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Famille - Page 156

  • L'enfance dénaturée

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    Notre société s'émeut à juste titre de voir des enfants victimes d'abus sexuels mais en même temps on y banalise l'hypersexualisation des enfants, des petites filles en particulier. Il est grand temps de s'en inquiéter. Le Figaro met en ligne aujourd'hui cet article :

    "La mode des lolitas dénoncée par un rapport parlementaire

    Remis lundi, il s'inquiète du phénomène d'hypersexualisation des petites filles.

    Soutiens-gorge ampliformes dès 8 ans, chaussures à talon en taille 30, ministrings, trousses de maquillage dès 12 ans, poupées en jambières… Véritable phénomène de société, l'hypersexualisation des jeunes filles provoque une telle inquiétude qu'elle fait aujourd'hui l'objet d'un rapport parlementaire pour tenter de mettre en place des garde-fous.

    La sonnette d'alarme est tirée par la sénatrice UMP Chantal Jouanno, ex-ministre des Sports, auteur de ce rapport remis lundi à Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale. Le phénomène, observé par les spécialistes sur les enfants prépubères de moins de 12 ans, se définit non seulement par la sexualisation de leurs codes vestimentaires mais aussi de leurs expressions, postures et intérêts, jugés trop précoces pour leur âge. Poussée par l'industrie de la mode et les médias, par le retour des stéréotypes dans les jouets et la souveraineté de l'apparence dans les programmes de téléréalité, l'hypersexualisation banalise la pornographie et la violence, constate le rapport parlementaire intitulé «Contre l'hypersexualisation, un nouveau combat pour l'égalité». Conséquence: elle fragilise les enfants dans leur équilibre psycho-affectif et leur construction identitaire.  L'intrusion précoce de la sexualité entraîne des dégâts psychologiques irréversibles dans 80 % des cas», affirment les spécialistes du dossier. Mais elle favorise aussi les conduites à risque comme l'anorexie et met en danger, à terme, l'égalité entre les femmes et les hommes qu'ils deviendront, s'alarme le rapport.

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  • France : un bébé nommé désir

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    Source : revue de presse de genethique.org d'après Famille Chrétienne

    "Un bébé nommé désir"

    Voilà le titre du documentaire sur France 2, le 22 février dernier, proposant une réflexion sur les "bébés éprouvettes", les "bébés médicaments", les embryons congelés, ou encore les dons de gamètes.

    "Un bébé quand je veux, si je veux, comme je veux", résume le journaliste. Dans ces techniques de procréation artificielle, le statut de l’embryon reste la grande question.

    Au cours de l’émission, une psychologue exprime l’incertitude française : "L’embryon, dans les hôpitaux, on ne sait pas très bien ce que c’est : tantôt une cellule, tantôt une potentialité d’enfant".

    Le professeur Israël Nisand, gynécologue à Strasbourg, reconnait que l’embryon est un être humain, "mais pas encore une personne […] il a sa dignité [mais] il va acquérir ses droits petit à petit". 

    Aude Mirkovic, professeur de droit à l’université d’Evry, s’insurge : "voilà un concentré [d’] inepties […] Si certains êtres humains ne sont plus des personnes, ou à moitié, on change de civilisation ! C’est le retour à l’époque romaine, quand l’embryon n’était que la pars viscerum matris, un morceau des entrailles de la mère. Un gigantesque retour en arrière !". Elle explique que la France est en pleine incohérence, mais que même si la question du statut de l’embryon est une question philosophique, le droit, dans le doute, ne peut que s’abstenir et est obligé de traiter l’embryon comme une personne.

    Il y a ensuite les conséquences psychologiques que l'assistance médicale à la procréation engendrent. Passées sous silence dans le documentaire, Benoît Bayle, psychiatre et docteur en philosophie, entend les dénoncer. En parlant des embryons crées in vitro, il explique : "Nous avons affaire à une population d’individus qui doit sa vie à la société, à la médecine, un peu à l’État, note Benoît Bayle. Cette intrusion dans une histoire intime n’est pas sans conséquence pour la structuration de l’identité de la personne". Il constate ensuite le "phénomène de survivance" chez l’enfant né, seul survivant parmi les autres embryons conçus in vitro qui sont supprimés par le tri opéré avant implantation ou par la réduction embryonnaire (NDLR : avortement d'un ou plusieurs embryons déjà implantés). Enfin, note Benoit Bayle, les parents de ces enfants auront tendance à développer un "mode d’éducation mégalomaniaque", ou bien emprunt d’une "culpabilité inconsciente".

