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Belgique - Page 392

  • Une conférence à Bruxelles, le 8 novembre, sur la nouvelle christianophobie

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    Conférence-débat

     « La nouvelle christianophobie : jusqu'où, jusqu'à quand ? »

     par Alexandre Del Valle

        le mardi 8 novembre prochain à 18 h 30
    au siège de la Fédération Pro Europa Christiana,
    49 rue du Taciturne, 1000 Bruxelles

    Titulaire de deux DEA – Histoire militaire-sécurité-défense et Histoire des doctrines et des institutions politiques – et diplômé des Sciences politiques, Alexandre Del Valle enseigne la géopolitique et les relations internationales aux Universités de Rome et de Metz ; il est aussi chercheur associé à l'Institut Choiseul et éditorialiste à France Soir.

    Écrivain et conférencier, Alexandre Del Valle est devenu un des meilleurs experts des questions liées à l'affaiblissement des démocraties et au renforcement de l'islamisme, dans des livres tels que Le Totalitarisme islamiste à l'assaut des démocraties (2002), La Turquie dans l'Europe : un cheval de Troie islamiste ? (2004), Le Dilemme turc, ou les vrais enjeux de la candidature d'Ankara (2006), Rouge - Brun - Vert (2008).

    Lors de sa conférence, il nous parlera de son dernier ouvrage Pourquoi on tue des chrétiens dans le monde aujourd'hui (2011). En l'écoutant vous connaîtrez les quatre principaux vecteurs de la nouvelle christianophobie qui vit, actuellement, une dramatique recrudescence.

    Veuillez confirmer votre participation par message téléphoné au 02 2310 944 ou par email : europachristiana@gmail.com (RSVP jusqu'au 4 novembre 2011)

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  • Les quatre saisons du plain chant

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    ACADEMIE DE CHANT GREGORIEN A LIEGE

    Douze leçons, un séminaire, une journée festive de clôture

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    avec Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers

    Copie de chantsgrégoriens22.jpg 

    A partir du samedi 12 novembre 2011 à 15 heures

     

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    A l’église du Saint-Sacrement,

    Boulevard d’Avroy, 132, Liège

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  • Quand l'oracle de Malèves Sainte-Marie évoque la Toussaint

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    C’est une fois de plus Gabriel Ringlet, présenté comme prêtre et écrivain par La Libre, qui est invité à livrer un commentaire intitulé "Toussaint ou Halloween" à propos d’une des fêtes qui rythme le cycle liturgique : la Toussaint.

    Commentaire que La Libre résume elle-même ainsi :

    « Il n’y a pas de laide ou de belle mort. Personne ne sait comment il va l’affronter. Il est très important de rendre la mort présente dans sa vie, quand il fait beau, ou que l’on est en forme. La mort est un appel à être plus vivant ».

    Les trois premières lignes de l’article résument parfaitement la tonalité du temps, et on oserait presque dire aussi l’aveuglement ou même l’absurde :

    Les fêtes de la Toussaint et des morts continuent-elles d’être des moments forts de la société en dépit de sa sécularisation ? Sur le plan quantitatif, non, évidemment. On voit bien, depuis quelques dizaines d’années, un désinvestissement.

    Et à la question de savoir si le rite de la mort a évolué, l’écrivain-prêtre préféré de La Libre, (journal qui fut catholique jusqu’au siècle dernier), il répond : Il a plutôt bien évolué. Du côté catholique, c’est une des plus belles réussites du concile Vatican II. On a quitté l’atmosphère de morbidité, le noir des tentures qui était aussi celui des discours, pour aller vers plus de lumière, plus de légèreté. Et l’écrivain-prêtre de se réjouir de l’évolution du rite de la mort, avec l’attention d’un anthropologue : « Ce qui me paraît très heureux, c’est que le rite évolue aussi du côté de la laïcité. Je trouve que la laïcité s’est mise à investir dans cette dimension anthropologique ».

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  • Récupérer une oeuvre de Rubens volée lors de la Révolution française ?

