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Ethique - Page 531

  • Présidentielles françaises : Marine Le Pen porte au pouvoir la gauche libertaire et mortifère

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    Selon "Le Point", qui cite Opinion way, près de deux millions de Français ont choisi le bulletin contestataire, qui ne sera pas comptabilisé:

    C'est une victoire historique pour tous ses partisans. Pour la première fois, le vote blanc, qui n'est pas comptabilisé en France, a atteint ce dimanche 7 % des suffrages, révèle un sondage OpinionWay. Ainsi, ce seraient plus de deux millions d'électeurs qui n'auraient reporté leur voix sur aucun des deux candidats finalistes. Pourtant, comme lors des précédents scrutins, ce vote contestataire est venu gonfler les chiffres de l'abstention, et renforcer la frustration des partisans du ni-ni.

    En dépit des nombreuses critiques sur ce qui est considéré comme une "anomalie" de la démocratie, la France est loin d'être le seul pays à fermer les yeux sur le vote blanc. Bien au contraire. En Europe, seuls trois pays reconnaissent ce bulletin vierge. Tout d'abord la Suisse, qui comptabilise les bulletins blancs aux premiers tours des élections, au scrutin majoritaire. Ce n'est pas le cas lors des seconds tours, où la majorité relative est appliquée.

    Voir tout l’article ici  Vote blanc : un score historique

    A qui profite la politique du pire ? au pire, naturellement, comme aurait dit M. de la Palice.

  • France : écrire au nouveau Président

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    Telle est la démarche proposée par la Fondation de Service Politique :Le-mot-du-PRESIDENT_visuel.jpgOn pourra signer cette lettre ici : http://www.libertepolitique.com/Nos-actions/Agir-avec-Liberte-politique/Ecrivez-au-President

  • BXL, 12 mai : "Ensemble pour l'Europe", pour une Europe enracinée dans son passé chrétien

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    images.jpgPublié sur le "Vatican Insider" (5/05/2012) et traduit par notre amie Bruna :

    Voyage dans les racines chrétiennes de l’Europe.

    Interview de Cesare Zucconi de la communauté San Egidio, membre du comité d’orientation de « Ensemble pour l’Europe », manifestation organisée à Bruxelles le 12 mai et qui rassemblera des représentants de nombreuses villes de tous les continents. (Fabio Mandato – Rome).

    - Que représente « Ensemble pour l’Europe » et qui y participera ?

    « Ensemble pour l’Europe » est une convergence spontanée de nouvelles communautés et mouvements chrétiens appartenant à différentes confessions, qui gardent leur autonomie mais agissent ensemble pour promouvoir et soutenir le processus d’unité européenne. Ils agissent avant tout en étant eux-mêmes témoins de cette unité à travers une fraternité amicale et un engagement évangélique commun dans la société européenne et dans le monde. « Ensemble pour l’Europe » est l’expression de la société civile européenne, de chrétiens de différents pays et de confessions différentes qui perçoivent l’unité européenne comme étant une nécessité, une priorité de notre temps, et veulent la soutenir avec passion. La journée historique de la Pentecôte 1998, voulue par Jean-Paul II, qui a vu de nombreux courants catholiques se recueillir Place Saint-Pierre, à été un stimulant à plus de communion et de collaboration entre des mouvements catholiques différents par leur histoire, leur charisme. Benoît XVI a répété l’expérience à la Pentecôte 2006. Ce courant de sympathie, cet esprit de collaboration, à l’initiative en particulier de Chiara Lubich et Andrea Riccardi, s’est élargi au monde protestant allemand, puis aux anglicans et aux orthodoxes de différents pays d’Europe. Maintenant nous nous préparons pour le 12 mai à Bruxelles, capitale des Institutions Européennes. La crise économique qui traverse notre continent provoque beaucoup de souffrances et de peur, cela nous interpelle et nous implique en tant qu’Européens chrétiens. Un message fort , un engagement fort et rénovateur sont nécessaires. Nous devons nous unir pour pouvoir sortir ensemble de cette crise qui est aussi politique, une crise du futur et des ambitions.

