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Belgique - Page 170

  • Liège, dimanche 2 juillet 2017: Solennité de la Fête des saints Pierre et Paul (fête du pape) à 10 h, en l’église du Saint-Sacrement

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    SOLENNITÉ DE LA FÊTE DES SAINTS PIERRE ET PAUL 

    DIMANCHE 2 JUILLET 2017 À 10 HEURES

    Pâques est la plus grande solennité du cycle liturgique ; mais pour les Romains, il y avait comme une seconde fête de Pâques, qui, si elle ne la surpassait pas en splendeur, égalait certes la première. C’était le « dies natalis » –la naissance au Ciel-  des deux Princes des apôtres, Pierre et Paul, martyrisés à Rome dans les années soixante de notre ère, ou, pour mieux dire, c’était, dans leur personne, la fête de la primauté pontificale, la fête du Pape, le Natalis urbis, le jour natal de la Rome chrétienne, le triomphe de la Croix sur Jupiter, père du tonnerre, et sur ses vicaires les Pontifices Maximi, établis dans la Regia du Forum. Il est si vrai que Rome y attachait ce sens symbolique, que les évêques de la province métropolitaine du Pape avaient l’habitude de se rendre dans la Ville éternelle, en signe de respectueuse sujétion, pour célébrer avec le Pontife une si grande solennité.

    La Solennité de cette fête se célèbre le dimanche qui suit le jour de la fête (29 juin) : en cette année  2017, il s’agira du dimanche 2 juillet :

    Missel de 1962

    Propre grégorien  de la Messe « Nunc Scio Vere »,

    Kyriale IV « Cunctipotens Genitor Deus », Credo IV 

    "Christus vincit": acclamations carolingiennes (IXe s.)

    au Christ Vainqueur  

     

    par la Schola grégorienne du Saint-Sacrement

    A l’orgue,Patrick Wilwerth (orgue)

    Avec le concours du Quatuor Instrumental Darius  

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    JPSC 

    ref. http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/ 

  • UCL: où en est l’ « affaire Mercier » ?

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    CitizenGO a interviewé le Professeur et nous a transmis le texte de cet échange :

    « Stéphane Mercier, le professeur de philosophie qui s’est retrouvé au centre d’une polémique à l’Université catholique de Louvain-la-Neuve (UCL) pour avoir invité ses étudiants à réfléchir sur un argumentaire philosophique contre l’avortement a eu la gentillesse de répondre à nos questions. Son histoire est tout à fait singulière, et montre le prix qu’il faut parfois payer, au sein même de l’Europe, pour être libre et penser autrement. Vous pouvez soutenir le professeur Mercier en cliquant sur ce lien : http://www.citizengo.org/fr/pr/45803-defendons-liberte-et-le-droit-des-professeurs-etre-contre-lavortement

    Merci et bien à vous,

    Stéphane Duté et toute l’équipe de CitizenGO

    « CitizenGO : La pétition lancée par CitizenGo pour vous soutenir a rencontré un franc succès, avec près de 28.000 signatures à ce jour. L’appel a-t-il été entendu par les autorités de l’Université Catholique de Louvain ?

    Professeur Stéphane Mercier : Il n’y a pas pire sourd… Les autorités de l’Université ont donné jusqu’ici l’impression de vouloir étouffer toute l’affaire, maintenant ma suspension provisoire (depuis que le cirque a commencé) et réclamant contre moi une sanction de licenciement. Sur le fond, sur les arguments que j’ai avancés pour justifier le refus de l’avortement, on ne m’a rien dit de sérieux, puisqu’on a toujours fait valoir que nous n’étions « pas là pour parler de cela ». Or il n’y a d’échange argumenté qu’avec un interlocuteur qui accepte de s’inscrire dans une démarche de dialogue. J’ai consulté le dossier maigrichon sur base duquel cette sanction était proposée: je n’y ai rien vu qui soit de nature à justifier la moindre sanction, que du contraire ! Qu’ai-je fait d’autre que de présenter librement des arguments philosophiques très raisonnables (il est permis à chacun d’en juger par lui-même !) en faveur du droit de chaque être humain innocent à être protégé depuis le moment de sa conception ? Des arguments philosophiques en faveur de la dignité humaine, dans le cadre d’un cours de philosophie, donc. Mais bien sûr, un idéologue ne répond pas à des arguments par des arguments. La sourde oreille et le fait du prince, c’est autrement plus tentant quand on veut réduire quelqu’un au silence.

    CitizenGO : Avez-vous contesté la proposition de sanction ?