    Soutenons la Fondation Jerôme Lejeune

  • Répondre à l'infertilité de façon moralement acceptable

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    "En matière de procréation humaine, la recherche biomédicale est actuellement dominée par la scientificité et la logique du profit qui entravent des domaines de recherche autres que la fécondation in vitro. C’est un discours particulièrement ferme que le Pape a prononcé ce samedi matin à l'Académie pontificale pour la Vie, pointant du doigt l’appât du gain qui se cache derrière les méthodes proposées contre l’infertilité ou pire encore, l’arrogance de vouloir se substituer au Créateur. Dans certains milieux médicaux-scientifiques la dimension de la vérité est brouillée – regrette Benoît XVI. L’union d’un homme et d’une femme dans le mariage – a-t-il insisté - est le seul lieu digne d’accueillir l’appel à l’existence d’un nouvel être humain qui est toujours un don. Pour le Pape, la lutte contre l’infertilité exige une réponse moralement acceptable. L’Église est sensible à la souffrance des couples ayant des problèmes de fertilité. Leur aspiration légitime à la procréation doit recevoir, avec l’aide de la science, une réponse qui respecte pleinement leur dignité. L’Eglise encourage la recherche biomédicale mais elle rappelle que l’infertilité ne diminue pas la vocation baptismale et matrimoniale des époux. Enfin, Benoît XVI avertit que la science n’a pas une réponse à tout : il y a des réponses qui ne peuvent venir que du Christ lui-même."

    source : Radio Vatican : radiovaticana.org

    Lire l'intégralité de ce message en traduction française ici

  • Des inédits très actuels de Mère Teresa

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    Teresa-198x300.jpgMère Teresa : Quand l’amour est là, Dieu est là

    C’est un gros livre, de plus de 400 pages, qui ne place plus le lecteur face à l’aridité d’un foi vécue dans la souffrance mais aborde les grandes questions de l’existence et montre les réponses apportées par Mère Teresa. Toutes se résument en Dieu, même si les situations concrètes abordées sont bien humaines. Il s’agit pour Mère Teresa de conduire le lecteur à une plus grande union avec Dieu, laquelle permet de faire rayonner véritablement l’amour dans le monde. 

    « Dans la mesure où elle se trouvait constamment en relation avec des gens d’origines et de milieux divers, aucune situation ne lui était étrangère »,  précise dans sa préface le Père Brian Kolodiejchuk, missionnaire de la Charité et postulateur de la cause de canonisation de la bienheureuse de Calcutta. D’inspiration très clairement ignacienne, cette spiritualité s’énonce parfois avec des formules fortes.

    Mère Teresa n’hésite pas, par exemple, à faire l’éloge du silence afin de se « débarrasser de l’amertume et de la haine », souligne que « Cela n’a pas de sens d’entrer dans une congrégation religieuse si vous ne voulez pas être saintes »  ou que l’adoration, qu’elle avait instituée en 1973 a des effets très concrets : « Depuis ce temps, l’amour intime de Jésus a beaucoup grandi. Nous avons une meilleure compréhension de la souffrance des pauvres, de la façon de leur donner. » Sans oublier, bien sûr, l’avortement : « tout pays qui accepte l’avortement enseigne à ses citoyens à recourir à n’importe quelle violence pour obtenir ce qu’ils veulent » ; le divorce : « parce que les familles ne prient plus elles ne peuvent pas rester ensemble » ou la femme : « la maternité est le don de Dieu aux femmes ; nous pouvons détruire ce don en pensant qu’un emploi et un poste sont plus importants qu’aimer et se donner aux autres. »

  • Enfants victimes d'abus sexuels : Child Focus en point de mire

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    Cinq 'responsables' de la protection de l'enfance, en Wallonie et à Bruxelles, ont sorti une carte blanche pour dénoncer une campagne de Child Focus visant à protéger les enfants victimes d'abus sexuels ! Mais en plus, dans cette carte blanche, ils avouent sans honte que les organismes officiels de protection de l'enfance privilégient la discrétion et la non publicité sur tous les cas qui leur sont dénoncés. Autrement dit la dissimulation des abus sexuels. Quelle différence de traitement avec les prêtres livrés en pâture au lynchage populaire !

