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Actualité - Page 1645

  • Passer d'une économie du profit à une économie au profit de l'homme

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    De l'économie du profit à une économie au profit de l'Homme

    Plan social PSA: déclaration de Mgr Pierre dOrnellas

    Source : ZENIT.ORG

    Réagissant au plan social chez PSA, qui concerne 8.000 emplois, Mgr d’Ornellas, archevêque de Rennes, invite au « courage de passer d’une économie de profit à une économie au profit de l’homme ».

    Communiqué de presse Mgr d'Ornellas :

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  • Dangers et urgences en Syrie selon le patriarche Grégoire III Laham

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    ASIE/SYRIE - Appel de S.B. Grégoire III Laham : « les dangers sont l'anarchie, les armes, les interférences - les urgences sont le dialogue et la réconciliation »

    Damas (Agence Fides) - Alors que la crise syrienne s'aggrave, face à ce qu'il est désormais convenu de définir comme une « guerre civile » et alors même que « prévaut le langage de la violence et que la voix de la modération s'affaiblit », « il faut faire un effort de dialogue et de réconciliation » : c'est ce qu'affirme S.B. Grégoire III Laham, Patriarche grec-melkite catholique D'Antioche et de tout l'Orient, de Jérusalem et d'Alexandrie, dans une note envoyée en exclusivité à l'Agence Fides. Le Patriarche, confiant dans l'esprit du peuple syrien, affirme : « Les syriens, grâce à leur longue histoire, peuvent se relever de cette crise dangereuse en s'aidant les uns les autres, au travers de l'amour et du pardon. Nous lançons un appel urgent en faveur du dialogue, de la réconciliation, de la paix : c'est l'une des langues les plus rares que beaucoup ne veulent écouter. Nous chrétiens, à qui est confié l'Evangile de la paix, nous sentons appelés à la promouvoir ».

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  • Nouvelles exactions antichrétiennes au Pakistan

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    ASIE/PAKISTAN - Soeur mineure d'un pasteur chrétien enlevée, violée et convertie de force

    Lahore (Agence Fides) - La soeur d'un pasteur chrétien protestant a été enlevée, violée à plusieurs reprises et contrainte à se convertir à l'islam. L'événement a eu lieu dans la ville de Chunian, au sud de Lahore, dans la province du Punjab. Ainsi que l'indiquent des sources locales de Fides, la jeune Muzamal Arif, soeur du pasteur Aurangzeb a été enlevée voici environ un mois par un certain nombre de musulmans alors qu'elle rentrait du collège. Elle a été retenue pendant des jours, subissant des abus sexuels, des menaces et des violences. Dans cet état de terreur et de prostration, une déclaration de conversion à l'islam puis un mariage lui ont été extorqués. La jeune fille résulte désormais être musulmane et mariée à Muhammad Nadeem.

    Sa famille a dénoncé le fait au commissariat de police de Chunian mais la police n'a mené aucune enquête, présentant en revanche un rapport du tribunal qui atteste que la jeune fille est musulmane et régulièrement mariée. Par ailleurs, la jeune fille est mineure et, selon la loi, le mariage n'est pas permis aux mineurs. « Mais la famille des ravisseurs est riche et puissante et parvient à contourner même cette disposition légale » remarquent les chrétiens du cru.

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  • Surréaliste...

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    Nous lisons sur le site de "Tetu" : "Uruguay: une rectrice d'université écartée pour homophobie"

    Pour Mercedes Rovira, l'homosexualité est une «anomalie». Pas pour l'université privée et catholique de Montevideo, dont l'Opus Dei est pourtant «le garant moral».

    A la veille de sa nomination comme rectrice d'un des établissements les plus côtés d’Uruguay, Mercedes Rovira avait déclaré dans la presse que l'homosexualité était une «anomalie» et que l'orientation sexuelle d'un professeur postulant «jouait évidemment» au moment de son embauche car celui-ci devait être «un référent» pour ses étudiants. Elle aura finalement été écartée avant sa prise de fonction…

    En lisant la suite, on verra que l'Opus Dei peut adopter de singulières postures...

  • Lefébvristes : un affaire à classer sans suite ?

