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Famille - Page 156

  • L'autorité éducative en crise

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    Vivien Hoch, sur Itinerarium, propose une réflexion sur "La crise de l’autorité éducative"

    « Pourquoi et comment poser des limites à son enfant ? ». Telle est l’énigmatique question à laquelle nous invitait à réfléchir une conférence récemment organisée par la ville de Sceaux et animé par très médiatique pédiatre Aldo Naouri. Aussi improbable que cela puisse paraître, ce genre d’évidences est aujourd’hui de plus en plus l’objet d’interrogations pour nombres de parents visiblement dépassés par leur rôle éducatif. Les raisons de poser un cadre, de faire respecter des règles, de dire non à son enfant ne relève manifestement plus de l’ordre du bon sens. Quoi de plus normal, me direz-vous, dans une société aliénée par la consommation et l’injonction constante à la « jouissance sans entrave » ? Asséné à longueur de spots publicitaires à nos esprits lobotomisés par le flux médiatique, ce leitmotiv hédoniste rend de plus en plus inacceptable à nos contemporains toute idée de frustration.

    Voir la suite sur itinerarium.fr : la crise de l’autorité éducative

  • Québec : les autorités publiques imposent aux écoles un cours « interconvictionnel » de morale et de culture religieuse

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    Au Québec, des parents catholiques réclamant pour leurs enfants l’exemption d’un « Cours d'éthique et culture religieuse » ont été déboutés. C’est l’occasion de découvrir les enjeux d’une telle demande et de la réponse de la cour. L’association des parents catholiques du Québec (APCQ) présente ces enjeux, et l’enjeu principal : la liberté religieuse. Extraits de l’interview de Mme Morse-Chevrier par Anita Bourdin :

     « Zenit – Madame Jean Morse-Chevrier, vous êtes présidente provinciale de l'Association des parents catholiques du Québec: quels sont ses objectifs ?

    Mme Jean Morse-Chevrier - (…) promouvoir un système scolaire axé sur le primat de la personne humaine et sur son épanouissement dans toutes ses dimensions :  physique et intellectuelle, morale et religieuse, professionnelle, civique et culturelle. Mais aussi promouvoir l’éducation et la culture chrétiennes dans tous les milieux de vie de l’enfant et de la jeunesse, propager et appliquer les principes du droit naturel et de la doctrine de l’Église en matière d’éducation et de culture (…).Enfin, nous voudrions aider à former de véritables familles chrétiennes(…).

    Le combat pour la vraie liberté d'enseignement semble se faire plus difficile depuis quelques années au Canada? Pourquoi?

    En ce qui concerne le Québec, il y a eu,  depuis 50 ans, des manifestations nombreuses politiques de volonté de déconfessionnaliser le système scolaire (…).

    En février, des parents de Drummondville qui réclamaient une exemption pour ses enfants du Cours d'éthique et culture religieuse (ECR) a exprimé sa déception après avoir été débouté par la Cour suprême. Qu’est-ce que les parents objectent au cours d’ECR?

    Nous avons formulé dix objections principales. Primo, ce cours banalise la religion en plaçant toutes les religions, spiritualités, mouvements religieux et visions du monde sur un pied d’égalité.

    Plus encore, il représente faussement la religion, en la présentant sans sa dimension transcendante. Par exemple dans les noms du divin on ne trouve pas le nom de Jésus.

    Le cours ne permet pas non plus de comprendre chacune des religions, car aucune d’elle n’est présentée dans son entièreté. Chacune est présentée de façon partielle à travers un ensemble de thèmes où les contenus d’une religion sont juxtaposés aux contenus des autres religions. Par ex. on parle des célébrations et on met côte à côte, Noël, Sukkoth, Wesak, Divali, la Fête des mères etc. À la fin de ce cours,  on peut prévoir que l’enfant ne connaîtra ni sa propre religion ni celle des autres et qu’il aura une très grande difficulté à démêler l’une de l’autre.

