Ecole à la maison : quatre enfants enlevés de force à leurs parents en Allemagne
Jeudi matin, 8 heures. La famille Wunderlich, Dirk et Petra et leurs quatre enfants, entame sa journée d’école à la maison. Tout semble calme autour de leur maison dans les environs de Darmstadt. Mais soudain, la sonnette retentit. A travers la fenêtre, le père de famille voit une véritable armée qui investit la paisible demeure. Une vingtaine de personnes : travailleurs sociaux, officiers de police et même des agents spéciaux armés. A travers la porte, on lui signifie qu’on veut lui parler. Dirk essaie de poser une question, mais en quelques secondes trois policiers approchent avec un engin pour défoncer la porte. Il obtempère.
Brusquement, Dirk Wunderlich est poussé dans un fauteuil et immobilisé. Les forces de l’ordre sont là pour embarquer les enfants. Le tort, le seul tort des Wunderlich ? Celui de vouloir faire l’école à la maison : c’est interdit en Allemagne (comme au temps des Nazis) et même la Cour européenne des droits de l’homme – surtout elle – reconnaît le droit des Etats signataires de la Convention d’organiser comme ils l’entendent l’obligation d’instruction, pour assurer l’intégration au sein de la communauté et la mixité sociale de tous les enfants.
Actualité - Page 1427
-
Ecole à la maison : NEIN !
Lien permanent Catégories : Actualité, Enseignement - Education, Europe, Famille, Justice, Politique, Société 7 commentaires -
Roberto de Mattei : « Sint ut sunt aut non sint »…
Lu sur le site « Riposte Catholique » (extraits) :
En relation avec la douloureuse question des Franciscains de l’Immaculée (voir ici : Liturgie de la messe : François en contradiction avec Benoît XVI ?), le professeur Robert de Mattei va faire paraître dans la prochaine livraison de l’édition en français du mensuel Correspondance Européenne (10 septembre), un remarquable texte de controverse. Très hardi et très intéressant… Nous avons obtenu de l’éditeur, que nous remercions, la permission de le reproduire ici en avant-première… Bonne lecture ! À noter que la traduction en français de l’ouvrage fondamental du professeur de Mattei,Vatican II. Une histoire à écrire, vient de paraître aux Éditions Muller. Une formidable contribution d’un grand historien de l’Église à notre compréhension du dernier en date des conciles œcuméniques (…) :
« Un pape franciscain, Clément XIV, supprima les Jésuites en 1773. Le Pape jésuite François sera-t-il celui qui supprimera ou, pire encore, “réformera”, un Institut franciscain en 2013 ? Les Franciscains de l’Immaculée n’ont pas le passé glorieux des Jésuites mais leur cas présente quelque analogie avec celui de la Compagnie de saint Ignace et représente surtout une expression symptomatique de la profonde crise dans laquelle se débat aujourd’hui l’Église catholique...
Lien permanent Catégories : Actualité, Débats, Eglise, Foi, Idées, liturgie, Spiritualité 0 commentaire -
Le nouveau gouvernement de l'Eglise : jeune et dans la ligne du pape émérite
Le pape a donc nommé Mgr Parolin secrétaire d'Etat. Les informations qui suivent ont été publiées par Zenit :
Mgr Pietro Parolin, archevêque italien de 58 ans, est choisi ce samedi 31 août par le pape François comme son secrétaire d'Etat: un poste cardinalice.
Longtemps au service de la secrétairerie d'Etat dont il connaît donc bien les rouages, Mgr Parolin était nonce au Venezuela depuis 2009.
Né en 1955, il a été ordonné prêtre en 1980 pour le diocèse de Vicence (Nord de l'Italie). Spécialiste en droit canon, il est entré au service de la diplomatie du Saint-Siège en 1986, et il a été en poste au Nigeria et au Mexique. De 2002 à 2009, l’archevêque a été sous-secrétaire de la section de la secrétairerie d’Etat pour les Relations avec les Etats, autrement dit le « ministère des Affaires étrangères » du Saint-Siège. Il a, à ce titre, effectué notamment des voyages réguliers au Vietnam. Il a également été envoyé de Benoît XVI à la conférence internationale d’Annapolis, aux Etats-Unis, pour la paix en Terre Sainte, en 2007.