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    Dans « Le Figaro » du 17 juillet , Jean-Marie Guénois note que, du côté de la Fraternité Saint-Pie X, la tactique n’est pas à la rupture. Est-ce aussi le cas du côté de Rome, après des années de palabres sans succès ?  la balle est aujourd’hui dans son camp :

    « Les rumeurs colportées dimanche assurant que les lefebvristes s'apprêtaient à dire un non définitif à Rome ont été démenties, lundi, par Mgr Bernard Fellay, supérieur de la Fraternité Saint-Pie X. Dans une interview accordée à son site officiel Dici, il affirme: «Ce n'est pas nous qui romprons avec Rome, la Rome éternelle, maîtresse de sagesse et de vérité. Pour autant il serait irréaliste de nier l'influence moderniste et libérale qui s'exerce dans l'Église depuis le concile Vatican II et les réformes qui en sont issues. En un mot, nous gardons la foi dans la primauté du Pontife romain et dans l'Église fondée sur Pierre, mais nous refusons tout ce qui contribue à l'“autodestruction de l'Église”, reconnue par Paul VI lui-même, dès 1968.»

    Il ajoute: «Nous sommes catholiques, nous reconnaissons le pape et les évêques (…). Loin de nous l'idée de constituer une Église parallèle, exerçant un magistère parallèle!» ou de «nous substituer à l'Église catholique, apostolique et romaine».

    Trois contradictions  à concilier:

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  • Pas d'avenir sans politique familiale

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    Europe: la famille, premier réseau de solidarité

    Source : ZENIT.ORG

    La famille est le « premier réseau de solidarité sur lequel la société peut compter », estime Mgr Ambrosio, qui invite à la soutenir, non pas comme « patrimoine de la tradition », mais comme « avenir viable » pour la société. Il demande un jour de repos hebdomadaire pour tous.

    Mgr Gianni Ambrosio, vice-président de la Commission des épiscopats de la Communauté européenne (COMECE), est intervenu dans le cadre du 8e sommet annuel entre l’Union européenne et les leaders religieux, jeudi 12 juillet à Bruxelles.

    Mgr Ambrosio invite à la « lucidité » : « l’avenir de nos pays et de l’UE n’est pas imaginable sans un soutien fort de la famille », affirme-t-il.

    Il invite également à avoir le « courage » de soutenir la famille « comme sujet social et politique », notamment parce qu’elle contribue à la société « en termes de relations, de solidarité, d’élan créatif ».

    En effet, la famille « représente le premier réseau de solidarité sur lequel la société peut compter » car elle est « le « milieu de base » du souci de la personne et du partage des besoins, à la fois matériels et immatériels ».

    En ce sens, l’évêque invite à « reconnaître la valeur du soin » que la famille assume, aussi bien envers « les enfants » qu’à l’égard « des personnes âgées ».

    En valorisant la famille, précise-t-il, il ne s’agit pas de « défendre un patrimoine de notre tradition », mais de protéger « la garantie d’un avenir viable pour nos sociétés ».

    Comment affronter la « grave crise démographique actuelle » ? Il faut, répond Mgr Ambrosio, soutenir les familles dans « la génération et l’éducation d’hommes et de femmes capables de prendre en charge le bien commun ».

    A ce sujet, est nécessaire « une hausse du taux de fertilité ». D’ailleurs, cette exigence ne ferait que corroborer les désirs des européens : « les données relatives aux valeurs des Européens indiquent clairement qu’ils aimeraient avoir davantage d’enfants », affirme l’évêque.

    Pour conclure, l’évêque souligne l’importance « fondamentale » de la « journée hebdomadaire commune de repos », pour la famille, « pour la vie spirituelle de ses membres et pour les relations humaines, au sein de la famille comme avec les parents et les amis ».

