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Belgique - Page 317

  • L'adieu d'Eric de Beukelaer à Christian de Duve

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    Excellent billet de l'abbé de Beukelaer qui salue avec tact et intelligence le départ du Professeur de Duve. A lire ici : In memoriam Christian de Duve

    Retenons notamment les observations sur le choix de mourir euthanasié :

    Suicide médicalement assisté

    Tel Sénèque, Christian de Duve a choisi de quitter la vie au moment choisi par lui – afin de partir en pleine conscience. Acteur de sa vie jusqu’au dernier souffle. La culture chrétienne sans la foi, engendre un retour au stoïcisme. Une vertu lucide et sans autre espérance que la satisfaction d’avoir « bien vécu ». Comment ne pas respecter cela? Cependant, le respect n’empêche pas les commentaires. Je constate tout d’abord que la remarque que je faisais à l’époque du débat sur la loi belge dépénalisant l’euthanasie, se vérifie: Il ne s’agit pas tant d’un débat sur la fin de vie de personnes qui agonisent. La question de savoir si, en soulageant les souffrances un peu plus, on écourterait une vie de quelques jours, pouvait être laissée entre les mains des médecins. Non, cette loi ouvre – sans oser le dire – le débat sur le suicide médicalement assisté. Christian de Duve n’était pas agonisant ou aux prises à des douleurs insoutenables. Il était fatigué de vivre et ne voulait pas connaître la déchéance. Sans doute aussi, ce veuf récent souffrait-il de l’absence de son épouse tant aimée. Il a donc choisi de mourir. Je ne puis que respecter sa décision. Mais n’ayons pas peur des mots: cela s’appelle un suicide médicalement assisté. Si telle est la société voulue par une majorité de nos concitoyens, qui suis-je pour m’y opposer? Il n’empêche – cela me donne froid dans le dos. Une visiteuse de malades et mourants, me lança: « Quel terrible exemple pour les vieux! »  Surpris par la virulence de cette personne, d’habitude plus modérée que moi, je lui demandai ses raisons: « Je crains que nombre d’aînés qui se battent pour vivre, se sentiront désormais encouragés à mourir ». Vaste débat.

  • Le Professeur de Duve : une icône en renfort de l'agnosticisme triomphant

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    Le professeur de Duve est mort. Il est donc légitime de souligner l'importance de l'apport scientifique considérable que ce savant laisse derrière lui. 

    Mais voilà, il n'est pas mort de mort naturelle : il a choisi d'être euthanasié en faisant profession d'agnosticisme! Quelle aubaine pour les partisans du suicide assisté : la caution d'un prix Nobel, et qui plus est, d'un ancien professeur de l'Université Catholique de Louvain!

    L'occasion était trop belle dans notre société où triomphe l'agnosticisme militant pour ne pas récupérer cette grande figure de la science belge et l'exploiter à fond pour faire avancer la propagande en faveur de l'euthanasie tout en s'extasiant devant son rejet de la foi et devant ses critiques acerbes à l'égard de l'Eglise.

    Que le Soir s'en repaisse n'a pas de quoi nous étonner. Que Guy Duplat, dans la Libre, se fasse le panégyriste du brillant professeur en ne ménageant aucun superlatif ni aucune confidence pour nous dire tout le bien qu'il en pense ne nous étonne pas davantage. Tout cela est tellement de saison que toutes les duplatitudes du monde ne pourraient évidemment nous surprendre.

    Voir également, sur notre blog :

    http://www.belgicatho.be/archive/2011/11/08/de-duve-philosophe.html

    http://www.belgicatho.be/archive/2011/10/17/de-duve-de-l-art-d-amalgamer-les-choses.html

    http://www.belgicatho.be/archive/2012/10/02/quand-l-abbe-de-beukelaer-recadre-le-professeur-de-duve.html

  • Après Truelemans et Derrick, tous les autres ?

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    Courrier des lecteurs

    Derrick viré

    Après Luc Truelemans éjecté d'RTL, voici Derrick viré de la RTBF. Quelle bonne idée! Mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin? Aussi, permettez-moi de proposer à cette chaîne bien-pensante de supprimer aussi le célèbre film « Un amour de Coccinelle » (voiture qui, comme chacun le sait fut prônée par Hitler) et tous les autres films où l'on voit des volkswagen. Je leur suggère également d'éplucher les propos tenus (sur facebook ou ailleurs) de tous les acteurs que l'on voit à la télé. Sûr qu'ils en trouveront beaucoup qui seront contraires à leurs « beaux principes ». Evidemment, à ce train là, le télespectateur risque fort de se retrouver devant un écran noir; ce qui finalement ne sera pas plus mal, vu la « qualité » des programmes que nous offre cette chaîne bolchévique.  

