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Belgique - Page 319

  • 17-24 juillet : pèlerinage de la Miséricorde divine en Lituanie

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    Pèlerinage de la Miséricorde divine en Lituanie

    du 17 au 24 juillet 2013

     Sur les traces de Sainte Faustine et du Bienheureux Jean-Paul II

     Au programme

    Visites

    Vilnius (sanctuaires de la Miséricorde Divine et de ND de la Porte de l'Aurore - maisons de Ste Faustine et de l'Abbé Sopocko - musées du KGB et de l'ambre - Université de Vilnius - la cathédrale et de nombreuses églises.) Kaunas (ancienne capitale), Siluva (lieu d'apparition de la Vierge Marie), Siauliai (colline des croix), Palandriai (monastère bénédictin), Pazaislis (monastère du Bel Amour), Trakai (ancienne capitale médiévale).

    Rencontres

    Cardinal Backis, Frères et Sœurs de St Jean, Sœurs du Christ Miséricordieux, amis lituaniens, Frères bénédictins de l'Abbaye de Solesmes, école d'apprentissage pour jeunes (Sodziaus Meistrai).

    Temps de prières

    Eucharistie quotidienne, offices (libres), temps d'adoration, chapelet de la Miséricorde Divine, Heure Sainte, veillée eucharistique et enseignements. 

    Prix:    900€ (pension complète en maison religieuse, transferts, vols et assurances)

    Communauté Saint Jean - Banneux

    Contact: Fr. Alain, 0032.04/360.01.24; frerealaingcs@stjean.com

  • Liège, samedi 27 avril 2013 à 20h: le Choeur Universitaire de Liège à l'église Saint-Jacques

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    Considérée comme le deuxième point culminant des compositions sacrées de Mozart (1756-1791), apres ou a côté de  son célèbre Requiem, cette messe en ut est écrite pour un double choeur, un quatuor de solistes (deux sopranos, ténor et basse) et un grand orchestre.


    En 1re partie du concert : le psaume 113 “In Exitu Israel” de Jean-Noël Hamal également écrit pour double choeur, solistes et orchestre, cette oeuvre n'a plus été présentée chez nous depuis plus de 30 ans. C'est donc une (re)création qui a toute son importance car le compositeur Jean-Noël Hamal est un pur liégeois du 18e siècle (1709-1778). Cette œuvre écrite pour la musique à la cathédrale Saint-Lambert,  est une petite merveille.


    par le Choeur Universitaire de Liège, l'Ensemble instrumental Tempus Musicale, Julie Mossay, Margareth Sitniak, soprano, Nicolas Bauchau, ténor
    Marc Tissons, basse
    , sous la direction de Patrick Wilwerth

    Église Saint-Jacques à Liège, samedi 27 avril 2013 à 20h

    Réservations
    17€ (1re catégorie) et 22€ (2e catégorie)  choeur@ulg.ac.be - 0498 42.34.17
    FNAC - Belle-Île

     

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  • Inquiets et perplexes...

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    Peut-on vraiment se sentir à l’aise dans le monde tel qu’il est aujourd’hui ? Peut-on échapper à l'inquiétude et à la perplexité ?

    On peut évoquer cette crise économique dont on nous dit régulièrement que l’on devrait en voir le bout mais qui n’arrête pas de produire des effets toujours plus inquiétants affectant l’emploi et compromettant les perspectives d’avenir pour les jeunes, sans parler des questions que l’on peut se poser à propos de l’Union Européenne, de sa monnaie, du sort des partenaires les plus faibles (la Grèce, Chypre…).

    On peut aussi s’interroger sur l’actualité politique où l’on manque désespérément de personnalités à la hauteur des défis actuels, capables de faire passer le bien commun avant leurs intérêts et leurs appartenances partisanes. La classe politique souvent décrédibilisée donne l’impression de naviguer à vue, sans réel projet d’avenir susceptible de mobiliser et de rendre confiance, impuissante en particulier à défendre l’emploi menacé par la stratégie des multinationales. Les facteurs de division et de décomposition, la perte de confiance dans un monde marqué par les magouilles et la corruption, le scepticisme généralisé plombent le climat politique des pays de la vieille Europe. L’Italie en offre un exemple particulièrement désolant mais l’atmosphère morose et résignée de notre vie politique nationale n’est pas particulièrement réjouissante. En plus des impasses socio-économiques, il suffit d’évoquer l’impuissance à maîtriser les flux migratoires et les menaces que font peser sur notre société les menées de groupes extrémistes, islamistes en particulier.

