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  • Luxembourg (ville), 22 novembre : conférence sur le gender

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    Lu ICI

    22 novembre : conférence sur le gender à Luxembourg

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    Adresse : Maison Vatelot 7, rue André Duchscher L-1424 LUXEMBOURG

    L'entrée est libre et le débat sera suivi d'une séance de dédicaces. La Maison Vatelot se situe près de la clinique Zitha à Luxembourg-ville. Un parking gratuit est à disposition et l'accès en bus pourra se faire depuis l'arrêt Place de Paris.

  • La pilule du lendemain ou quand règne l'hypocrisie

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    Lu sur le Huffington Post :

    par Thérèse Hargot, sexologue, éducatrice en milieu scolaire :

    Pilule du lendemain: le bal des hypocrites a assez duré!

    Elles sont quatre fois plus nombreuses à la demander qu'il y a dix ans. Le recours à la pilule du lendemain explose chez les ados suscitant l'inquiétude de leurs aînés.

    Après tout, l'acte n'est pas si anodin, pour la santé bien entendu. Avec une dose d'hormones quarante fois supérieure à celle d'une pilule contraceptive régulière, elle n'est pas dépourvue de potentiels effets secondaires. Mais pour rassurer tout le monde, on persiste à le dire: elle n'est pas dangereuse pour la santé. Voilà des propos bien imprudents par les temps qui courent où les dégâts de simples pilules contraceptives sont exposés au grand jour... 

    En ce qui concerne la tentative d'empêcher la grossesse, on les entend se réjouir. Les jeunes filles semblent en effet bien informées sur leurs droits et profitent allègrement de son accès gratuit, sans ordonnance et sans accord parental. Alors si elles en abusent, ayons au moins la décence de ne pas s'en offusquer. Le bal des hypocrites a assez duré!

    L'hypocrisie, c'est d'abord les appellations données pour désigner ce comprimé: "contraception d'urgence", "pilule du lendemain". Elles permettent de dissimuler l'action réelle qui consiste à mettre un terme au cycle en cours dans l'espoir d'empêcher soit l'ovulation, soit la fécondation, soit la nidation.

    En fait, on ne peut pas savoir si le produit a permis d'éviter un début de grossesse ou d'y mettre un terme. Techniquement parlant, ces hormones n'ont pas qu'une action contraceptive (contre la fécondation) mais aussi contragestive (contre la nidation). Par le jeu des mots, on entretient le flou pour tromper les consciences des femmes et banaliser l'intention pour faire passer la pilule en somme. Qu'on ne s'étonne pas alors que de plus en plus de jeunes filles l'utilisent comme moyen de contraception banal et ne cherchent pas à se protéger en amont.

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  • Cellules IPS : la recherche progresse à grands pas

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    L'équipe du Pr Yamanaka améliore la technique des cellules iPS en identifiant l'origine de celles qui se révèlent défectueuses

    Une équipe de chercheurs dirigée par le Pr Shinya Yamanaka, prix Nobel de médecine en 2012, est parvenue à révéler l'existence d'une séquence de trois gènes systématiquement présents dans les cellules iPS qui se montrent défectueuses. Autrement dit, une fois les cellules adultes reprogrammées à l'état de pluripotence, on parle alors de cellules iPS (Induced Pluripotent Stem cell), un certain nombre d'entre elles ne parviennent pas à se différencier pour créer tel ou tel tissu, au risque de dégénérer en cellules cancéreuses. L'équipe de chercheurs a notamment découvert que sur 40 cellules iPS transformées en cellules neurales, 7 d'entre elles se sont révélées défectueuses. Grâce à l'identification de la présence ou non de ces gènes, les chercheurs sont donc en mesure de trier en amont les cellules iPS défectueuses des autres, de les écarter de la suite du processus et d'améliorer ainsi la qualité des tissus développés. Cette découverte est déterminante et pleine d'espoir pour la médecine régénérative faisant appel à la technique des iPS.

