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Eglise - Page 1534

  • Banneux : foule imprévue à l’enterrement de Mariette Beco

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    Selon l'agence Cathobel, près de 2.000 personnes ont assisté ce 7 décembre aux funérailles de Mariette Beco. La voyante de Banneux repose désormais au cimetière du village, dans le caveau familial.

    L’émotion qu’a suscitée l’annonce du décès de Mariette Beco a été très vive parmi les pèlerins de Banneux. De très nombreux témoignages de sympathie ont ainsi été reçus au Sanctuaire, au lendemain du 2 décembre, et beaucoup de personnes sont venues se recueillir dans la Chapelle de Marie-Médiatrice où le corps de la voyante reposait avant les funérailles. Envisagées dans un premier temps à la chapelle du Message, ces dernières ont finalement eu lieu ce mercredi 7 décembre, dans l’église de la Vierge des Pauvres, seule capable d’accueillir les quelques 2.000 personnes qui s’étaient déplacées pour l’occasion. Ces funérailles étaient présidées par Mgr Aloys Jousten, évêque de Liège, à côté de qui une vingtaine de prêtres, dont le Recteur du Sanctuaire, Léo Palm, avaient pris place ainsi que Mgr Gapangwa (évêque émérite d’Uvira -sur la rive congolaise du lac Tanganyika- et résidant aujourd’hui à Banneux, ndlr).

    Lire l’information complète ici : Banneux: Le dernier hommage à Mariette Beco

    Ce qui frappe, au-delà des discours ecclésiastiques de circonstance, c’est la foi populaire qui s’est exprimée par la présence massive (et sous-estimée au départ par les autorités religieuses) d’un peuple simple, croyant et recueilli. Un peuple à l’image de Mariette Beco elle-même.

  • Une consécration plus que méritée

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    « Fondée en 1947 par le Père prémontré néerlandais Werenfried van Straaten (1913-2003), le célèbre « Père au lard », l’Aide à l’Église en Détresse (AED) travaille activement à aider les chrétiens persécutés dans le monde. Cette œuvre fut érigée en 1984 par le Saint-Siège comme « Association Publique universelle de droit pontifical », recevant ainsi un mandat spécifique de Rome « de service de charité envers les Églises locales les plus souffrantes et nécessiteuses ». Nouvelle marque de sollicitude et de reconnaissance pour l’AED, le pape Benoît XVI vient d’élever cette association au rang de "Fondation pontificale" par un acte signé de sa main, avec effet au 1er décembre. Le pape a nommé le cardinal Mauro Piacenza, préfet de la Congrégation pour le clergé, président de la Fondation pontificale, et le baron Johannes Heereman von Zuydtwyck, président exécutif. La Fondation aura désormais son siège officiel au Vatican, mais son quartier général international demeure à Königstein, près de Francfort-sur-le-Main (Allemagne). L’AED, forte de 600 000 donateurs dans le monde, finance quelque 6 000 projets d’aide chaque année dans plus de 140 pays. Le total de ses donations en 2010, s’est élevé à 85 millions d’€. » Ici :L’Aide à l’Église en Détresse (AED) élevée au rang de « Fondation pontificale »

    On sait les liens qu’avait le Père Werenfried van Straaten avec la Belgique et le Congo. Religieux de l’abbaye des Prémontrés de Tongerlo (Province d’Anvers) qui a donné beaucoup de Pères missionnaires à l’ancienne Afrique belge, le Père Werenfried fut aussi (c’est moins connu que son oeuvre en faveur des populations déplacées d'Europe de l'Est ou d'ailleurs) le fondateur -avec Mère Hadewyck- de la Congrégation des Filles de la Résurrection, dans l’archidiocèse de Bukavu, en 1966. Depuis ce temps, cette congrégation, qui a connu une croissance continue, dénombre 217 sœurs ainsi que 32 novices et postulantes œuvrant sur trois continents.

     Après le concile Vatican II, l’œuvre du Père Werenfried fut souvent stigmatisée par tout un clergé lui reprochant sa ferme opposition au communisme, sa fidélité sans langue de buis au catholicisme le plus classique et même la dimension proprement apostolique (au-delà du "welfare") de ses nombreux projets.