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    "Nord Eclair" nous relate ce fait assez extraordinaire : la France est toujours en possession d'un tableau de Rubens volé à la cathédrale de Tournai lors de la Révolution française. Certains élus voudraient effectuer les démarches nécessaires auprès des autorités françaises pour qu'elles aient la civilité de nous restituer ce chef d'oeuvre appartenant à notre patrimoine. Y parviendront-ils? On peut en douter quand on sait que des peintures de Véronèse dérobées au Palais des Doges de Venise durant la période napoléonienne trônent au Louvre...

    "Qui l’eût cru? Le dernier tableau de Rubens en Wallonie, qui se trouve à la cathédrale, a un frère: un autre Rubens, volé à la Révolution française, qui se trouve aujourd’hui... au musée des Beaux -Arts de Nantes.

    Le tableau en question, c’est un fameux Rubens intitulé “ Triomphe de Judas macchabée ” peint à la fin du XVIè siècle et commandé à l’époque par l’évêque de Tournai. En 1600, il était déjà dans la cathédrale de Tournai.

    C’est le député Wallon Richard Miller qui a soulevé le lièvre, mardi, lors d’une question à la ministre de la Culture Fadila Lanaan: “ J’ai parlé de ce tableau avec Monseigneur Harpigny et le chanoine conservateur de la Cathédrale, Pierre-Louis Navez, qui m’ont appris qu’il avait été volé par les Français. Il fait partie d’un ensemble de deux tableaux de Rubens, et l’autre est toujours à la cathédrale de Tournai ”, explique le député...."

    lire la suite ici : http://www.nordeclair.be/

  • "Monseigneur Jousten se prononce", titre la Libre Belgique

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    La Libre.be de ce matin met en ligne l'articulet suivant :

    Mgr Jousten se prononce... et dénonce une certaine malhonnêteté des médias censés nous informer

    "Je déplore vivement une telle manière d’informer, car l’effet a été néfaste dans le grand public". Ainsi s’exprime l’évêque de Liège Mgr Aloys Jousten à propos de la manière dont certains médias ont répercuté, en les tronquant et les déformant, les articles publiés par Mgr Léonard, dans la revue "Pastoralia", sur la question des divorcés remariés. Celui qui est aussi l’évêque référendaire de l’épiscopat belge pour l’enseignement précise notamment que Mgr Léonard "ne s’adresse pas aux divorcés remariés qui sont déjà professeurs de religion ou directeurs d’une école (catholique). Il veut faire réfléchir ceux et celles qui voudraient solliciter ou pourraient être sollicités pour une telle mission". L’auteur, ajoute Mgr Jousten, a aussi souligné que l’Église ne juge pas les personnes : "Dieu n’est pas prisonnier des sacrements de son amour". L’évêque de Liège avait d'abord répondu à une lettre ouverte d’Yves Willemaers, écrite au nom de l’équipe du blog Belgicatho. Il a ensuite remanié son texte pour en faire une lettre adressée à l’ensemble des chrétiens du diocèse."

  • Les 53 séminaristes et novices aux études à Namur

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    Correctif (ils ne sont pas tous séminaristes au Séminaire Notre-Dame) :

    Les nationalités : 20 Belges, 5 Congolais, 4 Vietnamiens, 4 Polonais, 4 Français, 2 Espagnols, 2 Paraguayens, 2 Chinois, 2 Indonésiens, 1 Italien, 1 Costaricain, 1 Vénézuélien, 1 Dominicain, 1 Brésilien, 1 Equatorien, 1 Mexicain, 1 Béninois, soit un total de 53;

    29 sont séminaristes au Séminaire Notre-Dame,
    12 sont séminaristes au Séminaire Redemptoris Mater,
    2 sont novices à la Fraternité Saint Thomas Beckett,
    6 apartiennent à la Communauté de l'Emmanuel (Maison Saint Joseph),
    2 sont novices à l'Abbaye de Westmael.

