
DIMANCHE DES RAMEAUX Homélie du Très Révérend Père Dom Jean PATEAU Abbé de Notre-Dame de Fontgombault (Fontgombault, le 5 avril 2020)
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DIMANCHE DES RAMEAUX Homélie du Très Révérend Père Dom Jean PATEAU Abbé de Notre-Dame de Fontgombault (Fontgombault, le 5 avril 2020)
De Gelsomino del Guercio sur aleteia.org (italien) :
Avant de mourir, Don Cirillo, les mains tournées vers le ciel et un message: "Nous nous reverrons au Ciel, priez le Rosaire"
30 mars 2020
Frappé par le coronavirus, le prêtre du "Centre Don Orione" de Bergame a passé les dernières heures de sa vie à encourager d'autres malades
Avant de mourir, il leva les mains au ciel avec exultation, comme s'il avait atteint le but. Un geste de courage, de détermination, qui vient d'une leçon de vie que Don Cirillo Longo, depuis quelque temps, a répété à tous ceux qui l'ont rencontré au "Centre Don Orione" de Bergame : "L'homme a deux mains, car pendant que l'une travaille, l'autre sert à faire glisser les grains de la couronne du chapelet."
"Nous sommes tous entre les mains de Dieu"
Le prêtre de 95 ans est décédé le 19 mars après avoir contracté le coronavirus. Mais son «slogan» résonne dans le cœur de ceux qui l'ont connu. Et dans les derniers jours de sa vie, il avait consolé ceux qui auraient dû le consoler en disant "n'ayez pas peur, car nous sommes tous entre les mains de Dieu".
Les miracles de Don Orione
Don Cirillo Longo, raconte Prima Bergamo (28 mars) est né à Saletto (Padoue) le 18 mars 1925: 78 ans de profession religieuse, 67 ans de sacerdoce. Il appartenait à la Province religieuse des Orionini "Mère de la Divine Providence". Il est entré dans la Congrégation le 23 octobre 1937 à Tortona (Alexandrie). Don Luigi Orione en personne, le saint fondateur de la Congrégation approuvée le 21 mars 1903, l'avait revêtu de sa "soutane" de prêtre.
Il a été le témoin des miracles du fondateur, quand pendant la Seconde Guerre mondiale, dans des moments désespérés de peur et de faim, une prière, récitée avec une foi ardente, avec un amour filial de tous les séminaristes, avait suffi pour voir venir une aide inattendue, une aide qui est venue du ciel, à travers les soldats.
L'épreuve
Son calvaire a commencé le 12 mars. Les huit jours suivants ont été remplis de prière et de souffrance: physique, mais surtout celle de ne pas pouvoir communiquer avec tout le monde, répondant aux messages de salutations venus du monde entier et de tous les continents: prêtres, religieuses, membres de la famille et de nombreuses personnes simples, familles, enfants, jeunes, employés de nombreuses structures qu'il a fondées et dirigées.
"Priez beaucoup, les moments difficiles arrivent"
Dans la nuit du 17 mars, lors d'un bref appel téléphonique, il a déclaré: "Nous nous reverrons là-bas, au ciel ... prions le chapelet ... saluez-moi tous". Dans un autre appel téléphonique, après une rémission miraculeuse en la fête de Saint Joseph, il a répété: "Priez beaucoup, les moments difficiles arrivent, priez le Rosaire".
De Jean-Marie Dumont sur le site de Famille Chrétienne :
« Il ne faut jamais abandonner le malade », déclare l’Académie pontificale pour la vie
03/04/2020
Dans une longue note intitulée « Pandémie et fraternité humaine » datée du 30 mars, cette institution vaticane formule plusieurs enseignements qu’elle tire de l’épidémie de Covid-19 et fournit quelques critères sur les soins à apporter aux malades en situation d’urgence.
