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Belgique - Page 219

  • Cet homme a blasphémé !

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    Certains croyaient que Mgr De Kesel allait s'identifier au politiquement et culturellement correct mais voilà qu'il vient de blasphémer en affirmant le droit des institutions hospitalières catholiques de refuser de pratiquer l'avortement ou l'euthanasie. Et La Libre de relever :Sans titre.png

  • Nouveau à Liège : une formation pour « Panser la Société » avec Alliance Vita et l’Institut Européen de Bioéthique

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    Pour ne pas en rester au constat d’une société blessée, qui se désagrège faute de repères vitaux, chacun a besoin de prendre sa place dans la construction d’une nouvelle culture de vie. Que faire alors ?

    Avec le concours de l’Institut Européen de Bioéthique (Bruxelles), nous  accueillerons prochainement à Liège quatre soirées de formation de l’ « Université de la Vie » sur le thème « Panser la société ».

    Ces formations s’adressent de préférence à des personnes actives ou désireuses de s’investir dans les soins, l’écoute et l’accueil de la souffrance physique ou psycho-sociale. Tous les secteurs de la bioéthique sont ici concernés : procréation, maternité, fragilité sociétale, fin de vie.

    C’est organisé depuis Paris par l’association

    « Alliance Vita » (http://www.alliancevita.org/2015/06/agir ),

    en visio-conférence simultanée. Liège sera parmi les 113 villes françaises et européennes interconnectées aux mêmes jours et heures par grand écran interposé : pour nous, les quatre séances se tiendront à l’ « Espace Prémontrés », rue des Prémontrés, 40, salle Beaurepart (entrée par la cour). 

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    - le lundi 11 janvier 2016, de 20h15 à 22h30 : l’ancrage personnel dans l’action ;

    - le lundi 18 janvier 2016, de 20h15 à 22h30 : l’action humanitaire auprès des plus fragiles ;

    - le lundi 25 janvier 2016, de 20h15 à 22h30 : l’action politique pour le droit et la justice ;

    - le lundi  1er février 2016, de 20h15 à 22h30 : l’action globale pour une culture de la vie.

    Les intervenants d'Alliance VITA - François-Xavier Pérès, Tugdual Derville, Caroline Roux, Henri de Soos, Valérie Boulanger, Blanche Streb et le docteur Xavier Mirabel - seront accompagnés cette année de 4 fondateurs d’œuvres destinées aux personnes fragiles et de 5 grands experts qui apporteront leur éclairage.  

    La qualité du panel des intervenants et la participation des témoins réunis à Liège nous offriront un moment d’échange et de dialogue pour prolonger ensemble la réflexion.

    Que faire pour s’inscrire ?

    ►Soit  remplir vous-même le formulaire sur le site http://www.universitedelavie.fr

    ►Soit communiquer directement vos coordonnées complètes (nom, adresse, téléphone, adresse e-mail) à l'adresse suivante : willemaers.yves@gmail.com 

    ou téléphoner à la coordination locale (04.344.10.89 ou 087.22.54.76) pour que nous puissions procéder à votre inscription : en ce cas, le paiement de celle-ci sera perçu sur place, à l’entrée  de la première conférence.

    Pour participer à ce cycle de formation, l’inscription est obligatoire. Trois tarifs vous sont proposés 

    tarif normal : 30€ pour les 4 soirées

    tarif couple : 25 € pour les 4 soirées

    tarif réduit : 15€ pour les 4 soirées (tarif réservé aux étudiants sur présentation de leur carte les jours de l’événement)

     N'attendez pas ! Inscrivez-vous dès à présent et invitez vos amis. 

    Pour tous renseignements : tel. 087.22.54.76 ou 04.344.10.89 

    Yves Willemaers

    Coordonnateur-Liège

  • Noël 1948 : ô tempora, ô mores…

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    Vu sur le site de « riposte catholique » :

    La “une” du n° 9 du Journal de Tintin (23 décembre 1948 – première année de publication de l’hebdomadaire). O tempora, o mores !

    Saint et joyeux Noël à tous – et pas seulement à ceux de nos lecteurs qui seraient âgés de 7 à 77 ans…

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    ref. l'image du jour

    JPSC

  • "M et le 3ème secret" projeté sur des écrans belges en fin décembre

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    m-et-le-3eme-secret.jpg"M et le 3ème secret" sur des écrans belges en fin décembre :
     
    Au Cinéma L'étoile Grand Place 40 à 1370 Jodoigne le SAMEDI 26 décembre à 18h10.