  • Un hommage rendu à une religieuse belge qui a caché de nombreux enfants juifs

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    C'est sur info.catho.be :

    Le 3 novembre prochain, au Mémorial Yad Vashem de Jérusalem, la Médaille des Justes sera remise aux Sœurs du Saint-Cœur de Marie de La Hulpe, en mémoire de Mère Marie-Véronique Smeerts, la supérieure générale qui, durant la Deuxième guerre mondiale, n’hésita pas, dès 1941, à cacher de nombreuses enfants juifs au Pensionnat de Malaise-Overijse.

    Lire la suite ici : http://info.catho.be/2011/10/26/la-medaille-des-justes-attribuee-a-mere-marie-veronique-smeerts/

     

  • Réaffecter ou élargir l’affectation des bâtiments du culte ?

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    Salle Bourgie.jpgCe jeudi 27 octobre un projet de réaffectation de l’église Sainte-Foy à Liège sera présenté, à titre informatif, au Comité de quartier de Saint-Léonard de la métropole wallonne. Selon l’organiste Serge Schoonbroodt, promoteur de ce projet, il s’agirait de transformer cette église en un lieu « de rencontre, de culture et de foi » et de mixité communautaire où chacun respecte la pensée de l'autre.

    Voici l’exposé des motifs de ce projet :

    « Liège compte de nombreuses églises, la plupart toujours en activité, d'autres désacralisées, certaines abandonnées. Force est de constater que la fréquentation des églises par les fidèles est en diminution constante. Depuis longtemps on se pose la question de l'utilisation future de certains de ces lieux. La question se pose surtout pour des églises au caractère patrimonial mineur, à l'architecture moins remarquable, qui n'attirent l'attention ni des autorités publiques ni du grand public.

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  • Cabale anti-Léonard : Monseigneur Jousten a revu sa copie

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    Le site du diocèse de Liège a mis en ligne une version modifiée de la réponse que Monseigneur Jousten nous avait fait parvenir et que nous avions reproduite, ...et commentée (http://www.belgicatho.be).

    Voici cette nouvelle version amendée (qui, comme on le constate, est adressée "aux chrétiens du diocèse de Liège" sans la moindre mention de notre blog, malgré l'information parue sur info.catho.be):

    Aux chrétiens du diocèse de Liège

    Lire, relire… puis commenter

    Dans Pastoralia, le mensuel de l’archidiocèse, Mgr Léonard a publié quatre articles sur le sacrement du mariage. Il y a peu, les médias ont commenté de manière très critique quelques phrases de l’article consacré au « problème des divorcés remariés ». Voici le passage incriminé : Comme tous les autres baptisés, les divorcés remariés peuvent donc et même doivent participer à la vie de l’Église sous ses divers aspects. Ils ne sont en aucune manière excommuniés! Ils éviteront cependant de solliciter des tâches qui les mettraient en position délicate de porte-à-faux, comme l’enseignement de la religion, par exemple, ou la direction d’une école catholique.

    Les réactions que j’ai reçues de la part d’enseignants et même de jeunes confirmands m’ont amené à lire attentivement cet article. Je suis touché par deux constatations. D’un côté, Mgr Léonard explique à tous, de manière très claire et accessible, la position de l’Église catholique par rapport à la communion eucharistique et au sacrement de réconciliation. L’auteur précise bien qu’il s’agit là d’un point de vue « objectif » et que l’Église ne juge pas les personnes : Dieu n’est pas prisonnier des sacrements de son amour. D’un autre côté, Mgr Léonard fait preuve de beaucoup de compréhension, de douceur et d’amour pour les divorcés remariés. Il a consacré un petit ouvrage à ces frères et sœurs dans l’Église dont le titre est : L’Église vous aime. J’ai rarement lu une contribution qui, en quelques pages, explique aussi bien l’attitude de l’Église catholique et la situation des divorcés remariés au sein de l’Église, Peuple de Dieu.

    Commentant l’article, le journal a tronqué son contenu et déformé son intention. C’est regrettable. Certains médias ont repris cette présentation (sans lire et se préoccuper du texte original). Je déplore vivement une telle manière d’informer, car l’effet a été néfaste dans le grand public.

    Mgr Léonard s’adresse aux divorcés remariés pour leur expliquer la position de l’Église. Il ne vise pas les divorcés. Ensuite, il ne s’adresse pas aux divorcés remariés qui sont déjà professeurs de religion ou directeurs d’une école (catholique). Il veut faire réfléchir ceux et celles qui voudraient solliciter ou pourraient être sollicités pour une telle mission.