A l'annonce officielle de sa nomination comme secrétaire d'Etat, Mgr Pietro Parolin, a publié, en italien, cette déclaration, ce 31 août, depuis Caracas, où il était nonce depuis 2009.
Mgr Parolin remercie le pape François, le pape émérite Benoît XVI qui l'avait ordonné évêque le 12 septembre 2009, le cardinal Bertone, auquel il succède et avec qui il a collaboré, et ses anciens collègues. Il salue sa famille, son diocèse d'origine, Vicence, les pays où il a servi l'Eglise (Nigeria, Mexique, Venezuela). Il demande leur prière à tous les catholiques. Il redit son dévouement au Successeur de Pierre, et sa disponibilité au service du Christ et de l'Eglise, et sa confiance dans le Christ crucifié.
-
Stupidité journalistique
Sur son site, RTL titre : "Le pape se "glisse" sur une photo de profil Facebook les joues collées à un groupe d'ados". Les termes de ce titre ont beau être idiots, ils ne sont pas innocents pour autant.
Ce titre stupide désigne une photo qu'ont prise des adolescents présents à une rencontre avec le pape et qui l'ont photographié parmi eux avec leur smartphone brandi à bout de bras ("selfie"). Et cela suffit à faire un buzz. Il en faut peu...
Un autre exemple de platitude journalistique ? Sur l'avenir.net : un article intitulé "Wavre : caresses royales pour les fesses du Maca" et qui vous explique que, lors de la Joyeuse Entrée du nouveau couple royal à Wavre, "le plus gâté, ce sera peut-être bien le Maca qui aura droit à des caresses royales sur les fesses quand les souverains quitteront l’hôtel de ville avant de plonger dans la foule…" Finesse, élégance et journalisme font décidément bien mauvais ménage.
-
Saint-Siège : nomination au poste de Secrétaire d’Etat (mise à jour)
Sur le site web de « La Vie », ce matin (extraits) :
Depuis l’élection du pape François, la question était dans toutes les têtes : qui serait l’homme qu’il choisirait comme secrétaire d’Etat, pour succéder au cardinal Tarcisio Bertone, âgé de 78 ans, nommé en 2006 par Benoît XVI ? Selon les spéculations de la presse italienne, le pape aurait choisi Mgr Pietro Parolin, actuellement nonce apostolique au Vénézuela. L’autre nom qui circule est celui du cardinal Giuseppe Bertello, président du Gouvernorat de l’Etat du Vatican. (Information confirmée à l'heure qu'il est : http://www.zenit.org/fr/articles/un-italien-de-58-ans-mgr-pietro-parolin-nomme-secretaire-d-etat)
La nomination devrait être rendue officielle le samedi 31 août, pour une prise de fonction à l'automne.
Si Mgr Pietro Parolin était bien la personnalité retenue, le nouveau bras droit (l’équivalent d’un premier ministre) marquerait non seulement un fort rajeunissement - il a 20 ans de moins que le secrétaire d’Etat sortant - mais aussi le retour à la tradition vaticane de nommer un homme issu de la filière diplomatique de l’Eglise. Parolin est d’un fort calibre. Il incarne cette race d’ecclésiastiques capables d’être aussi bien des hommes de dossier que de terrain.(…)
Né en 1955 dans la région de Vicence, Pietro Parolin a acquis son expérience aussi bien à l’étranger qu’à Rome, à la Secrétairerie d’Etat où il fut sous-secrétaire de la “deuxième section” de celle-ci, chargée de la relation avec les Etats, de 2002 à 2009. Un poste clé où il fut très impliqué sur certains dossiers épineux, comme les relations du Vatican avec le Vietnam, Israël, mais aussi la Chine. Il pilota notamment l’élaboration de la lettre de Benoît XVI aux catholiques chinois, à l’été 2007, se rendant à deux reprises à Pékin. Ce n’est pas un hasard qu’il ait été envoyé, cette mission achevée, pour être l’ambassadeur du pape à Caracas, un poste redoutable à l’époque où le président Chavez était au faîte de sa puissance, afin de gérer les relations orageuses de ce dernier avec l’Eglise catholique.
