

Eglise Sainte Marie-Madeleine, Rue de la Madeleine 1, 1000 Bruxelles (Gare Centrale)
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Eglise Sainte Marie-Madeleine, Rue de la Madeleine 1, 1000 Bruxelles (Gare Centrale)
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Communiqué de presse :
Création d’un nouveau parti politique de philosophie chrétienne :
l’ « Union Chrétienne Démocrate »
Qui sommes-nous ?
Des hommes et des femmes qui ont vécu dans des mouvements de jeunesse, qui ont animé des associations, ont participé parfois ,de près ou de loin, à des partis politiques divers mais sans y rencontrer naturellement , le sens du bien commun, la générosité, la fraternité entre les âges ou les milieux de vie, qu’ils recherchent parce qu’ils sont épris des valeurs chrétiennes d’égalité, de liberté de fraternité et de progrès par leur éducation et leurs contacts dans leur vie quotidienne.
Que voulons-nous ?
Aucun parti politique wallon ou francophone bruxellois ne présente les valeurs chrétiennes come base de son action.
Ces citoyens se sont réunis pour mener une action politique concrète et efficace avec ces références et ont voulu donner à ce courant philosophique, culturel et social l’expression et les moyens d’action qu’il leur semble mériter dans notre société. Ces valeurs de respect et de fraternité sont si universelles que des citoyens ayant d’autres convictions s’y retrouvent également. Ces valeurs sont pour tous des repères.
Notre modèle économique et social actuel est épuisé face à une triple dette, économique, écologique et humaine (stress, inégalités…).
L’heure n’est pas à la défense de ce modèle dépassé, mais à la mise en avant de réformes susceptibles d’apporter des réponses aux défis démographiques, écologiques et économiques du XXIème siècle et ce au delà des clivages dépassés de la gauche et de la droite
Nous avons donc décidé de nous rassembler dans un parti qui présenterait aux gens des solutions et des orientations, non seulement efficaces au point de vue économique et respectueuses de l’environnement, mais surtout respectueuses des hommes et des femmes pour une société qui leur permette de vivre ensemble.
Nous avons donc fondé « l’Union Chrétienne Démocrate »

Une opinion de Joseph Junker sur LaLibre.be :
Sans que personne ne lui demande quoi que ce soit, la chambre des représentants s’apprête à voter la fin de la transmission automatique du patronyme. Un compromis surréaliste qui a tout d’une bonne blague belge, mais aussi et surtout une loi inutile et génératrice de ce qu’elle prétend précisément combattre: le sexisme.
Certes, cette différence de traitement en faveur de l’homme détonne un peu dans une société qui aime à se revendiquer égalitaire, voire égalitariste. Mais n’y voir qu’un relent de patriarcat, un symbole de domination masculine à abattre pour le plus grand bien de la société heureuse… qui n’avait rien demandé, et bien permettez-moi de trouver cela un petit peu court.
Car on se demande bien de quelle égalité il est question ici ! Comme si la filiation de la mère et du père s'établissait de la même manière, comme si le lien entre l'enfant et le père était dès le premier instant de la vie le même que celui entre l'enfant et la mère, comme si le père pouvait donner vie à un enfant en sa propre chair plutôt que symboliquement en lui donnant son nom !
Lire la suite sur le site de LaLibre.be
Vierge à Jalhay: l'Evêque de Liège favorable à l'expertise de l'ULg
C'est ce mardi que le bourgmestre de Jalhay rencontre des représentants de l'Université de Liège afin de déterminer les modalités des analyses qui vont être effectuées sur la fameuse statuette de la vierge de Sart. Cette statuette lumineuse a fait se déplacer de nombreux curieux. Plusieurs scientifiques vont donc se pencher sur ce phénomène, que certains spécialistes attribuent déjà à de la peinture phosphorescente.
En tous les cas, cette expertise est appuyée favorablement par l'évêque de Liège. Selon lui, ces analyses s'imposaient: "Il y a eu un emballement à la fois médiatique et à la fois d'affluence autour de cette vierge. Il faut donc essayer de comprendre pourquoi les personnes viennent et il faut essayer aussi de canaliser tout cet essor de dévotion. Je crois que c'est important d'y voir clair sur l'origine du phénomène".
Lire la suite sur le site de la RTBF
Des Echos Sainte-Julienne (Salzinnes) - Dimanche n°2, mars-avril 2014 (version papier)
Benoît Mariage, un cinéaste à la messe
En pleine campagne promotionnelle de son film Les rayures du zèbre, Benoît Mariage évoque l'origine de son retour à la foi.
Benoît Mariage, vous allez à la messe ?
Benoît Mariage. Ça fait très longtemps que je n'y allais plus surtout. Plus de trente ans ! Pourtant, j'ai eu une éducation chrétienne, j'ai été enfant de chœur à la paroisse de Jambes Montagne, puis à l'adolescence, j'ai quitté l'église pour y retourner à cinquante ans...
Qu'est-ce qui s'est passé ?