    La levée de boucliers provoquée par le commentaire du message de Mgr Léonard confirme que la situation des divorcés remariés est une question sensible et récurrente au sein de l’Église. Elle est une croix pour le Pape, les évêques et tous les pasteurs, personne ne voit comment s’en décharger et ne se croit autorisé de s’en défaire. Il est important de présenter objectivement la position de l’Église.

    À plus forte raison aurons-nous à cœur de rencontrer, avec douceur et  bienveillance, ceux et celles qui très souvent sont blessés et éprouvés par l’échec de leur premier mariage. 

    + Aloys Jousten

    Il n'échappera pas au lecteur attentif que cette nouvelle version du message de l'évêque de Liège ne comporte plus les passages litigieux que nous avions relevés dans notre commentaire, notamment celui où il prenait ses distances à l'égard de la formulation de Monseigneur Léonard : "À mon humble avis, l’auteur (Mgr Léonard) aurait mieux fait de ne pas citer les deux groupes, car d’autres sont aussi concernés. Dès lors, il vaut mieux se limiter à des considérations générales.", ou encore cette surprenante affirmation : "l’amour de Dieu passe les limites des signes (humains) que sont les sacrements".

    Dès lors, cette version revue et corrigée recueille notre adhésion. Que notre blog ne soit pas mentionné n'a guère d'importance. Seul le résultat compte et nous nous réjouissons de voir publier cette nouvelle version à l'égard de laquelle nous n'avons plus de commentaires à formuler.

  • Une plainte contre Mgr Léonard jugée irrecevable

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    Cette plainte avait été déposée en novembre 2010 et visait les déclarations de Mgr Léonard relatives à l'homosexualité. Elle a été déclarée irrecevable par la chambre des mises en accusation d'Anvers.

    Voir ici : http://www.lalibre.be/actu/

  • Cabale anti-Léonard : Monseigneur Jousten répond à notre "lettre ouverte"

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    Lire et relire

    Dans Pastoralia, le mensuel de l’archidiocèse, Mgr Léonard a publié quatre articles sur le sacrement du mariage. Il y a peu, les médias ont commenté très critiquement quelques phrases de l’article consacré au « problème des divorcés remariés ». Voici le passage incriminé : Comme tous les autres baptisés, les divorcés remariés peuvent donc et même doivent participer à la vie de l’Église sous ses divers aspects. Ils ne sont en aucune manière excommuniés! Ils éviteront cependant de solliciter des tâches qui les mettraient en position délicate de porte-à-faux, comme l’enseignement de la religion, par exemple, ou la direction d’une école catholique.

    Les réactions que j’ai reçues de la part d’enseignants et même de jeunes confirmands m’ont amené à lire attentivement cet article. Je suis touché par deux constatations. D’un côté, Mgr Léonard explique à tous, de manière très claire et accessible, la position de l’Église catholique par rapport à la communion eucharistique et au sacrement de réconciliation. L’auteur précise bien qu’il s’agit là d’un point de vue « objectif » et que l’Église ne juge pas les personnes. D’un autre côté, Mgr Léonard fait preuve de beaucoup de compréhension, de douceur et d’amour pour les divorcés remariés. Il a consacré un petit ouvrage à ces frères et sœurs dans l’Église dont le titre est : L’Église vous aime.

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  • Qu'avons-nous fait de notre foi, de notre pays, de notre société ?

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    CHEIKFITANEWS-MONSENGWO-P1016574---Copie.JPG"Le cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, archevêque de Kinshasa a officié une messe le dimanche 23 octobre 2011 en la Basilique de Koekelberg, aux côtés de monseigneur Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles ainsi que de plusieurs prêtres congolais de Belgique.

    Toutes les places assises étaient prises d’assaut et on pouvait facilement compter pas moins de 1300 personnes, la plupart arrivées à l’heure, si pas avant.

    Première messe devant la communauté congolaise en tant que cardinal, une année après.

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