  • Le Cucugnan de la chrétienté

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    800px-Chaire_Cathédrale_Liège_240809_08.jpgLe 22 mai dernier, nous avons fait écho à la publication de l'état des lieux du diocèse de Moulins (Allier). Au moment où des mesures de restructuration et de rationalisation surviennent dans nos paroisses, entraînant fermetures d'églises et suppressions de messes, nous serions curieux de connaître la situation exacte et détaillée de "l'Eglise qui est à Liège". Le marasme qui y règne ne doit hélas pas être très différent de celui constaté dans l'Allier. Lorsqu'on habite la deuxième ville du diocèse, Verviers, on y constate une raréfaction des célébrations et la disparition de toutes les communautés religieuses qui y étaient jadis représentées (jésuites, capucins, pères blancs, etc). On peut, sans exagérer, évoquer l'apparition d'une véritable friche religieuse (chrétienne s'entend, car il en va tout autrement de la religion islamique en plein développement). Il faudrait, pour s'en sortir, faire appel à des prêtres étrangers et à des communautés nouvelles (dites du Renouveau ou plus traditionnelles) mais la "sensibilité" des responsables du diocèse n'y est guère favorable. Ces prêtres, dit-on, risqueraient de ne pas être "en phase" avec la mentalité des chrétiens liégeois. On a pu constater cette attitude lorsque les derniers moines cisterciens ont du quitter l'abbaye du Val-Dieu. Des amis avaient contacté les Chanoines réguliers de la Mère de Dieu (Gap) qui s'étaient montrés intéressés par un établissement en ces lieux. Cela aurait permis au Val-Dieu de renaître avec une communauté religieuse d'une trentaine de moines. Le hic est que ces religieux, qui étaient également prêts à se consacrer à du ministère en paroisse, sont réputés "tradis" et attachés à la liturgie latine (mais tout disposés à célébrer en français). Il n'en fallait pas moins pour que leur installation soit refusée; ils sont allés s'établir ailleurs et le Val-Dieu est aujourd'hui le lieu d'une "expérience monastique" menée par quelques laïcs. A présent, on apprend qu'une congrégation féminine prestigieuse fondée par une Liégeoise, les Filles de la Croix qui avaient dans le diocèse plusieurs écoles et institutions, va déménager sa maison-mère en Angleterre. Tels sont les fruits de ces orientations diocésaines, allergiques à tout ce qui vient de Rome et promptes à porter au pinacle des clercs (quand ils le restent) qui réinterprètent dogmes et Ecritures à leur manière. Le prochain changement attendu à la tête de l'évêché donnera-t-il lieu à de nouvelles orientations? On peut l'espérer.

    (illustration : détail de la sculpture de Geefs représentant Lucifer (perplexe?) au revers de la chaire de la cathédrale de Liège)

  • Risque de guerre confessionnelle au Nigeria

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    NIGERIA - Chrétiens et musulmans lancent l’alarme à propos du risque de guerre confessionnelle

    Source : FIDES.ORG

    Les attaques perpétrées par la secte islamiste Boko Haram risquent de faire exploser un conflit confessionnel de grande ampleur, affirme un rapport élaboré par une délégation conjointe christiano-islamique qui a visité récemment le Nigeria. Les douze membres de la délégation étaient conduits par le Secrétaire général du Conseil mondial des églises (World Council of Churches, WCC), Olav Fyske Tveit, et par le Prince jordanien Ghazi bin Muhammad, Président de l’Institut royal Aal al-Bayt pour la pensée islamique.

    « Il existe la possibilité que les tensions et les conflits courants puissent être submergés par leur dimension religieuse, en particulier le long des lignes de tensions religieuses géographiques » affirme le rapport qui avertit : indiquer dans le seul élément religieux la cause du conflit risque de créer « une prophétie qui s’auto réalise ».

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  • Le DPN sur le banc des accusés

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    Le diagnostic prénatal sur le banc des accusés

    Source : http://www.hommenouveau.fr/index.php?id_billet=475

    Les affaires se multiplient concernant les législations propres à chaque pays en matière de bioéthique, portées devant la Cour pénale internationale de la Haye (CPI) ou la Cour européenne des Droits de l'homme (CEDH). Ici une femme qui porte plainte contre son médecin au motif que sa fille est née trisomique, là une autre pour un avortement qui a échoué et malgré lequel elle a mis au monde un petit garçon… Chaque jugement rendu pourra faire jurisprudence et les juges tiennent entre les mains les vies de plusieurs petits d'homme.

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  • "La Syrie a besoin de dialogue et non pas d’armes !"

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    Appel des franciscains : « La Syrie a besoin de dialogue et non pas d’armes ! »

    Source : FIDES.ORG

    « La Syrie a besoin de dialogue et non pas d’armes » : tel est l’appel lancé par les franciscains présents en Syrie par l’intermédiaire du Père Romualdo Fernandez OFM, Directeur du Centre œcuménique de Tabbaleh (Damas) et Recteur du Sanctuaire de la Conversion de Saint Paul se trouvant dans la capitale syrienne. Dans un entretien accordé à l’Agence Fides, le Père Fernandez remarque que « la voie principale pour sortir de la crise est celle du dialogue entre les parties. Nous demandons à tous d’accepter de s’asseoir autour d’une table et de débuter une confrontation capable d’éviter des violences, des morts et des massacres qui ensanglantent le pays depuis trop longtemps ». A propos du dernier massacre en date dans la zone d’Hama, il affirme que « c’est une tragédie, les nouvelles sont confuses et la vérité est la première victime ». Selon le religieux, « si les puissances étrangères continuent à fournir des armes et à financer les parties au conflit, la guerre se poursuivra et le nombre des victimes augmentera. Ce n’est pas là la voie de la paix : cette dernière passe par le dialogue ». En tant que chrétiens, remarque le Père Fernandez, « nous sommes ouverts à tous nos frères, de quelque religion qu’ils soient ».