L’autre profil, est aussi un diplomate de longue date. Le cardinal italien Giuseppe Bertello est depuis deux ans le président du Gouvernorat et de la Commission pontificale pour l'État de la Cité du Vatican, où il gère les aspects exécutifs et législatifs. Il bénéficie de la confiance du Pape François qui l'a nommé en avril dernier, membre d'un conseil de 8 sages cardinaux recrutés pour plancher sur les réformes à apporter dans l'Eglise. Entré dans les services diplomatiques du Saint-Siège il y a 42 ans, il était nonce apostolique au Rwanda pendant le génocide. A l'époque, il avait dû bénéficier plusieurs fois de la protection des casques bleus qui lui avaient conseillé de quitter le pays mais jamais il n'avait abandonné son poste. Observateur permanent auprès de l'ONU à Genève, il a été nonce au Mexique sous Jean-Paul II puis en Italie et à Saint-Marin sous Benoît XVI après être passé par des postes "sensibles" : tête de la délégation d'observateurs à la Conférence des pays non alignés à Pyongyang en 1987, nonce au Ghana, au Togo et au Bénin. Originaire de la province de Turin, il est né en 1942 à Foglizzo, comme l'actuel secrétaire d'Etat, le cardinal Bertone, dont il est proche. Apprécié des pro-Sodano et des pro-Bertone, c'est un homme de consensus.
Réf: Le pape François va choisir son nouveau secrétaire d'Etat
A vrai dire, quel qu'il soit, la personnalité du nouveau pape s'imposera à lui comme l'ombre omniprésente du Commandeur dans l'opéra Don Giovanni de Mozart. JPSC
-
François : le pouvoir civil trouve sa limite face à la loi de Dieu
(Zenit.org) Le XIIIe Symposium interchrétien est en cours à Milan, du 28 au 30 août 2013, sur le thème "La vie des chrétiens et le pouvoir civil. Questions historiques et perspectives actuelles en Orient et Occident". L’évènement est organisé par l’Institut franciscain de spiritualité de l’Université pontificale Antonianum et le département de théologie de la Faculté théologique orthodoxe de l’Université Aristoteles de Salonique, avec la collaboration de l’Université catholique du Sacré-Coeur.
Pour l’occasion, le pape François a fait parvenir un message au cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens.
Message du pape François
Au vénéré frère Monsieur le cardinal Kurt Koch, Président du Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens
C’est avec une joie particulière que j’ai appris l’initiative des Symposiums interchrétiens, organisés tous les deux ans par l'Institut Franciscain de spiritualité de l’Université Antonianum et du département de théologie de la Faculté théologique orthodoxe de l’Université Aristoteles de Salonique, dans le but d’approfondir la connaissance des traditions théologiques et spirituelles d’Orient et d’Occident et de cultiver des relations fraternelles d’amitié et d’étude entre les membres des deux institutions académiques.
Je désire par conséquent adresser mon salut cordial aux organisateurs, aux rapporteurs et à tous les participants de la XIIIe édition de cette initiative méritoire, qui se déroule cette année à Milan, avec la collaboration de l'Université catholique du Sacré-Coeur, sur le thème "La vie des chrétiens et le pouvoir civil. Questions historiques et perspectives actuelles en Orient et Occident". Un tel sujet s’insère bien dans le cadre des multiples initiatives qui entendent commémorer le XVIIe centenaire de la promulgation de l'Edit constantinien, initiatives qui à Milan ont eu des moments de relief particulier, parmi lesquels la visite du patriarche œcuménique Bartholomaios Ier à l’Eglise ambrosienne et à la ville.
La décision historique, avec laquelle était décrétée la liberté religieuse pour les chrétiens, ouvrit de nouvelles routes à la diffusion de l’Evangile et contribua de façon déterminante à la naissance de la civilisation européenne. La mémoire de cet évènement offre l'opportunité, pour le présent Symposium, de réfléchir sur l’évolution des modalités avec lesquelles le monde chrétien s’est mis en relation avec la société civile et avec l'autorité qui la définit. De telles modalités se sont développées tout le long de l’histoire dans des contextes assez différents, en connaissant des différences significatives en Orient et en Occident. Dans le même temps, elles ont conservé certains traits fondamentaux communs, dont la conviction que le pouvoir civil trouve sa limite face à la loi de Dieu, la revendication du juste espace d’autonomie pour la conscience, la conviction que l'autorité ecclésiastique et le pouvoir civil sont appelés à collaborer pour le bien intégral de la communauté humaine.
