Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 16

  • L'affaire des écoutes (NSA) met en évidence les rapports de puissance dans le monde

    IMPRIMER

    Jean-Sylvestre MONGRENIER, Chercheur associé à l’Institut Thomas More analyse l'Affaire Snowden : http://www.institut-thomas-more.org/fr/actualite/affaire-snowden-une-lecon-de-geopolitique.html

    L’affaire Snowden et la révélation par la presse de l’ampleur des écoutes réalisées par la National Security Agency (NSA) ont mis au jour les logiques de puissance qui gouvernent le monde et l’équivoque des rapports entre alliés. D’aucuns en appellent à l’Union européenne, mais les plus importants de ses membres privilégient les relations avec Washington. De fait, les nations européennes participent d’un « Grand Espace » euro-atlantique centré sur les États-Unis.

    Depuis l’été 2013, l’affaire Snowden n’en finit pas de rebondir. Au fil des semaines, la presse a mis au jour l’ampleur des écoutes réalisées par la National Security Agency (NSA), cette agence américaine ayant bénéficié de moyens renforcés à la suite des attentats du 11 septembre 2001. L’espionnage se révélant être une pratique courante entre alliés, il appert que le renseignement américain n’est pas animé par la seule lutte contre le terrorisme ou la surveillance des compétiteurs stratégiques mondiaux. Plus largement, la sortie de la Guerre froide et l’avènement d’un nouvel âge global ne signifient pas la fin du « politique » compris comme phénomène de puissance. D’aucuns en appellent à l’UE comme structure de coopération privilégiée entre nations européennes, mais celles-ci privilégient leurs relations propres avec le pouvoir américain, centre moteur d’un « Grand Espace » euro-atlantique. 

    Lire la suite sur le site de l'Institut Thomas More

  • L'affaire Barilla emblématique d'un changement de civilisation

    IMPRIMER

    On ne plaisante pas dans les camps de rééducation LGBT !

    Marie d'Armagnac, journaliste résidant en Italie, analyse, sur Boulevard Voltaire, le "recadrement" de Guido Barilla :

    « Nous ne ferons jamais de spots publicitaires avec des familles gays, nous sommes pour la famille traditionnelle » expliquait benoîtement Guido Barilla, président de la marque éponyme, le 26 septembre dernier, sur les ondes de radio24. Il ne se doutait pas qu’il allait déclencher contre lui une bronca internationale : le jour même, toutes les associations LGBT du monde et d’ailleurs ont appelé sur les réseaux sociaux au boycott de la marque. Cette petite phrase qui relevait sans doute autant d’une conviction personnelle que d’une logique commerciale, a été jugée l’expression de la plus noire homophobie.

    Dès le lendemain, l’indéboulonnable Dario Fo écrivait une lettre ouverte à l’infortuné Guido lui réclamant, de toute son autorité de Prix Nobel, de renouveler sa communication et de devenir le porte parole de l’intégration et de la modernité. Dès le 28 septembre, la machine à repentance est mise en branle. Dans une video largement diffusée, on voit Guido Barilla, les traits tirés, abattu, le regard fuyant, s’excuser à plusieurs reprises « d’avoir heurté la sensibilité de nombreuses personnes dans le monde entier. Les très nombreuses réactions, dans le monde entier, m’ont touché et profondément attristé parce qu’elles m’ont fait comprendre que, sur la question de l’évolution de la famille j’ai beaucoup à apprendre. »

    Lire la suite

  • "Grâce à la foi, je n'ai jamais pensé à la mort"; le témoignage de Michel Delpech

    IMPRIMER

    Michel Delpech: "Grâce à la foi, je n'ai jamais pensé à la mort"

    Le chanteur revient sur sa maladie dans une interview accordée à Gala :

    Un jour de février 2013 la vie du chanteur Michel Delpech bascule. Le verdict tombe, cancer de la langue. Entre radiothérapie, traitement lourd, fatigue, l’interprète de Pour un flirt ne baisse pas les bras. C’est en Dieu et dans l’amour des siens qu’il puise force et énergie pour combattre la maladie.