    Il y a bien d’autres choses dans nos sociétés qui ne manquent pas d’inquiéter. Le n’importe quoi dans le domaine de la culture médiatique tel que la télévision nous en donne le spectacle quasi permanent en est un. Il suffit d’évoquer la pauvreté des programmations (ah, les séries !), l’hyper-érotisation de la publicité, l’esprit de dérision systématique, la pauvreté intellectuelle… pour s’en convaincre. Mais il y a aussi la misère de l’école que désertent de nombreux enseignants dégoûtés par une pédagogie foireuse et par un climat invivable, le déboussolement de nombreux jeunes tentés par la drogue, l’alcool, le suicide… largués par des adultes qui renoncent de plus en plus à assumer leurs responsabilités éducatives. Il faut bien évoquer aussi l’emprise du discours sur la sexualité qui vise à brouiller tous les repères et à nous imposer une vision relativiste où n’existe plus aucune norme ni valeur de référence. Une société peut-elle se construire et exister dans la durée lorsque tout se trouve ainsi livré au bon plaisir de l’individu ? Mais peut-être tout n’est-il pas perdu, du moins peut-on le penser et l’espérer en considérant ce qui se passe en France où tout un peuple se lève pour exiger le respect de l’enfant, du mariage et de la famille. Cela nous en bouche un coin à nous les Belges tellement habitués à nous résigner à toutes les dérives qui nous sont imposées au nom de la sacrosainte évolution des mœurs et de la société.

    Avouons que la situation actuelle de l’Eglise ne nous rend pas moins perplexes. La fin du pontificat précédent nous a laissés au milieu du gué entre, d’une part, le rejet d’un réformisme excessif né de Vatican II et qui se voulait en rupture avec la Tradition, et, d’autre part, le retour à une vision de continuité qui aurait dû se concrétiser dans une redéfinition de la foi (on attendait une encyclique à ce sujet) et dans un recadrage de la liturgie trop abandonnée au caprice de chacun. En lieu et place de cela, nous avons droit à un surprenant début de pontificat marqué par de nouvelles façons de faire mais dont on ne voit pas encore sur quoi cela débouchera concrètement. Certains évoquent déjà "un virage social" de l'Eglise... Quelles seront les orientations réelles de ce nouveau pontificat qui veut s’inscrire dans une ligne franciscaine et en finir avec le discours d’une Eglise faisant trop référence à elle-même ? Bien malin qui peut le dire et il nous semble que certains feraient bien d’être plus prudents quand ils se félicitent de l’accession sur le siège de Pierre d’un pape « ouvert et progressiste » ; il paraît tout aussi difficile de voir en François un pape dont les préoccupations rencontreraient celles des catholiques inquiets devant les dérives doctrinales et liturgiques… Bref, là aussi, on scrute et on attend.

  • A quelle sauce nos enfants vont-ils être éduqués à la vie affective et sexuelle ?

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    Enseignons.be s'impatiente à propos de la finalisation de l'"EVRAS", entendez "l'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle" censée entrer dans les objectifs généraux de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire, inscrits dans le décret Missions de 1997. Enseignons.be se fait ainsi le relais d'une constellation(1) de groupes constitués en tête desquels vient "Arc-en-Ciel-Wallonie" (la fédération wallonne des associations LGBT).

    Pas de quoi nous rassurer vraiment sur les objectifs poursuivis par les promoteurs de ces cours qui devraient être introduits à l'école pour formater nos enfants dans la ligne de l'idéologie du gender et d'une éducation sexuelle présentant comme indifférentes les orientations sexuelles, qu'elles soient hétéros, homos, bi ou transgenres... C'est d'ailleurs sur le site d'Arc-en-Ciel que l'on trouve le pdf reprenant les orientations de l'EVRAS.