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  • Un arrêt de la CEDH constitue une sérieuse défaite pour le lobby homosexuel

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    Pour la Cour européenne des Droits de l’Homme (CEDH), la limitation de l’accès à l'AMP* aux couples hétérosexuels et le rejet de la demande d’adoption d’un enfant par la partenaire homosexuelle de sa mère ne sont pas discriminatoires (source : http://www.cpdh.info)

    Strasbourg, le 15 mars 2012 - La Cour européenne des Droits de l’Homme (CEDH) a jugé, dans un arrêt rendu dans l’affaire GAS et DUBOIS c. France (Requête no 25951/07), que la France n’a pas violé la Convention européenne des droits de l’homme en refusant à une femme homosexuelle la faculté d’adopter l’enfant de sa partenaire, et en limitant l’accès à l'aide médicale à la procréation (AMP*) avec donneur aux couples hétérosexuels.

    L’ECLJ salue cet arrêt qui apporte des précisions importantes sur la question de l’adoption et de la procréation artificielle pour les partenaires homosexuels. Cet arrêt confirme la tendance récente de la Cour à une plus grande retenue judiciaire. Enfin, cet arrêt est susceptible d’avoir d’importantes conséquences sur la négociation de la Recommandation sur les droits et le statut juridique des enfants et les responsabilités Parentales, ainsi que sur un certain nombre d’autres affaires pendantes devant la CEDH. Dans l’ensemble, on peut analyser cet arrêt comme une défaite sévère de la « cause homosexuelle »[1], la Cour européenne ayant fait preuve de modération et de rigueur dans son interprétation de la Convention.

    L’affaire concerne le refus par les tribunaux français de la demande d’une femme d’adopter l’enfant que sa partenaire de même sexe avait conçu à l’étranger par procréation artificielle avec tiers donneur anonyme. Les juridictions françaises avaient refusé l’adoption parce qu’elle aurait eu pour effet de priver la mère biologique de ses droits et de son autorité parentale sur l’enfant, et aurait par suite été contraire à l’intérêt de l’enfant.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 19 mars 2012

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    images (4).jpgSommaire

      Vlaanderen: steeds meer mensen adopteren kinderen met een handicap

      226 enfants adoptés en Belgique francophone en 2010

      Des grossesses à terme mais plus tardives

  • La mentalité libertaire : majorité au Parlement européen

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    A Strasbourg, le parlement européen vient d’approuver  le “rapport sur l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’Union européenne présenté par l’eurodéputé libérale Sophie in’t Veld, présidente de de la Plate-forme du Parlement européen pour la laïcité en politique et Vice-présidente de l’Intergroupe sur les droits des LGTB.

    Notre confrère du « Salon beige » donne le ton de ce rapport suivi d’une résolution dans laquelle  où l’on peut notamment lire que ce parlement (extraits):

    « (…) invite la Commission et les États membres à élaborer des propositions en vue de la reconnaissance mutuelle des unions civiles et des familles homoparentales à travers l’Europe (…), déplore que certains États membres aient adopté des définitions restrictives du terme ‘famille’ afin d’éviter d’avoir à garantir une protection juridique aux couples de même sexe et à leurs enfants et à propos de l’avortement (sous couvert de “droits sexuels et génésiques) exprime son inquiétude concernant les réductions budgétaires touchant le planning familial et l’éducation sexuelle, ainsi que les restrictions à l’accès aux soins de santé sexuelle et génésique dans certains États membres, en particulier en ce qui concerne la protection de la grossesse et de la maternité et l’avortement légal et sûr; souligne que toutes les femmes doivent être maîtresses de leurs droits sexuels et génésiques, notamment en ayant accès à une contraception de qualité à prix abordable. » Référence : Un rapport pro-avortement et pro-gay approuvé par le Parlement européen

     C’est bien ce que nous disions : l’Europe n’est pas l’Amérique…même s'il ne s'agit ici que d'une résolution (non contraignante): "Stap voor stap", comme on dit dans le plat pays de Mme in 't Veld...

