Benoît XVI « le centre de l’existence, ce qui donne du vrai sens et une ferme espérance à notre cheminement parfois difficile, est la foi en Jésus, la rencontre avec Dieu. »

    « En ces journées pleines d’occupations et de problèmes, mais aussi de repos et de détente, le Seigneur vous invite à ne pas oublier que s’il est nécessaire de se préoccuper du pain matériel et de se redonner des forces, il est encore plus fondamental de faire croître son rapport avec Jésus, de renforcer notre foi en Lui qui est le « pain de vie », qui remplit notre désir de vérité et d’amour. »

  • Alzheimer, la prière et saint Thomas

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    Une excellente note est consacrée à "Alzheimer et la prière"

    Une étude parue il y a quelques jours dans Le Figaro indique que les gens qui prient sont moins souvent touchés par la maladie d'Alzheimer que les autres. Sujet d'été... Il ne faut évidemment pas prendre au pied de la lettre les chiffres fournies par l’enquête américaine dont Le Figaro se fait l'écho, mais c'est une occasion - et me semble-t-il une bonne occasion - de réfléchir à ce qu'est la prière.

    Quand vous priez ne soyez pas comme ces gens qui rabâchent..." nous demande le Christ. Certes la répétition est un aspect de la prière, une manière de conjurer le temps qui passe et de rentrer dans l'Absolu à travers la multiplication des invocations. Si nous prenons les choses du plus haut (sub specie aeternitatis disait Spinoza) le temps, après tout n'est que le déploiement de l'éternité. Répéter une même formule, c'est donner une durée à l'instant et, en quelque sorte imaginer l'éternité.

    Mais si la répétition est purement mécanique, si nous n'entrons pas dans ce que nous répétons, si nous restons extérieurs aux paroles et extérieurs aux intentions de la prière, alors la répétition est contre productive. En revanche, elle peut constituer comme une musique d'ambiance qui calme l'esprit, l'aide à se centrer, à cesser son vagabondage, et là, nous retrouvons la thématique du Figaro. Prier, c'est vivre de l'esprit, vivre par l'esprit, aider notre esprit trop souvent plaqué à la surface de lui-même, butinant, passant d'une sollicitation à une autre : l'aider à se ramasser et à trouver son centre.

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  • 6 août : la Transfiguration du Seigneur

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    theophanes5.jpgDeux leçons de la Transfiguration (source : http://missel.free.fr)

    Au jour de la Transfiguration, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean pour les conduire sur une montagne élevée et solitaire. Il est délicat le travail qu'impose la Transfiguration du Seigneur, aussi le bon Maître prend soin de nous indiquer de quelle façon nous l'accomplirons. Sa leçon tient en deux mots : 1° Sur une montagne élevée, 2° Solitaire.

    1° Sur une montagne élevée. A propos de ces paroles, saint Thomas d’Aquin écrit : « Jésus nous enseigne en cela qu'il est nécessaire à tous ceux qui désirent contempler Dieu de ne pas s'attacher aux basses voluptés mais de s'élever sans cesse par l'amour vers les biens célestes. » Pour se transfigurer il est requis de s'élever. Tant qu'on reste incliné vers la terre, courbé lourdement sous le poids des passions, esclave des jouissances qu'elles réclament, on doit renoncer à tout embellissement de l'âme. Pour arriver à ressembler à Dieu, il faut le contempler donc, il faut monter. Or, on s'essouffle à gravir une montagne, on peine pour gagner un sommet. Au fait, toute transformation en mieux est conditionnée par un douloureux effort : le laboureur brise la terre afin qu'elle fructifie ; le savant travaille pour savoir plus et mieux.

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  • La christianophobie sous toutes ses formes

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    Radio Vatican propose un "Gros plan" sur : "intolérances, discriminations, violences, la christianophobie sous toutes ses formes" :

    Rome accueillait cette année un sommet de haut niveau consacré aux attaques antichrétiennes. Organisé par l’OSCE, Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe, cette rencontre avait pour objectif de donner des clés de lecture pour prévenir et répondre aux actes de haine et aux crimes contre les chrétiens, en favorisant une meilleure coordination. Les travaux ont été ouverts par une intervention de Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire du Saint-Siège pour les Rapports avec les États, qui a souligné que les preuves de la montée de l’intolérance contre les chrétiens étaient indiscutables. Et même si les pays les plus concernés se trouvent au Moyen- Orient, en Asie et en Afrique, l’Europe, et plus largement le monde occidental, ne sont pas épargnés. Les frontières entre les trois stades de la christianophobie, à savoir l’intolérance, la discrimination puis la violence, sont fines et parfois franchies. Et selon Massimo Introvigne, représentant de l’OSCE pour la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination, en particulier religieuse, ce phénomène est plus grave qu’on ne le laisse croire. Il répond au micro de Charles-François Brejon RealAudioMP3

    ...à titre d'illustration , on pourrait évoquer, par exemple, les 35 Ethiopiens chrétiens fraîchement expulsés d'Arabie Saoudite.