« En tout état de cause, nous ne devons jamais abandonner la personne malade, même lorsqu’il n’y a plus de traitement disponible », déclare l’Académie pontificale pour la vie dans une note d’analyse datée du 30 mars intitulée « Pandémie et fraternité universelle ». « Soins palliatifs, traitement de la douleur et accompagnement sont une exigence à laquelle nous ne pouvons pas nous soustraire », indique l’Académie, et ce y compris dans les cas extrêmes où il ne serait pas possible d’apporter à certains patients les traitements indispensables. Elle appelle aussi à porter une attention particulière « aux personnes les plus fragiles, notamment les personnes âgées et les handicapés. »
« L’âge ne peut pas être considéré comme le seul critère de choix automatique »
Dans sa note, l’Académie évoque le fait que « les conditions d’urgence dans lesquelles beaucoup de pays se trouvent peuvent conduire à contraindre les médecins à des décisions dramatiques et déchirantes de rationnement des ressources, limitées et qui ne sont pas disponibles pour tous de manière simultanée ». Rappelant qu’il faut d’abord avoir « fait tout ce qui est possible en termes d’organisation pour éviter ce rationnement », la note indique que la décision ne peut se fonder sur l’idée qu’il y aurait une « différence de valeur » entre certaines vies humaines. Elle évoque notamment la question de l’âge des personnes : celui-ci ne peut en aucun cas être considéré comme un « critère unique et automatique de choix ». Une telle approche traduirait une attitude « discriminatoire à l’égard des anciens et des plus fragiles ».
INVITATION A LA PRIERE
Neuvaine de Prière au Très-Saint Sacrement de Miracle de Bruxelles
à l’occasion de son Jubilé (650 ans)
le 12 avril 2020 Jour de Pâques

Prière au Très-Saint Sacrement de Miracle
Seigneur Jésus,
Toi qui par ce Miracle Eucharistique, le 12 avril 1370
nous as laissé un signe de prédilection pour cette ville de Bruxelles,
afin que grandisse notre foi en Ta Présence Vivante,
Toi qui as promis de délivrer de toute tribulation
ceux qui viendraient prier devant le Très-Saint Sacrement de Miracle.
Nous Te supplions, en cette grande fête jubilaire,
par Ta Présence vivante dans ces Saintes Hosties,
de libérer la ville de Bruxelles, notre pays, l’Europe,
le monde entier de cette épidémie comme Tu le fis
lors des épidémies de peste en 1489 et 1529
subitement éradiquées suite à la procession des Hosties miraculeuses.
Afin que tout homme reconnaisse que Toi seul es le Salut et la Guérison
et que le culte de ce Miracle Eucharistique Te soit rendu en cette ville,
par les fidèles qui viendront adorer
Ta présence Vivante dans le Très-Saint Sacrement de Miracle.
Pater, Ave, Gloria.

De Mgr Matthieu Rougé sur Radio Notre-Dame :
L'éclairage spirituel de Mgr Matthieu Rougé
3 avril 2020
Qu’est-ce que la « contrition parfaite » ?
Ce temps de confinement nous donne l’occasion de découvrir ou de redécouvrir la « communion spirituelle », c’est-à-dire la possibilité de vivre une expérience proprement eucharistique à distance de la célébration elle-même et de la communion sacramentelle, mais bel et bien dans le désir de pouvoir participer à la Messe.
De manière analogue, la « contrition parfaite » est un chemin pour accueillir la grâce du pardon alors qu’il n’est matériellement pas possible de se confesser. L’Eglise enseigne que celui qui désire se « laisser réconcilier avec Dieu » sacramentellement mais qui en est empêché physiquement peut malgré tout retrouver en vérité la paix, avec Dieu, avec lui-même, avec les autres.