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  • Le "Friday Fax" du 5 mai : droits sexuels et impasse démographique

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    Friday-Fax-Header-French.jpgAustin Ruse présente les deux "reportages" de cette semaine :

    Les militants de gauche favorables aux droits sexuels viennent d’essuyer une défaite à la Commission de l’Onu sur la population et le développement. Ils voulaient obtenir des droits sexuels pour les enfants dès dix ans, et ils ont échoué. Ils voulaient que soient reconnus l’orientation sexuelle et l’identité de genre, sans succès. Ils voulaient que la référence aux droits parentaux soit retirée du document final, mais ne l’ont pas obtenu. Même en inondant la conférence de jeunes radicaux, ils ont échoué.

    Les lobbies pro avortement et pro homosexuel sont renvoyés chez eux les mains vides

    Notre second reportage discute les thèses de articles importants publiés dans des journaux prestigieux  sur les effets négatifs de l’idéologie du contrôle démographique. La politique est en train d’évoluer vers un terrain dangereux et jusqu’à maintenant complètement inconnu. De nombreuses sociétés font face à de sérieux problèmes grâce à l’ONU et à d’autres idéologues de la démographie.

    Analyse : Les ruptures familiales au cœur de la crise mondiale du vieillissement

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 4 mai 2012

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    Sommaire

  • BXL , 10 mai : les "coulisses de l'Europe"

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    Ouvert à tous, jeunes et moins jeunes... cette journée vécue avec avec les jeunes de l'Institut Sophia vous permettra de rencontrer de témoins engagés sur le terrain!

    « Coulisses de l’Europe », le jeudi 10 mai 2012 de 9h15 à 15h30.

    Le programme :

    • 9h15 : Accueil au siège de la Commission des Episcopats de la Communauté Européenne (COMECE) - Square de Meeûs 19, 1050 Bruxelles
    • 9h30 : Etienne Magnien (retraité de la Commission européenne) : la politique européenne de recherche et d'innovation en perspective.
    • 10h45 – 11h30 : Présentation par, Sophia KUBY, Executive Director, du rapport de l’ONG European Dignity Watch : « La Commission financerait-elle des projets promouvant l’avortement ? »
    • 11h30- 12h: présentation d’associations de jeunes actives dans le lobbying européen, et notamment la World Youth Alliance.
    • 12h15 Eucharistie
    • 13h – 14h15 : Lunch (merci d’apporter votre pique-nique)
    • 14h30 – 15h30 : Parlementarium : exposition interactive au Parlement européen.

    PAF: 7 euros.

    Inscription : institutsophia@yahoo.fr
    Ou 0477 042 367

    Bienvenue à chacun!

  • Les exigences de la justice sociale

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    Benoît XVI a reçu ce matin les lettres de créances de cinq nouveaux Ambassadeurs non résidents : M.Teshome Toga Chanaka pour l'Ethiopie; Mme Dato' Ho May Yong pour la Malaisie (première représentation); M.David Cooney pour l'Irlande; M.Naivakarurubalavu Solo Mara pour les Fidji ; et M.Viguen Tchitetchian pour l'Arménie. Voici les passages saillants du discours qu'il leur a adressé (source : VIS) :