    En tant que franciscains, répète-t-il, « nous sommes aux côtés de la population qui souffre, des chrétiens et des musulmans et nous n’abandonnerons jamais ce pays. Nous resterons en Syrie au service de l’Evangile. Nous y étions hier, nous y sommes aujourd’hui et nous y serons demain, en temps de paix et en temps de guerre, en temps sombre et en temps lumineux, dans la certitude que le Seigneur veut que nous soyons ici et qu’Il pourvoira à nos nécessités ».

  • Parler au nom de Jésus sans se préoccuper d'avoir du succès

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    VATICAN - Visite du Pape à Frascati : les Apôtres « doivent parler au nom de Jésus et prêcher le Royaume de Dieu, sans se préoccuper d'avoir du succès »

    Frascati (Agence Fides) - Au matin du Dimanche 15 juillet, le Saint-Père Benoît XVI s'est rendu en visite pastorale dans le Diocèse suburbicaire de Frascati, où il a présidé la Concélébration eucharistique sur le parvis de la Cathédrale. Dans son homélie, il s'est attardé sur l'Evangile du jour, qui portait sur l'envoi en mission des douze Apôtres (cf. Mc 6, 7-13). « Le fait que Jésus appelle certains disciples à collaborer directement à Sa mission - a expliqué le Pape - manifeste un aspect de Son amour : à savoir qu'Il ne dédaigne pas l'aide que d'autres hommes peuvent apporter à Son oeuvre ; Il connaît leurs limites, leurs faiblesses mais ne les méprise pas. Au contraire, Il leur confère la dignité d'être Ses envoyés ». Selon l'Evangéliste, Jésus les envoya deux par deux et leur donna peu d'instructions : « les Apôtres ne doivent pas être attachés à l'argent et aux commodités... ils ne recevront pas toujours un bon accueil : parfois ils seront repoussés et ils pourront même être persécutés. Mais cela ne doit pas les impressionner : ils doivent parler au nom de Jésus et prêcher le Royaume de Dieu, sans se préoccuper d'avoir du succès ».

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  • Tchéquie : les biens ecclésiastiques enfin restitués aux communautés religieuses ?

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    Selon l’agence Apic, en Tchéquie, plus de vingt ans après la chute du communisme, la restitution des biens d’église à leurs légitimes propriétaires serait enfin sur la voie d’un règlement. Si cette loi est définitivement adoptée, elle fournira une base solide pour le travail des Eglises et des communautés religieuses dans le pays, estime la Conférence épiscopale. Les évêques relèvent néanmoins que le projet de loi n’a pas été reçu positivement par la majorité des membres du sénat dont l’approbation est encore nécessaire :

      « La chambre des députés a voté vendredi la loi réglementant la restitution des biens des communautés religieuses confisqués par le pouvoir tchécoslovaque à l’époque communiste entre 1948 et 1989, soit quelque 2.500 bâtiments et 200.000 hectares de terrains. La loi a été approuvée à une courte majorité de 93 voix contre 89. Elle concerne les Eglises catholique, protestante et orthodoxe, ainsi que la communauté juive.

       La loi prévoit la restitution en nature de 56% des biens confisqués pour une valeur de 3,54 milliards de francs. Le reste devrait être liquidé sous forme de compensations financières sur 30 ans pour un montant de 2,7 milliards de francs adaptés à l’inflation.

       La loi doit encore être approuvée par le sénat où la majorité est aux mains des sociaux démocrates et des communistes qui jugent qu’elle dépasse la mesure. La chambre des députés peut cependant lever un éventuel veto du sénat. Il faut pour cela obtenir la majorité du nombre total des députés indépendamment du nombre des présents. La restitution des biens ecclésiastiques est en discussion en Tchéquie depuis la "Révolution de velours" de 1989. (apic/kna/mp) »

    Ici :Les évêques saluent un vote historique – kipa/apic