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Action de grâce pour l’épiscopat de Mgr JoustenLe vendredi 19 avril à 18h à la Cathédrale Saint-Paul
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Belgique - Page 320
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Liège, 19 avril : action de grâce pour l'épiscopat de Mgr Jousten
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Université de Liège, mercredi 24 avril 2013 : « les Dix Commandements et les Droits de l’Homme »
Prochaine rencontre du cycle de lunch-débats organisé à l’Université de Liège sur le thème "les droits de l'homme en péril" par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège.
Mercredi 24 avril 2013 à 18h00
à l'Université de Liège
Place du XX août, 7, 1er étage (Salle des Professeurs)
Les Dix Commandements et les Droits de l’Homme
Un entretien entre
Mgr André-Joseph LEONARD
archevêque de Malines-Bruxelles
et M. Albert GUIGUI
grand rabbin de Belgique
Les racines spirituelles communes aux juifs et aux chrétiens ne les invitent-elles pas à un témoignage commun pour relever les défis de notre temps ? Plus fondamentalement que toutes les déclarations des droits de l’homme, le Décalogue n’est-il pas le message éthique commun d'une valeur permanente pour Israël, pour l'Eglise, pour les non-croyants et pour toute l'humanité ? En quoi les « Dix Commandements » fondent-ils une juste vision de l’écologie de la nature dans toutes ses dimensions, en particulier celle de la famille humaine ? Le drame bouleversant de la Shoah n’est-il pas, pour ainsi dire, l’archétype de tous les drames contemporains où l’humanité s’est engagée, depuis le XXe siècle plus que jamais, sur la voie de la haine mortifère enracinée dans l'idolâtrie de l'homme, de la race ou de l'État, une haine qui commence lorsque l'homme se place au centre de l'univers ?
Le débat sera modéré par M. Paul VAUTE , chef d'édition de la Libre Belgique-Gazette de Liège
La rencontre aura lieu à la Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.
Inscription obligatoire avant le 19 avril 2013, par téléphone : 04.344.10.89 ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 €, à régler sur place. L'accès à la salle (cent places disponibles) ne peut être garanti aux personnes qui ne s'inscrivent pas au préalable
Plus d’informations ici : http://www.ethiquesociale.org/
Les droits de l’homme : enjeu et impasses
Le 21 septembre 2000, une controverse (au sens de la disputatio médiévale) fut organisée, au théâtre Quirino à Rome le 21 septembre 2000, entre le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, et un professeur à l’Université romaine de la Sapienza, le philosophe libertaire Paolo Flores d’Arcais, pour explorer des voies de convergence possibles sur quelques principes absolus relatifs à toute société humaine digne de ce nom. Au moment décisif du dialogue, le modérateur – Gad Lerner, un juif, journaliste à la Repubblica – s’est demandé si des principes aussi fondamentaux que ceux du Décalogue ne pourraient pas être retenus comme base éthique commune, même par des athées (qui y souscriraient seulement « velut si [comme si] Deus daretur »). Mais cette proposition fut aussitôt rejetée par le philosophe laïc.
Ce dernier nia que certaines règles morales ou de droit naturel puissent constituer des postulats, ou des acquis irréversibles, pour l’humanité : le contrat social est toujours relatif, contingent, renégociable. Ainsi, certains revendiquent-ils maintenant à l’ONU l’insertion de nouveaux « droits » (à l’avortement, à l’euthanasie, au choix du « genre » etc.) dans une Déclaration universelle des droits de l’homme vieille de 50 ans à peine (1948) !
Tout s’écoule, disait déjà le vieil Héraclite. Pareille impasse montre à quel point une définition véritablement universelle (selon la formule « ubique, semper et ab omnibus » de Vincent de Lérins, Ve s.) des droits et donc des devoirs humains sans Dieu semble aléatoire.
JPS
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Le pape François subjugué par le Cardinal Danneels ?