  • Benoît XVI expose le dogme du péché originel

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    4328_benoit-xvi_440x260.jpgLe mystère de l’Immaculée Conception de Marie que nous célébrons le 8 décembre  nous rappelle deux vérités fondamentales de notre foi: d’abord le péché originel, puis la victoire qu’a remportée sur lui la grâce du Christ, victoire qui resplendit de façon sublime en Marie la très sainte. La fête du  dogme de Marie préservée de toute inclination au mal est  l’occasion de revenir sur son corollaire : celui du péché originel. Pour Benoît XVI, ce dogme du péché originel, l’un des plus négligé et nié aujourd’hui, est d’une « évidence écrasante »: sans lui, a-t-il dit, la rédemption chrétienne "perdrait sa base"  Voici un large extrait de sa catéchèse sur ce point :

     « Il suffit de regarder autour de nous et surtout en nous. L’expérience du mal est si concrète qu’elle s’impose d’elle-même et nous amène à nous demander: d’où vient le mal? Pour un croyant, en particulier, la question va encore plus loin: si Dieu, qui est la Bonté absolue, a tout créé, d’où vient le mal? A cette question fondamentale, qui interpelle chaque génération humaine, les premières pages de la Bible (Genèse 1-3) répondent justement par le récit de la création et de la chute de nos premiers parents. Dieu a tout créé pour l’existence, il a notamment créé l’homme à son image. Il n’a pas créé la mort, elle est entrée dans le monde à cause de la jalousie du diable qui, révolté contre Dieu, a aussi entraîné les hommes dans le piège en les incitant à la révolte (cf. Sagesse 1, 13-14; 2, 23-24). C’est le drame de la liberté, que Dieu accepte jusqu’au bout par amour, mais en promettant que le fils d’une femme écrasera la tête à l’antique serpent (Genèse 3, 15).  (…)

    L’enjeu ? «  Beaucoup de gens, note Benoît XVI, pensent que, à la lumière de l'histoire de l'évolution, il n'y a plus de place pour la doctrine d'un premier péché qui se serait ensuite répandu dans toute l'histoire de l'humanité. Dès lors, la question de la Rédemption et du Rédempteur perdrait aussi son fondement. (…) » 

    « On ne peut donc pas nier le pouvoir du mal dans le cœur humain et dans l'histoire humaine. La question est: comment ce mal s'explique-t-il ?" Voici:

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  • Le "K" de la K.U.L. devrait disparaître bientôt

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    imgres-8.jpegParue dans le Standaard, l'information a été relayée hier par Jeanne Smits sur son blog. Précisons qu'il s'agit pour l'instant de la K.U.L. et pas (encore?) de l'U.C.L. Cela devrait clarifier les choses et dispenser l'Eglise de donner un aval implicite à des discours et des pratiques éloignés de ses positions.

    "...l'affaire semble déjà jouée. Selon le recteur Mark Waer il y a déjà un « consensus » en ce sens « à 80 % » : « Cela permettra de prévenir des difficultés à l'étranger ou le mot catholic a une connotation négative : “Faire partie de l'institution Eglise.” » Pour de Standaard, quotidien flamand, cela rime à l'étranger avec conservatisme, soumission servile vis-à-vis de Rome, et jure avec la liberté de la recherche scientifique. ...

    Ce dont l'université de Louvain se défend : n'y fait-on pas de recherche sur les cellules souches embryonnaires et des fécondations in vitro ? (On pourrait ajouter des déclarations favorables à l'euthanasie…) ...

    On ne dirait plus « K.U. Leuven » mais « KU Leuven », sans signification particulière. D'autre part Mgr Léonard, archevêque de Bruxelles-Namur, perdrait la présidence de l'université qui lui revient de droit au profit d'un laïque, tout en conservant son titre honorifique de grand chancelier de l'institution. Selon le quotidien catholique néerlandais Katholiek Nieuwsblad c'est même là l'objectif principal de la manœuvre."