  • Le combat pour la vie de Jeanne Smits (5/8/2012)

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    Jour après jour, Jeanne Smits enrichit son blog de précieux contenus qui mettent en évidence la nécessité d'une mobilisation au service de la vie, mais aussi pour le respect de l'enfant et la dignité de la femme :

  • 5 août : fête de la dédicace de la basilique Sainte-Marie-Majeure

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    banner_storia.jpgPrésentation sur le site de la Basilique :

    "La Basilique Patriarcale de Ste Marie Majeure est un authentique bijou riche en beautés d'une valeur inestimable. Elle domine la ville de Rome depuis prés de seize siècles: temple marial par excellence et berceau de la civilisation artistique, elle représente une référence pour les "civites mundi" qui arrivent de toute les parties du globe dans la Ville Eternelle pour y apprécier ce que la Basilique offre à travers sa monumentale grandeur.

    Elle est la seule, parmi les basiliques majeures de Rome, à avoir conservé les structures originales de son temps. A l'intérieur, certaines particularités la rendent unique: les mosaïques de la nef centrale et l'Arc de triomphe qui remonte au Vème siècle, réalisé durant le pontificat de Sixte III (432-440), et celles de l'Abside dont l'exécution fut confiée au moine Fransiscain Jacopo Torriti sur ordre de Pape Nicolas IV (1288-1292); le pavement cosmatesque offert par les cavaliers Scoto Paparone et leurs fils, dans les années 1288; le plafond à caissons en bois doré dessiné par Giuliano San Gallo (1450); la Crèche du XIII siècle de Arnolfo di Cambio; les nombreuses chapelles (Borghèse, Sixtine,  Sforza, Cesi, "du Crucifix", de Saint Michel); le Maître-autel, œuvre de Ferdinando Fuga et successivement enrichi par le génie de Valadier; et finalement, la Relique de la Crèche et le Baptistère. Chaque colonne, chaque cadre, chaque sculpture, chaque tasseau de cette Basilique récapitulent l'histoire et les sentiments religieux.

    Du pèlerin fidèle en prière au simple passioné d'art, ému par les œuvres des génies artistiques, tous pourront goûter les émotions que des lieux aussi sacrés leur offriront. La rencontre avec la Basilique Libérienne, nom du Pape Liberio, est une expérience qui enrichit humainement et spirituellement: il n'est pas rare, en effet, de surprendre les visiteurs en attitude d'admiration devant l'imposante beauté de ses œuvres, d'autre part de constater la dévotion de toutes ces personnes devant l'image de Marie, ici vénérée avec le doux nom de "Salus Populi Romani", cherchant du réconfort et du soulagement. Le 5 août de chaque année est évoqué, à travers une célébration solennelle, le "Miracle de la Neige" face aux participants émus une pluie de pétales blancs tombe du plafond recouvrant l'hypogée en créant presque une union idéale entre l'assemblée et la Mère de Dieu." ..."

  • Tunisie : un projet de loi criminalise l’atteinte au sacré

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    Source : la-croix.com

    Dans un communiqué publié vendredi, l’ONG de défense des droits de l’Homme Human Rights Watch affirme que le projet de loi pénalisant l’atteinte au sacré, déposé par le parti islamiste Ennahda qui dirige la coalition au pouvoir en Tunisie, « menace la liberté d’expression » et pourrait entraîner une « nouvelle forme de censure ».

    Le texte, déposé mercredi à l’Assemblée nationale constituante, codifie les atteintes au sacré et prévoit une peine de prison allant jusqu’à deux ans de prison et quatre ans en cas de récidive. Il dresse une liste des valeurs, lieux et objets sacrés : Dieu et Mahomet, tous les prophètes, tous les livres saints, les mosquées, les églises et les synagogues notamment. Il codifie également la nature des atteintes et leur degré de gravité entre « l’injure, la profanation, la dérision et la représentation d’Allah et de Mahomet ».