  • Euthanasie : des professeurs d'université disent leur opposition à son élargissement

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    Il semble donc bien que le Sénat soit sur le point de voter l'élargissement de l'euthanasie aux mineurs grâce à une majorité alternative. Ainsi la Belgique croit-elle aller de l'avant en ouvrant des voies nouvelles à la transgression de cet impératif fondateur des sociétés humaines "Tu ne tueras point". Pourtant, même des gens qui ne remettent pas en cause la législation existante crient casse-cou devant ces perspectives d'élargissement comme le rapporte le Vif d'aujourd'hui :

    Extension de l'euthanasie : des professeurs de la KUL expriment leur opposition

    Une dizaine de professeurs de la KULeuven, issus de plusieurs disciplines, ont exprimé mardi soir leur opposition à une extension de la loi sur l'euthanasie dans un texte commun, à l'heure où une majorité se dessine au Sénat pour voter une proposition de loi visant les mineurs.

    Ces professeurs estiment que des conditions plus strictes doivent entourer l'euthanasie quand celle-ci vise des mineurs. A leurs yeux, la loi ne peut s'appliquer qu'à des personnes en phase terminale, dont les souffrances sont insupportables et dans le cadre d'un constat partagé d'impuissance médicale. 

    Ce groupe d'académiciens a également exprimé ses craintes à propos de certains aspects contenus dans d'autres propositions de loi, notamment l'extension de l'euthanasie aux personnes incapables atteintes de démence qui se trouvent dans un état d'inconscience prolongé. 

    Selon eux, même s'il existe une déclaration préalable de demande d'euthanasie, une telle possibilité va à l'encontre de principes éthiques comme le respect de l'autonomie du patient. Une personne qui ne peut exprimer sa volonté n'est pas en mesure de participer activement à la décision relative à cette euthanasie, ne comprend pas l'intention du médecin et ne peut y souscrire de manière consciente. 

    Les professeurs réclament aussi des critères plus restrictifs en cas de souffrances psychiques insupportables ainsi qu'une loi qui encadrerait le suicide médicalement assisté comme aux Pays Bas. 

  • Année de la Foi : plus de huit millions de pèlerins au tombeau de saint Pierre

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    (zenit.org) Quelque 8,5 millions de visiteurs se sont rendus au Tombeau de l’apôtre Pierre au cours de l’Année de la foi, indique Mgr Fisichella qui dresse un bilan de cette Année ouverte par Benoît XVI le 11 octobre 2012 et qui sera clôturée par le pape François le 24 novembre prochain.

    Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, Mgr José Octavio Ruiz Arenas, secrétaire du dicastère et Mgr Graham Bell, sous-secrétaire, ont présenté les derniers événements de l’Année de la foi ce 18 novembre 2013, au Vatican.

    Les trois évènements de conclusion seront la "Journée pour la vie contemplative" (21 novembre), la Rencontre des catéchumènes avec le pape François (23 novembre) et la messe de clôture (24 novembre).

    Mgr Fisichella a salué une Année « entièrement consacrée à raviver la foi des croyants », durant laquelle 8 millions et demi de visiteurs sont venus se recueillir sur la Tombe de saint Pierre pour professer leur foi.

    De même au niveau local, a-t-il ajouté, « le peuple de Dieu dans le monde entier a vécu ce moment avec grande intensité » : « des micro-initiatives ont souligné que la foi reste vive et dynamique parmi les fidèles ».

    Toutes les initiatives, « temps pour rappeler l’enseignement de Vatican II, catéchèses sur la foi, célébrations variées, témoignages de charité, activités culturelles de diverses… tout ceci reste comme un signe qui atteste l’engagement des chrétiens dans le monde », a estimé Mgr Fisichella.

    Pour l’archevêque, l’Année de la foi a été « une expérience de grâce » qui a mis en lumière les témoignages « d’une foi qui sait donner sens à la vie, y compris dans les lieux les plus cachés, de pauvreté, de souffrance et là où les chrétiens sont une petite minorité ».

    L’Année de la foi « avait pour objectif de faire "retrouver le goût" de la foi, par « la redécouverte de la rencontre avec le Christ et son Eglise », a rappelé Mgr Fisichella, qui a rendu hommage à « un engagement ininterrompu des croyants pour atteindre cet objectif ».