Le chroniqueur « religieux » de La Libre, Christian Laporte, a, en tout cas, trouvé son Hercule pour le nettoyage de la Curie romaine et s'en réjouit dans l'éditorial du quotidien autrefois catholique de Bruxelles
"Cette fois, il n’y a plus de doute possible. Exactement un mois après son élection comme nouvel évêque de Rome, le pape François est sorti du bois. Il entend vraiment réformer l’Eglise, trop secouée, à ses yeux, depuis plusieurs années par des rivalités intestines et pichrocolines ainsi que par des scandales à répétition qui ont fini par miner la santé de son prédécesseur et ont sans doute précipité sa décision de se retirer !
Par un bref mais très éclairant communiqué, le nouveau "patron" de l’Eglise catholique a fait savoir qu’il était bien décidé à mettre de l’ordre dans la Curie romaine qui, quoi qu’en disent certains prélats, ne succombait que trop aux tentations du pouvoir, elles-mêmes aux antipodes du message de l’Evangile.
Pour ce faire, il s’appuiera sur un "conseil de la Couronne", à savoir un groupe de neuf prélats représentant tous les continents. Une idée qui vient tout droit des congrégations générales d’avant-conclave. Sans dévoiler le secret des débats, elle est même belge. C’est en effet un cheval de bataille récurrent du cardinal Danneels, qui plaide depuis longtemps pour pareille structure réunissant des conseillers éclairés autour du Pape.
A en juger par la composition du groupe, la réforme de la Curie n’est plus du tout un vœu pieux. A l’évidence, en nommant à sa tête le cardinal hondurien, Oscar Maradiaga, par ailleurs "numero uno" de Caritas, et en optant pour des décideurs de la périphérie et non du centre romano-romain, François veut faire concorder le fonctionnement de l’Eglise avec ses propres intentions, à savoir une Eglise plus proche des pauvres et dont le maître-mot est la miséricorde.
Voir ici Edito: nettoyer la Curie
Ainsi donc la bonne idée viendrait du cardinal Danneels : entourer le pape d’un « conseil de la couronne » pour réformer la « constitution » de l’Eglise.
Soit dit en passant, en Belgique le « conseil de la couronne » (composé du gouvernement et des ministres d’Etat) est une institution tombée en désuétude : sauf erreur, elle s’est réunie pour la dernière fois en 1960 aux fins d’entériner la décision d’octroyer l’indépendance au Congo, dans les conditions déplorables que l’on sait.
Les Belges sont aussi les champions de la révision constitutionnelle, avec une loi fondamentale en mutation tous les dix ans depuis plus de trente ans. Les articles bis, ter, ou quater n’ont plus de secret pour leurs experts juridiques (et seulement pour eux).
On a peine à croire que c’est là ce qui aurait pu convaincre les cardinaux d’accorder leurs voix à un Jorge Mario Bergoglio rallié à une proposition aussi "géniale" de l’archevêque émérite de Malines-Bruxelles.
Les vrais problèmes de l’Eglise ne sont pas de structures mais de foi, particulièrement en Europe, comme l’a déjà exposé clairement et à maintes reprises un autre émérite, pape celui-là : vous vous souvenez ? Il s’appelait Benoît XVI.