    Lors de son premier congrès public mi-juillet, le parti islamiste avait préconisé de criminaliser l’atteinte au sacré tout en s’engageant à « garantir la liberté d’expression ». En juin, une vague de violences a été déclenchée par la mouvance salafiste pour dénoncer une exposition d’art dont certaines œuvres ont été jugées offensantes pour l’islam. Ennahda a alors été accusé de complaisance à l’égard de ces militants extrémistes. Selon Human Rights Watch, « le droit international des droits humains interdit de criminaliser la diffamation de la religion », sauf dans les circonstances très limitées où la « promotion de la haine religieuse » constitue « une incitation à la discrimination, à l’hostilité ou à la violence ».

  • Un homme de convictions et d'espérance

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    Maître Xavier Magnée : un homme de convictions et d’espérance

    Maître Xavier Magnée était l’invité du samedi de La Libre. L’occasion pour ce célèbre avocat de s’exprimer à propos de l’actualité judiciaire – notamment son point de vue quant aux libérations conditionnelles, à l’introduction éventuelle de peines incompressibles… -. L’occasion aussi de lui (re)découvrir de fortes convictions chrétiennes, qui ne l’ont pas laissé sans ressource au hasard des difficultés de la vie. C’est aussi un beau témoignage directement lié à son travail et au sens qu’il lui donne : « travailler, c'est pour moi être en contact avec la société et servir à quelque chose ».

    Extraits de La Libre :

    Vous êtes habitué à défendre des accusés dans des affaires très dures. Cela vous atteint-il psychologiquement, physiquement ?

    Ce sont des affaires qui sont à ce point épouvantables que pour les traiter, il faut y mettre toute sa passion de côté et avoir recours à ses ressources de froideur. Il faut être en quelque sorte 'en coma artificiel' pour gérer ça. Il faut être capable d'essayer de comprendre - je ne dis pas défendre- le pire et il faut être ouvert à l'homme. Il faut plonger dans des phénomènes d'une banalité extrême : comment peut-on beurrer sa tartine le matin et être un assassin le soir ? Il faut peut-être avoir souffert soi-même pour pouvoir traduire ce qui s'est produit en mots de tous les jours. Car les gens qui commettent de tels drames sont des gens de tous les jours.

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  • Un athlète olympique espagnol entre au séminaire après les jeux de Londres

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    Madrid, Espagne, le 3 août 2012 (CNA / EWTN News)

    Carlos Ballve - "Litus" pour ses amis – joue en défense dans l'équipe espagnole de hockey sur gazon, qui se retrouve en compétition aux Jeux Olympiques de Londres de 2012. Mais dès que la compétition se termine, il se rendra dans un séminaire en Belgique pour commencer son parcours conduisant à la prêtrise.

    Selon le quotidien espagnol El Pais, même s'il s'est toujours considéré comme croyant, ce n'est qu'en 2005 qu'il a pris conscience de l'importance de Dieu dans sa vie. Lors de l’été de cette année-là, tout a commencé à changer alors qu’il participait aux Championnats du Monde des moins de 21 ans.

    «Nous avons commencé la compétition affreusement mal. C’était si pénible qu’un dimanche, je suis allé à la messe et j’ai fait un pacte avec Dieu. Je lui ai dit que s’il arrangeait le championnat, j’irais à Medjugorje (où les présumées apparitions mariales sont encore à l'étude au Vatican (ndB), avec mon père. Nous avons gagné. Jamais auparavant une équipe des moins de 21 ans n’avait gagné une médaille, et nous sommes arrivés en troisième position », a-t-il affirmé.

    Ballve tenu sa promesse et s’est rendu à Medjugorje. Cependant, sa vie n’avait pas encore changé alors. Il a continué « à aller à des soirées avec des filles, à dépenser de l’argent à droite et à gauche, avec peu ou pas du tout l’intention de prier ». Mais  « quelque chose à l’intérieur de moi-même m’a dit : « Litus, tu es libre et tu peux faire ce que tu veux. Mais pour le moment tu n’es pas heureux ». Bien qu'il fût au sommet de son sport, Carlos décide d’arrêter, et de partir à la recherche de Dieu. « Je lui ai dit : ‘ Je ne sais pas ce qui ne va pas. Il se passe des choses étranges. Je veux être franc avec toi, donc me voici, fais ce que tu veux’ ». Sa vie a commencé à changer, et il a seulement demandé au Seigneur de le laisser réaliser son rêve de participer aux Jeux olympiques.  Ballve considère sa présence aux jeux comme « une expérience incroyable et précieuse ». Il a également expliqué qu’il espérait « non seulement gagner, mais aussi progresser dans ma vie de foi, et la partager avec des gens de plein d’endroits dans le monde ».

  • Le sens du jeûne chrétien expliqué aux musulmans par le cardinal Barbarin

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    "Le sens du jeûne chrétien" le cardinal Ph. Barbarin répond aux questions de la Web TV de la grande mosquée de Lyon :