
080 28 03 71 - 0496 67 53 39 (sms)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

080 28 03 71 - 0496 67 53 39 (sms)
New Delhi (Agence Fides) – De nouveaux épisodes de violence ont été enregistrés en Inde contre des structures et des communautés chrétiennes. Un cas de vandalisme à l’encontre d’une église a été signalé à Goa, dans l’ouest de l’Inde. Des hommes non identifiés ont frappé et endommagé une statue de Notre-Dame de Lourdes se trouvant dans une Paroisse d’un village. Les fidèles sont préoccupés par la profanation du lieu.
Dans un autre Etat indien, le Kerala, au sud de l’Inde, un cimetière chrétien du district de Pathanamthitta a été vandalisé, des tombes et des stèles ayant été détruites deux jours de suite. Le mur du cimetière a lui aussi été sali par des graffitis.
A Mangalore, dans l’Etat du Karnataka, dans le centre du pays, une salle de prière catholique sise à la périphérie de la ville a fait l’objet d’un lancé de cailloux qui a provoqué des bris de vitres. Selon les chrétiens du cru, « certains éléments anti-sociaux cherchent actuellement à créer un climat d’insécurité et de panique au sein de la société ».
Un forum d’ONG chrétiennes rappelle que « les attaques et les fréquents actes de vandalisme contre des objectifs chrétiens dans différentes parties du pays préoccupent. Les autorités civiles ont le devoir d’arrêter les violents, de garantir la paix et l’harmonie dans la société, de protéger l’Etat de droit et la liberté religieuse ». (PA) (Agence Fides 27/02/2015)
De Gérard Leclerc, sur le site de France catholique (18 février) :
Le Pape entre François et Ignace
Il ne fait aucun doute que l’avènement du pape François a produit un véritable bouleversement dans l’Église catholique, qui est d’abord d’ordre spirituel et dont on attend les effets institutionnels. Spirituellement, le Pape a encore précisé sa pensée dans l’homélie qu’il a prononcée, dimanche, à Saint-Pierre, devant le collège cardinalice renouvelé : « Ceci est la route de l’Église : non seulement accueillir et intégrer, avec un courage évangélique, ceux qui frappent à notre porte, mais sortir, aller chercher, sans préjugés et sans peur, ceux qui sont loin en leur manifestant gratuitement ce que nous avons reçu gratuitement. » Ce radicalisme, une fois de plus exprimé, est sans commune mesure avec l’écho publicitaire qui lui est souvent donné. Ce n’est pas parce qu’est récusé le rigorisme formel des docteurs de la Loi que le relativisme est promu en règle de vie. Il ne s’agit nullement de s’aligner sur les mœurs du temps, mais de tendre la main pour secourir ceux qui vivent loin des préceptes de la vie chrétienne. Laisser penser que ce pape est prêt à abandonner l’enseignement de ses prédécesseurs et plus largement celui de la Tradition de l’Église, c’est se tromper et tromper son monde.
Mais il est vrai aussi que la démarche proposée ne conduit pas à la facilité. On s’en rend compte notamment à propos de la famille et des discussions autour des deux synodes qui lui sont consacrés. Le dernier numéro de la revue de théologie internationale Communio consacré à ce sujet, contient de précieuses mises au point. Ainsi que l’écrit le père Jean-Robert Armogathe, « la sécularisation généralisée ne doit pas conduire l’Église à des procédures d’exclusion, pour rester entre “purs” : la tentation du catharisme n’est jamais très éloignée. Elle ne doit pas pour autant dévaluer son héritage doctrinal, ni évacuer l’enseignement des Écritures et de la Tradition. La ligne de crête est étroite : entre laxisme et rigorisme, le pied des marcheurs a souvent trébuché ».
