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Eglise - Page 1548

  • Benoît XVI rappelle les exigences du ministère sacerdotal

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    Hier (dimanche 6 novembre) en la Basilique vaticane, le Saint-Père a célébré les vêpres à l'occasion de l'ouverture de l'année académique des universités pontificales. Dans son homélie, il a évoqué le ministère sacerdotal à l'occasion des 70 ans de l'institution, par Pie XII, de l'Oeuvre pontificale pour les vocations sacerdotales, et a commenté la première épître de Pierre qui "invite à méditer sur la mission des pasteurs dans la communauté chrétienne". Puis il a souligné que "dès les débuts de l'Eglise, une importance a été donnée aux guides des premières communautés établies par les apôtres, pour annoncer la Parole de Dieu par la prédication et pour célébrer le sacrifice du Christ, l'Eucharistie... Pierre met aussi l'accent sur la solidarité réciproque des Pasteurs dans leur ministère, en soulignant son appartenance et la leur à un ordre apostolique unique... S'occuper du troupeau du Christ est une vocation et un devoir qu'ils ont en commun et qui les lie particulièrement entre eux parce qu'ils sont unis au Christ par un lien spécial... La vocation apostolique vit grâce au rapport personnel avec le Christ, nourri par une prière assidue et animé par la passion de communiquer le message reçu et la même expérience de foi des apôtres".

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  • Sainte Sophie de Nicée transformée en mosquée

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    Le blog d'Yves Daoudal rapporte cette information :

    "L’église Sainte-Sophie de Nicée (aujourd’hui Iznik, en Turquie), qui accueillit le 2e concile de Nicée, transformée en mosquée en 1331, détruite en 1923, reconstruite en 2007 comme “musée”, a de nouveau été transformée en mosquée. L'appel du muezzin a retenti le 2 novembre pour la première fois depuis 1923."

  • Une lecture théologique de la pièce "Sur le concept du visage de Dieu"

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    Sur le site de l'Homme Nouveau, le Père Michel Viot propose une lecture théologique de la pièce "Sur le concept du visage de Dieu" :

    "Une pièce de théâtre dont le titre est "Sur le concept du visage du fils de Dieu" a été jouée au Théâtre de la Ville à Paris. Un très beau portrait du Christ d'Antonello da Messina trônait dans le fond de la scène. L'auteur Roméo Castellucci veut donc nous parler de Jésus. Soit! Mais voilà que ce qui se passe sur scène crée la perturbation. Les perturbateurs sont qualifiés d'extrémistes catholiques par les voix qui ont le moyen de se faire entendre. Pour d'autres, plus modestes dans leurs pouvoirs, il ne s'agit que de catholiques de diverses sensibilités. Je me garderai de trancher cette question, n'ayant pas l'autorité nécessaire pour cela. De même que je ne donnerai aucun qualificatif à cette pièce de théâtre, des voix épiscopales s'étant prononcées. L'une d'entre elles conseille à juste titre de se reporter aux propos mêmes de l'auteur sur sa pièce pour comprendre ce qu'il a voulu dire. Je m'empresse donc de suivre ce conseil me limitant à ce qui nous est dit de Jésus Christ. Je ne me permettrais pas d'ajouter quoi que ce soit à une parole d'évêque, surtout quand elle est estimée. Je veux simplement attirer l'attention sur un point qui ne me semble pas assez exploré, en me disant que si Dieu a bien voulu parler à un prophète (Balaam) par une ânesse, il peut aussi passer par l'intermédiaire d'un curé pour attirer l'attention épiscopale sur un point de théologie."

    Lire la suite ici : http://www.hommenouveau.fr/index.php?id_billet=308

  • Des sermons incolores, inodores et sans saveur ?