    "Le développement des moyens de communication a rendu notre planète, d’une certaine manière, plus petite... Et le constat de la grande souffrance provoquée dans le monde par la pauvreté et la misère aussi bien matérielles que spirituelles invite à une nouvelle mobilisation pour faire face, dans la justice et la solidarité, à tout ce qui menace l’homme, la société et son environnement. L’exode vers les villes, les conflits armés, les famines et les pandémies, qui touchent tant de populations, développent de façon dramatique une pauvreté qui revêt de nouvelles formes. La crise économique mondiale plonge de plus en plus de familles dans une précarité croissante. Alors que la création et la multiplication des besoins a fait croire à la possibilité illimitée de bien-être et de consommation, faute des moyens nécessaires à leur satisfaction, des sentiments de frustration sont apparus... Et quand la misère coexiste avec la très grande richesse, naît une impression d’injustice qui peut devenir source de révoltes. Il convient donc que les états veillent à ce que les lois sociales n’accroissent pas les inégalités et permettent à chacun de vivre de façon décente. Il faut pour cela considérer les personnes à aider" avant le redressement des comptes. Il faut "leur rendre un rôle d’acteur social, et leur permettre de prendre en main leur avenir, afin qu'elles occupent la place qui leur revient dans la société... Le développement auquel toute nation aspire doit concerner chaque personne dans son intégralité, et non la seule croissance économique... Des expériences telles que le microcrédit, et des initiatives pour créer des partenariats équitables, montrent qu’il est possible d’harmoniser des objectifs économiques avec le lien social, la gestion démocratique et le respect de la nature". Il est bon également "de promouvoir le travail manuel et de favoriser une agriculture qui soit tout d’abord au service des habitants... Pour renforcer le caractère humain de la réalité socio-politique, il faut être attentif à une autre sorte de misère, celle de la perte de référence à des valeurs spirituelles, à Dieu. Ce vide rend plus difficile le discernement du bien et du mal, mais aussi le dépassement des intérêts personnels en vue du bien commun". Les états ont par ailleurs "le devoir de valoriser leur patrimoine culturel et religieux qui contribue au rayonnement d’une nation, et d’en faciliter l’accès à tous, car en se familiarisant avec l’histoire, chacun est amené à découvrir les racines de sa propre existence. La religion permet de reconnaître en l’autre un frère en humanité. Laisser à quiconque la possibilité de connaître Dieu, et cela en pleine liberté, c’est l’aider à se forger une personnalité forte intérieurement qui le rendra capable de témoigner du bien et de l’accomplir quand bien même cela lui coûterait... Ainsi pourra s’édifier une société où la sobriété et la fraternité vécues feront reculer la misère, et prendront le pas sur l’indifférence et l’égoïsme, sur le profit et sur le gaspillage, et surtout sur l’exclusion.

  • Présidentielles française : le vote des anges

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    Lu sur le site de l’agence « Zénit » (extraits) :

    ROME, jeudi 3 mai 2012 (ZENIT.org) –  Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA, auteur de La Bataille de l’euthanasie (Salvator – 2012), explique aux lecteurs de Zenit pourquoi Alliance VITA a pris position sur les questions éthiques en jeu dans l’élection présidentielle française dont le second tour est dimanche prochain, 6 mai. Il souligne qu’il ne faut pas confondre « objection de conscience », efficace, et qui passe aussi par les urnes, et « vote blanc », contre-productif.

    Votre communiqué de presse – que nous publions sous le titre : « France : présidentielle « à haut risque » pour le respect de la vie » - met en garde contre le fait que certains chrétiens envisagent de voter blanc pour ce second tour, pourquoi ?

    Présenter le vote blanc comme un vote politique, voire spirituel, est à nos yeux angélique. Le vote blanc ne pèse rien.(…). A la rigueur, je pense qu’un vote blanc pourrait s’imposer au second tour si l’on était dans l’incapacité absolue de cautionner une réforme gravissime préconisée par chacun des deux candidats. Ou bien s’ils étaient équivalents sur les points « vitaux », non négociables. Or, il n’en est rien et c’est même tout le contraire (…) . Mais comment pourrions-nous nous « laver les mains » des perspectives ouvertes par le programme de François Hollande : euthanasie (tout en  dissimulant ce terme) et « mariage » homosexuel assorti du droit d’adopter des enfants et, pour les femmes, d’accéder à la procréation artificielle ? Sans oublier l’élargissement de la recherche qui détruit l’embryon humain, l’extension du remboursement de l’avortement et la multiplication des lieux d’avortement, etc. Et je passe sur d’autres promesses que j’ai découvertes en lisant la réponse de François Hollande au Comité d’action laïque, où l’on décèle un laïcisme de combat qui menace la liberté scolaire.

    Affirmeriez-vous que le président actuel rejoint vos convictions sur l’ensemble de ces sujets ?