    Pendant presque quarante ans, Michel Delpech mène de front une double vie, «de paillettes et de croyant». Alors qu’il se produit sur toutes les scènes de France, enchaîne les tubes, l’artiste se réfugie dans la lecture des Œuvres spirituelles d’Isaac le Syrien... Un jardin longtemps tenu secret. En 1983, à Jérusalem devant le Saint-Sépulcre, une rencontre va bouleverser sa vie, celle de Jésus. Un moment de grâce, qu’il décrit dans un ouvrage intitulé J’ai osé Dieu (aux Presses de la Renaissance).

    Lorsqu’il apparaît dans l’embrasure de la porte, on remarque ses traits tirés, sa silhouette amaigrie. Le regard est vif et la poignée de main franche. A ses côtés, Geneviève, son épouse. (...) C’est la première interview du chanteur depuis un an. (...) Son élocution est encore légèrement hésitante depuis l’éradication de sa tumeur, mais il n’évite aucune question et répond même parfois avec humour tournant sa maladie en dérision: «Qui vous savez ne m’a pas donné ce cancer de la langue pour rien, dit-il. C’est pour éviter sans doute de dire des conneries.»

    Gala: Ce livre relate votre parcours religieux et l’itinéraire de votre croyance en Dieu. Ne craignez-vous pas de passer pour un «illuminé»?

    Michel Delpech: Bien sûr que si! (...) Ceux qui connaissent la religion, même s’ils ne sont pas croyants, comprendront très bien ce que je leur raconte. Les autres vont au contraire en rire (...) Je comprends qu’ils puissent se moquer, car j’ai été l’un des leurs. (...)

    Lire la suite

  • Un incontournable pour les adeptes du 7e art

    IMPRIMER

    CouvDictionnaireCinemaweb.JpgDictionnaire passionné du cinéma

    Laurent Dandrieu. 1408 p.

    Comment s’y retrouver dans une production cinématographique surabondante, et de plus en plus accessible au gré des rééditions vidéo, mais aussi de la multiplication des chaînes de télévision ? Comment distinguer ce qui vaut la peine d’être vu de ce qui est une simple perte de temps, les films qui élèvent de ceux qui dégradent, ceux qui ouvrent au spectateur de nouveaux horizons de ceux qui l’enferment dans une vision négative de l’existence ?
    Offrant une sélection très large du cinéma récent, mais aussi des grands classiques, chefs-d’œuvre, curiosités ou fausses valeurs que le septième art a produits depuis l’origine, Laurent Dandrieu présente 6000 films à regarder ou à éviter. Par rapport aux autres dictionnaires existants, son Dictionnaire passionné du cinéma offre la singularité de voir un même et unique critique analyser un très large éventail de films, en toute indépendance de jugement, sans égard pour les notoriétés établies et les admirations obligatoires.
    Au passage, ces pages sont l’occasion de décrypter le monde tel qu’il va ou tel qu’il ne va pas ; à travers le miroir qu’en fournit la production cinématographique du monde entier, c’est ainsi un état des lieux de la modernité, de l’esprit du siècle et de sa conception de l’homme qui se dessine.

    Laurent Dandrieu suit l’actualité cinématographique pour "Valeurs actuelles", où il est également rédacteur en chef adjoint Société. Il a publié en 2010 un essai remarqué : "Woody Allen, portrait d’un antimoderne".

    Aux Editions de l'Homme Nouveau / 1408 pages / 6000 films / Index par réalisateur / 34,90 €
  • 21-28 avril : voyager au Pays des Cèdres avec l'Ordre Libanais Maronite

    IMPRIMER

    voyage 2014.jpg

  • Les défis que le prochain synode sur la famille devra relever

    IMPRIMER

    Extrait du document préparatoire au Synode sur la famille :