Cessons de fantasmer sur la Curie romaine. Le gouvernement pontifical a sans doute besoin d’un chef affirmé et d’une meilleure coordination. Mais sûrement pas d’une révolution institutionnelle et encore moins sous le couvert abusif de la collégialité épiscopale ou de la souveraineté du peuple de Dieu(x)…
JPS
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Les Philippins ne seraient plus très catholiques
De Nathalia Trouiller sur le site web de “La Vie”:
C'est l'enseignement-surprise d'un sondage effectué par le Social Weather Seasons, un institut indépendant philippin réputé pour son sérieux, rapporte Eglises d'Asie. "Dans cette enquête réalisée en février dernier, le SWS révèle en effet que les catholiques seraient les moins pratiquants parmi les croyants des différentes religions présentes aux Philippines. Une surprise dans un pays où l’Eglise considère pouvoir s’appuyer sur une très écrasante majorité de catholiques pratiquants, particulièrement dans le cadre de son combat contre la RH Bill (loi sur la santé reproductive). Plus troublant encore, un catholique sur onze se poserait 'parfois' la question de quitter l’Eglise. L’institut a expliqué que cette investigation inhabituelle dans le domaine du sentiment religieux (et non pas du taux de pratique ou d'affiliation confessionnelle) lui a été suggérée par un billet publié par un prêtre jésuite, le P. Joël Tabora, sur son blog, très suivi par la communauté philippine catholique. Dans un article publié le 7 février dernier, le prêtre s’exprimait sur 'les difficultés de l’Eglise' face aux fidèles qui désertent les églises. Le post avait été abondamment commenté, aussi bien par les croyants que les non-croyants, mais surtout par un très grand nombre de catholiques philippins qui affirmaient se retrouver dans ' les propos courageux et clairvoyants' du prêtre, le félicitant de briser un tabou et de révéler enfin la vraie nature de l’Eglise philippine d’aujourd’hui".
Ici: Les Philippins ne seraient plus très catholiques
Ce sentiment est partagé par un prêtre de la Communauté de Frères de Saint-Jean, qui a aujourd’hui rejoint le Prieuré « Regina Pacis » de Banneux (Belgique ) après un long apostolat aux Philippines : nous l’avions interrogé voici quelques semaines déjà à ce sujet. Il est grand temps que toute l’Eglise se ressaisisse et ne renoue pas avec les vieilles querelles « conciliaires » que Benoît XVI a tenté d’apaiser par son « herméneutique de continuité ». …
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Herve (Battice), 15 avril : conférence sur la Résurrection par Mgr Léonard
Mgr Léonard fait une conférence à Herve 15 avril 2013 André-Mutien Léonard: « La résurrection du Christ et la nôtre : mythe ou réalité ? ». Homme d’Eglise controversé, souvent mis à mal dans les médias, Monseigneur Léonard est un théologien et un croyant de haut vol. Avec simplicité et beaucoup de conviction, il nous proposera une réflexion autour du « mystère » de la résurrection du Christ et de « l’au-delà » de notre vie et de notre mort. Autant s’y intéresser quand on est vivant… Date(s), horaire(s) et lieu(x) Le 15/04/2013 à 20:00
Où ?: Cercle Saint-Vincent, rue du Centre 30 à 4651 BatticePersonne de contact Abbé Alain Schlim Téléphone de contact 0477/34.54.31. -
Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (13/4/2013) : avortement, Alzheimer, césariennes
Sommaire (cliquer sur les intitulés pour accéder aux articles)
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Georges-Henri Dumont est mort
Belgicatho salue un grand historien belge qui vient de disparaître, un homme qui s'est appliqué à l'étude du passé d'un pays auquel nous restons attachés malgré son état actuel de déchéance extrême... L'oeuvre de G.H. Dumont constitue une référence incontournable pour celui qui veut comprendre notre passé.