    Au cinéma Versailles 3, rue Hottonruy à 4970 Stavelot, le MARDI 29 décembre  à 20h15

     
    Au Ciné "le Foyer", Place Saint Etienne 6 à 6723 Habay-la-Vieille le MERCREDI 30 décembre à 20h30.
     
    Au Ciné CAMEO, rue NOTRE DAME, 27 à 5060 TAMINES le MERCREDI 30 décembre à 20h30, à 23km de l'Abbaye de Maredsous dont certaines images sont dans le film. 
     
    Au Ciné de 5575 Gedinne, rue de la Croisette 11 le MERCREDI 30 décembre à 20h30.

  • Eglise du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132 à Liège) Messes de Noël

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    Vendredi 25 décembre 2015

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    10h00, messe en latin (missel de 1962)

    Chants grégoriens:   kyriale de la Missa « Cum Jubilo », propre de la messe du jour de Noël. 

    Chants Vieux Romains: introït « Puer natus est » et communion «Viderunt omnes » (manuscrits du XIIe s.)  

    Motets polyphoniques anciens:  « Gaudens in Domino » (conduit du XIIIe s), « Magnum Nomen Domini » (invitatoire de Noël), Adeste fideles (hymne du XVIIe s.) 

    A l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers 

    Puer natus est ( vieux romain, ms. XIIe s.)

    invitatoire "Magnum Nomen Domini Emmanuel" 

    11h15,  messe en français (missel de 1970)

    Chants grégoriens (Messe des anges)

    Noëls populaires : « les anges dans nos campagnes », « il est né le divin enfant », hymne « adeste fideles »

    A l’orgue, Mutien-Omer Houziaux, (titulaire ém. des orgues de la cathédrale de Liège) et au violoncelle, Octavian Morea (orchestre philharmonique de Liège) 

     

    adeste fideles

    Plus de renseignements sur le site web :

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/archive/2015/12/16/vendredi-25-decembre-2015-10h00-et-11h15-messes-de-noel-en-l-5731928.html

     

  • Messe d’au revoir de Mgr Léonard à la Paroisse des Minimes (forme extraordinaire du rite romain) | Dimanche 20 décembre 2015

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    Un ami, et nous l'en remercions, nous rend compte de la célébration d'au revoir (suivant la forme extraordinaire du rite romain) de Mgr Léonard à la Paroisse des Minimes, ce dimanche 20 décembre :

    Peu avant son départ pour la France, Monseigneur Léonard nous a fait l’honneur de sa visite à la paroisse des Minimes pour la forme extraordinaire du rite romain.

    L’épître de Saint Paul (I Cor. 4, 1-5) pour ce quatrième dimanche de l’Avent résume à lui seul les vingt-cinq années de sa vie d’évêque, d’abord à Namur, puis à Bruxelles:

    “Pour moi, il m’importe fort peu d’être jugé par vous, ou par un tribunal humain; bien plus, je ne me juge pas moi-même. Car, encore que ma conscience ne me reproche rien, je ne suis pas justifié pour cela; celui qui me juge, c’est le Seigneur. Ne jugez donc point avant le temps marqué pour la venue du Seigneur: c’est lui qui éclairera ce qui est caché dans les ténèbres, et découvrira les plus secrètes pensées de coeurs; et alors, chacun recevra de Dieu la louange qui lui est due.”

    Monseigneur relève précisément ce passage au début de son homélie, consacrée pour le reste au credo de Nicée-Constantinople (voir ci-dessous).

    A l’issue de la Messe, l’abbé Hygonnet, vicaire des Minimes, prononce une courte allocution pour le remercier chaleureusement, pour cette communauté qu’il a permise et qu’il a aidée.

    Les paroissiens se retrouvent au fond de l’église pour la photo de circonstance, et le joyeux groupe se rend à la maison Saint Paul de la rue des Minimes pour le verre de l’amitié.