     Jean-Pierre Snyers - Blindef 2 - 4141 Louveigné

  • « Délivre-nous du Mal »

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    A propos de l’ultime demande du  Pater, notre ami Jean-Pierre Snyers nous fait parvenir cette réflexion :

    « Délivre-nous du Mal ».Voilà qui est éloquent. Le Mal avec un « M » en majuscule. Qu'est-ce que cela signifie? Tout simplement qu'il ne s'agit pas seulement de « quelque chose » mais également de « quelqu'un ». Dans le « Compendium du catéchisme de l'Eglise catholique » voulu par le pape Benoît XVI on lit: « Le Mal désigne la personne de Satan, qui s'oppose à Dieu et qui est « le séducteur de toute la terre »  Quant au « Livre de la foi » (publié en 1987 par les évêques de Belgique), voici qu'il nous dit: « La Tradition voit en Satan et les démons des êtres crées bons par Dieu et devenus mauvais par leur propre volonté... L'Eglise nous invite à résister au diable car celui-ci tente de manipuler le coeur de l'homme et d'enchaîner sa liberté ».

    On le sait, le Christ Lui-même a été tenté par le démon. Maintes fois, Il nous a mis en garde, exorcisé des possédés. Tout le Nouveau Testament est rempli de versets relatifs à celui qui est notre adversaire. Quelques exemples: « Le monde entier est sous la puissance du Malin » (1 Jean, 5:19);  « Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang mais contre les esprits méchants dans les lieux célestes » (Ephésiens 6:12);  « Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant » (1 Pierre, 5:8); « Car Satan se déguise en ange de lumière » (2 Corinthiens, 11:14).

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (2/5/2013) : Cancers de l'enfant / soins palliatifs d'excellence

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    Sommaire

  • cours philosophiques: l’arroseur arrosé

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    Dans « La Libre » d’aujourd’hui, le constitutionnaliste Marc Uyttendaele s’inquiète du devenir d’un projet cher aux milieux de la « libre » pensée et du monde laïc belges. Extrait :

     « Sur le plan juridique, il est désormais acquis que les écoles officielles doivent organiser des cours de religion et de morale, mais nul ne peut être contraint de les suivre, le cours de morale n’étant plus, depuis la consécration de la laïcité dans la Constitution, un cours résiduel.

    Sur le plan économique, il existe, à charge de la Communauté, un nombre important de professeurs de religion et de morale qui ne sont pas forcément à même de dispenser d’autres enseignements.

    Face à cette équation, la ministre de l’enseignement obligatoire propose d’organiser, à côté du cours engagé de morale laïque, un cours de morale neutre. Celui-ci serait destiné à tous les élèves qui ne se reconnaissent ni dans une religion reconnue, ni dans la laïcité organisée. Cette formule, juridiquement incontestable, n’en est pas moins insatisfaisante.

    En effet, elle ne permet pas de combler, au bénéfice de l’ensemble des élèves, le vide qui a été dénoncé. Ceux-ci continueraient à suivre un cours de religion ou de morale, mais seraient privés du droit de recevoir un enseignement objectif et critique sur l’ensemble des religions et des courants philosophiques.

    D’autres solutions existent. En vertu de la Constitution, les élèves ont droit, tout au long de l’obligation scolaire, à une éducation religieuse ou morale. La Constitution ne quantifie pas ce qui est recouvert par cette éducation et partant ne la cantonne pas dans un carcan horaire. Autrement dit, rien n’impose que deux heures soient consacrées hebdomadairement, pendant douze ans, à des cours de religion ou de morale.

    L’exigence constitutionnelle serait, par exemple, parfaitement respectée si au début de l’obligation scolaire, ces cours étaient dispensés deux heures par semaine pour être réduits au fur et à mesure du temps, et ne plus l’être qu’une heure par mois à la fin des études secondaires. En faisant ainsi de la place dans la grille horaire, tous les enfants pourraient bénéficier d’un enseignement objectif consacré à l’histoire des religions et à la philosophie.