    (1) Arc-en-ciel Wallonie, Centre d’Actions Laïques, Comité Belge Ni Putes ni Soumises, Fédération des Centres de Planning Familial, Librex, Plateforme Prévention Sida, Université des Femmes, CGSP Enseignement, FAPEO – Fédération des Associations de Parents de l’Enseignement Officiel…

    En lien avec cette problématique, lire : http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Le-gender-pour-tous-contre-le-droit-des-parents

  • BXL, 23 et 30 avril "Dignité, identité, laïcité"; un séminaire de droit naturel avec le Père Xavier Dijon

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    Un séminaire de droit naturel « Dignité, identité, laïcité » sera donné par Xavier Dijon, professeur émérite à la Faculté de Droit de Namur, au Palais de Justice de Bruxelles, salle des audiences solennelles de la Cour de cassation, Place Poelaert 1, 1000 Bruxelles.
    Mardi, 23 avril, de 18 h 30 à 20 h 30 : la liberté l'emporte-t-elle sur la dignité ?
    Mardi, 30 avril de 18 h 30 à 20 h 30 : l'égalité menace-t-elle l'identité ? 
    Entrée gratuite.
    Inscription souhaitée à l'adresse e-mail : seminairededroitnaturel@gmail.com
    Personne de contact : Agate Radziszewski, tél 0479/889672

  • Ecole : les enfants du divorce ont plus de problèmes

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    C'est ce que confirme encore, si besoin en était, une étude dont la RTBF rend compte (http://www.rtbf.be):

    Une étude assez étonnante (?) de la KUL basée sur des chiffres fournis par la Flandre, explique que les enfants de divorcés ont nettement moins de chances de décrocher un diplôme dans l'enseignement supérieur.

    Selon les chercheurs, les enfants des familles monoparentales rencontrent particulièrement des difficultés à l'école.  Par ailleurs, un quart des enfants de divorcés double au moins une année alors que pour les enfants issus de couples non séparés, il s'agit plutôt d'un enfant sur cinq. En fin de secondaire, seuls quatre enfants sur dix de parents divorcés décrochent un diplôme alors qu’on en compte cinq sur dix pour les autres. Cela voudrait dire que si les parents se séparent avant les 18 ans de leur enfant, il a 45 % de chances de moins de décrocher un diplôme dans l'enseignement secondaire. Les garçons seraient davantage concernés et le risque est encore plus fort lorsque les parents eux même ont été peu scolarisés.

    Pourquoi  cette différence ?

    Les chercheurs mettent en avant un contact moins important avec les deux parents, des moyens financiers plus réduits, mais aussi le stress du divorce. Les chercheurs estiment encore que les écoles devraient être mises au courant de ces situations familiales.  D'autres spécialistes ont déjà réagi en précisant qu’en dehors de l’écoute et de l’aide que différentes structures peuvent apporter, il n’est pas question pour autant  de coller une étiquette aux  enfants du divorce.

    Notons encore que cette étude concerne uniquement la Flandre. (comme si cela devait être différent ailleurs !)

  • 21 avril : Dimanche des Vocations

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    Du Centre National des Vocations :

    Le Christ t’appelle à être source d’espérance

    Le prêtre, le diacre, le moine ou la moniale, le missionnaire ou le religieux apostolique sont des visages relativement bien connus dans l’Eglise. Mais il existe bien d’autres manières de vivre la grâce du baptême. A chaque époque, l’Esprit Saint suscite des réponses neuves aux questions des hommes.

    Après avoir mis à l’honneur la vocation à la sainteté de tous les baptisés (2009), du prêtre (2010), de la vie consacrée (2011) et du diaconat permanent (2012), le Centre national des vocations se penche cette année sur des vocations qui sortent parfois des sentiers battus mais n’en sont pas moins précieuses à l’Eglise : les vocations laïques. Signe de leur vitalité, une grande diversité les caractérise. Regroupés souvent dans des associations de fidèles, certains membres restent laïcs, d’autres deviennent des laïcs consacrés. Les uns habitent dans nos villes avec discrétion, les autres travaillent publiquement au service de leurs frères à l’annonce de l’Evangile. Certains groupes sont nés au début du XX° siècle, d’autres plus récemment. En solitude ou dans la vie communautaire, tous conjuguent vie spirituelle et engagement apostolique.