En fait, j'ai très souvent ressenti une entrave profonde au bonheur, comme des blessures, des freins qui m'empêchaient d'être pleinement présent et d'avoir une vraie joie. Et je me suis dit : comment guérir de ces blessures ? Longtemps, j'ai consulté et ai été voir des thérapeutes. J'ai fait tout un travail psychologique où j'ai nommé les choses pour aller vers la vérité de mon histoire. Souvent, je me suis dit : «J'ai un cœur de pierre et qui va me guérir de ce cœur de pierre ?» Et je me suis tout doucement rapproché, par des lectures et des rencontres du spirituel, comme outil de guérison. Pour sauver, en quelque sorte ma peau... Aujourd'hui, très modestement, je prie et... je vais à la messe, malgré une vraie réticence de départ liée à un fort penchant à l'autonomie et l'individualité. Un ami m'a dit un jour : «Attends, être chrétien, ce n'est pas être seul dans son coin». Titillé par ces propos, je suis allé une première fois à la messe, et puis si j'y retourne aujourd'hui, c'est parce que l'office dégage beauté et profondeur. J'aime tout particulièrement la chorale, je suis sensible à la sensualité de cette messe...
via Euthanasie STOP
Maintenant que l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs est acquise, le lobby pro-euthanasie passe à la vitesse supérieure, emmené par le professeur gantois Etienne Vermeersch. Selon lui, la moindre critique s'inscrit dans une campagne de dénigrement contre une loi qui a fait atteindre à notre pays des « sommets éthiques inégalés ». Il considère que les voix discordantes sont soit mal informées, soit de mauvaise foi. Vermeersch va jusqu'à qualifier le dépôt d'une plainte auprès du parquet ou de l'Ordre des Médecins de « stratégie funeste ». Enfin, il a créé un site Web, « Eerbied » (respect), qui recueille des signatures pour défendre ce qu'il appelle « la dignité de la fin de vie en danger ».
Or, force est de constater qu'un nombre croissant de personnes sont sincèrement inquiètes face à la pratique toujours plus répandue de l'euthanasie dans notre pays, en raison de la multiplication des interventions contraires à la dignité humaine dans le domaine des soins cliniques.Un grand nombre de pédiatres ont manifesté leur totale désapprobation à l'égard de l'extension de la loi aux mineurs. Certains proches parents de patients euthanasiés ont fait part du traumatisme provoqué chez eux par l'absence de toute oreille attentive à leur point de vue. Une fin de vie digne suppose pourtant le respect de la liberté et de la dignité de tous : du patient, bien entendu, mais aussi du médecin, du personnel soignant et des proches.
Le professeur Willem Lemmens de l'Universiteit Antwerpen, soutenu par plus de cinquante cosignataires, a rédigé une réponse à l'article de Vermeersch.
Vous pouvez lire son texte ici : "Het waardig levenseinde in gevaar. Hoezo?" (lien vers le texte)
Vous pouvez également marquer votre accord avec ce texte en signant ci-dessous.
N'hésitez pas à FAIRE CIRCULER largement !
Vous pouvez marquer votre accord avec ce texte en signant ici.
Tout le monde en parle. Le témoignage de notre ami Jean-Pierre Snyers :
A quoi attribuer l'illumination le soir venu de la désormais célèbre statue de la Vierge à Sart-Jalhay ? Pour expliquer rationnellement ce mystère, on aura tout entendu : radioactivité, ondes, panneaux photovoltaïques... Bref, il ne manque plus que l'influence de la lune, le passage des grues et le sifflement du TGV pour satisfaire les esprits les plus opposés au surnaturel. Figurez-vous que je suis allé deux fois « voir sur place ». La première : en pleine journée. J'ai pu regarder tant et plus et prendre en mains cette statue de plâtre qui fait couler tellement d'encre. Une trentaine de centimètre, brunâtre, un peu abîmée par le temps. Rien de très spécial. La deuxième : le 16 mars, le soir. Environ 1500 personnes. Deux heures de file d'attente. Avec une trentaine d'autres visiteurs, me voici enfin à nouveau face à cette représentation de la Vierge (telle que je l'avais vue). Puis voici que quelqu'un éteint. Tout est plongé dans l'obscurité totale... sauf que deux secondes plus tard, la statue est, de la tête aux pieds, remplie d'une lumière blanche, extraordinaire. Comme tant d'autres, je vous avoue que je suis bouleversé. Une personne la retourne pour nous faire constater que le dos n'est pas éclairé, et la remet ensuite face à nous, toute illuminée. Quelqu'un rallume. Tout redevient normal. A deux reprises, nous avons assisté à ce test. Qu'en conclure ? Une chose est sûre : à voir nos visages et nos gestes de piété après avoir vu, une telle expérience n'est pas prête d'être oubliée. Alors quoi ? Surnaturel ? L'avenir nous dira peut-être si ce phénomène qui a débuté le 17 janvier (date anniversaire de l'apparition de la Vierge à Pontmain -France), est d'ordre divin ou non. Autre question : pourquoi les caméras et les appareils photos ne parviennent-ils pas à capter l'image de cette statue lorsqu'elle est illuminée ? Serait-ce parce que cette lumière n'est pas de ce monde ? En attendant, souvenons-nous de ces mots du philosophe Jean Guitton : « Le surprenant, c'est la négation préalable des esprits qui se disent scientifiques . »
Jean-Pierre Snyers ,
auteur de 22 livres religieux
adresse blog : http://jpsnyers.blogspot.be/
Aux dernières nouvelles, la statue phosphorescente a finalement été transférée à l’Université de Liège pour expertise (un spécialiste de l’Université Libre de Bruxelles avait déjà rendu un avis péremptoire, excluant a priori toute cause inexplicable du phénomène) JPSC.