En souhaitant que les travaux du Symposium portent des fruits abondants pour le progrès de la recherche historique et de la connaissance réciproque entre les diverses traditions, j’assure de mon souvenir dans la prière et de tout cœur j’invoque la Bénédiction Apostolique sur ceux qui ont contribué à l'organisation du Congrès et sur ceux qui y prennent part.
Du Vatican, 19 août 2013
FRANÇOIS
Traduction de Zenit, Anne Kurian
-
Comment perdre d'avance la bataille contre le mariage gay ?
Eviter d'aborder ce qui est au coeur de la question : se refuser "à porter le débat sur le plan de la licéité morale, voire sur celui des conséquences physiques et psychologiques du comportement homosexuel." Telle est la meilleure façon de perdre d'avance la bataille contre le mariage gay. C'est ce que développe Hilary White sur LifeSite. Jeanne Smits présente et traduit cet article :
Par admiration pour un article bien tourné et intéressant sur le fond, mais aussi tout simplement parce que je pense que Hilary White a raison et qu'elle met le doigt là où ça fait mal, je vous propose une traduction de son « humeur » publiée cette semaine sur LifeSite. Hilary White est la correspondante romaine de ce que j'estime être le meilleur site pro-vie anglophone (et sans doute dans le monde entier), et pour le fond et pour la forme. De doctrine sûre, on n'y publie, de manière professionnelle, que des informations bien documentées et commentées avec retenue et justesse.
Oui, la bataille contre le « mariage » gay est en passe d'être perdue partout, on ne peut que le constater :en fin d'article, Hilary White donne d'ailleurs la liste des pays reconnaissant les partenariats homosexuels, que ce soit par l'union civile ou le « mariage » : c'est consternant et plus étonnante encore est la rapidité avec laquelle un pays après l'autre a cédé. Je la reproduis également.
Lien permanent Catégories : Actualité, Débats, Eglise, Ethique, Famille, Politique, Sexualité, Société 0 commentaire -
Bulletin de l'IEB - 30 août 2013 - Carences dans l'accueil des handicapés / pénurie médecins avortement
Sommaire
Lien permanent Catégories : Actualité, Belgique, Débats, Défense de la Vie, Ethique, Justice, Santé, Société 0 commentaire -
L'inquiétude de l'amour
(source) Le pape a célébré la messe d’ouverture du 184e Chapitre général de l'Ordre de Saint-Augustin, avant-hier, 28 août 2013, pour la fête de saint Augustin, en la basilique de Rome dédiée au saint évêque d’Hippone.
Au cours de son homélie, il a exhorté à ne pas être des chrétiens « endormis » mais à garder « l’inquiétude spirituelle de la recherche de la vérité, de la recherche de Dieu » et « l’inquiétude de l’amour » qui recherche « toujours, sans répit, le bien de l’autre, de la personne aimée ».
"Tu nous as fait pour Toi et notre cœur est sans repos tant qu’il ne repose en Toi" (Les Confessions, I,1,1). Dans ces paroles, devenues célèbres, avec lesquelles saint Augustin d’adresse à Dieu dans les Confessions, est exprimée la synthèse de toute sa vie.
"Sans repos / Inquiétude". Cette parole me touche et me fait réfléchir. Je voudrais partir d’une question : quelle inquiétude fondamentale Augustin vit-il dans sa vie ? Ou peut-être devrait-je dire: quelles inquiétudes est-ce que ce grand homme et saint nous invite à susciter et à maintenir vives dans notre vie ? J’en propose trois : l’inquiétude de la recherche spirituelle, l’inquiétude de la rencontre avec Dieu, l’inquiétude de l’amour.
-
1er septembre : Sant'Egidio célèbre son saint patron
Communiqué :
Le 1er septembre l'Eglise célèbre Saint Gilles (+724) qui a donné son nom à la Communauté de Sant'Egidio. C’est en effet dans la petite église de Sant'Egidio, dans le quartier du Trastevere à Rome, que la Communauté s’installa il y a quarante ans, en 1973.