Comment ? En procédant comme pour la confession pleinement sacramentelle, c’est-à-dire en commençant par se placer devant le mystère de l’amour sans limite de Dieu ; dans cette lumière, il est possible de faire un « examen de conscience », c’est-à-dire de reconnaître ce qui dans nos vies est manquement à l’amour de Dieu et du prochain ; une fois nos manquements formulés, nous pouvons en demander pardon dans un esprit de « contrition », c’est-à-dire de regret profond par amour de Dieu du mal commis ; le signe de la vérité de cette « contrition », ce qui peut la « parfaire », c’est l’accomplissement d’un véritable acte de charité à l’égard de telle ou telle personne qui en a besoin.
Cette démarche ne relativise pas le sacrement puisque le désir du sacrement en fait partie. Elle peut même enrichir la qualité de nos futures confessions préparées par ce travail intérieur.
Le rafraichissement de notre tunique baptismale par la confession pascale est pour chacun une étape importante de l’année liturgique et spirituelle. En l’absence de confession possible pour le plus grand nombre cette année, ayons recours à la joie et à la profondeur de la « contrition parfaite ». En attendant de retrouver le bonheur de la confession !
De NousCitoyens :

Faut-il réviser le financement des cultes en Belgique ?
Le système actuel de financement des cultes est bétonné dans la Constitution. Il n’assure pas une égalité de traitement entre les différents courants philosophiques. Il y a un déphasage grandissant entre la répartition du gâteau et la distribution statistique de la population entre les différentes obédiences. Le système est sous pression. Le législateur va-t-il se contenter de corriger le système actuel (au risque de le compliquer davantage) ou réformer de fond en comble le financement des cultes ? Sous la dénomination de « système italien élargi » nous présentons un système qui applique la démocratie participative.
De sur Smart Reading Press :
LES INCERTITUDES DU CORONAVIRUS
Seule certitude, le prix à payer sera exorbitant, même si l’impact démographique de l’épidémie reste très limité. Après tout, il meurt chaque année dans le monde environ 3,46 millions de personnes d’infections respiratoires, plus de 1,37 millions de cancers du poumon, sans parler des 7,25 millions de maladies coronariennes, des 6,15 millions d’AVC et des 1,78 millions de victimes du Sida, et tous les autres, jeunes ou vieux.
Comparée à ces chiffres, la pandémie de Coronavirus est une affaire bénigne, presque insignifiante. Au 1er avril, il n’y avait depuis le début de l’épidémie que 820 000 cas d’infection diagnostiqués dans 185 pays et 40 000 morts comptabilisés. À peu près autant que de morts causés par des attaques de chiens. Pour le moment, ce décompte «officiel», s’il est réel, représente à peine un trait de crayon du point de vue démographique.
De « Paix Liturgique », lettre 738 du 24 mars 2020 :
« Le catholicisme hollandais avant Vatican II, malgré des signes annonciateurs de craquements et un certain nombre de faiblesses, était extrêmement florissant. Il distançait le protestantisme en perte de vitesse et avait toute la vigueur et l’implantation associative, scolaire, caritative, du catholicisme de langue néerlandaise dans la Belgique voisine. Le clergé hollandais des années 1950 fournissait d’importants bataillons dans les congrégations, et même des renforts à certains diocèses français dont le clergé se raréfiait.
Comme en bien d’autres endroits où s’étaient reconstitués des semblants de chrétienté (Bretagne, Canada, Irlande, etc.), le bouleversement qui a accompagné et suivi le Concile a provoqué un effondrement extrêmement spectaculaire. Là comme ailleurs, la crise sociale qui culmina en 68 avait été précédée par une révolution ecclésiastique, avec entre autres figures celle du théologien dominicain Edward Schillebeeckx, et comme événement emblématique la parution, en 1966, du fameux Catéchisme hollandais, qui prenait les plus grandes libertés avec l’orthodoxie. Le siège métropolitain d’Utrecht était occupé par le cardinal Willebrands, qui était en même temps président du Secrétariat pour l'Unité des chrétiens et qui incarnait l’esprit œcuménique le plus avancé (« On ne doit pas parler de "retour" pour les chrétiens séparés », avait-il déclaré).