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    C'est sur le blog de Ivan Rioufol (Figaro) :

    "Les curés sont majoritairement prévisibles, ennuyeux, transparents. Ils font fuir les fidèles. Cette constatation d'une évidence, c'est Le Vatican lui-même qui la dresse, c'est-à-dire Benoît XVI. C'est donc une bonne nouvelle. Les prêches des prêtres catholiques sont devenus souvent "incolores, inodores et sans saveur, au point d'être désormais tout à fait insignifiants", vient de dénoncer le cardinal Gianfranco Ravasi, responsable de la culture au Vatican. (...) le cardinal italien a invité les prédicateurs à prendre en compte les nouveaux langages pour capter l'attention des fidèles et aussi à ne pas craindre "le scandale" que crée la parole de la Bible. "Nous devons retrouver cette dimension de la parole qui offense, qui inquète, qui juge", a-t-il affirmé. Il a aussi invité les prêtres à suivre "la révolution dans la communication". Il explique: "L'information télévisée et informatique demande à être incisif, de recourir à l'essentiel, à la couleur, à la narration"."

    Lire la suite ici : http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2011/11/les-cures-sont-previsibles-et.html

  • Une messe pour la Vie, chaque mois, à Bruxelles

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    Le deuxième vendredi de chaque mois, à 18H00 

     l’EUCHARISTIE est célébrée pour la vie

     précédée par une heure d’adoration silencieuse (à 17H00)

    Congrégation Saint Jean - Couvent de la Madeleine,

     225 avenue de Jette - 1090 Jette (Bruxelles)

    Les Frères de la Communauté assurent une permanence
    pour le sacrement de  la Réconciliation pendant l’heure d’Adoration 

     http://www.missiondemarie.org

  • La vraie sagesse : tirer profit de cette vie pour accomplir des oeuvres de miséricorde

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    appari10.jpgAnne Kurian, sur Zenit.org, rend compte des propos tenus par le pape hier, avant l'Angelus« La vraie sagesse est de tirer profit de la vie mortelle pour accomplir des œuvres de miséricorde, car, après la mort, ce ne sera plus possible », a affirmé Benoît XVI avant l’angélus de ce dimanche 6 novembre, place Saint-Pierre. Le pape a souligné également « l’espérance » qu’apporte la foi chrétienne.

    Benoît XVI a commenté l’Evangile du jour : la parabole des dix jeunes filles invitées à un festin de noces, « symbole du royaume des cieux, de la vie éternelle (Mt 25,- 1-13) ». Le pape s’est demandé ce que représente « cette « huile », indispensable pour être admis au banquet nuptial ? "

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  • Rome-Ecône : l’exégèse de l’abbé de Tanoüarn

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    abbe-tanouarn.jpgSur son « metablog », l’abbé Guillaume de Tanoüarn (Institut du Bon Pasteur) relève les indices de la volonté des « Lefébvristes » d’aboutir in fine à un accord avec Rome.  A méditer par « La Croix » et autre « Vie » anciennement catholique :

    « Dans sa lettre de novembre 2011, l’abbé Paul Morgan, supérieur du district britannique de la FSSPX, décrit comme «inacceptable» le préambule doctrinal que Rome a soumis à la FSSPX. C’est qu’il contiendrait «tous les éléments que la Fraternité a rejetés de manière constante, y compris l’acceptation de la Nouvelle Messe et de Vatican II, tels qu’exprimés dans le Nouveau Catéchisme» (‘all those elements which the Society has consistently rejected, including acceptance of the New Mass and of Vatican II as expressed in the New Catechism’). Et il y aurait eu consensus parmi les participants à la réunion d’Albano (7 et 8 octobre 2011), selon l’abbé Morgan, pour trouver ce préambule «clairement inacceptable» (‘clearly unacceptable’). L'abbé Morgan voit même un signe de la providence dans cette «clarification de ce que Rome persiste dans les erreurs modernes» (‘clarification of Rome’s persistence in the modern errors’).

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  • Ombres chinoises

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    Les croyants en Chine, pris à la gorge par les autorités qui multiplient les formes de persécution, se trouvent dans une situation impossible. Chez les catholiques, la question de la licéité des ordinations de prêtres et d'évêques se pose avec de plus en plus d'acuité.