    Ils seraient ainsi mieux armés pour comprendre la société dans laquelle ils vivent, quitte à pouvoir porter, librement, un regard critique sur les convictions de leurs propres parents.

    Le problème économique n’est évidemment pas insoluble. Une solution parmi d’autres consisterait à ne pas remplacer les titulaires des cours de morale et de religion qui prennent leur pension et d’associer, dans une phase transitoire, ceux qui sont encore en fonction au nouvel enseignement. Ils pourraient ainsi venir exposer à tous les élèves les éléments objectifs relatifs au culte ou au courant philosophique qui est le leur, à charge pour de nouveaux professeurs, formés à cette fin, de délivrer aux mêmes élèves un enseignement objectif et critique.

    Bref, la création d’un cours de morale neutre est une fausse bonne idée. Il s’agit, en quelque sorte, d’une réponse a minima aux objections juridiques qui ont été soulevées à l’encontre du système actuel. Une telle réforme revient en quelque sorte à sortir une vieillerie du grenier, à en faire une réparation de fortune et à la replacer là où on l’avait trouvée. Le moment est venu d’oser une grande réforme en offrant à tous les élèves des écoles francophones une plus grande connaissance des religions, une plus grande culture et un bagage critique. La société de demain ne pourra en être que meilleure. »

    Ici : Le cours de morale neutre, "une fausse bonne idée"

    Recadrons le débat :

    Tel qu’il est engagé, celui-ci ne concerne pas (encore ?) l’enseignement libre (c'est-à-dire en fait catholique) qui scolarise la moitié des jeunes belges.

    Le professeur Uyttendaele écrit que si «  les écoles officielles doivent organiser des cours de religion et de morale, nul ne peut être contraint de les suivre, le cours de morale n’étant plus, depuis la consécration de la laïcité dans la Constitution, un cours résiduel ».

    Deux remarques : la laïcité reconnue dont parle le professeur Uyttendaele n’est évidemment pas celle de l’Etat et des pouvoirs publics mais la laïcité philosophique qui est assimilée aux six autres cultes reconnus. Ensuite, est-il si clair que nul ne peut être contraint de suivre ce type de cours ?  La Flandre a effectivement accepté que des parents puissent faire exception de conscience à l'ensemble des cours de religion et de morale, en raison de ce que, en Flandre, on estime le cours de morale insuffisamment neutre. Il ne s'agit donc pas de rendre les cours facultatifs, mais d'acter l'absence d'un cours subsidiaire neutre. Le cas ne semble pas encore s’être posé pour la Belgique francophone.

    Et voici donc la laïcité prise à son propre piège : si certains élèves ne se retrouvent pas dans les cours de religion et de laïcité engagée actuellement dispensés dans l’enseignement officiel, eh bien créons une nouvelle option : un cours de laïcité neutre.

    Ce n’est évidemment pas du tout ce que veulent les tenants de la pensée unique post-moderne : sous le masque de la culture et de la formation à l’esprit critique, ils entendent, au contraire, poser une grande accolade au-dessus de toutes les convictions religieuses ou philosophiques, dont l’enseignement serait progressivement asservi aux valeurs d’un Décalogue officiel. 

    Marc Uyttendaele, Vincent Peillon, même combat ? Oui, mais non vraiment la Belgique n'est pas la France à cet égard...     

  • Quand des gynécologues belges s'interrogent...

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    Lu sur le site de la RTBF (D. Van Ossel):

    Une simple prise de sang pour savoir si votre fœtus est porteur de la trisomie 21, c’est désormais possible. Jusqu’à présent, ce test se faisait uniquement par amniocentèse, une technique invasive qui entraîne des risques de fausses couches. Avec la prise de sang, ce risque est écarté. Mais le test coûte cher, 600 euros qui ne sont pas remboursés par la sécurité sociale. Et il pose des questions éthiques. Puisque ce test est sans risque, plus rien, si ce n’est le coût, n’empêche les futurs parents de savoir à l’avance les handicaps ou les maladies dont leur fœtus est porteur et d’agir en conséquence.