Au début des années 1980 le catholicisme hollandais était ainsi un champ de ruines. Jean-Paul II fit tous ses efforts, par une politique de nominations systématiquement « classiques », pour tenter une renaissance « restaurationniste » au milieu des décombres. L’homme de ce retournement conservateur de ce qui restait de l’Église hollandaise fut le cardinal Simonis, successeur de Willebrands à Utrecht en 19833.
Simonis « poussa » Willem Jacobus Eijk, qui avait soutenu une thèse de doctorat sur l’euthanasie et un autre sur les manipulations génétiques, et qui était un spécialiste d’éthique médicale. Né en 1953, évêque en 1999, Wim Eijk fut nommé par Benoît XVI archevêque d’Utrecht en 2007, en remplacement du cardinal Simonis, et cardinal (in extremis, disent certains !) en 2012. Il a présidé jusqu’en 2016 de la Conférence des Évêques.
Et puis, il est entré discrètement en scène dans les débats présents en donnant son appui aux dubia concernant la communion aux divorcés remariés et en s’interrogeant sur les silences du magistère à propos de la communion aux luthériens.
Du coup, des Pays-Bas, où avait triomphé le progressisme à l’époque conciliaire, se lève une étoile d’espérance.

Ils proposent à tout le monde de prier le chapelet ce samedi 4 avril à cette intention.
CARITAS IN VERITATE!
On peut, si on le désire, cosigner cette lettre et la proposer à d'autres paroissiens intéressés qui n'en auraient pas connaissance. Pour signer la lettre, il suffit simplement d'envoyer ses prénom, nom, adresse et e-mail à: lettrelacambre@gmail.com
à Monseigneur Kockerols, Evêque auxiliaire de Bruxelles
Bruxelles, le 3 avril 2020
Monseigneur,
Ne pouvait-il y avoir meilleur moment que le temps de confinement, où il n'y a plus de célébrations liturgiques ni de rencontres rassemblant les paroissiens, pour que ceux-ci ne puissent apprendre que par un communiqué de Cathobel la décision prise à propos du départ de leurs pasteurs? S'il s'agissait d'une convention qui liait l'Évêché et le Monastère des Prémontrés, il ne s'agissait pas moins du sort d'une paroisse vivante autour du charisme des Pères, de leur liturgie et spiritualité.
Nous sommes nombreux à les avoir rejoints dans une louange commune, dans un partage commun : jeunes ménages avec des enfants, couples, veufs, célibataires, hommes et femmes à la recherche d'un pôle de vie spirituelle et de prière. Nous étions heureux de nous retrouver le dimanche, car les chanoines avaient réussi à créer une communauté où on se connaissait de plus en plus, c'est avec joie que nous nous engagions dans la pastorale : la catéchèse pour les enfants que nous rencontrions chaque semaine les entraînant dans un chemin de foi, la préparation au mariage menée conjointement par les pères et des couples engagés, la liturgie de la parole pour les enfants lors des célébrations eucharistiques où nos enfants participaient de plus en plus, chacun à leur manière dans les assemblées du dimanche où résonnaient l'orgue et le piaillement des petits. Les événements spirituels et les fêtes paroissiales montées grâce à l'enthousiasme de nombreux paroissiens étaient autant de façons de faire rayonner la Parole et de bâtir la communauté. Voir l'Abbaye revivre avec un rythme de prière, comme la source d'eau vive qui dans la Bible coule du côté du temple, voir des chanoines qui sont là pour vous écouter, vous accueillir dans les moments de joie, de détresse, vous accompagner, vous porter dans la prière c'est tellement nécessaire. Cette permanence de l'accueil et de l'écoute, de la prière : c'est si rare, tellement beau !