    Un paroissien souligne la fécondité des deux apostolats accordés par Monseigneur à la Fraternité Saint Pierre, à Namur et à Bruxelles. Pour cette dernière, une emphase particulière est mise sur la diversité des paroissiens: tant par rapport à leur âge que leur origine culturelle et linguistique.

    Monseigneur prend alors la parole pour remercier les paroissiens. Il rappelle que, durant son ministère, il a toujours soutenu les initiatives ayant pour repère la fidélité à l’Eglise catholique, et c’est dans ce sens qu’il est venu si régulièrement nous rendre visite. Il va vivre maintenant un ministère plus retiré, dans un petit village français à proximité de Notre-Dame-du-Laus. En quelques mots, il explique l’origine historique du lieu, fondé par une mystique qui a bénéficié des apparitions de la Vierge (et même d’autres apparitions, comme celle du Christ crucifié ou de saints), Benoîte Rencurel (1647-1718), qui avait l’habitude d’accueillir notamment des prêtres et, spontanément, de leur proposer de se confesser et d’améliorer tel point de leur vie spirituelle. Monseigneur souligne qu’il est venu à l’invitation de Mgr Di Falco prêcher pour la première fois à Notre-Dame-du-Laus il y a une quinzaine d’années. Lui aussi s’est retrouvé rapidement au confessionnal, d’où sa conclusion, logique: Benoîte Rencurel y est toujours aussi active!

    Avant de s’en aller, il explique qu’il va encore rendre visiter quelques prisons, où il constate qu’en dépit de certaines existences dégradées, la grâce de Dieu y est bien présente, comme en témoigne le cas de cette mère ayant assassiné ses enfants et qui, au milieu de sa souffrance en prison, rencontre le Christ et se convertit. Elle y est maintenant active pour l’animation des chants.

    Le Credo, expliqué par Monseigneur Léonard

    “Ne perdons jamais de vue que le temps de l’Avent est prioritairement un temps où nous nourrissons notre espérance de la nouvelle venue, “adventus”, en latin, du nouvel avènement, en forme contractée du nouvel Avent de Jésus dans la gloire. Et ici, nous faisons mémoire au terme du temps de l’Avent de la naissance de Jésus, il y a une vingtaine de siècles, c’est parce que cette première venue est pour nous la garantie de sa nouvelle venue dans la gloire. Tout ce temps liturgique est tourné vers l’avant, en latin, la parousie en grec, le nouvel avènement dans la gloire de Jésus à la fin de l’histoire et à la fin de ce monde. Et nous osons espérer fermement que cette nouvelle venue aura lieu, puisque la première a eu lieu. Les espérances d’Israël ont été exaucées par le premier avènement de Jésus dans l’humilité et dans l’humiliation, et l’espérance du nouveau peuple de l’alliance, à savoir l’Eglise, sera elle aussi espérée par la nouvelle venue de Jésus, cette fois, dans la gloire. Lors du premier avènement, il a été jugé et condamné par les hommes. Quand il viendra de nouveau dans la gloire, c’est lui qui jugera les vivants et les morts avec justice et avec miséricorde.

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  • Le cdH s'oppose fermement à la gestation pour autrui

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    De genethique.org :

    LE CDH S’OPPOSE FERMEMENT À LA GPA EN BELGIQUE

    Au terme d’un an de travail en commission et d’auditions[1], le Sénat belge a approuvé un « rapport d’information »[2] qui entend répondre à la question : « faut-il encadrer légalement la pratique des mères porteuses ?»[3](cf. Gènéthique du 7 décembre 2015).
     
    Le Sénat belge n’a pas le pouvoir de légiférer, cependant ce rapport,  qui n’a pas valeur de recommandations, pourrait servir de base à une proposition de loi, si la Chambre des représentants venait à se saisir de cette « question délicate ». Ce que la sénatrice Christine Defraigne du groupe MR[4], qui avait déjà déposé en 2003 une proposition de loi sur ce sujet, souhaite voir advenir « rapidement ».
     
    Lors de l’examen au Sénat de ce rapport, un premier point, soulevé par le Comité des femmes belges francophones a été évoqué, mais rapidement balayé: ce comité dénonçait un conflit d’intérêt entre « la qualité de co-rapporteur et la fonction de Madame de Sutter », gynécologue spécialisée en médecine reproductive. Alors que pour cette même raison le Conseil de l’Europe a, pour sa part, reporté l’examen du projet européen de résolution sur la GPA, (cf. Gènéthique du 24 novembre 2015) le Sénat en a simplement « dit un mot » durant la séance, n’estimant pas nécessaire de le retranscrire dans le rapport ou de reporter l’examen.
     