    Le professeur Jacques Jani, chef du service de gynécologie-obstétrique à l’hôpital Brugmann explique que "la seule chose c’est que pour l’instant ce test ne se fait que pour les trois trisomies principales. Il est vrai que la question plus éthique va se poser dans les mois ou les années à venir parce qu’on va aller de plus en plus loin dans ce qu’on peut faire sur ce test-là. Ce test permet par exemple de pouvoir dire si c’est un garçon ou une fille. Et en Belgique l’IVG peut se faire avant 12 semaines sans devoir clairement donner une raison. Pour une raison psychologique, une maman qui décide d’avoir le test à 10 semaines et sait quelques jours plus tard si c’est un garçon ou une fille peut se dire qu’elle souhaite interrompre pour le choix du sexe. Cela devient dangereux. (!!!) C’est la raison pour laquelle par exemple personnellement je ne ferai pas une analyse du sexe de bébé, malgré le souhait des parents, si ce n’est pas pour une demande très particulière. Et j’essaie de le faire après le délai de l’interruption volontaire de grossesse".

  • Malmedy: messe grégorienne du 1er dimanche du mois aux Capucins

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    premier dimanche du mois

    MALMEDY

    PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE

    Célébrée en latin (missel de 1962) par M. l’abbé Claude Germeau,

    Directeur du foyer des jeunes de Herstal et prêtre auxiliaire à l’église du Saint-Sacrement à Liège

     DIMANCHE 5 MAI 2013 A 18 HEURES

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    EGLISE DES CAPUCINS

    Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy 

    CELEBRATION DU CINQUIÈME DIMANCHE APRÈS PÂQUES 

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    L'icône évoque la dernière rencontre de st Pierre avec le Christ ressuscité au bord du lac de Tibériade (Jn,21).

    Propre grégorien de la messe «  Vocem Iucunditatis »

    Kyriale du Temps Pascal, Credo I

    Motets : « Verbum Supernum » et « Ave Maria » polyphoniques (W.-A. Mozart, 1756-1791), Reine des Cieux, « Königin im Himmelreich »

    A l’orgue : Michèle Baron et Léonard Aussems

    Renseignements : L. Aussems  tél. 080.33.74.85

  • Missionnaire d’un nouveau genre : c’est du Belge !

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    Qui l’eût cru ? La Belgique est encore une terre de missionnaires. Mais d’un autre genre : celui de la propagation de sa foi nouvelle dans la culture de mort. Quand un médecin belge fait de la retape dans le journal de Saône-et-Loire afin d’attirer les Chalonnais à sa conférence sur le « modèle belge », cela donne ceci :

     « Quelles sont les conditions qui encadrent l’euthanasie en Belgique ?

    Il faut une demande émanant d’un patient adulte ou d’un mineur émancipé. Cette demande doit être volontaire, réfléchie, sans pression extérieure. Le patient est atteint d’une affection grave et incurable résultant soit d’une maladie, soit d’un accident. Il fait état d’une souffrance physique ou psychique constante, insupportable et inapaisable.

    Le modèle belge peut-il être transposable en France. Qu’est-ce qui fait barrage en France ?

    Oui, mais la religion catholique est bien organisée et a beaucoup de poids en France. Pour l’anecdote, l’église Sainte-Clotilde, située à proximité de l’Assemblée Nationale, a un secrétariat d’étude qui reçoit de nombreux parlementaires « pro-life ». Les mandarins parlementaires * également préemptent les discussions et les débats. Si vous n’êtes pas médecin, il sera très difficile d’intervenir. Tout est bon pour conserver la toute puissance qui était la leur jusqu’il y a peu de temps.

    Comment l’euthanasie pourrait-elle s’inscrire en France ?

    Pour que cela change, il faut démédicaliser la question et la renvoyer aux citoyens. 90 % des Français sont pour l’euthanasie. Il faut mieux faire connaître les associations laïques. L’ADMD (Association pour le droit à mourir dans la dignité) doit jouer un grand rôle dans ce domaine. Peu de personnes connaissent la loi, ont rédigé leur déclaration anticipée et désigné une personne de confiance. En Belgique 50 % des euthanasies sont pratiquées à domicile. Dans la plupart des cas, elles concernent des patients atteints d’un cancer avec métastases.

    Vous est-il arrivé de pratiquer une euthanasie en ayant un doute ?

    Je n’ai jamais douté des euthanasies pratiquées par moi. Bien au contraire : j’ai accompagné mon patient quand la souffrance débordait et devenait mutilante. J’ai compris le désir de mourir chez le patient épuisé par sa lutte contre la maladie et surtout par l’image qu’il a de lui. Je lui ai donné les derniers soins. Il m’a dit merci et au revoir. Mais je n’accepte pas systématiquement de pratiquer et il m’est déjà arrivé de refuser des demandes d’euthanasies.