    Invitant à voir « tous ces signes positifs et d’espérance », il a conclu : « nous regardons vers l’avenir avec une plus grande sérénité, forts de l’expérience de cette Année dont, nous l’espérons, les effets positifs se prolongeront sur le long terme ».

  • Le problème n'est pas d'être minoritaire mais de donner une saveur évangélique à la société d'aujourd'hui

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    France : un réveil des consciences significatif, par le card. Rylko
    ROME, 19 novembre 2013 (Zenit.org) - Le « cri » des chrétiens « même s’il est peu écouté et souvent contrarié par les médias, est d’une importance vitale pour l’avenir de l’humanité », estime le cardinal Rylko, qui constate en France « un réveil significatif des consciences de nombreuses personnes d’extractions religieuses et culturelles diverses, comme l’ont démontré les grandes manifestations pour défendre le mariage ».
    Le cardinal Stanisłas Ryłko, président du Conseil pontifical pour les laïcs, est intervenu lors du XXVIème Colloque national des juristes catholiques, sur le thème « Le Mariage en questions », à Paris, le 16 novembre 2013.

    Nous publions ci-dessous in extenso le texte qu’il a prononcé en français à cette occasion.

    Intervention du card. Rylko

    Introduction

    « L’engagement des laïcs dans la vie publique et l’avenir de la cité »

    Mesdames et Messieurs,

    Au nom du Conseil Pontifical pour les Laïcs, je vous adresse mes salutations cordiales, à vous qui participez au XXVIèmeColloque National des Juristes Catholiques. Une pensée particulière va à votre Président, le professeur Joël-Benoît d’Onorio, que je remercie de m’avoir invité à intervenir devant cette illustre assemblée. Je vous félicite avant tout pour le thème choisi pour ce Colloque : “ Le Mariage en questions ”, un thème d’une actualité brûlante. « Nous vivons dans un temps où les critères de l’être homme sont devenus questionnables /…/ - disait le Pape Benoît XVI - Face à cela, comme chrétiens, nous devons défendre la dignité inviolable de l’homme /.../ La foi en Dieu doit se concrétiser dans notre engagement commun pour l’homme... ».[1] Mais l’engagement pour l’homme veut dire, en particulier, engagement en faveur des institutions fondamentales pour son existence, comme le sont le mariage et la famille, institutions durement remises en question aujourd’hui…

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  • Les grands-parents sont le trésor de la société

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    (Zenit.org"Les grands-parents sont le trésor de la société", affirme le pape François lors de l’homélie du 19 novembre 2013, en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe.

    Le pape a commenté l’histoire d’Eléazar, qui, plutôt que d’apostasier, préfère le martyre (Maccabées 6,18-31) : « Face au choix entre l’apostasie et la fidélité, cet homme ne doute pas », refusant « cette attitude qui consiste à faire semblant, à feindre la piété, à feindre la religiosité ». Au lieu de penser à lui, « il pense aux jeunes » : « La cohérence de cet homme, la cohérence de sa foi, mais aussi sa responsabilité de laisser un noble héritage, un héritage vrai ».

    Aujourd’hui « les personnes âgées ne comptent pas. C'est terrible à dire, mais on les rejette… Parce qu’elles dérangent. Les personnes âgées sont celles qui apportent l’histoire, qui apportent la doctrine, qui apportent la foi et qui la donnent en héritage. Ce sont elles qui, comme le bon vin qui a vieilli, ont la force intérieure pour donner un noble héritage ».

    Le pape François a raconté une histoire de son enfance, "dans une famille, avec le papa, la maman et beaucoup d’enfants : le grand-père, à table, « ne mangeait pas proprement ». Agacé, le papa explique à ses enfants pourquoi leur grand-père se comporte comme ça et il achète une table pour l’installer à part. Un jour, en rentrant chez lui, le papa voit un de ses fils en train de jouer avec du bois : « - Que fais-tu ? lui demande-t-il. – Une table, répond l’enfant. – Et pourquoi ? – Pour toi, papa, pour quand tu seras vieux comme grand-père »".