    En son message pour la 50ème Journée mondiale de prière pour les vocations, le pape Benoît XVI nous exhorte tous, quelle que soit notre vocation, à la prière pour « les vocations, signe de l’espérance fondée sur la foi… Dieu ne nous laisse jamais seuls… Dans le Seigneur ressuscité, nous avons la certitude de notre espérance… ».

    Quand le Christ appelle, il envoie. Que tous ceux qui l’entendent consentent à devenir signes d’espérance pour les hommes de ce temps !

    > Télécharger la brochure « Le Christ t'appelle à être source d'espérance »

    > Prière 2013 « Tu portes un regard d'amour »

    > Commander la brochure, l’affiche ou le signet de prière

     

    Voir aussi : http://blog.jeunes-cathos.fr/2013/04/prier-et-appeler-aux-vocations/

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (18/4/2013) : anorexie, euthanasie, cellules souches

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    Sommaire

     

    Des patients anorexiques euthanasiés ? Un ministre réclame plus de transparence

    Catherine Fonck (cdH) a posé une question à Madame Laurette Onkelinx, ministre des Affaires sociales et de la Santé publique. La ministre cdH s’inquiétait d’avoir appris par voie de presse qu’une euthanasie aurait été pratiquée sur une personne qui souffrait d’anorexie. Elle s’étonnait car l’anorexie n’est pas une maladie incurable, et la situation médicale de cette personne n’était donc pas sans issue. Madame Onkelinx a répondu qu’elle ne disposait que des données communiquées dans les rapports de la Commission d’évaluation de la loi sur l’euthanasie, et que seuls cette Commission ou un juge sont habilités à se prononcer sur la légalité d’une euthanasie. Catherine Fonck s’est alors inquiétée du fait que la pathologie à l’origine de la demande d’euthanasie n’est pas toujours clairement mentionnée dans le rapport de la Commission d’évaluation. Madame Fonck s’est alors enquise de l’existence d’une procédure qui permettrait deconvoquer la Commission ou d’obtenir de sa part des réponses écrites.

  • « Forum chrétien de la vie sociale » le 1er mai 2013 à Louvain-la-Neuve

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    « Forum chrétien de la vie sociale »

    pour la première fois en Belgique 
    le 1er mai 2013 à Louvain-la-Neuve

    Ma foi, ça change tout...

    bracelet_news.jpgLe 1er mai 2013 prochain, la Communauté de l'Emmanuel organisera un « Forum chrétien de la vie sociale », à Louvain-la-Neuve. Cela fait plus de 20 ans que de tels forums sont organisés à Paray-le-Monial, en France, mais c'est la première fois que ce forum sera aussi organisé en Belgique.

    A l'occasion de l'année de la foi, que nous célébrons cette année, ainsi que du cinquantième anniversaire du Concile Vatican II, ce premier forum belge aura pour thème : « Ma foi, ça change tout... ». Nous vivons dans une société, ou une époque de l'histoire, qui se décrit souvent elle-même comme en transition, porteuse d'espoirs comme de désillusions. Un monde en perte de repères ou de sens, autant qu'en recherche de nouvelles voies d'avenir. Dans ce contexte, quelle est la place de la foi religieuse ? Doit-elle aussi être rangée au nombre des croyances et illusions déçues ? Ou, au contraire, dans un paysage où les idéologies s'éteignent, apparaît-elle plus que jamais comme une lumière toujours nouvelle, alors même que sa flamme semble parfois si fragile ?

    La foi, ça change la vie !

    Le « Forum du 1er mai » sera tout d'abord une occasion de redécouvrir comment la foi peut réellement être une lumière intérieure pour nos vies personnelles. L'avenir n'est pas fermé. Il ne nous condamne pas à nous replier sur nous-mêmes ou à fuir les angoisses du monde présent dans la surconsommation ou la recherche excessive de plaisir.