Dans un autre ordre, institutionnel celui-là, on retrouve d’autres exigences paradoxales. On s’en aperçoit avec la réforme de la Curie, qui demandera encore de longues années, avant d’aboutir à une forme constitutionnelle achevée. Il n’était plus possible d’en rester à la situation délétère à laquelle avait été confronté Benoît XVI, au point de lui faire abandonner sa charge. Mais les solutions à trouver sont problématiques. Il ne suffit pas de mettre en avant quelques mots prestigieux (subsidiarité, décentralisation, collégialité) pour définir les coordonnées d’un nécessaire équilibre entre le Siège romain et les Églises particulières. C’est d’abord à ces dernières de démontrer en acte leur créativité apostolique. Et il ne faut pas s’y méprendre, il n’y a pas que la Curie romaine à souffrir des maux que François a dénoncés. De façon générale, il convient de faire entrer en cohérence l’institutionnel et le charismatique, ainsi que le disciple du Poverello et du fondateur de la Compagnie de Jésus est conduit à l’envisager.
Vu sur TV Libertés :
Invitation
(s'inscrire le 1er mars au plus tard)


La famille, nature et culture : l’équivoque freudo-marxiste
Lunch débat à l’Université de Liège, le mercredi 4 mars 2015 à 18h00
Famille, solution ou problème ? Après le succès de la rencontre organisée le 28 janvier dernier avec Mgr André-Joseph Léonard, l’Union des étudiants catholiques de Liège et le Groupe Ethique sociale accueillent à l’Ulg, le mercredi 4 mars 2015 à 18h, Paolo Sorbi, professeur à l’Università Europea de Rome. Réponse, cette fois, d’un sociologue catholique italien qui avait adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60 et redécouvrit les valeurs sociales chrétiennes et de la famille naturelle, à la lumière de ses affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI. Une initiative à soutenir concrètement: inscriptions à la conférence débat ouvertes jusqu'au 1er mars.
PROGRAMME
« La famille, nature et culture : l’équivoque freudo-marxiste »,

par le sociologue Paolo Sorbi
professeur ordinaire à l’Università Europea de Rome
Apéritif à 18h00
Exposé suivi du lunch-débat de 18h15 à 20h30
La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat (photo) de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).
Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants
Inscription nécessaire au plus tard le 1er mars 2015:
soit par téléphone : 04 344 10 89 (de l’étranger +32.4.344.10.89)
soit par email : info@ethiquesociale.org
soit via le site internet : http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/
JPSC
Voici un extrait d’un article du Monde… Au Niger, plusieurs dizaines d’églises ont été saccagées au mois de janvier à la suite de la publication de caricatures du prophète Mahomet par l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo. Environ 80 % des lieux de culte chrétiens au… Lire la suite...
Des pierres tombales du cimetière de l’église Shalom Mar Thoma de Mylapra (district de Pathanamthitta, État du Kerala) ont été brisées par des inconnus lundi 23 février dernier. Les vandales ont également maculé de sang les murs du cimetière et écrit des slogans injurieux. Ces acte… Lire la suite...
Inde : vandalisme contre une église catholique à Mangalore
Des inconnus ont lancé une ou plusieurs pierres contre une statue de la Vierge Marie et de l’Enfant Jésus, protégée par une vitre, dans l’église catholique Saint-Joseph située dans la banlieue de Magalore (État du Karnataka) pendant la nuit de mardi à mercredi (17-18 février). La vi… Lire la suite...
Sous le titre « Inquiétante série de vols dans les églises », le quotidien Le Progrès a publié hier un article qui pour être court n’en donne pas moins une idée de l’étendue de ces pillages… Calices, ciboires, ostensoirs… Depuis plusieurs semaines, des objets de culte dispara… Lire la suite...
J’ai signalé hier les saccages de deux églises de Joigny (Yonne), survenues le 24 février. Un lecteur (merci L. L. !) m’a signalé la page Facebook du Père Romain Tavernier, curé de la paroisse – lequel y reprend d’ailleurs mon post d’hier –, qui publie plusieurs photos des dég… Lire la suite...
De l'Aide à l'Eglise en Détresse :
Les chrétiens assyriens sont plus de 350 à avoir été capturés par le groupe État Islamique dans le gouvernorat de Hassake au nord-est de la Syrie. Au moins 15 d’entre eux ont été tués. Nous publions ci-dessous les dernières nouvelles envoyées à l’AED ce matin 26 février par l’Archimandrite Youkhana, en contact avec la ville de Hassake.