    Contenu du rapport
     
    A l’exception du groupe cdH (centre démocrate Humaniste), les groupes politiques souhaitent« interdire et sanctionner pénalement les GPA commerciales » tout en encadrant la GPA « purement altruiste » « à de strictes conditions », incluant cependant « une compensation financière pour la mère porteuse ». Leur objectif est de « déterminer un cadre légal clair et assurer une sécurité juridique aux différentes parties en présence, à savoir la mère porteuse, les parents d’intention et l’enfant à naitre ».
     
    La question d’une règlementation internationale a également été abordée, sans qu’un consensus n’ait été trouvé entre les différents groupes politiques.
     
    Toutefois Anne Barzin, du groupe MR, a soulevé timidement quelques « inquiétudes » concernant« le contrôle de l’aspect commercial que pourraient malgré tout prendre certaines GPA » et les« conséquences psychologiques de cette situation sur l’enfant ». « Quelle place donner à cette personne [la mère porteuse] vis-à-vis de l’enfant ? Comment celui-ci trouvera-t-il ses repères entre sa mère porteuse et sa mère ? ». Car contrairement aux parents d’intention et à la mère porteuse, l’enfant « n’aura pas fait le choix de manière délibéré de se retrouver dans cette situation ».
     
    Position du cdH
     
    Au terme de ces travaux, les divergences subsistent. Le groupe cdH s’est particulièrement démarqué, souhaitant pour sa part interdire la GPA, qu’elle soit « commerciale » ou « altruiste ». Le sénateur François Desquesnes a notamment rappelé que « le législateur n’est pas là seulement pour organiser une pratique nouvelle que la science permet dorénavant de réaliser, il est là pour apprécier si cette avancée est aussi un progrès pour la société et pour l’homme (…) la réponse [face à une avancée de la science médicale] ne doit pas être automatiquement ‘oui’». Expliquant ensuite que la différence entre les couples lesbiens ou hétérosexuels et les couples gays était « de nature physiologique », il a réfuté l’idée d’une « discrimination entre les couples dans la législation belge actuelle ». Cette différence qui peut être qualifiée d’ « inégalité de fait », ne peut donc « justifier que les droits fondamentaux d’une personne [ici de la mère porteuse] soient réduits ou amoindris ».
     
    La sénatrice Véronique Waroux s’est également exprimée en séance, expliquent que « ces auditions ont clairement fait évoluer son approche personnelle sur ce sujet éthique ». Déclarant « en avoir entendu ‘de toutes les couleurs’ » au cours des auditions, et bien qu’ « initialement sincèrement ouverte à cette méthode particulière de maternité, pensant à des familles qui souffrent du mal d’enfants », elle dit aujourd’hui « non à la GPA ». En effet « légiférer sur la GPA, ce n’est pas simplement répondre à la souffrance d’un couple en manque d’enfant, c’est surtout prévoir comment répondre à toutes les souffrances nouvelles potentiellement générées par cette GPA ». Or à ce jour« force est de constater, au vu des divergences d’opinions entre partis (…) que nous manquons de réponses concluantes ».
     
    Elle a énoncé avec force la position contestée de son parti : « Puisqu’une grossesse n’est pas un acte banal et peut mettre en danger la mère porteuse, puisque nous manquons de données statistiques, d’études sérieuses et de recul sur les répercussions psychologiques de cette pratique, vu le très large éventail de questions soulevées par la GPA, vu le grand nombre de problème entraperçus lors des auditions et l’impossibilité de tout prévoir, nous disons non à la GPA !»
     
    S’opposant a une demi mesure distinguant GPA altruiste et commerciale, elle a déclaré : « La législation sur la GPA ouvre dangereusement une porte sans savoir avec précision ce qui se cache derrière elle. De plus, on ne peut que l’ouvrir complètement. Impossible de se contenter de l’entrouvrir car toute restriction sera assimilée à de la discrimination ». Ce que François Desquesnes a appuyé :« Le distinguo entre la GPA commerciale et la GPA altruiste ou non commerciale peut se comprendre et se défendre intellectuellement. Mais, dans les faits, il nous semble que les limites sont complexes et difficiles à respecter et à contrôler quand on crée un mécanisme qui, d’une façon ou d’une autre, aboutit à de l’offre et à de la demande».