  • BXL, 11 décembre : Concert de Noël au Couvent Sainte-Anne (Boitsfort)

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    Concert de Noël

    par le chœur « Capilla del Mistral »

    en soliste la soprano Cristina Sevilla.

    le dimanche 11 décembre à 18h00 

    en l’église du Couvent Sainte Anne de  Boitsfort 

    (avenue Léopold Wiener, 28 à 1170 Boitsfort).

    chants de Noël d’époque Renaissance, baroques ou traditionnels,

    Noëls espagnols et sud-américains.

  • Qu'adviendra-t-il de cet enfant ?

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    Vatican Information Service (V.I.S.) (6 décembre 2011)

    Voici l'éditorial du P.Federico Lombardi, SJ, Directeur de la Salle-de-Presse du Saint-Siège, pour la rubrique hebdomadaire Octava Dies du CTV:

    "Qu'en sera-t-il de cet enfant? Telle est la question que posaient parents et amis à la naissance de Jean, le futur Baptiste. Une question posée à la venue au monde de tout nouvel enfant, chargée d'espérance mais aussi de crainte. Une question reproposée lors de la récente rencontre festive de Benoît XVI avec des enfants béninois, où le Pape âgé était entouré d'enfants dansant. Le document synodal que le Pape a apporté à l'Afrique reprend de manière impressionnante les traitements intolérables infligés à l'enfance, des enfants non nés assassinés aux enfants non désirés et abandonnés, des orphelins aux albinos persécutés comme sorciers, des enfants soldats ou exploités, des enfants maltraités pour un handicap physique ou mental, des enfants esclaves sexuels aux enfants vendus, tous sans avenir... L'Eglise sait qu'on doit faire quelque chose pour eux et des 125.000 institutions caritatives et sanitaires dont elle dispose de par le monde, plus de 20.000 sont au service de l'enfance malheureuse. Autant d'autres s'occupent de l'éducation ou de secourir les enfants des rues... Lors d'un récent congrès international sur la protection de l'enfance contre les abus sexuels, Mgr.Scicluna a présenté un décalogue de principes, qui a reçu un accueil unanime. Il est d'ailleurs juste de rappeler le précieux service qu'assument en la matière de nombreuses femmes, religieuses et laïques. Il s'agit d'une des formes les plus belles et utiles du service que la femme rend à l'humanité et à l'Eglise. Ces réflexions, qui sont de circonstance en cette période d'Avent et de Noël, en ce temps de l'Enfant Jésus, doivent nous pousser à rester en première ligne sur ce front".

  • Apparitions de Banneux : une mise au point opportune du Rédacteur en Chef de la Gazette de Liège

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    Paul Vaute, dans la Gazette de Liège, réfute des affirmations gratuites selon lesquelles les responsables religieux n'auraient donné leur approbation aux apparitions de Banneux que de façon tardive et du bout des lèvres :

    "Entre les faits et leur reconnaissance, seize ans pour juger l’arbre à ses fruits

    Le message de Mariette a fini par convaincre, tant il dépassait ses capacités.

    Si les apparitions de Banneux figurent parmi celles, très peu nombreuses, qui ont été validées par l’autorité ecclésiale, c’est sur la base d’enquêtes qui ne furent pas menées à la légère. La conviction de l’évêque de Liège Mgr Kerkhofs, qui autorisa le culte de la Vierge des pauvres en 1942 et reconnut la réalité des événements en 1949, s’appuya notamment sur les travaux de deux commissions diocésaines (1935-1937, 1942-1945) ainsi que sur les investigations menées par les pères Pierre Scheuer, Edouard de Moreau et René Rutten, de formation scientifique. On procéda à la reconstitution exacte des faits et des propos, à l’interrogation des témoins et à la confrontation de leurs réponses, à l’analyse des paroles attribuées à la Vierge et des déclarations de Mariette Beco, toujours d’une cohérence théologique stupéfiante de la part d’une enfant peu instruite, sans oublier la vérification des conversions et guérisons survenues sur place dès le début.

    Comme ses prédécesseurs, Mgr Aloys Jousten, évêque actuel de Liège, a réaffirmé solennellement le caractère authentique des apparitions à l’occasion du 60è anniversaire de leur reconnaissance officielle, en 2009.