    ... Aujourd’hui se présentent des situations inédites jusqu’à ces dernières années, depuis la diffusion des couples en union libre, qui ne se marient pas et parfois en excluent même l’idée, jusqu’aux unions entre des personnes du même sexe, auxquelles il est souvent consenti d’adopter des enfants. Parmi les nombreuses situations nouvelles qui réclament l’attention et l’engagement pastoral de l’Église, il suffira de rappeler: les mariages mixtes ou interreligieux; familles monoparentales; la polygamie; les mariages arrangés avec le problème de la dot qui en découle, parfois assimilée à un montant d’acquisition de la femme; le système des castes; la culture du non-engagement et de la présupposée instabilité du lien; les formes de féminisme hostiles à l’Église; les phénomènes migratoires et la reformulation de l’idée même de famille; le pluralisme relativiste dans la conception du mariage; l’influence des media sur la culture populaire pour la conception des noces et de la vie familiale; les courants de pensée qui inspirent les propositions législatives qui dévaluent la permanence et la fidélité du pacte matrimonial; l’expansion du phénomène des mères porteuses (location d’utérus); les nouvelles interprétations des droits humains. Mais surtout dans le milieu plus strictement ecclésial, l’affaiblissement ou l’abandon de la foi en la sacramentalité du mariage et en la puissance thérapeutique de la pénitence sacramentelle.

    De tout cela, on comprend combien est urgente l’attention de l’épiscopat mondial “cum et sub Petro” face à ces défis. Si, par exemple, on pense au seul fait que dans le contexte actuel tant d’enfants et de jeunes, nés de mariages irréguliers, ne pourront jamais voir leur parents recevoir les sacrements, on comprend combien sont urgents les défis posés à l’évangélisation de la situation actuelle, par ailleurs répandue partout dans le “village global”. Cette réalité trouve un écho particulier dans l’accueil immense que reçoit de nos jours l’enseignement sur la miséricorde divine et sur la tendresse envers les personnes blessées, dans les périphéries géographiques et existentielles: les attentes qui s’en suivent sur les choix pastoraux à propos de la famille sont énormes. Une réflexion du Synode des Évêques sur ces thèmes apparaît donc tant nécessaire et urgente que juste comme l’expression de la charité des pasteurs envers ceux qui leur sont confiés et de la famille humaine toute entière. ...

  • Quand un jésuite voudrait prolonger l'interview du pape...

    IMPRIMER

    ...ou plutôt la conversation avec lui, cela donne ceci :

    "Très Saint Père, dans la première conversation vous avez semblé plus critique envers les "restaurationnistes" et les "légalistes" qu’envers les "relativistes" (qui préoccupaient tellement votre illustre prédécesseur). Vous avez fait une brève allusion au "relativisme", uniquement pour affirmer que le Dieu de la Bible, que nous rencontrons "en chemin", transcende le relativisme. Je pense que beaucoup de ceux qui auront connaissance de cette conversation tireraient un grand profit de développements supplémentaires de votre pensée à ce sujet. Comment pouvons-nous parler aujourd’hui du Dieu révélé en Jésus-Christ comme d’un "absolu"?

    Par ailleurs vous adressez à la Compagnie qui porte le nom de Jésus une vigoureuse incitation à se "décentrer" d’elle-même et à se centrer, au contraire, sur "le Christ et son Église". Mais quelles sont les implications du fait de proclamer que le Christ est le centre ? Est-ce que cela ne nous force pas à aller au-delà de la narration pour arriver au cœur de la vérité, au-delà de la pratique pour arriver à son fondement contemplatif ? Ayant suivi les homélies que vous avez prononcées à la maison Sainte-Marthe à propos de l’épître aux Colossiens, qui proclame que le Christ est "l'image du Dieu invisible… en qui toutes choses subsistent", je peux certainement prévoir votre réponse. Mais une réflexion supplémentaire de votre part à ce sujet enrichirait beaucoup la conversation et aiderait à la poursuivre, en particulier pour ceux qui se trouvent sur le "parvis des gentils".

    Pour nous rattacher à ce dernier point, vous expliquez que vous préférez de beaucoup "l’espérance" à "l’optimisme". Mais, probablement par manque de temps, vous ne dites pas grand-chose d’autre pour décrire cette espérance, sauf pour indiquer que c’est une "vertu théologale" et "en définitive un cadeau de Dieu". Mais je sais qu’un monde souvent dépourvu d’espérance (et même d’optimisme) aspire à connaître les dimensions et la portée de cette espérance et d’entendre "une expression (logos) de l’espérance qui est en nous".