« Voici les dernières mises à jour que j’ai apprises ce matin de notre contact à Hasseke:
Environ 15 jeunes Assyriens ont été martyrisés. Beaucoup d’entre eux se battaient pour défendre et protéger les villages et les familles.
Les personnes capturées viennent des villages suivants:
Tel Shamiram: 51 familles (la moyenne est de 5 personnes par famille). Aucune des familles de ce village n’a réussi à s’enfuir. Il y a eu des échanges de coups de feu entre les combattants protégeant le village et le groupe terroriste EI. On pense qu’il y a des victimes et que de nombreux Assyriens ont été tués dans le village. Pas de nouvelles sur ces familles. Elles ont très probablement été capturées et transportées au mont Abdul Aziz, une région voisine contrôlée par l’EI.
Tel Jazira: 81 personnes
Tel Gouran: 21 personnes
Tel Feytha: 5 personnes
Qabir Shamiya: 3 personnes
Tel Hormizd: 12 combattants hommes et deux femmes. Il semblerait qu’une des femmes combattantes ait été décapitée et deux combattants hommes fusillés.
13 autres combattants d’autres villages ont été capturés.
Les familles déplacées enregistrées jusqu’à hier soir étaient environ 800 à Hassake et 175 à Qamishly. Les chiffres doivent être mis à jour aujourd’hui et devraient atteindre 1 200 familles.
A présent, toutes les familles assyriennes des 35 villages de Khabour ont fui vers Hasseke ou Qamishly.
Le Père Bakos de Tel Tamar était la dernière personne à quitter la ville pour Hasseke. Seuls restent les combattants qui protègent les abords de la ville aux côtés des soldats kurdes du PYD. Dans l’espoir que la région soit libérée et que les familles puissent y revenir.
Les personnes déplacées ont besoin de matelas, de couvertures, d’oreillers, de chauffage, de vêtements, de nourriture, d’hygiène, de soins de bébé et de médicaments.
Une nouvelle non confirmée d’une autre source :
Selon une source arabe du village sunnite de Bab Alfaraj, la mosquée du village a annoncé et a appelé la population à participer à un massacre des infidèles dans la montagne de Abdul Aziz le vendredi (demain).
Archimandrite E. Youkhana* – 26. Februar 2015 07:31 »
* l’Archimandrite Youkhana travaille pour soutenir les chrétiens persécutés dans la région auprès du CAPNI: Christian Aid Program Northern Iraq Voir l’article publié le 24 février à ce sujet: Syrie : chrétiens assyriens aux prises avec l’État Islamique
La Fondation Centesimus Annus, constituée par Jean-Paul II en 1993 et dirigée par un Conseil de neuf laïcs, a pour but de diffuser la doctrine sociale de l'Eglise, elle se prévaut de la collaboration d'économistes et d'experts financiers engagés dans la diffusion d'idées favorables à une économie de marché réformée. Elle vient d'attribuer son premier prix à l'économiste français Pierre de Lauzun pour son livre: Finance, un regard chrétien. (VIS)
Dominique Greiner, sur son blog "La Doctrine sociale sur le fil", présente ce livre :
Dans Finance : un regard chrétien, Pierre de Lauzun, directeur général à la Fédération bancaire française, argumente en faveur d’une articulation entre finance et christianisme, entre le monde de l’argent et le Royaume de Dieu.
Au point de départ de son parcours, il y a cette remarque au sujet du langage parabolique utilisé dans les Évangiles qui fait souvent référence aux réalités économiques : « Bien entendu le message central est spirituel ; mais le fait d’utiliser la vie économique et sa logique propre comme référence n’est pas neutre. Cela implique notamment que cette réalité et cette logique spécifiques soient reconnues comme légitimes à leur niveau » (p. 13).
L’auteur retrace ensuite brièvement le rapport à l’argent selon les Évangiles et la Tradition, redit comment une pensée chrétienne sur l’économie s’est progressivement élaborée, traverse de nouveau la controverse sur le prêt à intérêt, examine la place de la finance dans la doctrine sociale de l’Église.