    Professeur Stéphane Mercier : Bien sûr, puisqu’il convient de se défendre en respectant les règles du jeu, même avec un adversaire déloyal. J’ai saisi la commission disciplinaire, comme le prévoit le règlement, pour qu’elle évalue le dossier. Un magistrat externe et deux professeurs de l’Université. Une commission qui n’était que partiellement impartiale, mais soit. Ses membres étaient à l’évidence prévenus contre moi, puisque leur travail d’information s’est doublé d’une volonté non dissimulée de justifier le point de vue des autorités académiques. Deux avocats m’assistaient ; ils ont déposé un dossier contestant toute la procédure initiée contre moi. Ils ont du reste fait remarquer que le licenciement n’est même pas une sanction prévue par le règlement interne de l’Université contre un chargé de cours invité !

    CitizenGO : Quel a été l’avis de la commission ? 

    Professeur Stéphane Mercier : Devinez. Elle a conclu que j’avais, pour reprendre le lexique édifiant dont elle s’est servie, « instrumentalisé » mon cours au service d’un « militantisme radical » face à des étudiants « particulièrement démunis », ce qui est évidemment d’une « particulière gravité ». Reconnaissant (à demi-mots et à contrecœur) que l’on ne peut pas licitement me licencier, la commission suggère qu’on m’applique la sanction maximale prévue pour un chargé de cours invité, à savoir la suspension pour une période de trois mois. Cela fait maintenant plus de trois mois que je suis suspendu, depuis le 24 mars exactement ; ai-je donc déjà purgé ma peine avant qu’elle ne soit validée par le conseil d’administration ?

    CitizenGO : C’est donc maintenant au conseil d’administration de prendre un parti, puisque l’avis de la commission ne vaut pas décision ?

    Professeur Stéphane Mercier : C’est bien cela : la commission ne fait que donner un avis qualifié, enfin à ce qu’il paraît. Tout cela est vraiment ridicule et indécent : je parle du droit à la vie de chaque être humain depuis le moment de la conception, et me voilà un militant radical, dangereux pour les étudiants « démunis ». J’ai pour ma part une meilleure opinion de mes étudiants ! Et d’ailleurs ceux-ci apprécieront certainement de savoir en quelle estime les autorités tiennent leurs capacités intellectuelles… Bref. Avec mes avocats, nous allons vraisemblablement solliciter d’être publiquement entendus par le conseil d’administration. Ce n’est pas moi qui ai voulu la publicité dans toute cette affaire, comprenez-le bien : depuis le début, c’est le rectorat qui s’est engagé sur la place publique. Le règlement ne se fera donc pas dans les coulisses, ce qui devrait permettre à chacun de voir par lui-même où se trouve l’hypocrisie. Je ne fais, de mon côté, que réclamer de pouvoir librement enseigner la philosophie – après tout, je suis payé pour cela ! – en abordant des questions essentielles qui touchent la dignité humaine, et qui, à ce titre, intéressent tous les étudiants. Il va falloir que les autorités expliquent enfin clairement ce qui leur déplaît dans mon enseignement. Personne n’avait jamais remis en cause ma pédagogie depuis sept ans que j’enseigne à l’UCL comme chercheur puis comme chargé de cours. Alors si ce sont mes conclusions qui dérangent (mais qui dérangent-elles légitimement au sein d’une Université qui se présente toujours comme catholique ?), il suffit d’y répondre par des arguments. Du reste, on peut très bien être en désaccord avec quelqu’un sans éprouver le besoin pathologique de le réduire au silence par tous les moyens. Les cris d’orfraie, les gages servilement donnés à la norme du moment et les mesures discrétionnaires ne constituent pas une réponse démocratique avisée.

    CitizenGO est une plate-forme de participation citoyenne qui travaille à défendre la vie, la famille, et les libertés fondamentales dans le monde entier. Pour en savoir plus sur CitizenGO, cliquez-ici,  ou connectez-vous sur Facebook ou Twitter.

    Pour contacter CitizenGO, écrivez  un message à l'adresse suivante : http://www.citizengo.org/fr/contacto. »

    JPSC

  • Cinq nouveaux prêtres ordonnés dans les diocèses de Namur et de Malines-Bruxelles; rien, nada, niks, niente, nitchevo dans les autres diocèses

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    De Christian Laporte, cet "éclairage" paru sur le site de La Libre :

    Seulement cinq nouveaux prêtres pour l’Eglise belge cette année

    Deux à Namur, deux à Bruxelles, un à Malines : les vocations se font très rares.