    « Cette histoire m’a fait beaucoup de bien, pour toute ma vie. Les grands-parents sont un trésor. La Lettre aux Hébreux, au chapitre 13, dit ceci : « Souvenez-vous de vos chefs, eux qui vous ont fait entendre la parole de Dieu, et, considérant l'issue de leur carrière, imitez leur foi. ». Le souvenir de nos ancêtres nous amène à admirer leur foi. C’est vrai que souvent la vieillesse n’est pas très belle. À cause des maladies qu’elle entraîne, et tout ça, mais la sagesse qu’ont les grands-parents est l’héritage que nous devons recevoir. Un peuple qui ne protège pas les grands-parents, un peuple qui ne respecte pas les grands-parents, n’a pas d’avenir, parce qu’il n’a pas de mémoire, il a perdu la mémoire ».

    Le pape François a encouragé à « penser à toutes les personnes âgées, toutes celles qui sont dans des maisons de retraite, et aussi toutes celles qui, n’ayons pas peur de le dire même si c’est triste, sont abandonnées par leurs proches. Elles sont le trésor de la société ».

    En outre, honorer les personnes âgées c’est respecter « le quatrième commandement : c’est le seul qui promette quelque chose en échange. C’est le commandement de la piété filiale. Être compatissant envers les anciens. »

    « Prions pour nos grands-pères, nos grands-mères, qui ont eu si souvent un rôle héroïque dans la transmission de la foi en temps de persécution... Demandons aujourd’hui la grâce aux saints vieillards, Simon, Anne, Polycarpe et Eléazar, à tous ces saints vieillards : demandons-leur la grâce de protéger, d’écouter et de vénérer nos ancêtres, nos grands-parents », a conclu le pape.

  • Bulletin de l'IEB - 19 novembre 2013 - Coût des maladies neurologiques / payer pour les vieux

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    header_fr.jpgSommaire

  • Euthanasie : quand la RTBF cherche à disqualifier le travail de Pierre Barnérias

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    Ce qu'on peut lire sur le site de la RTBF (où chacun pourra apprécier le souci d'objectivité qui caractérise cette institution) : 

    Elargissement de la loi sur l'euthanasie: l'opposition est très forte

    L'élargissement de la loi sur l'euthanasie, notamment aux enfants, sera à nouveau discuté ce mardi en commission du sénat. L'open VLD espère que le texte sera adopté dès ce mardi. Un texte qui fâche les opposants à la loi. Onze ans après le vote de la loi initiale, ils n'ont jamais été aussi nombreux.

    Après 10 ans de pratique, les Pays-Bas et la Belgique continuent d’expérimenter de nouveaux moyens pour aller encore plus loin. Les débats sur l'élargissement de la loi ont donné à leur combat une nouvelle vigueur. Il faut dire que nos voisins français, chez qui l'euthanasie reste encore un grand tabou, n'hésitent pas à utiliser régulièrement la Belgique comme contre-exemple dans leur propre débat. Notamment avec un film sur les dérives belges de l'euthanasie.

    Le ton de ce documentaire, diffusé sur le site du journal catholique La croix, est donné. Vous n'y entendrez aucun témoignage positif concernant l'euthanasie : "En dépénalisant l’euthanasie comme l’ont fait les pays du Benelux, on a ouvert la boîte de Pandore", est-il dit. "Cette loi peut aussi servir à régler en famille et d’une façon définitive, des petits problèmes d’héritage".

    Le fil conducteur du film ? L'histoire d'une belge de 88 ans, euthanasiée, souligne le réalisateur contre la volonté de son film : "Comprendre comment un médecin venu de l’extérieur a-t-il pu euthanasier sa mère alors que la famille s’y opposait ? La justice belge a pourtant estimé que cette euthanasie respectait les critères de la loi".

    Jacqueline Herremans, membre de la commission de contrôle de l'euthanasie, réagit à ces commentaires : "La famille ne doit pas être d’accord. Les deux personnes qui doivent décider c’est le médecin d’une part et c’est le patient d’autre part. Ce qu’il y a c’est qu’on essaie toujours de réunir les personnes car la situation la plus humaine, et c’est ce que l’on recherche, c’est que la personne puisse partir entourée des siens".