A cette occasion, Mgr Jean-Pierre Deville, nouvel évêque de Liège, présidera l'eucharistie, animée par la Communauté, le dimanche 1er septembre à 11h, à l'église Saint-Barthélemy, à Liège.
A Bruxelles, Sant'Egidio fêtera son Saint patron le lundi 2 septembre, à 20h, au cours d'une prière, à l'église Notre-Dame des Riches Claires.
Cette fête marque la "rentrée" pour la Communauté qui reprend son rythme de prière habituel :
- - Bruxelles : lundi et jeudi, à 20h, église des Riches Claires.
- - Liège : mardi et vendredi, à 20h, église Saint-Barthélemy.
- - Louvain-la-Neuve : lundi, à 20h15, église Saint-François.
Suivez Sant'Egidio sur Twitter : @SantEgidioBe
-
Liège, 31 août-1er septembre : l'Eglise de Liège sera présente au Salon Retrouvailles
Communiqué :
Salon Retrouvailles – Un stand "Eglise Catholique à Liège"
Il y a peu, le pape François déclarait: « L’Église doit sortir d’elle-même vers les périphéries de l’existence. (…) Allez dehors, sortez! » Dans cet esprit, et pour la première fois, il y aura un stand "Eglise catholique à Liège" au salon Retrouvailles, ce samedi et dimanche au Parc de la Boverie à 4020 Liège, entre 11h et 19h. Ce stand est organisé par le Pastorale Urbaine, qui - sous les responsabilité des deux curé-doyens de Liège (rive-droite et rive-gauche) - a précisément pour objectif d'aller à la rencontre des Liégeois. (C'est dans cet esprit que la Pastorale Urbaine organise entre autre, chaque année, un chemin de croix dans les rues de la Cité Ardente).
L'objectif du stand sera de présenter le catholicisme liégeois dans toute sa diversité (paroisses, mouvements, activités, etc.). Des bénévoles tenteront de répondre aux questions des visiteurs - qu'elles soient d'ordre philosophique ou très concrètes ( Comment préparer un mariage religieux ou un baptême? Ou trouver un groupe de prière? Qui visite les personnes isolées, etc.?"). Tout visiteur est bienvenu: jeune ou aîné, catholique ou non, croyant ou peu, pratiquant ou pas.
Situé juste derrière le Musée d'Art Moderne (stand 233), le stand "Eglise catholique à Liège" aura pour voisin deux associations qui - depuis de nombreuses années déjà - promeuvent avec zèle et enthousiasme le patrimoine des églises ("Circuit des collégiales" et "Eglises du pays de Liège, ASBL").
Si vous passez par le Salon Retrouvailles, venez nous rendre visite.
Contact : Pour la Pastorale Urbaine – Doyen Eric de Beukelaer, e.debeukelaer@catho.be GSM: +32(0)474.35.90.27
-
Quand Benoît XVI inspire la NASA
Lu sur le site de l’hebdomadaire « La Vie » :
Le latin serait-il la langue de l'année ? Début 2013, le désormais pape émérite Benoît XVI lançait un compte Twitter en latin, depuis repris par son successeur François et fort d'un large succès. Puis en février, c'est dans cette langue que Benoît XVI a choisi d'annoncer sa renonciation, réservant ainsi le scoop de cette annonce aux seuls journalistes dotés d'une solide culture antique. Et voilà que la NASA décide de lui emboiter le pas en lançant à son tour une version latine (on devrait d'ailleurs plutôt parler de thème) de son projet HiRISE (pour High Resolution Imaging Science Experiment – soit Expérience d'images scientifiques en haute résolution).
HiRISE photographie la planète Mars depuis la sonde spatiale Mars Reconnaissance Orbiter. Les clichés sont proposés sur internet depuis 2006 en dix langues, parmi lesquelles l'anglais, le russe ou même l'hébreux et l'islandais. Le projet s'est donc enrichi depuis hier d'un Tumblr en latin, ainsi qu'un compte Twitter, dont le tout premier message était sobrement : « Salve ! » (« Bonjour »).
Lien permanent Catégories : Actualité, Clin d'oeil, Culture, Eglise, liturgie, Sciences 2 commentaires