    Enfin, au terme de votre conversation, Spadaro vous a posé une question à propos des changements intervenus dans la compréhension que l’homme a de lui-même, au cours des siècles. Vous avez réagi en donnant des exemples tirés de différentes périodes historiques pour expliquer ce phénomène. En même temps, comme un directeur spirituel avisé, vous admettez que les hommes et les femmes sont souvent enclins à se tromper eux-mêmes. Puis-je vous dire que nous tirerions tous un profit considérable d’une nouvelle conversation qui présenterait ces principes susceptibles de guider notre discernement de ce qui constitue un authentique épanouissement de l’homme ? Car, comme je le rappelle à mes étudiants, "trouver Dieu en toutes choses" est le fruit des trois premières semaines des exercices ignatiens et non pas le point de départ. ..."

    Du Père Robert P. Imbelli, prêtre du diocèse de New-York et professeur de théologie au Boston College. Il a été l’un des fondateurs de la Catholic Common Ground Initiative dont l’inspirateur fut le défunt cardinal Joseph Bernardin. Il écrit également dans "L'Osservatore Romano". 'Extrait de son intervention publiée par "America", la revue des jésuites de New-York, comme suite de l'interview accordée par le pape François à "La Civiltà Cattolica".

    source : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350637?fr=y

  • Les priorités des évêques de France réunis à Lourdes

    IMPRIMER

    Les évêques de France sont réunis à Lourdes en assemblée plénière d'automne pendant cinq jours. Les travaux commencent aujourd'hui et le nouveau président de la Conférence des évêques de France, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, a prononcé le discours d'ouverture que l'on peut lire ICI. Retenons cet extrait présentant les sujets à l'ordre du jour : 

    Parmi les sujets qui vont nous occuper durant ces quelques jours, certains nourriront notre devoir de discernement au sujet de réalités de la vie de notre monde. Je pense au regard que nous porterons sur le phénomène social de l'avortement et ses conséquences souvent indicibles, ainsi que sur l'éducation des jeunes à l'affectivité. Grâce à l'intervention de Mme Sylvie Goulard, nous prendrons un temps de réflexion sur l'Europe à quelques mois des prochaines élections si importantes pour la solidarité et la paix sur notre continent. Nous mettrons un terme à nos travaux conduits par le groupe de travail sur la présence des catholiques dans la société contemporaine dont la nôtre, bien évidemment. Enfin nous évaluerons la manière dont se déploient la diaconie, la charité, la place et le service des plus pauvres dans la vie de nos Eglises diocésaines.

    Touchant plus spécifiquement la vie de nos communautés chrétiennes, la formation des futurs prêtres retiendra toute notre attention. Comment ne pas exprimer aux séminaristes toute notre affection et redire notre confiance aux équipes de formateurs ? Comment ne pas adresser un salut paternel aux prêtres de nos diocèses qui, avec nous, portent le souci de l'appel aux vocations et collaborent à la formation des séminaristes lors des divers stages pastoraux ? Notre souci de la mise en œuvre de l'évangélisation nous conduira à regarder comment elle se déploie lors de la rencontre des fiancés et tout au long de la préparation à la célébration du mariage chrétien. Enfin le temps consacré à la pastorale des jeunes adultes reviendra sur les récents événements et envisagera déjà ceux qui vont advenir. 

  • François en quarante phrases

    IMPRIMER

    Sur La Vie :

    L'agence I.Media (reprise par l'Apic) a compilé quarante phrases marquantes du pape François. Depuis le début de son pontificat, il n'hésite pas à choisir des mots et des formules trempés dans du produit décapant. Et, en orateur efficace, il sait aussi surprendre avec des expressions teintées d'humour, d'autodérision, ou de métaphores décomplexées... qui font le délice des médias et secouent les fidèles. Ces 40 petites phrases papales ont été prononcées lors des messes du matin, lors des audiences générales ou de diverses rencontres au Vatican, mais aussi lors de ses premiers déplacements. Les passages en gras ont été choisis par LaVie.fr. à découvrir ICI

  • L'ampleur du fléau de la pédophilie face à l'inertie des pouvoirs publics et des médias

    IMPRIMER

    Merci à notre ami P.T. pour ces informations et son commentaire :

    L'information ci-après démontre clairement deux choses que l'on soupçonnait déjà. Tout d'abord, l'ampleur du fléau de la pédophilie et ensuite, l'inertie coupable des pouvoirs publics et des médias dans la lutte contre ce fléau. 