    Oui, il existe bien pour l’Eglise une sorte de "sixième sens" qui permet à certaines personnes de percevoir, un certain temps, une irruption de l’éternel dans le temporel, de l’invisible dans le visible. Les apparitions ne sont certes pas des dogmes, mais il est de bien peu de foi, celui qui décrète que le surnaturel ne peut pas se manifester."

  • Liège, 16 décembre : Noël russe à Saint-Jacques

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    morosow.jpg

  • Noël profané par l'argent : une video suisse qui interpelle

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    Cette video des "Rebelles de Noël" interpelle...

    Merci au blog "Le soupirail et les vitraux" de l'avoir relayée et d'y avoir ajouté cette citation de Bernanos :

    "Ce sont les Forces spirituelles qui en finiront avec la Tyrannie de l’Argent parce qu’elles en délivreront les consciences, elles redresseront les consciences en face de ces maîtres comme en face de tous les autres. Alors sera vraiment constitué le front de la liberté".

     Georges Bernanos, Lettre aux Anglais, Rio de Janeiro, 1942

  • Les souffrances des chrétiens en Inde et au Pakistan

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    Chaque jour, l'agence Fides se fait l'écho des souffrances des chrétiens en Asie et ailleurs. Aujourd'hui encore, de nouvelles informations nous parviennent de ces contrées où il ne fait pas bon être chrétien :

    ASIE/INDE - Film blasphème sur Jésus Christ : arrêtés le metteur en scène et le producteur, les Evêques en demandent le retrait

  • "Un pontificat sous les attaques": un entretien avec les auteurs

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    Les auteurs de "Benoît XVI, un pontificat sous les attaques", Paolo Rodari et Andrea Tornielli, s'entretiennent avec Aymeric Pourbaix sur le site de Famille Chrétienne :

    "Ces attaques sont-elles vraiment une caractéristique du pontificat de Benoît XVI ?

    Ce qui impressionne le plus concernant ce pontificat, c’est la série des attaques très rapprochées en 2009 et 2010, et la succession de « crises » médiatiques qui ont suivi, amplifiées par l’administration parfois hésitante de la Curie romaine. C’est la grande différence, pour ce qui concerne le pape actuel : ces attaques se sont transformées en crises, car les rouages de la « machine » et du gouvernement curial n’ont pas toujours fonctionné correctement." ...

    lire la suite ici : http://www.famillechretienne.fr

  • Personnes divorcées et remariées : Benoît XVI ouvrirait-il l'accès à la communion dans certains cas ?

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    Sandro Magister, sur Chiesa.espresso.repubblica.it, soulève cette question en se référant à un essai du cardinal Ratzinger rédigé en 1998 et qui vient d'être publié dans l'Osservatore Romano du 30 novembre:

    "Au cours du récent voyage de Benoît XVI en Allemagne, beaucoup de gens ont attendu du pape des "ouvertures" vis-à-vis des catholiques divorcés et remariés : avec l'atténuation, sinon la suppression, de l’interdiction qui leur est faite de recevoir la communion.

    Une telle attente a été exprimée par le président de la république fédérale d’Allemagne lui-même, Christian Wulff – il est catholique et remarié – dans le discours de bienvenue officiel qu’il a adressé au pape lorsque celui-ci est arrivé à Berlin.

    Toutefois le pape Joseph Ratzinger n’a rien dit à ce sujet pendant les quatre jours de son voyage en Allemagne, ni même après.

    Mais, on le sait, cette question lui tient grandement à cœur. Il en a parlé à plusieurs reprises dans le passé et il a dit : "le problème est très difficile et doit être encore approfondi".

    Le 30 novembre dernier, Benoît XVI est revenu sur la question d’une manière indirecte : en faisant publier à nouveau, dans "L'Osservatore Romano", un essai "peu connu" qu’il avait rédigé en 1998 et qui a été enrichi d’une note dans laquelle sont repris les propos qu’il avait tenus sur ce sujet, le 25 juillet 2005, au clergé du diocèse d’Aoste.

    Cette note est importante. Parce qu’elle concerne justement un point sur lequel Benoît XVI considère qu’il est possible de créer une ouverture dans l’interdiction générale de communier..."

    Lire la suite ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350098?fr=y

    L'integralité de l'essai est ici :  http://www.osservatoreromano.va/