LA VIE DE SAINTE GERTRUDE DE NIVELLES - fête au 17 mars (source)
Sainte Gertrude était la fille de Pépin de Landen et de Sainte Itte, et parente de Saint Bavon. Elle naquit à Landen en 626. Dès sa jeunesse, elle est considérée comme un modèle de vertu: dédaignant les vanités de ce monde, elle consacra, sur le conseil de Saint Amand, sa virginité à Dieu.
Un jour, le fils d'un grand seigneur d'Austrasie l'aperçut à la cour du roi, et s'éprit d'elle. Il en parla au roi, qui fit mander Pépin et sa fille pour leur proposer ce qui devait être un excellent parti. Mais Gertrude refusa catégoriquement, faisant remarquer au roi qu'elle avait depuis son enfance voué sa virginité au Christ. Le roi, bien qu'étonné, approuva cette attitude. Le jeune seigneur, lui, en conçut, comme il fallait s'y attendre, un vif dépît. Quant à Pépin, il désapprouvait totalement le refus de sa fille et il était décidé à employer toutes les ressources de l'autorité paternelle pour modifier les intentions de Gertrude. Pour la jeune fille, il n'y avait plus qu'une solution: la fugue. Avec le consentement de sa mère, Gertrude s'enfuit de la maison paternelle et se retira en un lieu solitaire où elle passa quelque temps dans la prière, la retraite et la pratique de la vertu. Pépin fut obligé de comprendre et rappela sa fille, enfin décidé à respecter son engagement.
Le décès de Pépin de Landen faucha brutalement le bonheur familial que connaissait cette belle famille. Lorsque Itte fonde un monastère sur le conseil de Saint Amand, Gertrude vient s'installer à Nivelles pour être proche de sa mère. Mais les prétendants à sa main (et à l'héritage de Pépin !) n'ont pas renoncé à l'épouser, et leurs tracasseries iront si loin que Gertrude demande à entrer elle-même au monastère dirigé par sa mère. ltte lui coupa elle-même les cheveux, et Gertrude y fit profession entre les mains de Saint Amand. Elle y fut un modèle de piété, de douceur, de patience et de toutes les vertus. Lors du décès de sa mère, Gertrude lui succède tout naturellement dans la charge abbatiale. Mais craignant d'être détournée par là de la prière et de la contemplation, elle chargea certains religieux du soin des affaires extérieures de la maison, et se partagea celles de l'intérieur avec ses compagnes.
Sur Euthanasie STOP :
Aujourd'hui, la Belgique n'est plus la même !
par Pierre VAN de PUTTE, cadre
Certes, la loi (autorisant l'euthanasie des mineurs) a été votée (et c'est vraiment triste), mais ...
La Belgique a commencé à changer parce que vous avez entrepris et mené, certains depuis (très) longtemps, cette lutte contre la désinformation et la manipulation, et pour un traitement vraiment humain des personnes en souffrance, en particulier les enfants.
Une conscience a commencé d'émerger, tant par rapport à l'euthanasie que par rapport au potentiel que forment tous les silencieux que nous sommes dans l'arène politique.
Grâce à vous,
Nous avons prêté l'oreille à des personnes qu'on n'écoute trop peu et leur avons cédé le devant de la scène ;
Nous sommes entrés, ne serait-ce qu'un peu, dans le quotidien de ceux et celles qui souffrent, de ceux et celles qui les soignent ;
Nous avons entendu des alternatives intéressantes et séduisantes – malheureusement trop rares, trop petites et trop peu connues ;
Nous avons découvert la parodie manipulatrice d'un pseudo instrument de contrôle pourtant acclamée ;
Nous avons entendu des médecins, des infirmières et d'autres professionnels de la santé dénoncer l'absurdité de la proposition ;
Nous avons entendu les mensonges perfides de plusieurs politiciens et débusqué d'autres honnêtes et courageux ;
Merci pour vos initiatives judicieuses et fermes, pour vos efforts persévérants et généreux, toujours avec patience et le respect des personnes.
Merci aussi pour le témoignage de votre jeunesse qui se lève pour faire de ce monde un monde meilleur !
lundi 24 mars à 20h,
l’asbl Femme/Homme & Foyer organise une
conférence
« Enfants généalogiquement modifiés :
quelle parenté ? »
avec Diane Drory, psychologue et psychanalyste
et Jehanne Sosson, spécialiste en droit de la famille et professeur UCL.
Centre culturel de Woluwé-S-Pierre, Av. Ch. Thielemans, 1150 Bruxelles.