    C'est ici : yapaka.be/child-focus-ou-le-business-de-la-peur

    Lire notamment :

    « Et que mettre ainsi le focus sur les circonstances les plus extrêmes risquait de masquer les situations de maltraitance de l’enfant dans son milieu de vie , hélas nettement plus courantes et bien connues des intervenants chargés de venir quotidiennement en aide aux familles. Et là, bien souvent, il ne s’agit pas d’affronter un pervers démoniaque, mais de faire face, avec tact, à une complexité où viennent se combiner des aspects de santé mentale, de fragilité sociale, de précarité... Travail mené quotidiennement, dans la discrétion, depuis de nombreuses années par de multiples intervenants de l’aide à l’enfance et à la jeunesse. »

    Mais tout le reste est à l'avenant : « Surtout discrétion, ne pas en parler, pas de publicité ! » Que le juge De Troy aille donc enquêter dans ces dossiers « top secret », il y trouvera ce qu'il prétend chercher: des cas d'enfants abusés quotidiennement aujourd'hui, et pas il y a trente ans. Mais en réalité, il ne s'intéresse guère au sort des enfants abusés, mais bien à la démolition de l'image de l'Église. En tout cas, bravo à Child Focus d'avoir osé court-circuiter, et donc mettre en lumière, cette politique de l'omerta généralisée sur les abus sexuels.

    Voir : lesoir.be/debats/ yapaka.be/ rtl.be/info/ rtl.be/videos/ rtl.be/videos/ rtl.be/videos/

  • Liens du jour (23 février)

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    Adoption homosexuelle: comment on pousse à la roue en Angleterre (J. Smits)

    Genethique.org :

    "Face à la déshumanisation : l'écologie humaine" 22/02/12

    Baisse de la fertilité en France : l’environnement mis en cause 22/02/12

    Les avancées de l'AMP, 30 ans après le 1er "bébé-éprouvette" 22/02/12

    Euthanasie : sortir d'un "débat empoisonné" 21/02/12

    Zenit.org :

    Suivre Benoît XVI sur « twitter » pendant tout le carême
    Twitter, une « avenue » pour le message de l'Eglise

    Pèlerinage de l'ordinariat de Notre Dame de Walsingham
    Audience du mercredi

    Le carême, temps des responsabilités assumées
    Catéchèse de Benoît XVI sur le carême

    France : Mgr Olivier de Germay nommé évêque d'Ajaccio

    Un Saint-Cyrien spécialiste en théologie morale

    L'amour des pauvres et l'amour de Dieu c'est tout un
    Congrès à Rome sur « Jésus notre contemporain »

    « Relire le Concile, historiens et théologiens en débat »
    Cycle de six conférences à Rome

    Pérou : préserver l'identité catholique de l'université pontificale
    Adapter les statuts d'ici Pâques

  • Les droits des parents de moins en moins reconnus

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    "La Cour suprême du Canada a rejeté vendredi la demande d'une famille québécoise catholique tendant à faire reconnaître le droit des parents à ne pas faire assister, ou plutôt faire subir à leur enfant le programme officiel d'éthique et de culture religieuse avec lequel ils sont en désaccord.

    Les commentateurs juridiques locaux y voient un renversement total de l'appréciation du droit parental : selon l'avocat de la famille, Me Jean-Yves Côté, « l'Etat est désormais en mesure d'imposer dans le cadre des écoles publiques une idéologie qui ne correspond pas à la foi des parents ». « Aux termes du code civil, le parent délègue son autorité à l'enseignant. Désormais il y a un glissement de perspective. L'autorité de l'enseignant ne lui vient pas des parents, mais de l'Etat », a-t-il ajouté."

    Lire la suite sur le blog de J. Smits : Canada: les droits des parents attaqués à l'école

  • Un festival marial des familles en août prochain

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    Affiche FMF 2012 petite.jpg

    Cliquer sur l'image pour accéder au site et aux informations relatives à ce "festival"

  • Les enjeux éthiques de combats qui se livrent au niveau international...

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    headerLogo.jpgAustin Ruse, président du C-Fam communique :

    Tim Herrmann était présent lors des séances du Comité des ONG du Conseil économique et social de l’ONU. Ce rassemblement de représentants est compétent pour approuver ou rejeter les demandes de statut officiel auprès de l’ONU soumises par les organisations non gouvernementales. Lors des réunions qui viennent de se terminer, un groupe anti catholique ainsi qu’un groupe radical d’homosexuels et transsexuels se sont tous deux vus refuser le statut d’ONG officiel, au moins temporairement. Voir ici : Un comité de l’ONU ferme temporairement ses portes aux groupes de pression anti catholiques

    Wendy Wright quant à elle vous rapporte la résistance montante des gouvernements à l’encontre de l’agenda politique homosexuel et transsexuel. Alors que le gouvernement des Etats-Unis pousse un agenda de politique étrangère qui leur est favorable, les résistances s’intensifient même en Russie, qui a banni la propagande pro homosexuelle et transsexuelle. Voir ici : Les leaders politiques protègent le mariage et les enfants contre les doléances provenant des lobbys homosexuels et transsexuels

  • USA : La droite chrétienne peut-elle emporter l’investiture républicaine ?