    Au sanctuaire de Notre-Dame du Laus, près de Gap, où il est désormais (re) devenu un humble vicaire, l’archevêque honoraire de Malines-Bruxelles, Mgr André-Joseph Léonard, récite certainement un chapelet quotidien pour susciter de nouvelles vocations dans l’Eglise de Belgique.

    Et il doit certainement rappeler aux pèlerins que de son temps, il pouvait encore "armer" son archidiocèse et son ex-diocèse de Namur d’un nombre restreint mais plus important de nouveaux prêtres.

    Ainsi en 2014, il pouvait encore se targuer de 3 ordinations à Bruxelles et de 7 à Namur. Il est vrai que sur ces sept, il n’y avait que deux diocésains pour trois issus du Chemin néocatéchuménal et deux frères de Tibériade, installés il est vrai à Lavaux-Sainte-Anne. Parallèlement, il y avait encore quelques rares vocations dans les diocèses flamands.

    En cette fin juin, c’est de nouveau le temps des ordinations sacerdotales. Avec un constat relayé par certains vaticanistes peu favorables au pape François et à l’actuelle hiérarchie ecclésiale belge : la moisson est nettement moins abondante car à peine cinq nouveaux prêtres sont consacrés dans le diocèse de Namur et dans l’archidiocèse de Malines-Bruxelles. Et rien, nada, niks, niente, nitchevo dans les autres diocèses. Dans la capitale wallonne, cela s’est passé le week-end dernier avec les ordinations de deux proches du Chemin néocatéchuménal formés au séminaire Redemptoris Mater lancé par André Léonard. Stany Fernandes et Gianpaolo Cesareo, respectivement d’origine indienne et italienne, ont grandi dans l’Eglise avec le Chemin néocatéchuménal.

     

    © IPM graphics

    Un ex-Saint Apôtre qui a choisi…

    A Malines-Bruxelles, il n’y aura qu’une ordination néerlandophone : celle de Servaas Bosch, le 2 juillet, à Malines. Cet ancien de la Fraternité des Saints-Apôtres qui gravitait autour de l’église Ste-Catherine a clairement opté pour une insertion diocésaine lorsque la Fraternité a été dissoute.

    Une semaine auparavant, à Bruxelles, ce dimanche 25 juin, le cardinal De Kesel ordonnera deux nouveaux prêtres. A commencer par Antonin le Maire (35 ans). Ce licencié en psychologie et sciences de l’éducation de l’UCL a travaillé dans le privé et comme stagiaire de la Commission européenne tout en faisant des études européennes supplémentaires à St-Louis. Finalement, il a rejoint le séminaire interdiocésain Notre-Dame de Namur non sans faire un crochet de type Erasmus par le séminaire catholique et le collège orthodoxe à St-Pétersbourg.

    Pas encore excardiné au Rwanda

    L’autre nouveau prêtre a pour nom Bruno Druenne (31 ans). Issu d’une famille nombreuse de Nivelles, il a entrepris des études d’ingénieur à l’UCL tout en se posant la question du sacerdoce. Diplômé comme ingénieur, il est entré au séminaire avec un grand intérêt pour l’insertion pastorale : successivement à Nivelles, à Braine-l’Alleud, à Ixelles et enfin à Wavre. Jusqu’il y a quelques jours, il devait y avoir une troisième ordination, celle de Cyprien Ntirugirimbabazi, un Rwandais né en 1981 à Cyangugu. Comme son nom a disparu des invitations, d’aucuns se sont posé pas mal de questions. L’explication ne souffre nulle interprétation : déjà diacre dans son pays, il se fait que les documents nécessaires à son excardination ne sont pas encore parvenus à l’archevêché de Malines. Conséquence : son ordination est reportée à une date ultérieure. On en conclura que la direction actuelle de l’Eglise ne veut pas faire du chiffre pour le plaisir d’en faire…

     
  • Quand l'infidélité devient un produit commercial banal

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    De Martin Van Breusegem en Carte blanche sur le site du Vif :

    L'infidélité, un business juteux

    La nouvelle campagne publicitaire de Gleeden, le site Web qui commercialise l'adultère, se déploie depuis quelques jours dans les principales gares de Belgique. La réalité cachée derrière la pub est loin d'être reluisante...

    Apparue sur la toile en 2009, cette plateforme offre à ses utilisateurs "d'entrer en contact en toute sécurité avec les infidèles du monde entier". La pomme à moitié croquée qui envahit les panneaux d'affichage est aussi brillante que celles de nos supermarchés -société de consommation oblige. La réalité qu'elle cache est quant à elle, loin d'être reluisante.