    Une explication que vous n'entendrez pas dans ce documentaire, dont les multiples manipulations finissent par ôter tout crédit aux témoignages qui dans d'autres circonstances auraient pu, pourquoi pas, susciter une réflexion.

    Commentaire :

    Un très bon documentaire pourtant, où les familles ayant souffert de l’euthanasie osent parler. Les soignants ont aussi la parole. (voir ICI)

    Il fallait cela pour contrebalancer le déni total et l’aveuglement de nos politiciens quant au manque de contrôle de la loi euthanasie. Le livre du Pr Montero complète utilement ce documentaire. Oui, les médecins ont le pouvoir aujourd’hui d’interpréter les termes de la loi de façon extensive. Oui, certains  soignants aujourd’hui témoignent de ce qu’ils voient.

    Où est la malhonnêteté ? Pourquoi ne pas admettre que notre système judiciaire ne maîtrise plus l’application du cadre de la loi ?

    Un appel est lancé aux familles et aux soignants qui eux aussi veulent s’exprimer et parler des dérives et transgressions en Belgique en matière d’euthanasie.

    Les contributions anonymes figurent déjà sur le site euthanasiestop.be. D’autres sont attendues…

  • Adoption par un couple gay en Italie : les étranges raisons de la justice

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    Lu sur le blog de J. Smits :

    Italie : l'adoption gay d'avant l'adoption

    Un tribunal pour enfants de Bologne vient d'approuver le placement d'une fillette de trois ans chez deux hommes homosexuels d'âge moyen au motif qu'ils remplissent tous les critères de la loi d'adoption, alors même que l'adoption homosexuelle n'est pas légale en Italie.
     
    Le tribunal, présidé par Giuseppe Spadaro, a tenu compte du fait que les deux hommes ont un emploi bien rémunéré et qu'ils forment, aux termes d'un rapport des services sociaux de Bologne, un « couple stable et fiable », et que par conséquent ils peuvent assurer la « sérénité et le bien-être de l'enfant ».
     
    Si la procédure d'adoption n'est ouverte qu'aux couples mariés – le « mariage » gay n'existe pas en Italie – en revanche le placement dans une famille d'accueil, temporaire (en l'espèce, pour une durée de deux ans) est moins réglementé et au fil des ans les conditions se sont relâchées. Traditionnellement la préférence est donnée à des familles ayant déjà des enfants ; de loin en loin on est arrivé à désigner des « communautés ayant un style de vie familial » regroupant deux adultes, voire ayant à leur tête un célibataire. Depuis janvier, la Cour suprême a décidé que les homosexuels célibataires peuvent accueillir des enfants en tant que « familles d'accueil ». La nouvelle jurisprudence étend encore un peu l'entrée en grâce des couples gays.
     
    Le procureur principal de Bologne, Ugo Pastore, a fait appel au motif que le tribunal avait méconnu l'obligation de présence d'autres enfants au foyer, ce type de communauté familiale étant « prioritaire ». « Peu importe », a-t-il déclaré, que les adultes demandeurs soient homosexuels. Ce qui contribue encore à faire progresser l'idée que les foyers homosexuels sont des familles comme les autres.

  • Signer la pétition contre l'euthanasie des enfants

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    d'Action pour la Famille :

    SIGNEZ LA PETITION

    CONTRE L’EUTHANASIE DES ENFANTS !


    Une pétition a été lancée sur internet par des étudiants pour s’opposer à la proposition de loi, actuellement en discussion en commission au Sénat, qui vise à élargir l’accès de l’euthanasie aux enfants, et ce sans limite d’âge (davantage d’informations sont disponibles à la fin de ce mail)

    C'est urgent, la loi pourrait passer dans les toutes prochaines semaines ! 

    http://citizengo.org/en/719-stop-euthanasie-voor-minderjarigen-stop-euthanasie-des-mineurs

    Si le lien ne fonctionne pas en cliquant, faites un coupé-collé dans votre navigateur.

    Le ZIP est le code postal de votre domicile.

    Vous pouvez aussi signer via Facebook :

    http://www.facebook.com/stopeuthanasiemin 

    Rejoignez aussi les veilleurs, tous les dimanches de 16h à 17h et tous les mardis de 19h à 20h devant le Parlement, rue de la Loi.