    ___________________________

    [1] 25 personnes ont été entendues dans le cadre des auditions.

    [2] Le rapport n’est pas encore disponible.

    [3] Actuellement en Belgique, la « pratique des mères porteuses » n’est ni interdite ni encadrée légalement. Les règles de la PMA et de l’adoption sont « bricolées » et appliquées dans les quatre centres qui pratiquent la GPA.

    [4] Mouvement Réformateur.

  • Le mariage de Stromae célébré par le « curé des loubards »

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    Lu sur le site « aleteia » :

    Mariage-secret-pour-Stromae.jpg« Le père Guy Gilbert a recueilli le consentement du chanteur belge Stromae et de sa compagne, la styliste Coralie Barbier, près d'Anvers en Belgique, au cours d'une célébration discrète et familiale.

    Le célébrissime chanteur belge, Stromae, qui ne fait pas mystère de sa foi catholique, a convolé en juste noce ce samedi 12 décembre avec sa compagne et styliste personnelle, Coralie Barber. Après une tournée mondiale, le couple s’est uni à Anvers au cours d’une cérémonie présidée par le « curé des loubards », le père Guy Gilbert. Il y a quelques années, l’artiste avait confié sans complexe se sentir catholique : « Moi je suis très tradition, fidélité, tout ça… Par mon éducation, je crois que je suis hyper catho », avait-il affirmé au quotidien Libération, c’est donc sans surprise que le chanteur a célébré son mariage lors d’une cérémonie à l’église en bonne et due forme.

    Une ancienne église pour réunir les convives

    Le mariage entre Paul Van Haver, le vrai nom de la star, et Coralie Barbier, a eu lieu en présence d’environ 180 invités, qui ont tous été logés non loin, dans une ancienne église transformée depuis 2009 en hôtel quatre étoiles : le Martin’s Patterhof à Malines, aux portes de Bruxelles […]

    Ref. Le mariage de Stromae célébré par le « curé des loubards »

    JPSC

  • Lettre de Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, pour l’année jubilaire de la miséricorde

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    Cher Frères et Soeurs,

    Sans-titre-12.jpgÀ partir de ce 8 décembre, le pape François nous invite à célébrer un jubilé de la miséricorde. Un jubilé, d’après la Bible, cela se célèbre tous les 50 ans. Mais le pape François a décidé de ne pas attendre l’année 2050 ! Pourquoi ? C’est qu’il veut nous partager une intuition qui lui tient à coeur : la miséricorde !

    Qu’est-ce que la miséricorde ? Quand on s’écrie : « Miséricorde ! », cela signifie qu’on demande pitié dans une situation désespérée. On pourrait en déduire que l’année de la miséricorde se limite à considérer des cas désespérés… Est-ce bien ce que veut le pape ?

    Non, certainement pas ! Qu’est-ce qui caractérise alors la miséricorde par rapport à l’amour en général ? C’est que la miséricorde concerne toujours une personne fragile ; c’est une démarche d’amour pour la personne faible. Le mot « miséri-corde » évoque le coeur sensible à la misère. Dans la Bible la miséricorde a trois destinataires : la personne souffrante ; celle qui cherche l’amitié ; et celle qui est dans la faute. Suivant ces trois cas, on pourrait traduire miséricorde par compassion, amour fidèle, et clémence ou pitié.

    Cette triple approche est complémentaire : la première insiste sur la dimension instantanée et sur le sentiment vécu concrètement et physiquement ; la seconde insiste sur la dimension historique et sur la relation qui se construit dans le temps et la fidélité ; la troisième insiste sur l’amour qui est clément face aux situations irrégulières ou difficiles. Dès lors la « miséricorde » doit être comprise à la fois comme un sentiment instantané, un amour dans la durée, une clémence face aux irrégularités et aux ruptures.