    La foi, ça change le travail !

    Mais il y a plus : si nous avons la chance d'être croyant, la foi peut aussi transformer notre regard sur le monde du travail et nous aider à ouvrir des perspectives renouvelées d'humanisation de ce lieu important de nos vies, même au coeur des difficultés que nous ne manquons pas de rencontrer.

    La foi, ça change la société !

    Mais n'y a-t-il pas encore plus ? La foi ne nous pousse-t-elle pas aussi à oser continuer à croire qu'un autre monde est possible ? Et que nous pouvons participer à sa construction. Mais comment faire ? Dans quelle direction aller ? Ici encore, la foi peut nous donner une lumière aussi précieuse que largement méconnue : celle de la doctrine sociale de l'Eglise.

    Mais que nous dit exactement la doctrine sociale chrétienne ? En quoi peut-elle être un guide pour notre temps ? Comment donc la foi peut-elle transformer nos vies personnelles, professionnelles et sociales ?

    Tel est le faisceau de questions que ce premier « Forum chrétien de la vie sociale » nous donnera l'occasion d'approfondir.

    Etes-vous, vous aussi, intéressés par ces réflexions ? Rendez-vous alors sur notre site pour en savoir plus et obtenir tous les renseignements utiles sur le Forum !

    D'ici le 1er mai, vous y découvrirez, notamment, une série de brèves vidéos qui seront publiées régulièrement et dans lesquelles plusieurs témoins, diversement engagés dans la vie, témoigneront de la façon dont la foi peut changer la vie, le travail ou la société.

    Dès maintenant, vous pouvez donc découvrir une première vidéo, en allant sur la partie "Blog" du site, ou en cliquant sur une des images suivantes :

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  • Quand la franc-maçonnerie se dévoile un tout petit peu

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    Sur l’édition de lalibre.be de ce jour, on découvre, sous la plume de Christian Laporte, que la première Journée belge du livre maçonnique aura lieu ce dimanche 21 avril. 

    En France, le Salon maçonnique du livre de Paris a soufflé ses 10 bougies fin 2012 et des initiatives fleurissent partout dans l’Hexagone. Rien de tel par contre en Belgique. Le seul salon jamais mis sur pied eut Liège comme cadre mais fut sans doute ouvert surtout aux initiés. La lacune sera comblée ce dimanche 21 avril avec "Masonica" à Bruxelles. Et pas n’importe où ! Cela se passera autour des temples et du Musée de la franc-maçonnerie de la rue de Laeken, un haut-lieu du Grand Orient qu’y côtoient les principales obédiences belges au Musée.

    Pourquoi cette Journée maintenant ? Les maçons belges sont de longue date plus réticents à se montrer que ceux d’autres pays européens. Moins par volonté de garder secrètes leurs cogitations comme le pensent les obsédés des théories du complot que mus par un souci de discrétion consécutif aux traumatismes subis pendant la Seconde Guerre.

    Reste à voir ce que La Libre entend par se dévoiler « un tout petit peu ». Aura-t-on accès aux comptes-rendus liés aux travaux parlementaires conduisant à des réformes de sociétés liées à l’éthique, au début et à la fin de vie ? Au « mariage » entre personnes de même sexe, le tout dans une optique internationale ?

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  • Un projet de législation qui bouleverserait le système des fabriques d'église

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    Nous lisons sur le site du Diocèse de Liège :

    "Après avoir informé la presse de ses projets en vue de l’élaboration d’un nouveau décret concernant le temporel du culte, le ministre Furlan vient enfin de transmettre aux évêques wallons un projet de circulaire instituant une opération "pilote" et demandant leur réaction. (accessible en PDF)

    Au travers de cette opération, c’est un bouleversement complet du système jusqu’à présent mis en place pour les fabriques d’église ; ce qui est actuellement obligatoire deviendrait conventionnel et donc négociable.

    La nature même des fabriques d’église est mise en cause en ce que ces dispositions en font des établissements totalement dépendants du bon vouloir communal. Le caractère mixte de la matière de temporel du culte (civil et religieux) ne serait plus respecté, la tutelle de l’évêque serait considérablement réduite. L’autorité communale pourrait intervenir tant dans la gestion des biens des fabriques que dans l’utilisation des lieux de culte.