    Cette proposition de loi élargissant l’accès de l’euthanasie aux enfants est en discussion en Commissions réunies de la justice et des affaires sociales au Sénat. Défendue par Philippe Mahoux (PS), Jean-Jacques De Gucht (OpenVLD), Christine Defraigne (MR) et Guy Swennen (Sp.a), étend l’euthanasie aux enfants sans limite d’âge, pourvu que les conditions de la loi du 28 mai 2002 soient remplies, que les parents marquent leur accord, et qu’un pédopsychiatre ou un psychologue, choisi par un médecin prêt à poser le geste euthanasique, atteste que l’enfant est capable de discernement.

    Action pour la famille asbl, étant opposée à l’euthanasie, s’inquiète de l’élargissement d’une loi qui, dans les faits, et selon les rapports de la Commission d’évaluation de la loi, est appliquée de façon de plus en plus laxiste (voir le livre d’Etienne Montero. Rendez-vous avec la mort. 2013).

    Outre signer la pétition, vous pouvez aussi écrire dès aujourd’hui au président du MR, Charles Michel charles.michel@mr.be pour vous inquiéter des positions défendues par Christine Defraigne et Jacques Brotchi en faveur de l’extension de l’euthanasie, et qui divisent le MR. Ecrivez aussi au président du CdH, Benoît Lutgenbenoit.lutgen@lecdh.be pour le soutenir et l’encourager à maintenir la cohésion de son parti dont le programme refuse toute extension de la loi sur l’euthanasie, ce qui ne peut qu’apporter des voix au CdH aux prochaines élections. 

    Ces lettres ont un réel impact !

    Voici quelques éléments d’argumentation que vous pouvez utiliser dans votre message. Les lettres type ont peu d’effet. Mieux vaut un message court, mais personnel. Pour plus d’informations vous pouvez consulter le sitehttp://www.euthanasiestop.be 

    Il est très difficile pour des parents de voir leur enfant souffrir, et qui plus est, d’une maladie incurable dont l’issue est fatale. Dans les faits, ce sont le plus souvent les parents qui demandent l’euthanasie de leur enfant au médecin. Comment l’enfant ne percevrait-il pas la souffrance de ses parents, une souffrance qui s’ajoute à la sienne propre ? Ne pourrait-il pas demander l’euthanasie pour soulager ses parents ?

    De plus, le pédopsychiatre ou le psychologue sera, selon la proposition de loi, choisi par le médecin à qui la demande d’euthanasie s’adresse. Si ce médecin est prêt à poser le geste euthanasique sur l’enfant, on peut douter qu’il s’adresse à un psychologue opposé à l’euthanasie. Dans ces conditions quelles garanties a-t-on que l’avis du psychologue soit objectif ? 

    La loi actuelle est basée sur la liberté individuelle et l’autonomie du patient. La proposition d’extension de l’euthanasie aux enfants n’offre aucune garantie que l’enfant ne subisse aucune pression et que son autonomie soit respectée. Il faut au contraire être solidaires des enfants très fragilisés et les protéger.

    Plutôt que de proposer l’euthanasie pour les enfants, renforçons plutôt l’accompagnement médical, psychologique et spirituel des enfants malades et aussi de leur famille. Si les douleurs physiques sont le plus souvent maîtrisables, la souffrance psychique et morale est plus difficile à accompagner et requiert une formation adéquate ainsi qu’une grande abnégation de la part des soignants. Si les soins palliatifs se développent dans notre pays, il reste beaucoup à faire. En France, où l’euthanasie reste illégale, l’offre de soins palliatifs est beaucoup plus large et variée que chez nous.  

    Refusons la culture euthanasique. Promouvons une société solidaire et une culture de vie !

    Action pour la famille asbl est une association citoyenne, pluraliste et indépendante qui ne reçoit aucune subvention d’organisations publiques ou privées. Visitez notre site internethttp://www.actiegezin-actionfamille.be/lang/fr/accueil

    Avec nos très cordiales salutations

    Action pour la famille asbl

    Michel Ghins, président

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