    Tout est à vendre

    Le Marché s'est emparé de nos chambres à coucher. La révolution numérique n'a fait qu'accélérer ce phénomène, donnant aux géants du Net, les clefs de nos alcôves. La pornographie, qui sature nos écrans et formate nos imaginaires, en est peut-être l'exemple le plus criant. Aujourd'hui, l'industrie du sexe, modifiée comme de nombreux autres secteurs par l'ubérisation, pèse plusieurs centaines de milliards.

    Dans cette nébuleuse, les sites de rencontre, qu'ils soient payants ou non, permettent à leurs utilisateurs de trouver l'âme soeur... ou un plan Q. Si des couples se créent sur Internet, ils peuvent désormais s'y défaire. Avec Gleeden c'est en effet l'adultère qui fait l'objet d'un business.

    L'individu (presque) libre

    Qu'on ne s'y trompe pas : là où Meetic ou Tinder mettent en contact, Gleeden sépare. Dédié aux femmes et hommes mariés, le site se propose de remplacer la réalité du lien marital par l'illusion, de surcroît virtuelle, de l'aventure extra-conjugale. Symptôme de l'indivudalisme ambiant, il participe pleinement à la "dissolution de tous les liens sociaux", dénoncée par Guy Debord dans la Société du spectacle.

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  • Qui se ressemble s’assemble ?

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    La Grande Loge Régulière de Belgique implante une loge maçonnique à Louvain-la-Neuve … et célèbre trois siècles d’existence de la franc-maçonnerie traditionnelle et universelle. Voici son communiqué :

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    "Le samedi 24 juin 2017, la franc-maçonnerie traditionnelle belge s’implantera officiellement et pour la toute première fois à Louvain-la-Neuve. La loge « Athéna » y verra en effet le jour, sous l'égide de la Grande Loge Régulière de Belgique (GLRB). Elle sera consacrée solennellement par son Grand Maître, à l’occasion des célébrations marquant le Tricentenaire de la fondation officielle de l'Ordre. 

    La création de la loge « Athéna » intervient trois siècles précisément après la fondation de la Première Grande Loge - la Grande Loge de Londres et de Westminster - à Londres, le 24 juin 1717. Ce moment est considéré comme le début officiel de la franc-maçonnerie organisée. Il s’agit donc là d’un événement d’une portée symbolique toute particulière.

    Il n’y avait pas jusqu’ici de loge à Louvain-la-Neuve. L’implantation de la GLRB dans cette ville à vocation universitaire revêt donc une portée tout aussi symbolique. Tout en respectant son devoir de discrétion, la loge « Athéna » fera en effet preuve dans ses activités (conférences, Portes Ouvertes, …) d’une volonté de visibilité et de dialogue avec un public non-maçon, contemporain et jeune, avec lequel elle partagera tout naturellement l’orientation vers l’avenir, la volonté de progrès, un principe d'universalité et un ensemble de valeurs spirituelles et intemporelles. Ce faisant, la GLRB emboîtera le pas aux "University Schemes" mis en place par les frères Anglais dès la seconde moitié du 18è siècle en Angleterre, où la première loge universitaire fut créée sur le campus de l’Université d’Oxford et où elle est aujourd’hui encore active et prospère. 

    Si elle est la moins nombreuse des principales obédiences -ou organisations de francs-maçons- de Belgique, la GLRB représente seule la franc-maçonnerie traditionnelle et universelle - c’est à dire fidèle aux valeurs de base - telle qu’elle est pratiquée par 90% de l’ensemble des frères dans le monde. Ainsi, c’est l’unique obédience belge reconnue par la Grande Loge Unie d’Angleterre, la seule également invitée pour sa commémoration historique à Londres le 31 octobre 2017.

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  • Un séminariste de la feue Fraternité des Saints Apôtres sera ordonné à Malines le 2 juillet prochain

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    Ordination sacerdotale de Servaas Bosch le 2/7/17 – faire part (source)

    C’est une très grande joie d’apprendre l’ordination de Servaas Bosch le 2 juillet 2017 à Malines. 

    Les paroissiens de Sainte Catherine seront nombreux pour entourer Servaas à cette occasion. 

    Comme les autres séminaristes de feu la Fraternité des Saints Apôtres, nous l’avons souvent vu dans notre paroisse, nottament pour l’homélie dominicale. 