    CHINE-~1.JPGLes tensions sont particulièrement vives en ce moment entre le Dalaï-Lama et la Chine, puisque le leader tibétain a fait savoir qu'il souhaitait choisir lui-même de son vivant sa réincarnation - ce qui est possible dans le bouddhisme pour les lamas ayant atteint un niveau d'éveil particulier. Cette question est cruciale pour l'avenir du bouddhisme tibétain; les autorités chinoises rêvent en effet de choisir elles-mêmes le successeur de l'encombrant lama, afin de contrôler les consciences tibétaines.

    Du côté des catholiques, l'étau de la dictature chinoise se fait également sentir, multipliant les problèmes canoniques quant à la licéité des ordinations pratiquées dans l'empire du milieu. Un exemple tout récent que nous raconte Eglises d'Asie: trois jeunes séminaristes du diocèse de Shantou viennent d'être ordonnés prêtres. Or l'évêque de Shantou n'est pas reconnu par Rome: soucieux que son illégitimité n'entache pas de nullité les ordinations des jeunes gens, Mgr Huang (photo) a donc demandé à l'évêque de Haimen, Mgr Joseph Shen Bin, qui a la particularité d'être reconnu à la fois par Rome et Pékin, de procéder à l'ordination des jeunes gens. Mais le code de droit canon est clair: s'ils ne sont pas ordonnés par leur évêque, leur ordination est illicite. Un exemple parmi d'autres de la perversité extrême de la situation chinoise, dans laquelle Eglise patriotique et Eglise clandestine sont toutes deux dans des situations ubuesques.

    Ici: Mortel casse-tête chinois

  • L'Irlande décide de fermer son ambassade au Vatican

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    Le gouvernement irlandais a annoncé jeudi 3 novembre dans la soirée la fermeture, pour des raisons économiques, de son ambassade au Vatican.

    Les relations tendues entre l'Irlande et le Vatican sur fond de scandale de pédophilie "ne sont pas en cause" dans cette fermeture, selon le ministère des Affaires étrangères irlandais.

     L'Eglise irlandaise s'est dite "profondément déçue".

     "Afin de répondre aux objectifs du programme de l'Union européenne et du Fonds monétaire international et rétablir les dépenses publiques à un niveau viable, le gouvernement a été contraint de faire des coupes dans de nombreux services publics", a expliqué le ministère irlandais des Affaires étrangères dans un communiqué. Il faisait référence au plan de sauvetage de l'UE et du FMI de 85 milliards d'euros en faveur de l'Irlande , mis en place fin 2010.

     "C'est avec un immense regret et avec une grande réticence que le gouvernement a décidé de fermer les ambassades d'Irlande au Vatican et en Iran, ainsi que son bureau de représentation au Timor oriental", a-t-il ajouté, estimant qu'"aucun secteur de dépenses du gouvernement ne pouvait être épargné" par les économies.

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  • La citation du jour…

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    20110818PHOWWW00110.jpg« A cause de leur Foi dans le Christ, beaucoup souffrent en eux-mêmes de la discrimination, qui conduit à la dépréciation ouverte ou larvée, qui afflige des régions déterminées de certains pays.

    Ils sont aussi sollicités pour s’éloigner de Lui, en les privant des signes de sa Présence dans la vie publique, et en réduisant au silence, Son Nom Même. Pourtant aujourd’hui, je redis aux jeunes avec toute la force de mon coeur, que rien ni personne ne vous prive de la Paix : n’ayez pas honte du Seigneur ! »

    Benoît XVI, le 18 août 2011 à Madrid

     

  • La route de la mort, une voie de l’espérance ou quand l’homme a besoin d’éternité

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    L’audience générale du mercredi 2 novembre a été consacrée, par le Saint-Père Benoît XVI, aux fidèles défunts. L’occasion, pour Benoît XVI, de réfléchir sur la réalité de la mort, illuminée, pour nous chrétiens, par la Résurrection du Christ. Le pape voit dans la mort une voie de l’espérance, et les promenades à travers nos cimetières, un chemin d’espérance tourné vers l’éternité.