    Certainement pas. Nous savons bien que la majorité sortante cautionne aussi de graves dérives éthiques. Nous les avons combattues avec Alliance VITA, au jour le jour, depuis cinq ans. Et c’est justement forts de cette expérience que nous prenons position. Pour la loi bioéthique, il faut avoir l’honnêteté de reconnaître que nous avons réussi à limiter certains dégâts, en faisant voter plusieurs des amendements que nous avions rédigés, contre les amendements soutenus par la gauche. Mais aujourd’hui, dans son opposition à l’euthanasie et au « mariage » homosexuel, Nicolas Sarkozy est clair.

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  • Quaerere Deum

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    Source : Vatican Information Service (VIS)

    Le Pape s'est rendu ce matin à la Faculté de médecine de l'Hôpital Agostino Gemelli de Rome, qui fête ses 50 ans, où il a prononcé une conférence sur la recherche de l'absolu dans la culture contemporaine. Il a été accueilli par les autorités académiques, le Cardinal Archevêque de Milan, patron de l'Université catholique dont dépend le Gemelli, et le Cardinal Vicaire de Rome, ainsi que par le Président de la Chambre italien et les Ministres italiens de la santé et de la culture. Les sciences expérimentales, a dit Benoît XVI, "ont transformé notre vision du monde et jusqu'à la perception que l'homme a de lui même. Les nombreuses découvertes scientifiques et les nouvelles technologies qui se multiplient à grand rythme doivent être un motif de satisfaction, quoique parfois source de développements inquiétants". Par ailleurs, l'élan qui est à la base du "vaste héritage de culture et de progrès de l'Europe semble oublié. Le Quaerere Deum, cette recherche de l'absolu, comprenait l'exigence de dépasser les sciences profanes... Quoique dans la cadre de physionomies épistémologique et méthodologique propres, la recherche provenait d'une source unique, le Logos qui préside à l'oeuvre de la création et à l'intelligence de l'histoire. Une mentalité fondamentalement techno-pratique entraîne un déséquilibre entre ce qui est techniquement possible et moralement acceptable, au risque de conséquences imprévisibles".

    C'est pourquoi, a poursuivi le Saint-Père, il est "important que la culture retrouve la force de sens et de dynamisme de la transcendance, qu'elle s'ouvre donc franchement au Quaerere Deum... La science et la foi possèdent une féconde réciprocité, une sorte d'exigence complémentaire de l'intelligence du réel... Religion du Logos, le christianisme ne relègue pas la foi dans l'irrationnel mais reconnaît à la raison créatrice l'origine et de sens de la réalité qui s'est manifestée dans le Dieu crucifié, avec un amour invitant à la recherche de l'absolu du Je suis la voie, la vérité et la vie... C'est en parcourant les chemins de la foi que l'homme peut découvrir dans la souffrance et la mort qui traversent l'existence une véritable possibilité de bien et de vie. Il reconnaît dans la croix du Christ l'arbre de Vie, la révélation de l'amour total de Dieu pour l'homme. Le soin de qui souffre devient ainsi une rencontre quotidienne avec le Christ. La mise à ce service de l'intelligence et du coeur devient un signe de la miséricorde de Dieu et de sa victoire sur la mort. Vécue totalement, la recherche est éclairée tant par la foi que par la science, deux ailles qui la propulsent loin, sans oublier la nécessaire humilité ni la conscience des limites. Cette recherche de Dieu rend féconde l'intelligence, devient un ferment de culture et un propulseur de l'humanisme véritable et d'une science qui ne se limite pas au superficiel".

    Dans tout cela, prend place la "mission unique de l'Université catholique, où l'éducation est mise au service de la personne et de sa formation scientifique, ancrée dans un patrimoine de savoirs qui, de génération en génération, a diffusé une sagesse de vie. C'est un lieu où soigner n'est pas un métier mais une mission... L'Université catholique, qui a un rapport particulier avec le siège de Pierre, doit être une institution exemplaire qui ne se limite pas à apprendre en vue d'un bénéfice économique, mais où l'intelligence permet de développer les dons...en dépassant toute vision productiviste et utilitariste de l'existence. L'homme est fait pour le don, qui en exprime et en révèle la dimension transcendantale". S'adressant en conclusion aux patients de l'hôpital, Benoît XVI a tenu à les assurer de sa prière et de son affection.