    Il règne une véritable omerta publique sur ces crimes. Les pouvoirs publics et les médias ne réagissent que contraints et forcés par les évènements, en cas d'enlèvement ou de meurtre notamment. Mais il n'y a par exemple aucun enquête diligentée chaque fois qu'une mineure avorte ou accouche en Belgique, permettant ainsi aux prédateurs de continuer leurs méfaits en toute tranquillité.

    Il n'est pas inutile non plus de mettre cette information en relation avec la mésaventure qu'a connue récemment Child Focus. Cette association avait observé que très peu de mineurs ou mineures osaient dénoncer les abus sexuels. Elle avait alors mis en place un système Internet sécurisé pour les aider à faire connaître ces crimes. Or, aucun média belge n'avait relayé auprès du public cette campagne de Child Focus. Et pire, les autorités en charge de la protection de la jeunesse avaient sommé Child Focus de mettre un terme à cette campagne.
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/04/97001-20131104FILWWW00424-une-ong-piege-20000-pedophiles.php

     

    L'ONG Terre des Hommes, qui se faisait passer sur Internet pour une fillette philippine, a annoncé aujourd'hui que plus de 20.000 "prédateurs" l'avait contactée, prêts à payer pour voir cette enfant de dix ans se livrer à des actes sexuels par webcam. Plus de mille d'entre eux ont été identifiés.

    "Nous avons créé une fille virtuelle de 10 ans, une Philippine" sur internet, a déclaré le directeur de la branche néerlandaise de Terre des Hommes, Albert Jaap van Santbrink, au cours d'une conférence de presse à La Haye. Une image virtuelle de l'enfant a même été conçue.

    Lire la suite

  • USA : 40 days for life célèbre le succès de sa campagne 2013

    IMPRIMER

    40.pngDu National Catholic Register :

    « 40 Days for Life » (« 40 Jours pour la vie ») célèbre son succès à la fin de la campagne (942)

    Depuis 2007, le groupe pro-vie a effectué 2 480 campagnes dans plus de 500 villes et signale que les vies de 7 000 bébés ont été sauvées.

    par CHRIS CRAWFORD 04/11/2013

    WASHINGTON — Sur un trottoir pluvieux à Washington, D.C., le fondateur de « 40 jours pour la Vie », David Bereit et l’évêque de Bayonne Mgr Marc Aillet, ont rejoint les 15 militants pro-vie en prière à l'extérieur d'un centre de planning familial. Mgr Aillet a entraîné le groupe dans la récitation d’un Rosaire bilingue sur le trottoir animé de la 16e avenue, dans la capitale.

    Des veillées similaires ont eu lieu dans tout le pays depuis le 25 septembre, dans le cadre de la récente campagne de « 40 jours pour la vie », qui a pris fin le 3 novembre.

    « 40 Jours pour la vie » a pour mission  "de rassembler l’ensemble du corps du Christ dans un esprit d'unité au cours d'une campagne ciblée de 40 jours de prière, de jeûne et d'action paisible," selon le site Web du groupe. La mission est réalisée en effectuant des veillées de prière continue à l'extérieur des centres d'avortement et auprès des centres de consultation axés sur l'avortement fréquentés par des femmes pour qu’elles réévaluent leurs projets.

    Depuis sa création en 2007, « 40 jours pour la vie » a mené 2 480 campagnes dans plus de 500 villes aux États-Unis et partout dans le monde. Le groupe relève que plus de 575 000 personnes ont pris part à ces campagnes. En plus d'initiatives dans chacun des 50 États, le mouvement s’est élargi à 18 autres pays.

    Lire la suite