    * personnalités politiques très influentes (sens péjoratif).

    Euthanasie en Belgique, 10 ans de pratique humaine. Conférence-débat gratuite et ouverte à tous, le vendredi 26 avril à 18 heures à la salle du Clos Bourguignon. Le docteur Yves de Locht est médecin généraliste et membre du conseil d’administration de l’ADMD belge. Renseignements : 06 80 43 38 64 (Stéphane Bernoud) et www.admd.net pour plus de détails.

    Voir ici : Ce vendredi 26 avril, le docteur belge Yves de Locht sera l’intervenant d’une conférence organisée par l’ADMD 71. Interview.

    Faut-il rappeler que le Parlement belge envisage d’ouvrir à présent le « bénéfice » de la loi sur l’euthanasie aux mineurs et, pourquoi pas, aux autres catégories d' incapables… La mort pour tous ? On n’arrête pas le progrès, c’est bien connu.

  • BXL, 7 mai : témoignage de l'aumônier du Bois de Boulogne

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    Mardi 7 mai à 20h :  BRUXELLES

    Soirée Témoignage

    par le P. Jean-Philippe - 
    Aumônier du Bois de Boulogne, 

    il vient de publier un livre-témoignage « Que celui qui n’a jamais péché » dans lequel il retrace sa vie dans un style franc et direct ! Touchant, profond plein d'humour, ce frère de Saint-Jean raconte son quotidien de prêtre auprès des prostituées et des transexuels de Paris.
     

    Où ? : IET – Institut d’Etudes Théologiques - 24, Bd Saint-Michel – 1040 Bruxelles

    PAF : 3 € 

    Renseignements / inscriptions : cycledesoireessophia@gmail.com ou 0477/ 042.367

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (25/4/2013) : Projet pilote Alzheimer / Pilule accidents

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  • BXL, 7 mai : une conférence du Professeur De Mattei

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    FÉDÉRATION PRO EUROPA CHRISTIANA 

    L'élection du Pape François a donné lieu à des interprétations et à des pronostics les plus disparates.

    Les coryphées de la gauche politique l'ont accusé de complicité avec la dictature militaire argentine alors que d'autres ont mis l'accent sur son opposition aux gouvernements de gauche et en particulier à celui de la présidente actuelle Mme Kirchner.

    Politique à part, certains  espèrent de lui que, en dépouillant l'Église de ses richesses et en simplifiant le protocole, nous parviendrons à une religion idéale. D'autres  voient dans ses appels pour une Église vraiment spirituelle, ancrée sur la Croix, différente « d'une ONG pieuse », les gages d'un chemin vers la sainteté.

    Sur le plan culturel, on nous répète que c'est le « premier Pape du sud », le premier Jésuite, le premier François, et que donc « tout va changer », en nous laissant le soin de deviner ce qu'ils souhaitent...

    Avez-vous des doutes ? Souhaitez-vous y voir plus clair ? Peut-être avez-vous votre propre interprétation ? Aimeriez-vous la partager avec nous ?

    le Professeur Roberto De Mattei.

     nous parlera de

    "l'Eglise Constantinienne ou retour aux catacombes ?"

    (à l'occasion de l'anniversaire de l'édit de Constantin)

     49, Rue du Taciturne

    Bruxelles – 1000

    le 7 Mai 2013 à 20:00 h.


    L'anniversaire de l'édit de Constantin, ou de Milan, promulgué en 313, est l'occasion idéale de revisiter ces pages-repères de notre histoire occidentale. Le Professeur De Mattei est l'auteur d'un succès éditorial « Le Concile Vatican II, une histoire jamais écrite », dont l'édition française paraîtra ces jours-ci. Expert reconnu sur les sujets délicats d'interprétation du Concile, il souligne, dans l'œuvre mentionnée ci-dessus, le travail de « reconstruction et d'interprétation des données » qui caractérise un vrai historien, « capable d'ordonner, de comprendre, de raconter, d'encadrer les faits dans une philosophie de l'histoire laquelle, pour l'historien catholique, est, avant toute autre chose, une théologie de l'histoire ».

    Fédération Pro Europa Christiana

    Rue du Taciturne, 49 
    Bruxelles 1000 Belgique 
    E-Mail: postmaster@federation-pro-europa-christiana.org