  • Répondre à l'euthanasie en développant les soins palliatifs

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    L'Homme nouveau publie un numéro spécial consacré aux soins palliatifs. Adélaïde Pouchol présente cette publication :

    « Il faut savoir mourir fièrement lorsqu'il n'est plus possible de vivre avec fierté », écrivait Nietzsche dans le Crépuscule des idoles, offrant à la modernité l'élégance de la formule et la force de la revendication. Les élections présidentielles ont fait de la légalisation de l'euthanasie une question brûlante et rendu d'autant plus nécessaire une réflexion de fond en même temps qu'un engagement toujours grandissant auprès des mourants. Si les lobbies proeuthanasie ont pu faire évoluer les mentalités, pourquoi les tenants du respect de la vie jusqu'à sa mort naturelle ne pourraient- ils pas faire entendre leurs voix ?

    Les soins palliatifs permettent assurément d’offrir aux malades une mort véritablement digne de leur condition humaine, mais trop peu de mourants en bénéficient dès lors que ces soins sont, au mieux, méconnus, au pire délaissés car trop exigeants. Le personnel médical est mal formé à l’accompagnement de fin de vie, tiraillé entre l’interdit de donner la mort et l’obligation de soulager les souffrances. Soigner sans pouvoir guérir parfois pendant de longs mois demeure un vrai défi humain. Il nous paraissait urgent de connaître, comprendre, être à même de répondre de notre choix d’une culture de vie sans seulement s’opposer mais en proposant une approche plus juste de la fin de vie.

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  • Chine : un dissident encombrant

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    Jeanne Smits, sur son blog, commente "l'évasion" de ce dissident :

    L’avocat chinois aveugle et autodidacte Chen Guangcheng s’est échappé de son domicile où il était assigné à résidence dans des conditions très dures depuis plus d’un an et demi. « Il a pu sortir de chez lui le 22 avril et ses amis (…) l’ont conduit en lieu sûr, en dehors de sa province du Shandong », a indiqué à l’AFP Bob Fu, militant des droits de l’Homme basé aux Etats-Unis et en contact avec Chen. Chen Guangcheng a été incarcéré, battu, surveillé, privé de soins, pour avoir osé parler contre la politique de l’enfant unique en Chine et ses stérilisations et avortements forcés. (Source : Présent du 28 avril.)

    Lire la suite : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com

  • Eglise d’Irlande: la fracture

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    Les “matinales” de la Vie titrent sur les divisions doctrinales qui minent l’Eglise catholique en Irlande:

    Dans l'affaire de la sanction par Rome du père D'Arcy, à qui le Vatican a ordonné de ne plus écrire ni communiquer ses points de vue jugés trop libéraux sur la contraception et l'ouverture du sacerdoce aux femmes, c'est à présent la BBC qui entre dans la controverse. La radio publique a en effet publié un communiqué dans lequel elle se déclare mécontente des révélations du père D'Arcy, qui a expliqué vendredi que depuis quatorze mois, il soumettait toutes ses chroniques pour relecture aux autorités ecclésiales avant de les dire sur les ondes. Selon la BBC, cela viole les règles éditoriales du groupe. "Le contrôle éditorial de l'émission Pause for Thoughts sur Radio 2 est la responsabilité exclusive de la BBC", dit le communiqué envoyé à l'Independant on Sunday. Le père D'Arcy, qui collaborait à l'émission depuis 20 ans, a révélé cela dans une autre émission de radio, le Marian Finucane Show, et a avoué ne pas comprendre pourquoi il était sanctionné. "Mon supérieur m'a convoqué, et m'a dit que la Congrégation pour la doctrine de la Foi était très mécontente de moi, qu'elle n'aimait pas mon attitude envers la façon dont le Vatican avait géré la crise des abus sexuels, ni ce qu'ils appelaient mon point de vue libéral sur la contraception. Ce qui est nouveau pour moi, parce qu'en 20 ans je n'ai jamais évoqué le sujet, car de mon point de vue, les gens se font leur propre opinion de toute façon".

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