    Site internet pour les détails : http://wijdingservaas.weebly.com/

  • Faut-il réformer la législation sur les fabriques d'églises à partir d'une logique de radicalisation ?

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    De l'abbé Raphaël Collinet, vicaire épiscopal à Liège :

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  • A Liège : l’église du Saint-Sacrement a célébré sa fête emblématique dans le cadre des manifestations de la Fête-Dieu 2017

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    Quatre jours durant (du 15 au 18 juin 2017) l’Eglise de Liège commémorait cette année le septième centenaire de la constitution (1317) par laquelle le pape Jean XXII inscrivit définitivement dans le droit général de l’Eglise  la Fête-Dieu, cette fête d’origine liégeoise impulsée dès 1246 par Julienne de Cornillon (Retinne, 1192-Fosses la Ville 1258) et Eve de Saint-Martin († en 1266). 

    Dans la soirée du jeudi 15 juin, à l’issue de la messe inaugurale à la collégiale Saint-Martin une procession rejoignit la cathédrale pour une adoration nocturne, que d’autres suivirent les jours suivants,  ponctuées aussi d’initiatives diverses telles que des conférences, un grand rassemblement au carmel de Cornillon ou une découverte pédestre de la vallée de la Julienne, ce ruisseau champêtre qui rappelle le nom et les origines de la  sainte Liégeoise.

    Un succès de foule

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    C’est dans ce contexte que, le samedi 17 juin à 18h00, l'évêque de Liège, Mgr Jean-Pierre Delville, a célébré une messe solennelle selon la forme extraordinaire du rite romain dans l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy : un beau succès de foule qui rassembla 350 personnes, soit le maximum que puisse accueillir ce sanctuaire.

    La petite exposition d’art sacré  illustrant le culte de Julienne de Cornillon et surtout la vénération de la relique de la sainte exposée après la messe se partagèrent les faveurs du public avec une réception conviviale où l’évêque s’attarda pour saluer tous et chacun.

    Une célébration de qualité

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    Remarquable, cette célébration le fut aussi par la qualité chorale de la messe. Deux groupes de chanteurs exceptionnels ont prêté leur concours à cette célébration :

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  • Bruxelles, 18 et 25 juin : célébrations d'au-revoir des Fraternités Monastiques de Jérusalem

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    agrandir : ICI

  • Le Comité de Soutien aux Chrétiens d’Orient de retour d'Irak

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    CHRÉTIENS D’ORIENT : DE RETOUR D’IRAK (source)

    Le Comité de Soutien aux Chrétiens d’Orient – CSCO – est rentré fin mai de son voyage au Kurdistan Irakien et en Irak.

    En plus d’avoir passé du temps avec des personnes et représentants de nombreuses communautés chrétiennes, ses membres ont pu dialoguer avec des membres de toutes la mosaïque communautaire d’Irak : Kurdes, Yézidis, Sunnites arabes, Chiites….

    La situation précaire des chrétiens s’améliore lentement au fur et à mesure du recul de l’État Islamique ; la majorité des villes et villages chrétiens d’Irak ont été libérés dans l’année écoulée.

    Les villes de Batnaya et Qaraqosh ont été totalement détruites par Daech et sont pratiquement devenues des villes fantômes. D’autres villes comme Telesskeff, moins endommagés, sont en voie d’être réhabitées – 500 familles se sont déjà réinstallées.  La reconstruction commence à s’organiser mais elle est encore quasiment exclusivement le fait d’associations chrétiennes internationales.

    Les chrétiens rencontrés nous demandent de transmettre le message suivant :

    • Les nombreux chrétiens déplacés souhaitent regagner leur territoire mais tant que les accès à l’électricité et l’eau ne seront pas rétablis le retour sera difficile ;
    • Le gouvernement doit prendre ses responsabilités. Les chrétiens sont des citoyens et des contribuables comme les autres. Ils ont le droit aux mêmes infrastructures étatiques. Des fonds internationaux ont été débloqués pour la reconstruction de l’Irak et ceux-ci ne sont, à ce jour, pas du tout investis dans les régions chrétiennes.

    Lors de son voyage, le CSCO s’est aussi inquiété des autres minorités de la région, avec lesquelles les chrétiens essayent de vivre en paix et dans la convivialité depuis deux millénaires :

    • Les Kurdes : qui ont joué un rôle militaire capital dans le combat contre Daech. Ils ont aussi accueilli avec hospitalité les minorités chassées par Daech. Cet accueil, les Chrétiens leur en sont très reconnaissants. Nous espérons, au sein du CSCO, que cette confiance et respect mutuel perdurera et sera la base du ciment de paix dans la région.
    • Les Yézidis : représente la communauté la plus éprouvée depuis la présence de l’islamisme fanatique de Daech dans la région. Considérés comme satanique par la doctrine djihadiste, des milliers de femmes Yézidies ont été capturée et réduites en esclaves sexuelles par les combattants de Daech.