    Pour participer à l’année de la miséricorde, le pape nous propose de passer par une porte sainte. En effet, dans chaque diocèse, certaines églises sont désignées comme sanctuaire du jubilé et dans chacune on trouvera une porte sainte. Dans notre diocèse neuf églises sont désignées comme sanctuaires du jubilé : la cathédrale et S.-Denis à Liège, la cathédrale de Malmedy, les sanctuaires mariaux de Banneux et Moresnet, la grotte du Petit-Lourdes à Bassenge, l’église Notre-Dame de la Miséricorde (ou des récollets) à Verviers, la collégiale de Huy et l’église décanale de Saint-Vith.

    Une porte est faite pour entrer et pour sortir. Commençons par entrer ! Rencontrons Dieu qui nous attend dans ce lieu. Découvrons sa miséricorde envers nous. « Il se sent responsable, c’est-à-dire qu’il veut notre bien et il veut nous voir heureux, remplis de joie et de paix », nous dit le pape François (Misericordiae Vultus, 9). C’est une source de joie en effet de se savoir aimé par quelqu’un. C’est une source de joie pour nous de nous savoir aimés par Dieu lui-même, dans nos souffrances, dans notre besoin d’affection et même dans nos fautes. Présentons-lui notre faiblesse, demandons-lui son pardon, recevons son amour en communiant au corps de son fils Jésus, pour qu’il nous réconcilie avec lui, avec les autres et avec nous-mêmes. Nous vivrons ainsi l’indulgence du jubilé, la libération de nos fautes et de leurs conséquences, nous aurons la conscience purifiée qui nous ouvre la voie de la vie éternelle.

    Et ensuite, sortons par la porte et parcourons le monde. « Soyez miséricordieux comme le Père est miséricordieux » (Lc 6,36), nous dit Jésus et nous rappelle le pape François. Pour celui-ci, la miséricorde est une clé du renouvellement du monde, car elle nous pousse à aimer au-delà des conventions et des habitudes. C’est aimer quelqu’un même s’il est dans une situation irrégulière ou mal vue, dans une situation de douleur ou de faiblesse. Cela demande une audace. Cet amour invite au pardon et à la réconciliation. C’est pourquoi dans l’année du jubilé, d’après la Bible, il faut remettre les dettes et libérer les esclaves. C’est un programme qui est toujours d’actualité. Il y a des gens qui sont prisonniers de leurs dettes ou de leurs faiblesses. Il y a dans le monde des milliers de personnes qui sont esclaves, c’est-à-dire victimes : esclaves de l’injustice, victimes de la guerre, victimes des changements climatiques, victimes de violences sexuelles, victimes de mépris racistes, victimes de la drogue, victimes de la richesse, victimes de la recherche du plaisir immédiat, victimes de l’ignorance, victimes de l’absence de spiritualité. Le Seigneur nous invite à aimer jusqu’à agir pour libérer l’esclave et pour remettre les dettes qu’on nous doit. Ce sont des oeuvres de miséricorde, des engagements concrets que nous sommes invités à prendre pour rendre le monde meilleur et ouvrir la porte à l’action de Dieu dans notre monde. En agissant dans le sens de la miséricorde, nous ouvrons à Dieu la porte sainte du monde, la porte sainte de tous les cœurs

    humains. Épaulons le pape François dans la mission de miséricorde qu’il propose à tous !

    Je vous invite donc à vous associer à l’ouverture du jubilé dans notre diocèse. Celle-ci aura lieu par l’ouverture de la porte sainte : le 13 décembre à la cathédrale de Liège, et le 20 décembre dans les églises jubilaires. Un petit livret du pèlerin est à votre disposition dans ces sanctuaires et à Siloë. Soyez donc des pèlerins du jubilé de la miséricorde. Vous avez un an pour faire la démarche ; différents rendez-vous spirituels vous seront proposés ; n’attendez pas le dernier moment pour y participer !  

    Liège, ce 8 décembre 2015

    Votre évêque

    + Jean-Pierre Delville

     JPSC

  • A Bruxelles, on fêtera ensemble Noël et le Mawlid an-Nabi, la naissance du prophète

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    Le 27/12/2015 - FETE DE NOËL / MAWLID AN NABI (source)
     
    A l’occasion de la fête de Noël, naissance de Jésus-Christ, et de Maulid an-Nabi, naissance du prophète Mohammad, plusieurs associations chrétiennes et islamiques organisent une rencontre spirituelle islamo-chretienne.