    Si certains points nous semblent acceptables, il n’en est pas moins important de bien comprendre vers où veut aller le Ministre afin de pouvoir réagir en toute connaissance de cause avec des arguments juridiquement forts."

    Lire la note de réaction du Service des Fabriques d'église

  • Banneux, 1er mai : les diocèses de Liège et de Hasselt consacrés à Marie

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    Renouvellement de la consécration des diocèses de Liège et de Hasselt à Marie

    Le mercredi 1er mai, ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux, les évêques de Liège et de Hasselt renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres

    Chaque année, le 1er mai marque l’ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux. Et pour cause : le mois de mai est celui de Marie et les pèlerins affluent en grand nombre. Cela n’empêche évidemment pas que le Sanctuaire de la Vierge des Pauvres reste accessible toute l’année, 365 jours sur 365. Car, la « belle dame » est là, chaque fois que nous nous rendons à la petite chapelle ou à la source.

    En 2013, le 1er mai est le jour où les évêques de Liège et de Hasselt nous donnent rendez-vous pour un moment intense et solennel : ensemble, ils renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres.
    Au moment des apparitions, en 1933, le diocèse de Liège recouvre encore les provinces de Liège et de Hasselt. C’est d’ailleurs un Limbourgeois qui est le bon pasteur de ce troupeau où l’on parle les trois langues nationales, le flamand, le français et l’allemand. Après la reconnaissance officielle des huit apparitions, l’évêque a voulu consacrer son diocèse solennellement à Marie. Ce qui fut fait le 15 août 1953.

    Quel peut être le sens d’une telle consécration ?
    J’y vois d’abord l’expression d’une profonde gratitude : Marie a visité ce coin de terre à une époque d’énormes bouleversements politiques et sociaux. De grandes épreuves se dessinent –malheureusement– à l’horizon. Je viens soulager la souffrance promet-elle. Ceux qui se sont confiés à elle avec leur vie telle qu’elle est, ont pu faire l’expérience du secours maternel de Marie.


    La seconde guerre mondiale est passée par là et, après 1945, l’immense défi de la reconstruction et de la réconciliation a dû être relevé. Lorsque Mgr Kerkhofs décide de consacrer son diocèse à la Vierge des Pauvres, il sait que la dimension spirituelle ne peut pas être absente d’une telle aventure. Marie n’avait-elle pas affirmé que la source, réservée pour elle, était pour toutes les nations ?


    Après vingt ans, Banneux a fait ses preuves et l’évêque a bien compris que le ciel lui a fait un immense cadeau : il le reconnaît par cette consécration. Mais il souhaite surtout que toute l’Église qui est à Liège accueille joyeusement ce cadeau et trouve son secours auprès de Marie.


    Depuis le 31 mai 1967, le Limbourg est devenu un diocèse à part, réforme institutionnelle oblige, même à l’intérieur de l’Église de Belgique. Mais les habitants du Limbourg sont encore bien « chez eux » quand ils viennent à Banneux. C’est ainsi que les anciens mineurs de cette province ont gardé un merveilleux attachement à Notre-Dame : dans les heures tellement sombres de la fermeture de leurs mines, la Vierge des Pauvres a été un réel soutien pour eux. D’ailleurs quand le diocèse de Hasselt a fêté ses 40 ans d’existence, c’est à Banneux que l’évêque a donné rendez-vous à ses diocésains.


    Heureuse celle qui a cru ! est-il dit de Marie dans les évangiles. L’Année de la Foi voulue par le pape émérite Benoît XVI pour 2013 ne se prête-t-elle pas parfaitement à un renouvellement solennel de la consécration des deux diocèses à la Vierge des Pauvres ?

    Rendez-vous donc le 1er mai 2013 pour ce temps fort, tant pour les Limbourgeois que pour les Liégeois !


    Abbé Leo Palm, 
    Recteur du Sanctuaire de Banneux

    source : liege.diocese.be