Sur KTO :
EGLISES DU MONDE
Luxembourg
Coup de projecteur dans Eglises du Monde sur le Luxembourg. Le 26 janvier 2015, l'Etat a signé une convention avec les communautés religieuses établies dans le pays. Un véritable tournant pour le Grand-Duché, de tradition chrétienne. La convention a pour but de régler les relations administratives et financières entre l'Etat et les différentes confessions. L'Eglise catholique est la plus concernée par cette réforme qui touche des domaines tels que l'éducation religieuse, la rémunération du clergé ou encore l'entretien des lieux de culte. L'archevêque de Luxembourg Mgr Jean-Claude Hollerich, qui a signé cet accord au nom de l'Eglise catholique, sera sur notre plateau pour décrypter ce virage.
D’Elisabeth de Baudouin sur le site « aleteia » :
On attendait François en France en 2015. Alors que son voyage a été reporté en 2016, c’est l’un de ses plus proches collaborateurs, le cardinal guinéen Robert Sarah, qui vient en visite dans l’Hexagone, à l’occasion de la sortie de son livre Dieu ou rien, entretiens sur la foi, écrit en collaboration avec l’écrivain Nicolas Diat (Ed. Fayard, 424 pages).
L’un des hommes clés de la curie
Qui est Robert Sarah ? Derrière l’homme discret, natif d’Ourouss en Guinée (1945) et ordonné prêtre en 1969 se cache en fait un « premier de classe » : nommé archevêque de Conakry à seulement 34 ans par Paul VI (1974), il est créé cardinal – le premier du continent africain - par Benoît XVI en 2010. Entretemps (2001), le « Bébé évêque », comme l’aurait surnommé le Pape Jean Paul II, a été appelé à Rome, d’abord comme « numéro deux » de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, dicastère en charge des Eglises des pays en développement, avant de devenir président de « Cor unum », le Conseil pontifical qui coordonne l’action humanitaire de l’Eglise.
De là à lui confier la direction d’une congrégation pontificale, il n’y avait qu’un pas : François l’a franchi en novembre dernier, en le nommant à la tête de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, dicastère clé en charge de la question, sensible dans certains pays dont la France, de la liturgie. Comme cardinal de curie, il participé au synode sur la famille d’octobre dernier, où les évêques africains se sont signalés par leur défense des valeurs traditionnelles de l’Eglise concernant le mariage et la famille.
Lu ICI :
Non, l'islam n'est pas l'obsession de Charlie Hebdo. Sur 523 numéros publiés entre janvier 2005 et janvier 2015, seuls sept ont consacré leur une à la religion musulmane, soulignent deux sociologues, Jean-François Mignot et Céline Goffette, dans une étude publiée dans Le Monde (accès payant). Certes, "les unes de Charlie Hebdo ne résument pas, à elles seules, le journal", concèdent les deux chercheurs, mais "elles en sont toutefois la vitrine, que même des non-lecteurs peuvent voir en devanture des kiosques".
Verdict : si la politique est, sans surprise, la thématique phare de l'hebdomadaire (près de deux couvertures sur trois), la religion, elle, n'apparaît en une qu'à 38 reprises, soit dans seulement 7% des cas. Autrement dit, elle n'est en couverture qu'une fois tous les trois mois et demi.
Les cathos, premières cibles religieuses de "Charlie"
Surtout, parmi ces 38 unes se moquant des religions, seules sept sont consacrées à l'islam, quand 21 se moquent de la religion catholique. Concrètement, observent Jean-François Mignot et Céline Goffette, cela signifie qu'au total, "entre 2005 et 2015, seulement 1,3% des unes se sont moquées principalement des musulmans".
Alors que l'on recense au Pakistan de plus en plus de chrétiens condamnés à mort pour blasphème, Hanna, une chrétienne pakistanaise, a accepté de témoigner. Elle exprime avec courage sa fidélité au Christ et à l’Église, sous couvert de l’anonymat pour ne pas mettre sa vie en péril.