  • Quand le pape redit le sens du mariage et de la chasteté

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    A la suite de Jeanne Smits, nous reproduisons ces extraits d'un message adressé par le pape à une délégation d'évêques américains. A la lecture, on comprendra pourquoi.
    Cité du Vatican, 9 mars (VIS). Benoît XVI a reçu ce matin un groupe de prélats de la Conférence épiscopale des Etats-Unis d'Amérique, concluant leur visite Ad Limina, auxquels il a parlé de la crise du mariage et de la famille, « et plus généralement de la vision chrétienne de la sexualité humaine ». 
    « Il est de plus en plus évident que le mépris de l'indissolubilité de l'alliance matrimoniale et le refus diffus d'une éthique sexuelle fondée sur la chasteté ont créé de graves problèmes sociaux, ainsi qu'immense coût humain et économique... On doit citer à ce propos les puissants courants socio-politiques qui poussent à modifier la définition légale du mariage. Les efforts de l'Eglise pour résister à cette pression comprennent une défense raisonnée du mariage comme institution naturelle consistant en la communion de personnes enracinée dans la complémentarité des sexes et orientée à la procréation.  La différence des sexes ne peut être considérée comme secondaire dans la définition du mariage, et la défense de cette institution de dimension sociale relève en dernière instance de la justice. Il s'agit de sauvegarder le bien de la communauté toute entière, les droits des parents comme des enfants. » 
    Rappelant que les évêques lui ont fait part de leur difficulté croissante à communiquer l'enseignement de l'Eglise sur le mariage comme sur la famille, le Saint-Père déplore la diminution du nombre de jeunes qui recourent à ce sacrement. 
    « Nous devons reconnaître la déficience de la catéchèse de ces dernières décades, qui n'est pas toujours parvenue à communiquer le riche patrimoine de la doctrine catholique en matière de mariage, institution naturelle élevée par le Christ au rang de sacrement, ni la vocation des époux chrétiens au sein de l'Eglise comme de la société, ni ce qu'est la chasteté conjugale ».
    « La préparation au mariage doit être revue pour insister sur l'aspect catéchétique dans l'exposé des responsabilités, sociales et ecclésiales, du mariage chrétiens. On ne saurait oublier le grave problème pastoral que représente la pratique diffuse de la cohabitation, comme si on oubliait qu'il s'agit d'un péché grave, sans parler de ses effets négatifs sur la stabilité sociale. » 
    Puis Benoît XVI a encouragé ses hôtes a fixer des normes pastorales et liturgiques claires « pour une digne célébration du mariage, qui doit manifester objectivement la morale chrétienne tout en étant sensibles aux préoccupations des jeunes couples... Ce grand effort pastoral a besoin que la communauté chrétienne retrouve et apprécie la vertu de la chasteté... Il ne s'agit pas simplement de présenter des arguments hors de tout référence à une vision globale, cohérente et stimulante de la sexualité. La richesse de cette vision est plus solide et plus attractive que les idéologies permissives qui constituent chez les jeunes la force la plus destructrice de la catéchèse... Comme le dit le catéchisme, la chasteté, qui implique d'apprendre à se dominer, est une pédagogie de la liberté. Dans une société qui comprend de plus en plus mal, voir à ridiculiser, la dimension et l'essence de la doctrine chrétienne, les jeunes ont besoin d'être certains qu'on ne perd rien à faire rentrer le Christ dans sa vie. Absolument rien de ce qui rend l'existence grande, belle et libre ». 
    Puis il a évoqué le bien des enfants, « qui ont le droit à grandir dans une saine compréhension de la sexualité et de sa juste place dans les relations inter-personnelles. Les enfants étant l'avenir de la société, nous avons envers eux un devoir d'enseignement, de défense et de promotion des vertus morales qui sont la clef de la réalisation de la personne. J'espère donc que, malgré le malaise causé par des événements des dernières années, l'Eglise des Etats-Unis poursuive sa mission historique d'enseignement. En éduquant la jeunesse elle consolide la saine vie familiale, garantie de la solidarité entre les générations et de la santé de tout le corps social. »

  • Pour que la contribution des femmes au développement de la société soit pleinement reconnue dans le monde entier

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    Sur Radio Vatican :

    Des initiatives sont organisées dans le monde entier à l’occasion de la journée de la femme. Benoît XVI lui-même a choisi de consacrer aux femmes son intention générale de prière pour le mois de mars : « Pour que la contribution des femmes au développement de la société soit pleinement reconnue dans le monde entier ».