     Extrait – Source : ZENIT.ORG

    "Bien que la mort soit souvent un thème presque interdit dans notre société, et que l’on tente constamment de chasser de notre esprit la seule idée de la mort, celle-ci concerne chacun de nous, elle concerne l’homme de tout temps et de tout lieu. Et devant ce mystère, tous, même inconsciemment, nous cherchons quelque chose qui nous invite à espérer, un signe qui nous apporte un réconfort, qui nous ouvre quelque horizon, qui offre encore un avenir. La route de la mort, en réalité, est une voie de l’espérance et parcourir nos cimetières, comme lire les inscriptions sur les tombes, signifie accomplir un chemin marqué par l’espérance de l’éternité.

     Mais nous nous demandons: pourquoi éprouvons-nous de la crainte face à la mort? Pourquoi une grande partie de l’humanité ne s’est-elle jamais résignée à croire qu’au-delà de la mort, il n’y pas simplement le néant?

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  • Suisse : une nomination épiscopale importante

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    8_12_2010_Benedict_Morerod_CNA.jpgSelon l’agence Apic, le pape Benoît XVI a nommé le dominicain fribourgeois Charles Morerod évêque de Lausanne, Genève et Fribourg (LGF). L’information, qui va être publiée à Rome jeudi 3 novembre et devait être communiquée au même moment par l’évêché, a été divulguée dès mercredi par la presse romande. Contacté mercredi par l’Apic, l’évêché n’a ni voulu commenter, ni voulu confirmer ou infirmer la nouvelle. Qui devrait être confirmée officiellement aujourd’hui.

    L’Apic a obtenu une confirmation du côté de la famille. Cette nomination met fin à plus de 13 mois d’attente, après le décès, mardi 21 septembre 2010, de Mgr Bernard Genoud. Le dominicain Charles Morerod, qui vient de fêter ses 50 ans, exerce la fonction de recteur de l’Université pontificale S. Thomas d’Aquin, l’Angelicum, à Rome.

    Un dominicain connu et apprécié par Benoît XVI

    Théologien thomiste, Charles Morerod a vécu une année 2009 marquée par une série de quatre nominations importantes à Rome. Il a été nommé tour à tour Secrétaire général de la Commission théologique internationale, Consulteur de la Congrégation pour la doctrine de la foi, puis membre de la Commission de dialogue avec la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X et enfin Recteur de l’Angelicum.

    C’est le pape Benoît XVI lui-même qui avait choisi Charles Morerod comme Secrétaire général de la Commission théologique internationale, un poste-clé qui a entraîné les deux autres nominations au Vatican. Le cardinal William Levada, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, avait en effet affirmé au dominicain: "Si vous acceptez, le Saint-Père en serait très heureux".

    Puis, quelques mois plus tard, il est élu recteur de l’Angelicum, au terme d’une procédure en deux phases, qui rappelle un peu celle de la nomination des évêques: un collège électoral interne établit une liste de trois candidats et la présente au Maître général des dominicains – qui a le titre de Grand Chancelier de l’Université – lequel choisit un des trois nominés.

    C’est sur l’insistance du Maître général, le Père Carlos Alfonso Azpiroz Costa, que Charles Morerod finit par accepter. Encore marqué par les appels du pape, il avait mené une campagne active pour ne pas être élu. Il l’a dit ouvertement au sein de l’Angelicum: "Je ne veux pas devenir recteur". "Finalement, j’ai obéi", avait-il lâché l’an dernier à l’Apic.(...) Toute l’information ici : Les médias romands précèdent l’annonce officielle prévue ce jeudi   

    Notre confrère « Le Swiss Romain » se réjouit de la nomination de ce grand format, au moment où l'Eglise se prépare à entrer en 2012 dans une année consacrée à la foi : une foi  qui, en Suisse comme ailleurs en Europe s’est largement effondrée au fil des années postconciliaires.,