    Suite à une convergence dans les calendriers chrétien et islamique, les deux fêtes ont lieu cette année dans la même semaine. A l’avenir les dates vont se décaler de plus en plus. Une raison unique de se rencontrer…

    Lieu : salle Amaryllis Event, 27 place Masui, 1000 Bruxelles
    (entre square De Trooz/Pont de Laeken et rue du Pavillon)
    Bus 47 et 57 ; tram 3, 62, 93 arrêt ‘Masui’
     
    Rendez-vous : dimanche 27 décembre à 14h00
     
    Programme : témoignages, textes, prières, chants issus des traditions chrétienne et islamique (fin prévue vers 17h00)

    Par cette initiative les organisateurs souhaitent appeler les croyants chrétiens et musulmans à poursuivre le chemin du dialogue et à construire le ‘vivre ensemble’ au quotidien.
    Aisa Belgique - Centre El Kalima - Coexister - Ensemble pour la Paix et la Fraternité - Groupe Taizé Flagey - Les amis de l’islam - Kawthar - Mosquée Jaffaria - Interreligieuze Dialoog van de kerk in Brussel.

    INFO :
    Centre El Kalima 0498-042 519
    Jan Van Eycken 0470-033 266


    POURQUOI UNE INITIATIVE ISLAMO-CHRETIENNE
    DANS LA SEMAINE DE NOEL ?

    Par une convergence entre les calendriers chrétien et musulman, les célébrations de la naissance de Jésus Christ et de celle du prophète Mohammad ont lieu cette année-ci à un jour ou deux l’une de l’autre. Les organisateurs musulmans et catholiques y voient un signe de paix et de fraternité, qui ne se présentera plus d’ici 33 ans. Neuf organisations catholiques et musulmanes y voient un signe de paix et de fraternité et ont pris l’initiative d’organiser une rencontre islamo-chrétienne en réunissant les deux communautés par des chants, témoignages, récitations biblique et coranique. Une bonne partie du programme sera consacrée à présenter les significations de la fête de Noël et de de la fête du Mawlid an-Nabi.

    Il ne s’agit pas de verser dans un quelconque syncrétisme en comparant Jésus et Mohammad. La rencontre est avant tout une occasion parmi tant d’autres d’exprimer le respect et la reconnaissance mutuels des deux traditions religieuses, conscients de ce qui les unit et de ce qui les différencie. L’accueil mutuel de chrétiens et de musulmans dans la période de Noël, où les deux communautés sont en fête, constitue un signal majeur à une époque où, au nom de la religion et de Dieu, certains prêchent la haine ou commettent des attentats. Voilà la motivation essentielle de la rencontre spirituelle du 27 décembre 2015.

    Mourad Boujmil (Les Amis de l’Islam)
    Nathalie Breysse (Coexister)
    Regis Close (Centre El Kalima)
    Faouzia Elassooudi (AISA Belgique)
    Zulfikar Ali Mussa (Mosquée Jaffaria)
    Sebastien Nechelput (Ensemble pour la Paix et la Fraternité)
    Hélène Renglet (Groupe Taizé Flagey)
    Isabelle Soumaya Praile (Kawthar)
    Jan Van Eycken (Interreligieuze Dialoog van de Kerk in Brussel)

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  • Bruxelles (Sainte-Catherine), 11 décembre : Eucharistie à l'intention des personnes ayant perdu un enfant par fausse couche ou avortement

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    Vendredi 11 décembre

    Eucharistie à Malines-Bruxelles

    Eucharistie au nom et autour des personnes qui ont perdu un enfant pendant la grossesse par fausse couche ou avortement.

    L’eucharistie,

    présidée par Monseigneur Léonard,

    aura lieu à 18h15

    en l’église Sainte-Catherine,

    place Sainte-Catherine à 1000 Bruxelles.

    Ces eucharisties ne s’adressent pas uniquement aux parents de l’enfant décédé in utero, mais aussi à tous ceux qui, de près ou de loin ont connu l’existence de cet enfant : grands-parents, frères, sœurs, amis, collègues, infirmiers, médecins, ou simplement chrétiens soucieux de la vie …

    Accès via le métro, station Sainte-Catherine ou tram et bus, arrêts de Brouckère ou Bourse