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    Le catholique conservateur Rick Santorum , étoile montante ou étoile filante des primaires au sein du  « Grand Old Party » ? De Laure Mandeville dans le « Figaro » de ce jour (extraits) :

    En pleine ascension dans les sondages jusque dans les terres du Michigan, Rick Santorum n'est-il que le dernier en date des candidats anti-Romney «du jour», comme l'ont successivement été avant lui Rick Perry, Herman Cain et Newt Gingrich? Ou va-t-il devenir le vrai candidat de la base conservatrice, susceptible de fédérer les oppositions à l'ancien gouverneur du Massachusetts et d'arracher la nomination, comme beaucoup d'analystes commencent sérieusement à l'envisager?

    Ce serait là un scénario spectaculaire, si l'on se souvient des débuts de campagne de Rick Santorum, un candidat à l'étiquette très prononcée de chrétien conservateur, auquel les experts ne prêtaient guère attention (…).

    La large victoire de son rival direct, Newt Gingrich lors de la primaire de Caroline du Sud, puis celle de Mitt Romney en Floride avaient semblé l'envoyer à nouveau par le fond. Mais la levée de boucliers de l'élite républicaine contre l'ancien speaker de la Chambre, un personnage doué mais désorganisé et imprévisible, a finalement ouvert la voie à un rebond de Santorum face à Romney, rejeté par la base conservatrice.

    La percée s'est produite le 7 février, quand l'ancien sénateur de Pennsylvanie a marqué un triplé gagnant lors des caucus du Missouri, du Minnesota et même du Colorado, où Mitt Romney avait gagné en 2008. Depuis, Rick Santorum monte dans les sondages nationaux, où il est au coude-à-coude avec son rival.

    Fibre populiste

    Le statut de favori de Romney est désormais remis en cause. C'est particulièrement visible dans le Michigan, grand État industriel où Mitt Romney se sent chez lui, y ayant grandi alors que son père George en était le gouverneur. Selon une enquête de l'Institut Pew Center, Santorum y recueille 30% des suffrages contre 28 à l'«enfant du pays», alors que la primaire du Michigan est prévue le 28 février. Il y a un mois, il n'y obtenait que 14% des intentions de vote.(…)

    Il y a chez lui une fibre populiste, sans doute héritée de son grand-père qui fut mineur dans la Pennsylvanie voisine, de quoi plaire aux couches populaires, rebutées par le profil de multimillionnaire froid et calculateur de Romney. Les catholiques et les évangélistes, très présents dans le Michigan, seraient aussi en train de se regrouper derrière lui. Un défi colossal pour Romney, qui compte sur son implantation de longue date pour contre-attaquer. «Si Romney perd le Michigan, la perception sera qu'il s'agit d'un immense échec… qui pourrait lui coûter la nomination», affirme le consultant Steve Mitchell.(…). Ici : Rick Santorum se sent pousser des ailes face à Romney

    Une alternative claire aux options du démocrate Obama dans le domaine éthique…

  • Pour vivre le carême avec les enfants

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    couvvivrelecaremeb.jpgLes Dossiers Transmettre

    Vivre le Carême avec les enfants - par l'équipe de Transmettre

    NOUVELLE EDITION 2012 REVUE ET AUGMENTEE

    Ce dossier numérique (PDF) complet propose d'approfondir le sens et la spiritualité du
    Carême, propose des pistes pour le vivre avec les enfants, répond à quelques questions courantes (la différence entre Carême et Ramadan, pourquoi jeûner...) et comprend 3 chemins de Carême différents qui peuvent être complétés par les enfants.

    SOMMAIRE

    Qu'est-ce le Carême ?

    • Comprendre et vivre le temps du Carême
    • Notre Carême selon l'Evangile
    • Trois questions sur le Carême : quoi, pourquoi, comment ?
    • Une chance à saisir : 40 jours au désert

    Le Carême et les enfants

    • Le Carême des tout-petits
    • Deux idées : la tirelire et le chapelet à offrandes
    • Quel Carême pour les enfants ?

    Questions d'enfants

    • Le Mercredi des Cendres
    • Carême et Ramadan
    • Les 3 P du Carême
    • Pourquoi jeûner ?

    Chemins de Carême

    • Je monte vers Pâques
    • Mon Carême avec Jésus
    • Mon chemin de Carême

    Acheter le PDF 5€ ttc 

  • Aimer librement : un week-end organisé par le Chemin Neuf

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