Membre belge littéraire élu à l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique le 13 février 1988 (Prédécesseur : Carlo Bronne)
BIOGRAPHIE (sur le site de l'ARLLFB)
Georges-Henri Dumont naît à Zottegem le 14 septembre 1920. Il entame sa scolarité au Collège Sainte-Barbe, à Gand, et la poursuit au Collège Saint-Michel à Bruxelles, où sa famille s'est installée. Il entame des études supérieures aux Facultés Saint-Louis puis à l'Université de Louvain, où il a notamment pour professeur Léon van der Essen et pour compagnon Paul Warzée. En 1942, il est licencié en philosophie et lettres et en histoire. Il compte à son actif un ouvrage paru l'année précédente, un recueil de poèmes, La Voie rédemptrice, qui frappe par la violence de son expression. Ce sera sa seule incursion dans ce domaine, quoiqu'il ne dédaigne pas le lyrisme, auquel il consacre un essai d'une centaine de pages en 1943, À corps perdu, publié simultanément à Bruxelles et à Paris, qui s'attache à la poésie de l'entre-deux-guerres.Lien permanent Catégories : Actualité, Belgique, Culture, Histoire, Livres - Publications 0 commentaire -
Belgique : l’un des deux exorcistes du diocèse de Namur se confie au journal « Vers l’Avenir »
Il existe deux prêtres exorcistes dans le diocèse de Namur. L’un d’eux est chez les frères de saint Jean à Libramont. Le journal « Vers l’Avenir » l’a interviewé .
Le père Jean-Marie, 57 ans, est l’aîné des frères de saint Jean, une communauté du prieuré Notre-Dame de la Paix installée à Libramont depuis 21 ans. Il est aussi un des deux exorcistes du diocèse de Namur. Pour être précis, le père Jean-Marie est l’adjoint du père Daniel-Marie Ramiro-Gonzales, l’exorciste de Namur. Ils succèdent à ce poste à l’abbé Paul Léonard (le frère de l’actuel primat de Belgique, Mgr André Joseph Léonard)
Lors de son élection, le pape François a parlé ouvertement de ce que la notion du mal, selon lui, était quasi volontairement niée dans notre société occidentale. Il a exhorté les baptisés à se montrer vigilants.
Et justement, le père Jean-Marie l’est, lui, vigilant. Il parle de la lutte contre le mal ou le Malin.
Père Jean-Marie, comment devient-on exorciste ? On le choisit ou est-on désigné pour ce ministère ?
Un évêque ne peut pas contraindre un prêtre. C’est un ministère qui s’exerce en correspondance avec ce qu’on ressent, en fonction des circonstances qui font la vie d’un prêtre. Moi par exemple, j’ai vécu dans des communautés en Afrique et dans le Sud de la France. C’est à travers cette mission que j’ai senti que même chez des gens qui venaient de recevoir le baptême, quelque chose les empêchait d’être pleinement libérés. Un peu comme s’il demeurait des liens dans la périphérie de leur âme.
Comment cela ?
Ce n’est pas facile à expliquer, c’est comme une résistance qui demeurerait après avoir reçu le sacrement de pardon (la confession). Comme si les actes du passé, ce qui est lié à la mémoire, les instincts, le corps empêchaient la personne d’être pleinement libre. Comme j’avais vécu cela, j’ai accepté d’en connaître davantage ; j’ai travaillé avec l’abbé Paul Léonard [le frère de Mgr André-Joseph Léonard ndB]. Je suis arrivé à ce ministère d’exorciste un peu par hasard. C’est l’évêque Remi Vancottem qui a officialisé mon ministère.