    Les femmes sont, aujourd’hui encore, confrontées à de nombreux défis. Interrogée sur notre antenne, Flaminia Giovanelli, sous-secrétaire du Conseil pontifical Justice et Paix invite à demander au Saint-Esprit de nous indiquer de nouvelles voies pour que la contribution des femmes à la société soit reconnue. Pour Flaminia Giovanelli il est juste et nécessaire de continuer à revendiquer le respect des droits des femmes, car les principes désormais reconnus par les chartes constitutionnelles ne sont pas entièrement appliquées.

    Jean-Paul II parlait de génie féminin, car la femme a une vocation particulière, souligne la sous-secrétaire du Conseil Justice et Paix. Or, cette vocation est ouvertement contestée, notamment par la « Théorie du Genre », ou remise en discussion dans certains milieux féministes, y compris parmi les chrétiens. C’est pourquoi les femmes chrétiennes ont un rôle de premier plan à jouer face à ce défi anthropologique. Elle doivent promouvoir une conception correcte de la personne humaine et du rapport hommes-femmes. En temps de crise, les femmes peuvent aussi contribuer à humaniser l’économie en cultivant le sens de la gratuité et du don. Enfin les femmes savent et peuvent accompagner l’aspiration à la paix par des actions concrètes.

    Flaminia Giovanelli souhaite surtout que les femmes soient heureuses d’être femmes, de leur capacité à jouer sur plusieurs fronts simultanément. C’est une chance qu’elles doivent savoir saisir. Paul VI avait confié aux femmes la tâche de réconcilier les hommes avec la vie : « Retenez la main de l’homme qui, dans un moment de folie, tenterait de détruire la civilisation humaine ».

     

  • La prière des mères

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    Interview de la fondatrice de l'initiatrice de la "prière des mères" sur ZENIT.ORG

    Les « Prières des Mères », par Veronica Williams

    Transmettre aux enfants un monde meilleur

    « Nous savons que Dieu aime nos enfants. Nous ne devrions donc pas nous effrayer ni nous inquiéter pour eux, mais avoir confiance en Dieu », déclare Veronica Williams, Anglaise, auteur du livre: "La joie de s’abandonner à Lui".

    A l’occasion de la Journée de la femme, le 8 mars, elle confie aux lecteurs de Zenit les débuts et le développement des “Prières des Mères” à travers le monde.

    Zenit – Veronica, vous êtes mère, grand-mère et arrière grand-mère : comment avez-vous commencé à prier pour vos enfants ?

    Veronica Williams – Je me trouvais avec un groupe de chrétiens qui avaient préparé un document intitulé : « Quelle terre allons-nous laisser à nos enfants ? ». Il était rempli de statistiques sur tout ce qui affecte négativement nos enfants. La drogue, par exemple, la pornographie, la violence, les abus sur les mineurs et la mauvaise littérature. Nous avions l’intention de le présenter au Parlement de Londres et nous espérions que cette description de notre monde provoquerait un choc parmi les hommes politiques. Malheureusement, cela n’a eu aucun effet positif.

    C’était en 1995… A l’époque, j’avais 9 petits-enfants. J’avais eu un tel choc en lisant le rapport que je me demandais dans quelle société mes petits-enfants grandissaient. Je voulais faire quelque chose, mais je me sentais trop petite face à de tels problèmes. Mais je venais de faire une expérience merveilleuse qui m’avait fait comprendre la puissance de la prière lorsqu’on abandonnait tout au Seigneur.

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  • L'avortement : un suicide sociétal, médical et familial

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    Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, revient pour libertepolitique.com sur la question de l'avortement. Il met en cause une pratique qui équivaut à un suicide sociétal, médical et des familles mettant la politique du pays en échec. A voir et à écouter ici : TV/Avortement-un-suicide-societal-medical-et-familial

  • BXL, 8 mars : le témoignage des parents de Giulia

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    image001.jpgGiulia est une enfant de 8 ans qui, d’après les pronostics et conseils médicaux, n’aurait pas dû naître. Elle n’aurait dû être qu’un « végétal », comme on entend trop souvent.

    Par leur adhésion libre au projet de la Vie, ses parents ont entamé avec elle un chemin d’espoir, parfois de souffrance, mais surtout de découverte d’un dessein qui les dépasse et les transporte vers plus haut.