Pourquoi, mais pourquoi les voir partir, pour quelle raison? Ils nous ont partagé récemment qu'ils n'étaient que vicaires et nous apprenons aujourd'hui que notre paroisse dépend directement de notre évêque, mais avez-vous jamais rencontré le conseil paroissial? Lui avez-vous jamais expliqué ce que vous attendiez de l'Abbaye de la Cambre? Êtes-vous venu récemment vivre la ferveur et l'intensité de ce qui se vit à la Cambre? C'est comme si nous, paroissiens, n'existions pas... Et comme si la décision du départ des chanoines fut prise comme si elle ne nous concernait pas.
Monseigneur, je crois que vous n'avez pas réalisé le choc que vous provoquez. Nous le ressentons comme si vous ne teniez pour rien la vie pastorale qui a animé le lieu, comme si vous ne réalisiez pas ce puits de grâce d'une communauté qui prie.
Ainsi nous osons vous demander de vous rencontrer ici à l'Abbaye de la Cambre pour que nous voyions ensemble le projet pastoral que nous avons vécu et construit et voir avec vous comment poursuivre cet élan pastoral avec nos pasteurs.
Veuillez agréer, Monseigneur, l’expression de notre respectueuse considération.
Les Paroissiens de la Cambre

On se mobilisera d'une autre manière
COVID-19: All Together for Life - Brussels (March for Life Brussels 26/04/2020)
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D'Anita Bourdin sur zenit.org :
Liturgie: approbation d’une « Messe votive en temps de pandémie »
« Bénis ton peuple, garde-le sain et sauf, sois pour lui un défenseur »
Lu sur Le Monde diplomatique (avril) qui s’interroge, lui aussi, sur les changements qui interviendront au sortir de la crise actuelle (via l"Homme Nouveau):
Une fois cette tragédie surmontée, tout recommencera-t-il comme avant ? Depuis trente ans, chaque crise a nourri l’espérance déraisonnable d’un retour à la raison, d’une prise de conscience, d’un coup d’arrêt. On a cru au confinement puis à l’inversion d’une dynamique sociopolitique dont chacun aurait enfin mesuré les impasses et les menaces. La débandade boursière de 1987 allait contenir la flambée des privatisations ; les crises financières de 1997 et de 2007-2008, faire tituber la mondialisation heureuse. Ce ne fut pas le cas. (…) Corollaire du « Restez chez vous » et de la « distanciation », l’ensemble de nos sociabilités risquent d’être bouleversées par la numérisation accélérée de nos sociétés. L’urgence sanitaire rendra encore plus pressante, ou totalement caduque, la question de savoir s’il est encore possible de vivre sans Internet. Chacun doit déjà détenir des papiers d’identité sur lui ; bientôt, un téléphone portable sera non seulement utile, mais requis à des fins de contrôle. Et, puisque les pièces de monnaie et les billets constituent une source potentielle de contamination, les cartes bancaires, devenues garantie de santé publique, permettront que chaque achat soit répertorié, enregistré, archivé. « Crédit social » à la chinoise ou « capitalisme de surveillance », le recul historique du droit inaliénable de ne pas laisser trace de son passage quand on ne transgresse aucune loi s’installe dans nos esprits et dans nos vies sans rencontrer d’autre réaction qu’une sidération immature. Avant le coronavirus, il était déjà devenu impossible de prendre un train sans décliner son état-civil ; utiliser en ligne son compte en banque imposait de faire connaître son numéro de téléphone portable ; se promener garantissait qu’on était filmé. Avec la crise sanitaire, un nouveau pas est franchi. À Paris, des drones surveillent les zones interdites d’accès ; en Corée du Sud, des capteurs alertent les autorités quand la température d’un habitant présente un danger pour la collectivité ; en Pologne, les habitants doivent choisir entre l’installation d’une application de vérification de confinement sur leur portable et des visites inopinées de la police à leur domicile. Par temps de catastrophe, de tels dispositifs de surveillance sont plébiscités. Mais ils survivent toujours aux urgences qui les ont enfantés.
Lire aussi : http://www.genethique.org/fr/quelle-protection-des-donnees-en-temps-de-pandemie-73277.html#.XobzfIgzaM8