    La relation pacifique et solidaire entre les Chrétiens et les Yézidis trouve une synergie particulière dans le projet de la « maison de la femme irakienne », soutenu par le CSCO. Cette maison pour femmes à Alqosh aura pour but d’aider, éduquer, libérer les femmes traumatisées par la guerre en suivant cette conviction profonde : “Le bien-être d’une société passe par le bien-être et l’émancipation des femmes”.

    • Les Arabes Sunnites ont également beaucoup souffert de cette guerre. Depuis la chute de Saddam Hussein, les arabe Sunnites ont le sentiment d’avoir été victimes d’injustice. Nombreux d’entre eux ont soutenu Daech dans un espoir d’amélioration de leur quotidien. Mais, la dictature sanglante sous laquelle ils ont vécu dans l’État Islamique, a été « une douche froide ».

    Aujourd’hui, la paix ne peut venir que du développement économique et de l’éducation. Le gouvernement irakien doit soutenir toutes les communautés de façon égale, sinon la paix sera toujours menacée.

    LES PROJETS DÉJÀ SOUTENUS PAR LE CSCO EN IRAK ET EN SYRIE

    Le CSCO soutient un dispensaire à Alqosh (Irak), un dispensaire à Quamishli (Syrie), une école à Hassaké (Syrie) ainsi qu’un dispensaire à Telesskeff (Irak). Ces projets sont tous ouverts à toutes les communautés, cette région a besoin de « ponts » entre les communautés religieuses et non de « murs ». Si les communautés chrétiennes apportent aux autres les soins de santé et éducation, elles seront d’autant plus considérées comme une « force positive » pour la région.

    VIDÉOS

    Le père Charbel Eid (maronite, Bois-Seigneur-Isaac) nous parle d’un nouveau projet consacré aux femmes irakiennes

    Un chrétien d’Alqosh nous parle de l’histoire de la région et de son quotidien


    Voir aussi
    : Irak, les chrétiens se relèvent difficilement. Interview de Mgr Petros Mouche, sur Cathobel.

    Pour le CSCO
    Père Charbel Eid

    Marie Thibaut de Maisière

    Pour plus d’informations (et de ressources documentaires, sur demande) : www.csco.be

    Pour plus d’informations sur ce voyage : Simon Najm, Président : Simon Najm csco.simon.najm@gmail.com 0475 54 51 00,
    Marie Thibaut de Maisières, membre de la délégation mariethibautdem@gmail.com, 0477 25 19 51.

  • Dimanche 25 juin : trois ordinations sacerdotales à Bruxelles

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    De catho-Bruxelles.be :

    ORDINATIONS SACERDOTALES À BRUXELLES

    Il s’agit de :
    Antonin le Maire, belge, né le 27/10/1981 et domicilié à Ixelles.
    Bruno Druenne, belge, né le 22/09/1985 et domicilé à Nivelles.
    Cyprien Ntirugirimbabazi, rwandais, né le 28/01/1981 à Cyangugu au Rwanda.

    La célébration aura lieu à la Cathédrale le dimanche 25 juin à 16h, présidée par le cardinal De Kesel.

    Pour l’abbé Olivier Bonnewijn, responsable de la formation des séminaristes et  président du séminaire ND d’Espérance de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles.

    Brigitte de Mahieu, membre de l’équipe de formation du séminaire ND d’Espérance

  • Bruxelles, 18 juin procession de la Fête-Dieu aux Minimes

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    VENEZ NOMBREUX VOUS Y JOINDRE CONCRETEMENT ET PRIER !

    VOUS DEVEZ TOUS ETRE LA, AVEC VOS CHERS ENFANTS, VOS AMIS.
    DIEU VOUS APPELLE A CET ELAN DE PIETE ET A CE TEMOIGNAGE VITAL ET JOYEUX POUR LUI !


    Rendez-vous à l’église des Saints Jean et Etienne ‘aux Minimes’, dimanche le 18 juin à 16h30.

    (rue des Minimes 62, 1000 Bruxelles; métro arrêt Louise - bus arrêt Sablon - tram arrêt Poelaert)