    Frappée d’un handicap psycho-moteur très sévère, Giulia manifeste sa présence avec joie et ténacité en souriant à la vie. Autour d’elle, chaque jour offre son lot de surprises et de rencontres extraordinaires.

    Celle qui, par définition, devait mener une existence incertaine et imparfaite, devient alors facteur de certitude et de grâce.

      Vous êtes cordialement invités à partager cette chance en venant rencontrer ses parents lors de la conférence :

     « Vivants »

     qu’ils donneront ce jeudi 8 mars à 20.30 au Fanal, rue Joseph Stallaert 6, à 1050 Bruxelles.

     Merci de diffuser cette information autour de vous !

  • Une chouette campagne : "Trisomique, et alors?"

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    Marie_Triso.JPGUn très beau "billet" au sujet d'une campagne française vient d'être mis en ligne sur le site de l'Homme Nouveau, sous la plume d'Adélaide Pouchol, et nous le reproduisons ici dans la foulée parce que cela en vaut vraiment la peine :

    Le chromosome est à l'honneur, et c'est heureux. Petits nez en trompette, nuques un peu épaisses, langues envahissantes et délicieux sourires ont envahi nos panneaux publicitaires. La campagne « Trisomique… et alors ? » est lancée, et Alice, 5 ans, les bras croisés, s'est emparée du slogan « Le tri c'est bien, mais pas pour tout ». Sarah, 3 ans, a de quoi être fière. « Mes parents ne savaient pas. Aujourd'hui, ils m'appellent princesse ».

    Triomphalisme ? Dolorisme ? Les rabat-joie diront ce qu'ils voudront, mais lorsqu'on sait que 96 % des enfants trisomiques sont avortés, nous sommes heureux que, pour une fois, ils soient sur nos panneaux publicitaires plutôt que dans les poubelles de nos hôpitaux.

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  • A Milan, du 30 mai au 3 juin : VIIe Rencontre Mondiale des Familles

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    photo2.jpgSur le thème :

    LA FAMILLE : LE TRAVAIL ET LA FÊTE

    Pour découvrir le programme, prendre connaissance de l'évènement, vous inscrire (en français), cliquer sur l'image ci-contre.

    témoignage :

    "Nous vous encourageons à vous y inscrire seul(e), en couple, en famille ou en groupe (via le site internet, avant le 31 mars, pour participer en tout ou en partie à l'événement), pour vivre un moment d'Eglise universelle fabuleux et revigorant, qui célèbrera la famille, fondement de la société et donc espérance pour l'avenir de notre monde. Ayant participé avec nos enfants à la 5ème Rencontre Mondiale des Familles il y a 6 ans à Valence en Espagne, nous pouvons témoigner combien ce événement reste pour nous un souvenir très fort qui a contribué à souder notre famille. C'est le genre de "folie" qu'on ne regrette jamais d'avoir eu l'audace de faire."

    La Lettre du pape :

    En conclusion de la VIe rencontre mondiale des familles, qui s’est déroulée à Mexico en janvier 2009, j’ai annoncé que le prochain rendez-vous des familles catholiques du monde avec le Successeur de Pierre aurait eu lieu à Milan, en 2012, sur le thème: «La famille: le travail et la fête».

    Désirant à présent lancer la préparation de cet événement important, je suis heureux de préciser que celui-ci, si Dieu le veut, se déroulera du 30 mai au 3 juin et de fournir dans le même temps quelques indications plus précises relatives au thème et aux modalités de réalisation.

    Le travail et la fête sont intimement liés à la vie des familles: ils conditionnent leurs choix, influencent les relations entre les époux, et entre les parents et les enfants, ont un effet sur le rapport de la famille avec la société et l’Eglise. Les Saintes Ecritures (cf. Gn 1-2) nous disent que famille, travail et jours fériés sont des dons et des bénédictions de Dieu pour nous aider à vivre une existence pleinement humaine.

    L’expérience quotidienne atteste que le développement authentique de la personne comprend tant la dimension individuelle, familiale et communautaire que les activités et les relations fonctionnelles, ainsi que l’ouverture à l’espérance et au Bien sans fin.

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