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Un colloque international de l’académie royale de Belgique sur « la démocratie, enrayée » (30 mai-1er juin 2013)
C’est bien connu, les académiciens n’ont pas la mémoire courte. L’académie royale de Belgique organise du 30 mai au 1er juin prochains un vaste bouillon de culture politique, sous un titre emprunté (à la virgule près) à celui d’un essai sur le régime parlementaire belge de 1918 à 1958, publié en 1960 par François Perin, alors chargé du cours de droit public à l’université de Liège. La critique du petit professeur « gauchiste libertaire », mais en réalité plus libertaire que gauchiste, fit grand bruit à l’époque : elle portait sur la crise de capacité législative des assemblées et stigmatisait l’absence d’indépendance et de liberté des parlements. Mais pouvait-on alors réinventer l’histoire dans le rétroviseur des sociétés libérales du XIXe siècle ? Depuis le pamphlet du Voltaire « d’amon nos aûtes », la particratie belge n’a fait que croître et embellir. Lui-même, après y avoir joué (comme parlementaire, ministre et aujourd'hui ministre d'Etat) sans trop avoir l'air d'y toucher, est d’ailleurs passé à autre chose. Dans son (dernier ?) essai (2011) intitulé « Finissons-en ! », François Perin (86 ans) a d’ailleurs fait trois vœux : que la Flandre proclame son indépendance, que Bruxelles s’organise en ville internationale et que la Wallonie rejoigne la France. Sacré professeur ! Eh oui, le temps passe, même celui des colloques…
JPS
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Euthanasie psychiâtrie et démence
Sommairedu Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (IEB)
L’euthanasie en psychiatrie est une alternative valable au suicide
Euthanasie in de psychiatrie als een alternatief voor zelfdoding
Euthanasie : position de la Ligue Alzheimer francophone
Déclaration anticipée en fin de vie
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Malmedy : la messe tradi du premier dimanche du mois
MALMEDY
PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE
Célébrée (missel de 1962) par M. l’abbé Jean Schoonbroodt,
chapelain au sanctuaire de Banneux et à l’église du Saint-Sacrement à Liège
DIMANCHE 7 AVRIL 2013 A 18 HEURES
EGLISE DES CAPUCINS
Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy
CELEBRATION DU PREMIER DIMANCHE APRÈS PÂQUES
"in albis"
"mitte manum tuam et cognosce loca clavorum"
Propre grégorien de la messe « Quasimodo »
MISSA BREVIS DE LÉO DELIBES, 1836-1891
polyphonie et orgue
Cantiques et motets du temps pascal
« Isti sunt agni novelli » mélodie traditionnelle (Jean-Marie Taslent, ténor solo)
« Au festin de l’Agneau » (adaptation en français de l’hymne « Ad regias agni dapes »du dimanche de « Quasimodo »)
« Das Grab ist leer » (chant populaire en allemand)
« Il est ressuscité » (mélodie de Jean-Sebastien Bach, 1685-1550)
Renseignements : Léonard Aussems. Tél. 080.33.74.85
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Basilique de Bonne-Espérance : reprise des célébrations en grégorien
BONNE-ESPÉRANCE
(Estinnes, à Vellereille-les-Brayeux)
La saison pastorale reprend à la Basilique Célébrations mariales, messes chantées en grégorien, accueil de chorales… voilà les grands axes de la saison 2013. Elle débute par l’Annonciation, célébrée ce lundi 8 avril à 18h30.
En raison de la semaine sainte, la solennité de l’Annonciation du Seigneur à la Vierge Marie sera célébrée le lundi 8 avril. A Bonne-Espérance, lieu de pèlerinage marial depuis le XIVe siècle, c’est également la fête patronale de l’abbaye. L’Eucharistie de 18h30 sera présidée par l’abbé Philippe Pêtre, doyen principal de la région pastorale de Mouscron-Comines, et aumônier des Anciens du Collège de Bonne-Espérance.
L’Assomption de la Vierge Marie, célébrée le jeudi 15 août, est l’autre grand rendez-vous marial de l’année. La messe, précédée du chapelet à 16h40, sera présidée à 17h par l’abbé José Bouchez, doyen principal de la région du Centre-Soignies.
Ces deux célébrations mariales seront animées liturgiquement par la chorale paroissiale de Jumet Gohyssart.
La messe dominicale reprend aussi : elle sera célébrée à la Basilique du 14 avril au 15 octobre à 17h, avec chaque fois la prière du chapelet à 16h40.
Comme l’an dernier, la messe du premier dimanche du mois sera chantée en grégorien.
En juillet et août, les chorales qui veulent venir passer une après-midi d’été à Bonne-Espérance sont invitées à chanter la messe de 17h.
Plus d’infos sur la saison iciLien permanent Catégories : Actualité, Art, Belgique, Culture, Eglise, liturgie, Patrimoine religieux, Spiritualité 0 commentaire